Chapitre unique

Pourquoi as-tu accepté ? Pourquoi te l'ai-je proposé ? Pourquoi, maintenant que nos lèvres se sont rejointe, j'ai tout un tas d'émotions qui traverse l'intégralité de mon corps ?

Tu voulais t'entraîner pour ce garçon avec qui tu as un rencart dans précisément une heure et quart. Tu m'as dis « J'ai tellement peur de mal faire !Ce sera mon premier baiser, j'ai tellement peur qu'il me trouve nulle.. », perdue, je t'ai répondu « Si... Si tu veux, tu peux t'entraîner avec moi. 'fin, j'veux dire, je peux t'aider à te préparer. Vu que je suis déjà sortie avec deux,trois garçon.. ». J'ai dix-huit ans, toi seize, je ne vois pas le mal là-dedans. Deux amies qui s'aident par rapport aux garçons, c'est plutôt banal, non ?

Nerveuse tu as acceptés, on s'est donc mit sur ton lit, en tailleur. On s'est regardées longuement dans les yeux, tu avais peur alors j'ai dis « Détends-toi !C'est parce que tu es stressée que tu vas tout gâcher . »suivit d'un petit sourire en coin, elle s'est détendue. Nous avons toutes deux soupirés longuement, puis nos deux visages se sont rapprochés pour que finalement nos lèvres se cèlent. Et maintenant, j'ai des palpitations incontrôlable dans le ventre.

Je mouvement est calme, doux et quasi-naturel. Nos yeux ce sont automatiquement fermés à l'instant où nos lèvres se sont touché et machinalement j'ai posé ma mains gauche dans sa nuque à la jointure avec ton menton et de ton oreille pour t'approcher de moi, toi, tu as posé la tienne sur ma hanche droite. Nos mouvement de lèvres sont synchronisés comme chorégraphiés, et finalement, tu décide de cesser ce baisé.

Les joues drôlement rougit, on retrouve nos places initiales et nos regards se font discrets. Mon cœur continu de battre fort comme je ne l'ai jamais vue faire auparavant. Tu me dis finalement « Alors.. J'ai fais n'importe quoi ? », « Franchement ?C'était vraiment pas mal » pour ne pas dire parfait« J'aurais pas pensé ça d'une novice ! »dis-je dis en rigolant, tu me donne donc une tape sur le bras, par réflexe et vengeance. « Merci Stupid » ,« De rien Princesse » puis tu me prend dans tes bras.

Une heure plus tard, tu est prête :coiffée, maquillée, fringuée « Tu es magnifique,princesse ». Tu hésite quelques secondes puis dis« Amber ». Soudainement mon nom, avec ta voix, tes intonation, tes lèvres, sonne comme cochon, je m'en mord la lèvre inférieure. « Oui ? », « Es-ce que tu peux m'amener et rester avec moi ? Surveiller au cas où ça ce passerais mal. Mais [...] », « Ça m'enchante pas, mais si tu veux. ». Puis ton regard s'est posée sur le mien et tu souriais.

Rapidement, nous avons rejoint ma voiture direction le café-restaurant ou il t'avait invité. On arriva à celui-ci avec 5 minutes d'avance et je dois attendre un bon quart d'heure pour qui ne se doute pas que je suis présente. Je m'installe à deux table plus loin, avec une vue sur les deux tourtereau, ma fois des moins confortables, mais au moins je suis sure de ne pas être repérée. Leurs rendez-vous se passe sans encombre et Il décide finalement de l'emmener sur la rive de Han Gang sous une nuit étoilée, décidément il avait les choses bien !

Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos, ça devrait lui faire plaisir, après une petite série de clichés arriva le moment tant redouté. Peu à peu, ils arrêtèrent de parler et leurs visages se rapprochaient l'un de l'autre. Je change de support et commence à filmer, finalement leurs lèvres se rencontre et ils s'échangent un simple baiser, aussi frigide que ceux des dramas, et se séparent pour finalement se retrouver avec plus d'envie et d'ambition, je suis tout à coup prise d'un incontrôlable cafard et je m'en vais veillant à ne pas faire de bruit pour ne pas les déranger.

Je rentre chez moi et monte dans ma chambre. Mon premier réflexe et de chercher dans un tiroir ma cachette à cigarette, puis mon briquet et l'alluma en un rien de temps. Pour finalement me poser devant ma fenêtre à la lumière de la lune. Je ne comprend pas pourquoi je suis si affecté par cette scène, je devais m'y attendre. Mais....Es-ce de la jalousie ? Pourquoi serai-je jalouse ? Je suis déjà sortie avec des garçon et Krystal ne m'a jamais fait une scène comme celle-ci (si on peut appeler ça une scène). Je ne sais pas ce qui m'arrive et dans tout les cas il n'y a aucune raisons. Aurais-je peur qu'elle s'en aille et ne revienne plus jamais, celle qui a toujours été à ses côtés ? Ça doit être ça, j'ai peur qu'elle me laisse, une peur ma fois bien trop égoïste. C'était sa vie après tout, non ?

Histoire de me remettre les idées en place je sors une cigarette de sa petite cachette. Si ma mère la trouve je suis morte. Et l'allume, je pend soin de pendre un cendrier avec moi. Pour éviter la propagation de l 'odeur de clope, j'ouvre et fenêtre et contemple la Lune, longuement, elle est si jolie ce soir, j'aime à penser que je suis la Lune. C'est vrai, la Lune ne se préoccupe pas des émotions de ceux aux alentour, elle vit sa vit d'astre et tout le monde l'envie, Elle ne cherche pas à ce faire remarquer, tout le monde la voit et l'admire. Elle ne se demande pas si elle est tombé amoureuse de sa meilleure amie, car la Lune n'a pas d'amie, C'est juste un immense rocher qui tient tout seul dans le système solaire.

« Putain, fait chier! Dis-je en ramassant les cendres de standard qui se sont éparpiller dans sa chute. Abrutis, vraiment !»

    Je ne me sens vraiment pas bien, je pose tout sur la première surface que je trouve et me dirige en courant aux toilettes. J'arrive fastidieusement à vomir dans la cuvette. Je me laisse donc m'asseoir contre le murs de cette petite pièce et me remet à chialer, chialer comme la grosse merde que je suis. La merde qui pourrait foutre en l'air une amitié sur plus de dix années pour son petit plaisir égoïste.

Après mon moment de faiblesse, je me dirige vers la salle de bain, histoire de ne plus puer de la gueule. Et me brosse les dents, puis d'un pas lent je pars me coucher, sans même prendre la peine de me changer, disons que je me suis habillé très tôt pour demain ? Puis d'une rapidité impressionnante je me suis endormis.

Pendant cette nuit, j'ai rêver de doux baisers, de lèvres sucrées, et d'un connard prenant le poignet de Krystal pour l'emmener loin. Krystal se débattant pour qu'il la lâche, et moi, incapable de bouger, pourtant ce n'est pas l'envie qui me manquais. Alors ce matin en me levant ma première action fut de pleurer encore.

Et c'est dans les environs de deux heure de l'après midi que tu te décide à venir, toute joyeuse,niaise à souhait ! Elle avait les étoiles dans les yeux et je ne peux pas lui en vouloir. Elle est si mignonne ! « Je lui ai trouvé un surnom ! », déjà ? « C'est quoi du coup ? » « Kaillou ! »,« C'est vrai qu'il a une tête de caillou »marmonnais-je dans ma barbe. « Amber ! Je t'ai entendue ! Qu'es-ce que tu as aujourd'hui ? Tu as une humeur exécrable ! ». Je me tue et me pose sur mon lit, elle a gagné, je boude. « Nan, Amber, c'est pas possible ! Tu boudes ? », je reste toute aussi silencieuse, elle va pas gagner aussi facilement. Krystal s'assoit et me regarde dans les yeux, « Qu'es-ce que tu as ? Depuis mon rendez-vous avec Kai, tu reste muette. », « Oh c'est bon ! T'as que ça à la bouche depuis des mois ! 'Mon Kai ! Il est si beau ! Il est si intelligent ! Si drôle ! ', Si c'est pour me parler de lui toutes les secondes, franchement tu peux la fermer ! », dès lors que ces mots sont sortie de ma bouche je me suis sentis coupable. Maintenant, elle allait partir et cella par ma faute et pas celle de l'autre con.

Pourtant, elle ne fait rien de cela.Au contraire, son premier mouvement fus celui de me serrer dans ses bras, alors avec sincérité je lui rend sont accolade. « Je suis vraiment désoler Amber, depuis que je l'ai vue je t'ai laisser de côté, et tout les moment qu'on n'a passé je n'ai fait que de te parler de lui. Excuse-moi Unnie, ce n'était pas mon intention... »,j'ai littéralement fondue en larme, nos VRAI moment de complicité sans lui autour m'ont tellement manqués, je l'ai serré encore plus fort, ce moment rien qu'a moi, ce moment où son temps M'EST consacré, je ne peut rien faire d'autre que d'en profiter.

Lorsque qu'elle décide de dé-serrer le lien qui nous uni, elle me regarde longuement dans les yeux. Et d'un mouvement furtif mais surtout non-prémédité, je pose mes lèvres sur les siennes. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit, mon cerveau et ma conscience ne sont plus les facteur de mes mouvement, mais bel est bien mon corps qui sous le coup d'une pulsion à laisser parler mon cœur.

Surprise, elle me poussa violemment.« Am.. Amber, pourquoi... Tu as fais ça ? », et meslarmes coulèrent de nouveau. Tu t'es lentement levée, dirigé vers la porte, « Euh.. On se verra demain en cours.. Bye », je suis resté seul dans ma chambre, et malgré les initiatives vaines de ma mère pour me faire sortir je suis rester là à fixer la couverture où tu était assise.

Aujourd'hui, en allant en cours avec le peu de motivation que j'ai eu en me levant, je ne t'aies pas vue. Enfaite si, mais tu m'évite, j'ai beau essayer de te voir, tu fuis. Après tout, c'est peut-être mieux comme ça.

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Bravo si tu as réussi à finir cette histoire! Parce que franchement je n'en suis pas fière du tout! J'ai pris beaucoup de temps à l'écrire, sachant pourtant pertinemment la fin "tragique" de cette histoire. De plus, une nouvelle idée me trotta dans la tête pendant l'écriture de cet OS, écrire une fiction. Je peux donc t'assurer que le prochain contenu sur mon Wattpad sera une fanfic! Je pense en 15 chapitre sur le pairing Markson.

En tout cas, merci d'avoir lu jusqu'au bout,

l'auteur.

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