Chapitre 1

 Mes paupières étaient lourdes. Tâtant ce qui se trouvait autour de moi pour savoir où j'étais, je ne rencontrait que de la pierre. J'ouvris difficilement les yeux. Au dessus de moi, un visage familier m'apparut.


– Ma... man ?


Des voix vagues me parvinrent. Tremblantes et d'abord lointaines, l'une d'elles en particulier me ramena a la réalité. Étrangement, l'entendre m'apaisais. Pourtant, je ne la connaissais pas. Une autre vint elle aussi percé la coquille de l'inconscient.


– Ta voix semble la faire réagir Karma.

– La tienne aussi Nagisa.

– ...


Les autres par contre, restaient dans le flou.


– Tu nous entend ? Bouge si c'est le cas.


C'était la voix du dénommé Nagisa. Je restait en moment immobile, le temps de déchiffré ses paroles. Puis, je levais le bras vers la voix.


– Nous vois-tu ? Repose ton bras si non.


Je laissais retomber mon bras. Mon cerveau se remettait lentement en marche mais ma vue restait flou.


– D'accord. Sais-tu parler ?

– En es-tu seulement capable actuellement ?


Ma gorge sèche m'empêchais de prononcer un quelconque son.


– Kayano, va chercher de l'eau s'il te plaît.


Une éternité plus tard, on me souleva un peu du sol pour me faire boire. Une douleur foudroyante me traversa le corps en partant de ma hanche gauche. Un faible gémissement s'échappa malgré moi.


– Terasaka fais donc attention.

– Laisse moi faire.


Le dénommé Terasaka me lâcha brusquement sur le sol en grognant. J'étouffais un juron a mon tour. Pas par politesse, mais parce que ma gorge ne voulait pas m'obéir. Je ramena mon bras sous mon corps et lutta pour me lever malgré la douleur qui me transperçait. Avec une douceur infini, une main se posa sur ma taille et me souleva, m'aidant a m'asseoir. Je fermait les yeux avant de les rouvrir. Ma vue redevint net. A genoux devant moi se trouvait la jeune fille que j'avais pris pour ma mère, me regardant d'un air inquiet. Celui qui m'aidait avait les cheveux et les yeux rouges. D'une beauté saisissante, je fut incapable de me défaire de lui. On me tendit un truc blanc plein d'eau. Le garçon m'aida a boire. Soudain, il fronça les sourcils et regarda quelqu'un de l'autre coté de moi.


– Nagisa, pourquoi lui as-tu demandé si elle pouvait parler ? Elle nous as dit de nous coucher a terre quand elle est arrivé.

– C'est vrai, je n'y ai pas pensé.


Je tournait la tête vers une autre garçon aux yeux et cheveux bleu, cette fois. L'exact opposé. Je ramassais mes jambes et réussis tant bien que mal a me lever. Le rouge me suivit durant tous mes mouvements et me soutint quand je perdit l'équilibre. Soudain, une question me traversa l'esprit. M'éloignant un peu, je regardais autour de moi. Il n'était pas là.


– Fen... Fengari*...

– Quoi ?

– Le... Louveteau...

– Il est caché dans le buisson là-bas depuis que nous nous sommes approcher de toi. Il ne veut pas sortir. M'indiqua le petit bleu.

– Μπορείτε να βγείτε πρίγκιπα . (Vous pouvez sortir prince)


Le bébé sortit lentement. Je me laissais tomber a genoux et ouvrit mes bras. Il vint se réfugié dedans en courant.


– Évite de trop bouger. Nous avons arrêter l'hémorragie mais ce n'est qu'un bandage rudimentaire que tu as. Me dit le rouge.


Un frisson me parcouru le corps. Je levais la tête vers lui et me plongeas dans ses yeux.


– Merci.


Ma voix me trahit a ce moment là et ce fit plus douce et faible que ce que j'espérais. Il me sourit. Je détournais les yeux, le visage chaud. J'entendis quelques rires derrière moi. Je sentit mes joues s'enflammer. Je me concentra sur ma blessure en me levant. En appuyant sur certains points, une évidence me sauta aux yeux.


– Vous n'avez pas enlever la balle ?

– Non.


La colère monta en moi mais je la refoula. Ils ont voulu m'aider, c'est déjà ça. Je déchirais ma robe a l'endroit où la balle était rentrer. Une fois que j'eus accès au bandage, je l'enlevais.


– Mais tu es folle ? Me cria l'un d'eux.

– Arrête ! Me cria une blonde.

– Il faut enlever la balle. Les coupais-je. Sinon ça va s'infecter.


J'appuyais sur les bords de la plais pour les écartés. Mes doigts fin trouvèrent vite le projectile. Étant plutôt loin quand il m'avait atteint, il n'était pas très profondément enfoncé. J'enlevai le bout de métal. Je lançais un regard aux bandes qui traînaient désormais par terre. La peau de cerf que je porte ne suffira pas a cautériser la plaie. Je tournait la tête vers la forêt et siffla un bon coup. Un loup énorme arriva. En dehors du rouge et de Nagisa, ils firent tous un pas en arrière.


– Πηγαίνετε να πάρετε παλιά, έχω ανάγκη φροντίδας. (Va chercher la vieille, j'ai besoin de soins).


Le loup partit en courant. Une génération avant la plus vieille des générations actuelle, ils furent tous élever a la main de l'homme. Puis, ils furent relâchés et livré a eux même, il y a 16 ans. 1 ans avant ma naissance. Mon père, apparemment un grand scientifique, leurs as appris a obéir et a comprendre le grec, allez savoir pourquoi ! Il m'as abandonné quand j'étais encore qu'un nourrisson. Ma mère, dont j'ai un TRES vague souvenir, avais caché un livre sur le grec dans mon berceau. Mon père pensait que les loups allaient me manger mais la Louve Alpha m'as pris sous son aile... ou plutôt sous sa patte. En attendant mon matériel, je détaillais un peu plus les adolescents qui m'entouraient.


– Nous avons exactement la même couleur de cheveux. Fit-je remarquer a Nagisa.

– Les yeux aussi. Me dit-il avec un grand sourire.

– Je... Je n'ai jamais vu mes yeux...


Ma remarque provoqua des regards surpris et des mines étonnées.


– Ne me regardez pas comme ça, on dirait que je suis une étrangère.

– Ben... tu en es une ! Enfin... pour nous... Pourquoi as tu une robe comme ça ?

– Comme... ça ? Je regarde ma tenue. C'est vrai qu'elle est sale, mais je ne vois pas où est le...


Soudain je comprend ce qu'elle veut dire.

– Euh... Je... On ne trouve pas de robes comme ça dans la forêt. J'ai fais celle-ci moi même il y as très, très longtemps.

– Mais... tu as vécu dans la forêt ? Pourtant on ne c'est jamais croiser alors que... Oh...


Je suis son regard et vois la meute entière sortir de la forêt. Le plus gros reste a la lisère mais la doyenne s'avance.


– Σας ευχαριστώ. Απώλειες; Πληγωμένος; Όχι; Καλά. Φέρτε όλοι ασφαλείς, εγώ θα σας βοηθήσει να αργότερα ενίσχυσε το κρησφύγετο. Φεγγάρι κρατώ μαζί μου ... Αλήθεια ? Εντάξει. Επέστρεψα δύο ημέρες στη συνέχεια. Καλή τύχη. (Merci. Des pertes? Des blessés? Non? Bien. Amène tout le monde en sûreté, je viendrai plus tard vous aider a renforcé la tanière. Je garde Fen avec moi... Vraiment? Très bien. Je revient dans deux jours alors. Bonne chance. )

– Ils te comprennent vraiment ?

– Oui. Mon père, apparemment un grand scientifique, leurs as inculquer le grec. Ainsi, nous pouvons leurs parler, ils nous comprennent. Par contre, je les comprend uniquement parce que c'est eux qui m'ont élevés.


En parlant, j'avais pris la petit boite en fer rouillé que la louve me tendait. Après l'avoir ouvert, j'avais pris l'aiguille qui traînait au fond avec le peu de fil qui me restait, ca devrait être suffisant. Une petite grimace de douleur passa sur mon visage. Je me recousue la plaie. Une fois finis, je prit les bandages et les remis. La douleur était bien présente mais pas insoutenable au point de perdre conscience. Par contre, je ne pouvais plus marcher. J'essayais cependant de me retourner vers eux.


– Je sais que c'est beaucoup vous demander mais l'un de vous peut m'accueillir chez lui pour deux jours ? La tanière actuelle n'est plus sûr. Et je ne suis visiblement pas en état de me battre a nouveau.

– Tu peut venir chez moi. Et ton loup aussi, du moment qu'il se tient a carreaux.


Personne ne contredit la décision du rouge, ni ne pipa mot.


– Je suis Xαρά (se dit « Chará »).

– Moi c'est Karma. Akabane Karma.

– Merci Kar... ma ?


Il hocha la tête en souriant.


– Tu as dit que ton père était scientifique. Tu connais son nom ? Demanda la fille aux cheveux verts.

– Oui bien sur. Attendez !


Je prit le livre dans ma boite. Dedans étaient écris les noms de mes parents et un mot de ma mère disant qu'elle m'aimait.


– C'est... Kotaro Yanagisawa. Et ma mère s'appelait... Aguri Yukimura.


Un silence de plomb tomba. Bizarrement, j'avais l'impression qu'un vent froid c'était levé tout d'un coup.


– Tu... Tu es la fille de notre ancienne professeur ? Me demanda la blonde.

– En parlant de professeur, fit remarquer un brun a l'air intelligent, ils sont passé où les nôtres ?

– Koro-sensei est partit aux États-Unis... Commença Nagisa.

– Dans un moment pareil ?

– Il est irrécupérable.

– Karasuma-sensei est en ville... Continua-t-il malgré tout.

– Ca on sait.

– Jamais là quand on as besoin de lui.

– Taisez vous bon sang ! M'exclamais-je. Laissez-le finir, vous entendez pas qu'il parle ?

– Et Bitch-sensei... Aucune idée. Sûrement en train de se faire les ongles quelque part.

– Non j'étais aller chercher des vêtements un peu plus moderne pour la demoiselle. Intervint une grande blonde (J'étais un peu intimider devant elle). Viens avec moi, Xαρά, c'est ça ?

– Oui mais... Je ne peut plus marcher...


Ils se regardèrent. Karma s'approcha de moi et mit une main autour de mes épaules avant de se baisser et de passer un bras sous mes cuisses. Je sentis mon visage atteindre encore une fois des records de températures. Le louveteau se mit a glapir. La jeune fille que j'ai vu a mon réveil le prit dans ses bras et se mit a le câliner. Soudain, une nouvelle vague de douleur partit de ma blessure et m'arracha un couinement.


– Ca va ?

– Disons que j'ai connu des jours meilleurs. Ils auraient pu viser les jambes.


Les élèves éclatèrent de rire. Karma me porta a l'intérieur et me posa sur une table.


– Si tu veux on peut t'aider a te désha... Euh.. a t'habiller je veux dire. Proposa un des garçon au crane rasé.

– Okajima, DEHORS !! lui hurla une des brunes. Les autres garçons aussi.


En dehors du pervers, tous les autres sortirent sans vraiment rechigné.


– Meg, tu vas les surveillé ? Enfin... Surtout Okajima.

– Ok.


Les filles m'aidèrent a me changer en discutant.


– Alors comme ça, Karma te fait de l'effet ? Me demanda la blonde d'un air diabolique.

– Rio arrête ! Regarde tu la gêne.


Je ne sais pas ce que c'est la gêne mais je sentais ma température corporelle monter. L'adulte leva les yeux au ciel avant de sourire.


– Il faut bien que nous en parlions avec elle. Vous n'allez pas me dire que tout le monde a louper ses changements de couleur.

– Changement de... couleur ?

– Dis moi, demanda la verte, quel age as-tu ?

– C'est quoi l'âge ? Le peu de ce que je connais, je l'ai appris dans mon livre ou a la boite que j'ai a la tanière.

– La boite ?

– Oui, c'est une boite marron qui fait du bruit. Et puis des fois y a des sons qui me donne envie de bouger ou de chanter.

– Elle doit parler d'une radio. Que sais tu d'autre ?

– Pas grand-chose, je me rend compte. Je ne sais pas ce que sais... ça !

– Ca ? C'est un pantalon, tu met tes jambes dans chaque trou. Et ça c'est une jupe. Tu connais déjà la robe. Ca, c'est une culotte, ça se met en dessous. Pareil pour le soutien-gorge. Attend, je vais t'aider. Mais... Bitch-sensei, c'est trop grand pour elle tout ça.

– Bon, répondit l'adulte, met cette robe et viens. On va aller t'acheter des vêtements a ta taille.


Un peu perdu, je me laissa faire. Une fois que j'eus mis la robe jaune, un peu trop large, elle me tira dehors. On passa devant les garçons.


– On va lui acheter des vêtements. Vous pouvez rentrer chez vous.

– Je viens.

– Karma, tu n'es pas...

– Elle loge chez moi je vous rappelle.

– C'est vrai. Dis-je.

– Bon d'accord. Kayano et Rio venez. Xαρά, tu peut m'appeler Irina.


J'hôchais la tête. Une brune aux longs cheveux s'approcha de moi.


– Je suis Yukiko Kanzaki. Enchanté.

– En... chanté ?

– C'est pour dire qu'on est content de te rencontrer. Intervint Nagisa.


Un grand sourire fleurit sur mon visage. Ca fait pas longtemps que je les connais mais je les aime déjà.


– Enchanté !


Ils éclatèrent de rire.


– On dirait une petite fille. Oh ! Je suis Kaede Kayano.

– Enchanté !

– Je suppose que tu n'as pas d'identité dans la société comme tu n'as jamais dû être déclarer a ta naissance. Mais je m'occupe de ça. En attendant, tu logeras chez Karma.


Ce dernier était d'ailleurs en train de parler avec les autres garçons. Un visage, qui me semblait familier, s'approcha de moi.


– Salut je suis...

– Sugino. Le coupais-je. J'ai souvent entendu Nagisa dire ton nom.


Il me sourit malgré son air étonné. Nous descendîmes tous ensemble la colline. Arriver au pont cassé, ils s'affolent. Ne comprenant pas, je vais défaire la liane qui me sert a traversé habituellement.


– Où est le problème ? Je leur demande alors qu'ils semblent tous chercher une solution.

– Enfin tu ne vois pas ? Me dit la dénommé Meg. Le pont est cassé !


Je me retiens bien de leurs dire que c'est ma faute.


– Ben utilisez les branches alors. Regardez, ces deux branches se rejoignent et sont assez épaisses pour que vous puissiez monter dessus.


J'enroule la liane autour de main et saute. J'effectue une réception parfaite, de l'autre coté.


– Eh bien ?


Avec un air de défis sur le visage, je lâche la liane. C'est Karma qui l'attrape. Il enroule sa main et m'imite. Réception parfaite également.


– Nous faisons ce trajet tous les matins et tous les soi...

– Alors pourquoi tes copains s'affolent ? Ca fait deux jours que le pont est comme ça.

– Comment le sais-tu ?

– Je vis ici, Karma. Au fait, j'ai trouvée ton entrer fracassante super sympas, sur le terrain de sport.


Il me souris. Nagisa atterrit a coté de moi. Il perdit l'équilibre et tomba sur le cul. En riant, je l'aidais a se relever.


– Tiens, en fait t'es petite. Mais pas autant que Nagisa.

– Ca veut dire quoi ça ? Nous lui crions dessus.


Il se met a rire en me tapant sur la tête. Je lève la tête pour bouder et je vois Kayano se promener sur les branches cités, avec mon louveteau dans les bras. Elle saute a coté de nous. Nous commençons a partir sans nous occuper des autres. Je ne suis pas a l'aise sur la terre mouillée et j'ai bien raison puisque nous sommes a peine hors de portée de vue des autres que mon pied dérape et que je m'étale. Karma éclate de rire alors que Kayano et Nagisa étouffent les leurs. Alors que je m'assis par terre la douleur de ma blessure se répand dans mon corps tout entier. Je reste un moment immobile le temps qu'elle revienne a ce qu'elle était, présente mais supportable comme une simple écorchure. Je finis par me lever. La douleur me fait chanceler mais les bras chaud de Karma me rattrape avant que je ne touche une fois encore le sol. Il passe un bras autour de mes épaules pour me soutenir et nous continuons notre descente. Arriver au bâtiment principale, sur un sol plat, il me lâche et je marche seule. Avec cette chaleur, je me rend vite compte que le goudron n'est pas ce qu'il y as de meilleur pour des pieds nus habitués a l'herbe fraîche de la colline. Nous attendons les autres en discutant. Irina arrive bientôt, suivit de Rio. Avec Karma et Kayano, nous les suivons. Je fais signe a Nagisa avant de trottiner pour les rattraper. Discutant avec eux, je ne me rend même pas compte que la douleur a disparu.

Nous arrivons devant un truc noir. Rio m'apprend que ca s'appelle une voiture. Nous montons dedans. A coté de la fenêtre, je m'émerveille de tout. Irina me fait faire un petit tour de la ville. Elle s'arrête devant un grand bâtiment blanc. Rio, qui se charge apparemment du guide touristique, m'explique l'intérêt des centres commerciaux. Dans le magasin de vêtement, nous commençons par essayer plusieurs tailles de vêtements random pour savoir quelle est ma taille. De même, nous prenons plusieurs taille de ce qu'ils appellent « soutien-gorge ». Je découvre alors que Karma n'est pas pudique pour deux sous. Nous repartons avec quatre poches pleines de vêtements. Et une entièrement dont les vêtements ont été choisis par Rio et Irina. Alors que nos discutons, une question me traverse l'esprit.


– Mais je vais le mettre où tout ça ?

– Tu n'as pas de maison ? S'étonne Irina.

– Mais non elle vit dans une tanière avec les loups. Répond Kayano.

– Je les garderai le temps que tu ai un logis. Me dit Karma.

– L'idéal maintenant ce serai qu'elle ai l'uniforme de l'école. Parce que je veut pas faire ma rabat-joie mais je pense pas que le directeur acceptera une étrangère dans l'établissement.

– Pour ça, nous verrons avec Karasuma. Il sauras ce qu'il faut faire.


Nos continuons ainsi de parler, nous dirigeant désormais vers un magasin de chaussures. C'est Kayano qui porte les deux poches contenant chacune trois paires de chaussures. Rio et Irina estiment que c'est le minimum pour une fille d'avoir une paire de chaussure pour chaque occasion. Ensuite, nous nous rendîmes chez le coiffeur. Il écarquilla les yeux en voyant mes cheveux. Il commença par les laver pour il appliqua une sorte de masque. Les filles en profitèrent pour elles aussi se faire plaisir. Karma restait dans un coin de la pièce. Je leur racontait comment j'avais vécu. Soudain, le seul garçon eut l'air de se réveiller et porta un truc a son oreille. Le coiffeur sembla satisfait du résultat quand il rinça mes cheveux. Il fit encore d'autres manipulations et me coupa une bonne longueur de cheveux. Avant, je les avait aux genoux. Ben ouais, je les coupait que si vraiment c'était nécessaire, dans la forêt. A la sortie, ils m'arrivaient a la taille, coiffés en couette haute. Peu après, une femme aux cheveux rouge foncés arriva et nous sourit.


– Bonjour, je suis la mère de Karma. Laquelle doit venir a la maison pour deux jours ?


J'étais intimidé par cette femme, comme pour Irina. Mais pas de la même manière. Irina, c'est sa beauté voyante qui imposait. Comme une fleur de tabac. Alors que la femme en face de moi intimidait par sa classe et sa beauté sobre. Elle avait les cheveux rouge foncé coupés court, une peau de pèche et des yeux noisettes perçants. Son tailleur et sa jupe étaient impeccables. Pourtant elle n'était pas menaçante, elle souriait et nous regardais d'un air bienveillant. Mais le respect qu'elle dégageait m'écrasait. Je ne m'étais pas encore changer, n'ayant pas d'endroit où le faire. Je me sentit misérable dans ma robe trop grande. Et encore, elle ne m'avait pas vu avec ma robe en peau de cerfs. Je me mit légèrement derrière Irina. Ce geste ne sembla pas lui échapper.


– Je suppose que c'est toi. Dit elle en se tournant. Enchanté.

A suivre.... 

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Voilà pour vous! "Fengari" veut dire Lune. C'est pas une SUPER traduction mais c'est normale: c'est  google Traduction! Et je remercie @@rose-livre pour la traduction en grec!

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