Chapitre 7
PDV d'Harry Potter
Je vais partir dans quelques semaines à Poudlard, Papa m'a appelé dans son bureau pour parler de quelque chose. J'ai senti dans sa voix que c'était quelque chose et d'important. J'ai dû laisser Xavier qui est très gentil, mais très collant dans la chambre avec un elfe de maison pour le surveiller. Il faut faire attention avec lui, il fait des blagues à la chaine. Il est un peu une révolution industrielle dans l'histoire, mais pour les blagues.
Dire que c'est Narcissa qui va le garder chez elle. De ce que j'ai compris, elle est la marraine de Xavier, bon c'est surtout elle qui l'a demandé à Papa. Elle a failli un jour l'appeler autrement qu'Iron. Papa lui a jeté un sale regard.
J'ai compris pourquoi il se cache le visage, c'est parce qu'il est trop beau et qu'il craint que les gens ne tombent amoureux de lui. C'est ce que j'aurais cru si je n'avais pas vu ses mains sans ses gants, elles étaient atrocement brulées.
J'entre dans son bureau. Toujours si sobre, malgré la présence d'énormément de livre sur les armoires sur le côté.
-Harry est-ce que ça va ? Tu ne fais plus de cauchemar, me demande doucement Iron.
Il est si inquiet pour moi. Beaucoup de gens le méprisent parce qu'il a été décrié par ces anciens alliés. Il a beau s'être battu contre les mangemorts, les gens pensent qu'il l'a fait pour espionner les gens de la « lumière », ce qui est illogique vu le nombre de fois où il a failli y passer pour sauver d'autres personnes.
-Tu as un frère jumeau, tu es le frère de l'élu, tu es un Potter par le sang, me dit mon père.
-Non, je ne le suis pas. Je suis ton fils, je lui réponds.
J'ai peur, il ne va quand même pas m'abandonner.
-Je dois juste te prévenir de ne jamais donner ton vrai nom de famille, tu es Harry Mask, me dit mon père.
Il me fait un câlin.
-Je veux juste que tu aies une enfance normale, il est possible que ton nom de famille originel sortes, donc tu dois t'attendre à entendre des critiques sur moi, me dit mon père.
Je lui rends son câlin.
-Tu sais que j'étais au courant que j'étais un Potter, je lui dis.
-Je n'en étais pas sûr, j'avoue qu'au vu de ton état, je n'ai jamais osé te poser la question, me répond-t-il.
On se sourit.
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