Un aller-retour pour Gulmira
« Les 25 km de marche jusqu'aux alentours de Gulmira ne peuvent être décrite que comme une descente aux Enfers, dans une version moderne au cœur de la nuit. De simples bergers et fermiers de villages pacifiques ont été arrachés à leurs foyers, chassé par des seigneurs de guerre enhardis par leur nouvelle puissance. Les villageois ont été obligés de s'abriter d'en sales premiers taudis mis à leur disposition dans les ruines d'autres villages, ou ici, dans les reste une fonderie soviétique désaffectée. »
Voilà ce qu'entendais Victoria par l'écran plat installé sur le mur blanc de son salon. Rien ne pourrait la faire bouger de là avant la fin de cette émission, sachant qu'elle était bien capable de passer à une autre chaîne ensuite pour entendre ce qu'ils avaient à dire eux sur ces tragiques événements dont son frère et elle n'auraient jamais voulu en être les coupables. En reconnaissant les hommes des Dix Anneaux et notamment leur chef qui c'était servi d'elle pour que son frère accepte de travailler pour eux, la haine que la jeune femme gardait en elle depuis tout ce temps grandit encore plus rapidement qu'elle ne le faisait déjà. Ne pouvant plus supporter tout ça, la jeune femme attrapa le premier objet qui lui vint à la main qui n'était autre qu'un verre de whisky vide et la balança du plus fort qu'elle pouvait sur le mur près de la télévision, la faisant exploser au moment du choc et laissant des bout de disséminées un peu partout à l'endroit du choc. Ne pouvant plus contenir tout cette haine en elle et voulant agir, la jeune attrapa sa veste, ses clefs de voiture et partir au seul endroits où elle savait pouvoir compter sur quelqu'un qui pourrait comprendre ce qu'elle ressentait vraiment en ce moment, son frère Tony.
Arrivée chez le milliardaire, la jeune femme partit dit bonjour à Pepper puis partit au sous-sol où elle avait entendu du bruit. En descendant le bruit devenait de plus en plus intriguant pour elle. Pourquoi son frère utiliserait autant de machines pour les petits trucs qu'il aimait réparer ou concocter? C'était totalement bizarre. Cependant, elle n'en teint pas rigueur et entra dans la pièce sans se douter de ce qui l'attendait à l'intérieur.
« Tony j'ai vraiment besoin d'une épaule sur laquelle m'appuy... putain c'est ça?! »
En voyant une armure rouge et or et surtout qui venait de bouger toute seule face à elle, la jeune femme ne put retenir un hurlement et attrapa le premier objet dangereux qu'elle pouvait avoir sous la main, une clef à molette sur la table de travail. C'est alors que les bras de la chose se levèrent et que le visage est casquiez fit pareil, laissant apparaître un Tony surpris par l'arrivée inattendue de sa sœur.
« Non, non, non Vicky! C'est moi, c'est moi! Tu n'as rien à craindre!
- Qu'est-ce. Que c'est. Que ça?! arriva-t-elle à articuler en pointant toujours son arme devant l'armure avec son frère à l'intérieur.
- Ma nouvelle armure. J'ai commencé à la créer après notre retour à la maison.
- T'es entrain de me dire que tu t'es construite une deuxième armure à partir des plans de celle qu'on a faite pour s'enfuir?
- J'ai pas vraiment penser que ça t'enjaillerais de m'aider à en construire une mais vu ta réaction j'ai des doutes maintenant... »
Reprenant ses esprits, la jeune femme balança la clef à molette par terre en gardant les yeux rivés sur son frère en armure.
« Mais pourquoi tu ne m'as pas rien dit?! J'aurai pu t'aider! C'est de loin la meilleure idée que t'es eu, et je sais combien la liste de tes idées à la con est longue!
- Tu m'écoutes quand je te parle? Je disais que je ne pensais pas que t'allais aimé le projet après les précédents événements!
- Non je ne t'écoute pas, j'admire le chef d'œuvre que t'as fait... alors c'est ça que tu préparais dans ton sous-sol pendant tout ce temps? Une nouvelle conception d'armure?
- Entre autre...
- Comment ça entre autre?
- Disons que j'en ai plutôt créer deux... j'en ai fait une pour toi au cas où tu aimerais le projet...
- Sans moi?
- Euh... Oui...?
- Anthony Edward Stark, je te laisse à peine deux mois sans surveillance et tu commences déjà à me faire des cachoteries aussi énorme!
- C'est là que t'es censé m'injurier normalement, non?
- Je t'injurierais quand je serais d'humeur a pouvoir te dire à quel point t'es un abruti d'avoir pensé un instant que je n'aurai pas voulu faire partit du projet.
- Je me disais aussi... »
Après cette brève discussion, Tony remit son casque correctement et commençait à partir lorsque sa sœur l'interrompait dans sa course en se plaçant juste devant lui pour lui barrer la route, les mains sur les hanches.
« Et je peux savoir où tu vas maintenant?
- Quelque part...
- Et est-ce que je peux savoir où exactement?
- Victoria, t'es pas obligé de savoir tout sur tout de ce que je fais ou ne fais pas...
- Peut-être mais je suis ta sœur et si tu pars dans ce machin pour aller sauver les habitants de Gulmira, ce que je pense être le cas, je veux être de la partie! On a créé ces armes ensemble alors on les détruira ensemble!
- Victoria Maria Stark, maintenant c'est toi qui va m'écouter: t'as aucune idée de ce que je suis entrain de faire et même si je t'es aussi construit une armure, je vais pas te laisser de faire tuer dans un plan de ce genre! »
Tony dit sa en attrapant d'une main ferme les bras de sa sœur en la secouant doucement pour lui faire comprendre qu'il était vraiment sérieux dans ses propos. Et ils étaient vrai. Si Tony apprenait que sa petite sœur s'était fait tué durant une attaque de ce genre, il ne se le pardonnerait sûrement jamais!
Un silence se crée dans la pièce durant un court instant, le frère et la sœur se regardant dans le blanc des yeux. Au bout de quelques secondes, ce fut l'ainé qui le rompit, voyant la mine déterminée et renfermée de sa sœur, prête à tout pour venir avec lui.
« Tu ne changeras pas d'avis j'imagine...?
- T'as pas idée à quel point tu as raison sur ce coup là...
- Bon très bien... tu t'équipe. »
Et après quelques minutes à enfiler l'armure grâce à l'aide de JARVIS et des machines qui avaient elles-mêmes aidés Tony à enfiler la sienne, et quelques minutes à s'acclimater au vol en altitude pour trouver les bons réflexes, le duo parti et aussi vite qu'ils pouvaient, traversant l'Atlantique et l'Europe à la vitesse du son!
A Gulmira hélas, la situation ne s'est toujours pas amélioré depuis les infos et se dégrade au fur et à mesure que la groupe terroriste des Dix Anneaux avance dans la ville en saccageant, pillant et déchirant la population. Des bombes sont lâchées de partout autour de la ville pour tués les fugitifs partaient au loin et détruisent les chemins praticables tandis qu'en ville les terroristes emportent les pauvres villageois avec eux, séparant hommes, femmes et enfants et tuant les hommes adultes pour montrer sa domination dans la ville. Mais alors que le chef de la troupe qui sévissait en ville ordonna de mettre le feu sur les hommes positionnés de dos sur un mur de la ville, deux machines atterrirent d'un seul coup entre les pauvres villageois et les terroristes et les attaquèrent tous avant qu'ils ne puissent tirés sur leurs victimes et sauvant les familles des hommes. Tandis que le chef de la troupe essayait de communiquer avec son supérieur, une des deux armures, la plus robuste, détruit le mur derrière lequel il était caché et attrapa par le col de son treillis l'homme en question avant de le balancer aux pieds des villageois qui se remettaient de leurs émotions. Les deux machines le regardèrent quelques secondes avant de s'envoler, ne sortant à l'intention des villageois avant de s'envoler totalement dans les airs: « On vous le laisse. » et partirent vers l'autre bout de la petite ville où les missiles étaient postées.
Mais lorsque le duo arrivaient au lieu, un tank les attendait de pied ferme et tira, touchant la première armure de plein fouet qui vint s'écraser par terre dans un fracas!
« Vicky!! Tu vas bien?!
- Ouais, ça va... détruit cette ordure avant qu'elle atteigne quelqu'un d'autre! répondit la concernée en se relevant »
Ni une ni deux, la deuxième armure lança un mini missile sur le char d'assaut, le faisait exploser à la volé tandis que celle à terre se battait contre une deuxième troupe de terroristes cachés dans sales débris de la ville qu'elle réussit à arrêter en détruisant à son tour grâce au missiles Jericho qu'ils cherchaient et qui explosèrent en entrant en contact avec le mini missile qu'elle lança.
Pendant ce temps à la Base Aérienne Edwards en Californie, les soldats à la surveillance de la zone où l'explosion des missiles avaient eu lieu étaient tous en alerte maximale essayant de comprendre ce qu'il se passait devant leur yeux ahuris. Lorsqu'ils trouvèrent les responsables de l'explosion ils furent encore plus sûr le qui-vive en voyant qu'il s'agissait d'une sorte d'engin volant.
« Objets non identifié! s'écria un soldat.
- C'était pas l'Air Force! continua un autre.
- Vous avez la CIA en ligne? demanda le chef.
- Non c'était bien pas de chez nous monsieur! répondit un soldat au téléphone.
- C'est pas la Navy, continua un autre.
- C'est pas les Marines, s'exclama à son tour un autre soldat encore.
- Il me faut des réponses! Est-ce qu'on peut les avoir en visuel? redemanda le chef impatient.
- Négatif, lui répondit-on.
- Dites au Colonel Rhodes du projet armement de venir en urgence. »
Ni une ni deux, soldat fonça à la recherche du fameux colonel Rhodes.
En route pour revenir au pays, les deux armures volaient à peu près à la même vitesse qu'à leur arrivée à Gulmira, ayant fini le travail qu'ils s'étaient donné. Au centre de commandement en Californie, Rhodes arriva rapidement prêt à essayer de répondre aux questions qu'on lui poserait.
« On a fait une vérification croisée de toutes les banques de données connues, ça n'a rien donné, lui dit le chef du centre de commandement en le voyant.
- Les surveillance en haute altitude dans la région? demanda-t-il.
- On a un AWAC et un drone dans les parages, intervint un soldat plus loin. »
Rhodes regarda les radars pour essayer de voir si on pouvait apercevoir quelque chose à propos de ces appareils étranges mais rien. Aucun objet n'était identifiable.
« Alors ces engins débarquent de nul part. Pourquoi ils n'apparaissent pas sur les radars? demanda Rhodes qui ne comprenait strictement rien à ce qu'il voyait.
- Ils ont des profils en travers insuffisant, répondit un soldat.
- Indétectables? redemanda le Colonel au même soldat.
- Non Monsieur, on pense qu'il s'agit d'objets volants sans pilote.
- Colonel, à quoi avons-nous affaire? demanda le chef du centre commandement un peu inquiet en se tournant vers Rhodes. »
Rhodey ne répondit pas tout de suite. Il se posait des questions quant à la provenance de ces objets. Et si il s'agissait d'un projet de ses amis Tony et Victoria Stark? Ça tomberait sous le sens! Celui-ci lui avait notamment parlé d'un nouveau projet sur lequel il travaillait, c'était sûrement ça! Le Colonel se retourna alors vers le chef du commandement, avec l'intention d'appeler son ami pour avoir des réponses.
« Faut que j'appelle quelqu'un.
- Sergent, dégagez., ordonna le chef du commandement à un des sergents qui géraient les communications. »
Rhodey composa alors le numéro de son ami Tony Stark qui répondit tout de suite, alors qu'il était encore dans les airs.
« Allô?
- Tony?
- Qui est-ce?
- C'est Rhodes.
- Allô? redemanda le civil en armure qui n'entendait pas beaucoup ou faisait semblant, on ne pouvait pas savoir encore.
- J'ai dit c'est Rhodes!
- Parlez plus fort.
- Et qu'est-ce que ce boucan?
- C'est rien, je conduit sans la capote.
- Oui bah je suis désolé, j'ai besoin de toi.
- C'est marrant la vie!
- Oui, et bien tu vas te marrer: on a un dépôt d'armement qui vient d'exploser pas très loin de l'endroit où t'étais retenu captif.
- C'est un endroit dangereux, on dirait que quelqu'un est venu faire le boulot à ta place! répondit Tony innocemment.
- Tu as du mal à respirer Tony?
- Non, je faisais un jogging dans le canion.
- Je croyais que t'étais au volant?
- Oui je conduisais jusqu'au canion pour faire un jogging.
- Si jamais t'as envoyé un engin dans le coin dis-le moi.
- Non. »
À peine Tony a-t-il dit cette petite réponse que le centre de commandement retrouve la trace de leurs deux engins volants étranges.
« Objets volants repérés!
- Whiplash, parez à tirer! ordonna le chef.
- Tu me rassures, parce que figure-toi j'en vois un qu'on est sur le point de faire exploser, dit Rhodes en regardant les écrans radars devant lui. »
Et alors qu'il disait cette phrase de avion de chasse, deux Whiplash, prirent Tony et sa sœur pour cible, les faisant chavirer de cap vers la droite pour essayer de les semer tandis que les deux avions essayaient de les suivre.
« Code Rouge, ici Whiplash One. Je les ai en visuel, dit le premier pilote.
- Whiplash One, qu'est-ce que c'est? demanda le Colonel.
- J'en ai aucune idée.
- Vous avez un contact radio? demanda à son tour le chef du commandement.
- Pas de réponses Monsieur.
- Je vous autorise à tirer. »
Mais a peine le chef du centre a-t-il donné ses ordres que les deux Whiplash n'eurent pas le temps de régler leur contact visuel avec les deux armures qui sont partit à la vitesse du son devant leur yeux ahuris.
« Les engins viennent de dépasser la vitesse du son! Verrouillage! »
Et ils envoyèrent deux missiles à l'intention des deux armures dont ils ne connaissent tous la provenance.
« Missile en approche, prévint JARVIS.
- Fusées! ordonna les deux armures qui lancèrent chacune des sortes de mini-fusées éclairantes qui firent exploser les deux missiles.
- Une minute, les objets ont déclenché les fusées! s'exclama le premier pilote à l'intention du centre de commandement. »
Tony et Victoria eux commençaient à perdre de l'altitude. S'étant fait percutés de plein fouet par les explosions des deux missiles, ils avaient tout deux perdus le contrôle de leurs armures, les faisant tomber à très grandes vitesses vers le sol. Mais avant de descendre sous les nuages, les deux appareils réussirent à reprendre le contrôle tandis que les deux avions re-verrouillait leurs cibles, leur tirant dessus cette fois-ci. Mais lorsque les deux Whiplash furent fin prêt à tirer, les deux armures s'arrêtèrent dans les airs, faisant en sorte que les deux avions de chasse les dépassent avant de faire demi-tour. Au centre de commandement les soldats commençaient tous à s'affoler en ne comprenant pas ce que cela pouvait être et en voyant les deux "ovni" disparaître d'un seul coup de leur radars n'aidaient pas beaucoup!
« Ils viennent de disparaître de l'écran radar!
- J'ai perdu l'image satellite!
- Ça peut pas être un avion sans pilote, expliqua le premier pilote.
- Qu'est-ce que c'est? demanda le chef de l'opération d'un ton stoïque pour ne pas montrer à ses hommes son inquiétude face au problème.
- Je vois rien. Quoique ce soit il a rendu les clefs. Je crois que l'ovni est détruit Monsieur, expliqua Whiplash One en regardant autour de lui pour être sûr de ses dires. »
Entre temps Rhodes, toujours aussi perdu que les autres regarde la scène qui se déroule sous ses yeux lorsqu'il reçut un appel du milliardaire rapidement.
« Allô?
- Salut Rhodes, c'est nous.
- C'est qui?
- Je veux dire c'était nous. Ce dont tu me parlais là, c'était nous.
- Non Tony, c'est pas un jeu. Vous pouvez pas envoyer d'équipements civils dans ma zone de feu, est-ce que c'est clair?
- Les équipement civils c'est nos armures et on est dedans! C'est nous! »
En entendant ces mots, Rhodes commença à comprendre et à paniquer en sachant qu'il avait failli faire exploser deux de ses amis sous le regard interrogatif du chef du centre.
« Vous avez quelque chose pour moi? demanda celui-ci en voyant la tête du Colonel. »
Rhodes lui adressa un regard perplexe puis appela les deux pilotes pour les faire partir.
« Notez votre position et regagnez la base.
- Roger, Ballroom. »
Tandis que Whiplash Two commençait à chavirer pour faire demi-tour, c'est alors que Whiplash One remarqua su le ventre du second appareil un humanoïde étrange accroché qu'il nota tout de suite comme étant l'un des ovnis recherchés.
« Sur ton ventre! On dirait... on dirait un homme! Débarrasse-toi de lui! Mouline! Mouline! »
Aussitôt dit aussitôt fait, le second appareils se met à tourbillonner et faire des tonneaux pour faire lâcher l'homme en question qui n'était autre que Tony Stark! Au bout de quelques tonneaux et à cause de la pression et de la force centrifuge exercée par l'avion, Tony dut lâcher mais atterrit dans l'aile de premier appareil qui s'explosa en éclats au contact, forçant Victoria qui elle était accroché en dessous à essayer de redresser l'appareil contre son gré. Malheureusement cela ne marcha pas et le pilote dut s'éjecter avant l'explosion de l'avion alors que Victoria lâcha sa prise pour ne pas exploser aussi. Mais une chose n'allait pas, Whiplash One ne déployait pas son parachute et tombait à une vitesse phénoménale vers le sol.
« Mon parachute est bloqué! arriva-t-il tout juste à exprimer à cause du stress et de la panique qui l'enveloppait. »
Voyant qu'il ne déployait toujours pas son parachute et qu'il allait bientôt pouvoir rencontrer le sol, Tony fonça sur le pilote en danger pour le secourir. Et avant que le second avion ait pu le prendre en chasse, le civil attrapa le siège et força le mécanisme du parachute, l'ouvrant et le déployant au passage, faisant hurler de joie les soldats du centre de commandement. Pendant ce temps Tony rejoignit sa sœur dans les airs de nouveau, pris en chasse par Whiplash Two. A ce moment-là, Ehodes reprit son portable pour rappeler Tony en espérant qu'il n'avait rien.
« Tony, t'es toujours là?
- Merci.
- Oh mon dieu t'es dingue espèce d'enfoiré! Eh tu me dois un avion t'oublie pas?
- Ouais mais c'est lui a tiré sur moi. Tu vas venir voir sur quoi je travaille maintenant?
- Non, moins j'en sais, mieux je me porte. Dis-moi seulement ce que je peux dire à la presse.
- Exercice de tirs, les salades habituelles! intervint Victoria dans la conversation via son micro.
- Comment t'es entrer dans mon serveur toi? demanda Tony perplexe.
- Je suis ta soeur Tony, demande-toi plutôt comment tu pourras faire en sorte que je ne puisse pas pirater ton armure la prochaine fois! »
Et après un mini dispute de gaminerie et des explications données à Rhodes, le duo repartit aussi vite qu'il était venu vers leur continent tout excités.
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