Pdv Liam:

C'était les vacances d'été. Je me battait tous les jours pour faire de la boxe. Je m'entraînais au tir j'étais de plus en plus fort. Je sais que c'est ridicule mais je pense que c'est mieux de savoir se battre pour l'attaquer et mettre un terme a tous ça.

- Salut Lucy!

- Salut notre rendez vous compte toujours ?

- Oui on se retrouve dans quatre heures.

- J'ai hâte de savoir à quoi tu ressembles ❤️.

- Toi aussi. J'ai hâte de te voir ❤️.

Je me remet dans le plan. Je prends la clé de mon père qui ouvre la porte des troisième enfants. Je les emmène avec moi à 14h45. Je me rends au rendez- vous. On va chez mon père puis on fais la révolte ensuite, je fais mon plan si ça tourne mal. Je me dirige vers la salle des prisonniers.

- Salut !

- Ah tu n'es pas le bienvenu Wilson! Et si je te démonter la gueule !

Je lui fou une gifle avant qu'il ne pus me toucher. Le garçon tomba par terre.

- Et si je vous faisais sortir.

Ils étaient partants, heureusement. Je les ai cachait dans ma chambre qui était assez grande. Mon frère et soeur rentraient. Mince ça ne faisait pas parti du plan. Je leur dit de venir et je les enferme dans le cagibi à clé, je brûle la clef et jette les cendres dans les toilettes, tire la chasse d'eau comme ça plus de preuves. Les prisonniers me suivent jusqu'au point de rendez vous. Il suffit que je fais la distraction au policiers pour qu'ils puisse passer.

- Bonjour monsieur les gendarmes

- Bonjour jeune Wilson!

- Aïe je ne me sens pas très bien. J'ai mal ici.

- Ou ça?

La je leur montre mon ventre. J'avais mis du maquillage pour que ça ai l'air plus réaliste. Ils commencèrent a paniquer. Ils étaient passés. Ouf...

- C'est bon je vais mieux.

Je parti avec eux en leur disant de me suivre.

- Vite ce n'est pas très loin.

La je m'arrête au lieu de rendez-vous. Ils étaient déjà là.

- Mark tu es où?

- Je suis là!

Les prisonniers me regardait bizarre. Car oui il fallait que je l'avoue, je ne lui ai pas dit la vérité. Enfin je ne lui ai dit que des mensonges. Elle était plutôt jolie en plus. Rousse avec de beaux yeux et puis elle semblait aussi gentille que dure.

- Merci à Mark de nous avoir présenté ce plan. Il est génial l'idée de la révolte m'enchante.

- De rien, mais il n'y a pas que moi à remercier. Vous êtes tous important vous aussi.

- Oui mais sans toi on aurait jamais réussi, Liam.

Elle m'avais appelé Liam. Je n'arrive pas à y croire. Elle m'en veux c'est sure.

- Tu m'en veux? Comment t'as fais pour le découvrir?

- En fait je l'ai découvert il y a cinq mois quand tu as proposer l'idée. Je me suis dit que c'était impossible pour un troisième enfants d'aller chercher les prisonniers à part si il vient de l'intérieur. Je suis sorti et je t'ai espionner. J'ai regarder tes faits et gestes et j'ai vu cette brute Martin... Il me semblait qui te frappait régulièrement vu les bleus que tu avais. Puis j'ai remarquer la situation avec ton père et j'ai aussi entendu que tu as essayer de l'en convaincre. J'ai regarder sur ton PC si il y avait le site et oui il y était. Et maintenant je te fais confiance, tu en a quand même ramener 1000 prisonniers. J'espère que tu as tout prévu.

- Oui du moin j'espère qu'il cédera. Mon père est dure en affaire.

Elle s'approcha de moi.

- Tu n'as pas l'air si pourri gâté que ça.

- Non c'est plus mon frère et ma sœur. Moi c'est différent, j'ai toujours eu cette idée mais tous seul c'est compliqué.

- Pourtant un père est censé rendre heureux ses enfants.

Je fis une tête bizarre, il y a eu un blanc.

- Pas mon père.

Je baisse les yeux, elle aussi.

- Je suis sincèrement désolée je n'aurai pas dû te dire ça.

- Non ce n'est pas grave. C'est bon c'est ici.

Nous entrons, mon frère et ma soeur n'étaient pas là, mon père non plus. Il n'y avait que les flics.

- Passons au choses sérieuses.

- Allons-y..

Ils commencent par nous tirer dessus. Heureusement personne n'est touchés. Je prie un bouton rouge qui active le mode gaz. Nous avons tous un masque a gaz. Il étaient sonnés pendant quelques heures.

- Ce ne sont pas de simples flics qui empêcheront ça ! Dis-je.

Nous les laissons devant la porte et nous mettons en place.