Cornelius Fudge, ancien diplômé Huffelpuff de l'école de sorcellerie et de sorcellerie de Poudlard, s'est assis terrifié. Les menottes s'enroulaient étroitement autour de lui. Le lier à la chaise, comme ils l'ont fait pour tous les criminels. Pas que Fudge serait allé n'importe où; sa forme entière tremblait et ses cheveux blonds immaculés normaux étaient en désordre. S'il s'était levé sans aide, il se serait effondré au sol. Ses yeux regardaient sauvagement autour de lui; on pouvait presque voir son esprit essayer de comprendre comment sortir de cette situation. Malheureusement pour lui, il n'y avait aucun moyen de s'en sortir. Le monde voulait du sang pour les actions contre leur nouveau garçon doré.

Les regards qu'il recevait de tout le monde, y compris du Wizengamot, le faisaient devenir d'une couleur blanche pâteuse. Il avait espéré une seconde, avoir au moins Dumbledore de son côté. Ils avaient travaillé ensemble, pendant ses mandats de ministre de la magie. Albus avait conclu une camaraderie, qui ne s'était pas arrêtée même lorsqu'ils avaient annoncé le retour de Voldemort. C'était seulement parce qu'Albus avait juré qu'il n'était pas après son travail. Le vieil homme le connaissait bien après tout. Le voici maintenant, le fixant, avec ces yeux bleus déçus. Les yeux qu'il détestait même quand il était jeune, la façon dont ils scintillaient n'avait jamais été naturelle. Ils scintillaient joyeusement comme s'ils vous mesuraient pour votre cercueil. Ils lui avaient donné la chair de poule; ils n'étaient pas moins intenses maintenant.

"Interrogateur: Amelia Susan Bones, chef du département de l'application de la loi magique. Scribe de la cour Percy Ignatius Weasley et Brian Sanchez en tant qu'avocat de la défense." a déclaré Madame Bones, il leur manquait pas mal de personnes, et comme Fudge et Ombrage étaient destinés à la prison, elle était la seule interrogatrice. Il faudrait trouver un nouveau ministre et secrétaire. Maintenant qu'ils étaient en guerre, ça n'avait pas l'air bien. En fait, le monde était devenu un endroit dangereux; Fudge les avait vissés royalement partout. Pas seulement Nicolas Potter, le monde n'avait pas de leader sans lui - il s'effondrerait. Amelia le regardait sans émotion, faisant son travail malgré le sentiment qu'elle avait pour l'ex-ministre de la Magie.

"Alors les charges!" Dit Madame Bones, plaçant son monocle sur son œil et déroulant un morceau de parchemin. Avant d'énoncer d'une voix non critique les changements auxquels Fudge était invité.

"Élèves mineurs en danger, en autorisant l'utilisation d'un objet interdit"

"Soupirant pour permettre à Dolores Ombrage de torturer des étudiants, au moyen d'une plume de sang"

"Pour avoir remis un Plume de sang illégal, à un membre de la communauté" à vrai dire, ils auraient dû être détruits. Quelque chose qu'elle allait devoir examiner, avec un peu de chance, elle n'allait pas trouver une cachette d'articles illégaux dans le bureau de Fudge. Merde, elle a réalisé qu'elle aurait dû faire fouiller son bureau et sa maison. Pour tout ce qu'ils savaient, il devrait être élevé sur d'autres accusations.

"Pour être la cause, Nicolas Potter est vidé comme par magie et dans le coma,"

Une fois les changements annoncés, elle se dirigea vers Kingsley Shacklebolt et Mad eye Moody. Elle chuchota si bas que personne d'autre ne pouvait l'entendre, même dans la pièce mortellement calme. "J'ai besoin que vous fouilliez son bureau et sa maison, Jasmine vous donnera ce dont vous avez besoin." dit-elle en reculant. Lorsqu'ils lui ont fait signe de la tête, elle a hoché la tête en retour avant de reprendre son rôle d'interrogatrice unique.

"Vous êtes Cornelius Fudge, n'est-ce pas?" a demandé Madame Bones, l'adresse du ministre n'a jamais été connue. C'était beaucoup trop dangereux de le permettre, seuls les chefs et les secrétaires des départements étaient au courant de cette information. Toutes les informations publiques ont été supprimées, y compris même leurs lettres d'acceptation de Poudlard. Même s'ils n'y habitaient plus.

"Oui, je le suis," dit Fudge en léchant nerveusement ses lèvres sèches, son esprit s'emballait. Tout le monde craignait Azkaban pour une raison, ceux qui ne le faisaient pas - disons simplement qu'ils devaient déjà être fous. Fudge n'était absolument pas fou, mais il était incroyablement terrifié par ce qui allait arriver.

"Comment plaidez-vous pour les accusations?" a demandé Mme Bones, qui ne jouait manifestement pas. Normalement, elle posait quelques questions supplémentaires, et si elles les refusaient ou non. Brian Sanchez est resté très silencieux, comme s'il essayait de se mouler sur la chaise. Il n'allait évidemment rien faire pour défendre Fudge, comme il l'avait fait avec Ombrage. Bones s'est rendu compte qu'elle devrait lui parler de professionnalisme. Coupables ou non, ils avaient droit à une défense qu'il ne leur a pas donnée.

"Ce sont des circonstances atténuantes", a déclaré Fudge sans répondre, "j'avais le choix de faire qui nous concerne tous."

"Qu'est-ce que ce serait?" demanda sèchement Mme Bones.

"Nick Potter avait besoin d'une formation," dit Fudge d'un ton apaisant, comme s'il parlait à un enfant en bas âge. Son front transpirait toujours rigoureusement, et il ne pouvait rien y faire alors qu'il coulait sur son visage.

«Et tu pensais que tu serais le seul à faire en sorte que ça arrive? demanda Madame Bones.

"Objection, tu tord les mots de mon client", dit Brian en se levant, pour la première fois.

"Avez-vous ou n'avez-vous pas donné la permission à Dolores Ombrage d'utiliser une plume de sang?" demanda Madame Bones en hochant la tête vers Brian, avant de faire face à Fudge une fois de plus.

"J'ai signé quelque chose", a déclaré Fudge avec hésitation et hésitation. Il essayait évidemment de gagner du temps.

"Ne me dis pas que tu as signé quelque chose sans le regarder?" a déclaré sèchement Mme Bones, "Pièce A, le contrat signé par Cornelius Fudge, autorisant Dolores Ombrage à utiliser une plume de sang."

Percy Weasley, l'a remis à la hâte au premier membre de Wizengamot, il a été distribué à tous.

"L'avez-vous lu ou pas lu?" demanda madame Bones avec exaspération.

Fudge s'effondra sur son siège, il savait qu'il n'en sortirait pas, "Oui." il admit.

"Alors tu as consenti à la pose d'une plume de sang?" demanda Madame Bones.

"L'objet que mon client vous a déjà donné une réponse", a déclaré Brian se levant une fois de plus.

"Si M. Potter meurt, vous-même et Ombrage serez ramenés pour meurtre." a déclaré Madame Bones, "Maintenant que nous avons des aveux, je suggère que nous terminions cette réunion." contrairement au monde moldu, ils n'ont pas mis des jours à délibérer. Le Wizengamot avait une décision à prendre, en moins d'une heure. Encore moins s'ils utilisaient Veritaserum, qui n'était utilisé que dans les pires cas. La torture, la mort et le meurtre sont les trois pires scénarios pour lesquels la potion de vérité a été utilisée.

Amelia Bones regarda autour d'elle, regardant dans les yeux de chaque membre de Wizengamot. Elle pouvait presque voir la phrase la regarder en face. Sa voix haute et exigeante, elle a demandé "Tous ceux qui sont en faveur de la libération de l'accusé lèvent la main!" elle n'en a jamais retiré les yeux. Attendre avec un souffle retenu, pour qu'une peine soit prononcée.

Personne n'a levé la main; le silence était écrasant pour dire le moins. La plupart des membres de Wizengamot étaient coincés entre un rocher et un endroit dur. Ils savaient qu'ils donnaient potentiellement à Tu-Sais-Qui l'ouverture potentielle qu'il attendait probablement. Un mauvais mouvement de leur part pourrait le voir prendre le contrôle du Ministère, sans que le public ou eux ne s'en rendent compte. Jusqu'à bien sûr, comme toujours, il était trop tard pour qu'ils s'arrêtent. Malheureusement, s'ils laissaient Fudge partir, ce serait faux. Leurs mains tremblantes, ils les gardèrent baissés l'esprit tourbillonnant avec les ramifications de leurs actions.

"Ceux qui sont en faveur de la condamnation des accusés lèvent la main", a déclaré Mme Bones de sa voix comme toujours, en s'adressant au Wizengamot à haute voix. Elle pouvait donc être entendue même à l'arrière.

Plus de la moitié des membres de Wizengamot ont levé la main; certains ont estimé que la responsabilité était trop lourde. Ils s'abstiennent de voter, mais cela n'a pas d'importance. Les résultats étaient évidents; Cornelius Fudge se rendait à la prison d'Azkaban.

Fudge lui-même était assis affalé sur le siège, ou plutôt aussi affaissé que les restrictions le lui permettaient. Son front ne transpirait plus, son visage était hanté et résigné. Souhaitant de toutes ses forces, il n'avait jamais écouté Ombrage. Maintenant, sa vie était finie et il allait être à Azkaban le soir. Il avait empêché sa femme de venir; il ne voulait pas attirer l'attention sur elle ou ses enfants. Ils étaient innocents là-dedans, et il ne voulait pas qu'ils le voient emmené. Comme il le regrettait, il voulait que la dernière chose qu'il ait vue avant Azkaban soit son visage. Elle lui manquerait terriblement. Au moins, ils étaient à l'abri de la guerre; son manoir était extrêmement bien protégé. Il lui avait fait promettre de ne pas partir une fois que la guerre aurait vraiment commencé. Il était peut-être gourmand et stupide, mais sa famille représentait le monde pour lui.

«Je suis surpris qu'ils ne soient pas là», dit Harry, baissant son livre, il n'avait pas prêté beaucoup d'attention à l'action qui se déroulait autour de lui. Il remarqua à travers que ni les étudiants ni Severus n'avaient été appelés. Cela avait été une perte de temps, bien que les étudiants se réjouissent du temps libre et de voir la vengeance infligée à ceux qui leur avaient permis de se blesser.

«Je doute qu'ils aient quitté l'infirmerie», dit sèchement Severus, conscient de qui Harry faisait référence. Lily et James, il n'a jamais dit leurs noms s'il n'avait pas à le faire.

Harry enroula juste sa lèvre avant de disparaître à nouveau derrière son livre.

Le Wizengamot a délibéré pendant un bon moment sur la peine de Fudge. Des discussions étaient en cours, même par ceux qui s'étaient abstenus de voter. Ils pensaient qu'il méritait une punition plus sévère en raison du fait qu'il était tenu en si haute estime. S'il n'était pas puni, le peuple pourrait se révolter ou protester. Les manifestations de sorciers étaient des choses laides, et quelque chose que le Ministère essayait toujours d'éviter. Après vingt minutes de délibérations, ils sont finalement parvenus à un consensus. Albus Dumbledore, qui dirigeait habituellement les réunions, se tenait en retrait laissant les autres décider. Maintenant, vous imaginez que cela les ferait se sentir perdus, sans leur chef. Ce n'était pas du tout le cas; ils continuaient à le faire, allant jusqu'au bout. Compte tenu de tous les angles qu'ils pourraient éventuellement trouver.

Une fois leur décision prise, ils ont retiré le sort de silence avant de s'asseoir en avant. Leurs visages ne montrant rien, aucun jubilation, le bonheur rien que la résolution.

"Une décision a-t-elle été prise?" a demandé Mme Bones, parlant strictement, à l'orateur, le chef du Wizengamot.

"Un consensus a été atteint", a déclaré Albus, son scintillement normal absent alors qu'il regardait tout le monde par-dessus ses lunettes en demi-lune. "Nous pensons avec qui et quel Corneille il doit être un exemple. Nous ne tolérerons pas la trahison, l'abandon ou les activités illégales de notre ministre. Nous sommes arrivés à la conclusion que sa peine devrait être doublée. L'accusé sera condamné à vingt-huit ans dans la prison d'Azkaban. "

Fudge pâlit encore plus si possible, incapable de croire qu'ils avaient doublé la peine! Ce n'était même pas lui qui avait fait quoi que ce soit. Avalant profondément, vingt-huit ans, il ne survivrait jamais. Il mourrait probablement à Azkaban; il ne reverrait plus jamais sa femme.

"Puis-je demander une chose?" demanda Fudge, sa voix étranglée et croassée.

"Qu'est-ce que c'est?" demanda Madame Bones en regardant Fudge avec incrédulité.

"Puis-je voir ma femme pendant cinq minutes avant d'être emmené à Azkaban?" demanda Fudge, sa voix tremblante juste à la mention d'Azkaban.

"Très bien, emmenez-le dans les cellules, je vais la contacter pour vous", a déclaré Madame Bones.

"Merci," souffla Fudge avec soulagement. Pour un homme qui vient d'être condamné à Azkaban, il était remarquablement calme. Madame Bones ferait en sorte qu'il soit surveillé vingt-quatre heures sept. Personne n'était aussi calme après avoir été condamné à vingt-huit ans à Azkaban.

Fudge fut rapidement escorté par deux Unspeakables, et les étudiants étaient portoloins en toute sécurité à Poudlard par Dumbledore. La pièce se vida rapidement, et Harry ne put pas sortir de leur assez vite. Il voulait juste brasser, s'entraîner et faire ce dont il avait besoin pour affronter Voldemort. C'était dur mais il réalisa qu'il devait arrêter de penser et de dire Voldemort. Il devait l'appeler autrement; il ne voulait pas que les mangemorts entrent au Prince Manor. C'était sa maison, son paradis sûr, un endroit où il se sentait plus à l'aise que partout ailleurs où il ne l'avait jamais été.

Albus Dumbledore atterrit gracieusement, alors que ses élèves luttent pour rester debout. Ils n'avaient même pas pu dire au revoir à leurs parents correctement. "Je suis profondément désolé de ne pas avoir vu ce qui se passait dans cette école. Je suis encore plus désolé d'avoir échoué chacun de vous." il leur a dit de les regarder dans les yeux, ce qui signifie les excuses du fond de son cœur. «Je suis encore plus désolé que tu ne m'as pas fait suffisamment confiance pour venir à moi dans ton heure de besoin.

Les étudiants regardaient le sol, contritivement, se sentant plutôt désolés pour eux-mêmes malgré le fait qu'ils étaient les seuls blessés. Certains d'entre eux ont réalisé que Dumbledore essayait de déplacer le blâme pour qu'il ne se sente pas mal. D'autres étaient assez stupides pour ne pas se rendre compte de ce qui se passait, continuaient simplement de fixer le sol.

«En ce qui nous concerne, le directeur de Serpentard, nous avons appris que vous prenez le parti des professeurs et des étudiants, en particulier les Gryffondors au-dessus de nous. Pourquoi viendrions-nous vers vous? demanda Zabini. Il n'allait pas se sentir comme si c'était de sa faute.

"Alors je t'ai échoué plus que je ne peux comprendre," dit Albus morose, peut-être que Severus avait raison depuis le début. Peut-être qu'il était vraiment un vieux fou de préjugés. "Allez-y, retournez dans vos salles communes, le déjeuner sera bientôt servi."

"Oui monsieur," répliqua les étudiants avec obéissance, se rendant dans leurs salles communes. La marche si familière, ils pouvaient le faire les yeux fermés et les yeux bandés.

Albus les regarda devenir extrêmement pensif, était-ce ce que chaque étudiant pensait? Qu'il ne s'en soucierait pas s'ils n'étaient pas un enseignant ou un Gryffondor? À quelle distance étaient-ils hors de sa portée? Comment pourrait-il y remédier? Merde, il aurait dû réaliser que cela se produisait. Malheureusement, il s'était trop attaché à s'assurer que Nicolas le regardait pour s'en rendre compte. Un plan a réussi et il a perdu la confiance de ses élèves. Un soupir fatigué quitta ses lèvres, le prix de la guerre pesant lourdement sur ses épaules et sa conscience. Il se dirigea vers l'infirmerie, l'esprit lourd.

"Combien d'années?" demanda James Potter lorsque le deuxième Albus entra dans l'infirmerie. Il ne semblait y avoir aucun signe d'amélioration dans l'apparence de Nick Potter ou ses moniteurs.

"Dolores a reçu quatorze ans, Cornelius vingt-huit ans," dit calmement Dumbledore.

"Bien." grogna méchamment James; s'il y avait assisté, il aurait été jugé pour meurtre. Il les aurait tués tous les deux, il avait presque envie de quitter en tant qu'Auror. Pour prendre position contre le ministère pour ce qu'ils avaient fait. Malheureusement, il ne pouvait pas, il utilisait ses jours de maladie juste pour rester aux côtés de son fils.

"Comment est-il?" demanda Albus en s'asseyant, Lily dormait mal à l'aise sur une chaise, sa tête reposant à côté de la tête de son fils. Il pouvait sentir la magie autour d'elle, sans aucun doute un sort de silence.

"Même." dit James en avalant une boule qui se forma rapidement dans sa gorge.

Albus fixa Nick, son cœur s'enfonçant un peu plus, mais il se réconforta de ne pas empirer. James avait déjà été poussé à bout; Skeeters était entré dans l'infirmerie. Exiger des réponses et le pousser, au point de rupture. James l'avait poussée si fort; elle avait été assommée à l'automne. Albus l'avait emmenée à Saint-Mangouste et heureusement, elle ne se souvenait de rien.

"S'il te plait fils," s'étouffa James, "S'il te plait, réveille-toi, je suis tellement désolé, tellement désolé d'avoir besoin de toi s'il te plait ... supplia James Potter à son fils. Le seul qu'il lui restait vraiment. Harry ne voudrait rien avoir à faire avec lui, et pour une fois James ne lui en voulait pas. Il ne lui a même pas reproché de devoir travailler, car il avait volé l'argent. Il avait passé beaucoup de temps à réfléchir à tout ce qui analysait tous ses souvenirs. Il a réalisé qu'il avait négligé son fils toute sa vie.

"Excusez-moi," dit Albus en quittant l'hôpital pour donner au père manifestement en deuil l'intimité qu'il méritait.

Il ne fallut pas longtemps avant que James ne soit à nouveau interrompu, une heure plus tard. Sirius et Remus entrèrent dans l'hôpital, l'air tiré et hagard. Le cœur de James bondit en les voyant. Ses amis lui manquaient beaucoup; il savait malheureusement qu'ils n'étaient pas là pour lui. "Remus, Sirius... qu'est-ce que tu fais ici?" demanda-t-il faiblement.

Sirius regarda son ami, il était en désordre, ses yeux étaient injectés de sang et il avait l'air de ne pas avoir dormi depuis des jours. "Voulez-vous que nous partions?" demanda Sirius incapable de s'aider. Il était toujours très en colère contre James, pour ce qu'il avait fait à Harry. Il en était de même pour Remus, mais cela ne voulait pas dire qu'ils arrêtaient de s'en soucier.

"Non," étouffa James, son cœur se tordant désagréablement, il préférait un couteau dans le ventre plutôt que de subir cette torture.

"Comment est-il?" céda Sirius.

"Aucune amélioration, mais Poppy est optimiste, aucune nouvelle n'est bonne, dit-elle. Elle n'a manifestement jamais été dans cette position auparavant." dit James amèrement, il l'aimait vraiment vraiment normalement, mais son fils souffrait et il devait gémir à propos de quelque chose.

"Pourquoi ne dors-tu pas? Sirius et moi pouvons garder un œil sur Nick pendant un moment." suggéra doucement Remus.

James secoua simplement la tête, mais il allait bientôt s'écraser et brûler.

"Les nouvelles sont sur Ombrage et Fudge." »dit Sirius maladroitement, alors qu'ils s'asseyaient tous près de Nick. S'assurant de ne pas déranger Lily, qui dormait toujours.

"Elle n'a pas pris assez de temps", grogna méchamment James.

"Je sais," dit Remus avec colère.

"Je ne comprends tout simplement pas pourquoi son noyau magique s'est divisé," dit Sirius agité.

James fixa le sol avant d'admettre d'une voix étranglée «Nous l'avons entraîné pendant l'été... Ombrage l'était, puis Lily et moi l'entraînions à nouveau pendant l'année. Nous étions trop inquiets, nous n'avions même pas remarqué ce que nous faisions à notre fils. "

Remus et Sirius inspirèrent profondément à l'admission. "Tu es fou? Personne ne t'a dit ce qui pouvait arriver?" bouche bée Sirius.

«Tu ne t'es pas demandé pourquoi je ne te laissais pas l'entraîner tous les jours cet été mais seulement deux jours sur sept? demanda Remus, ses yeux ambre écarquillés d'horreur et d'étonnement. James et Lily l'avaient formé même après avoir entraîné Nick pendant l'été deux fois par semaine?

"Non," dit James en secouant la tête, "Comment saviez-vous cela même si je ne le savais pas? sa voix en colère et reproché.

"Ma mère le prêchait tout le temps, quand mes oncles et mon père essayaient de nous enseigner de nouveaux sorts pendant l'été." »dit Sirius à contrecœur. Il détestait mentionner son père; les choses avaient été tendues quand il avait été réparti à Serpentard. Quoi qu'il en soit, il avait été noir et avait reçu la même formation que Regulus. C'était jusqu'à ce qu'il parte et n'a jamais regardé en arrière une fois. Ses parents étaient morts maintenant, la plupart des Noirs l'étaient.

"J'ai lu à ce sujet," haussa les épaules, Remus, c'est pourquoi il était toujours assommé pendant ses années d'école. Lorsqu'il est devenu le loup, il utilisait essentiellement la magie de son cœur pour rester en vie. C'est pourquoi il a vieilli beaucoup plus que les autres de son âge.

Les choses étaient tendues pour tout le monde, tous espérant et priant que Nicolas Potter s'en sorte. On avait entendu parler du discours d'Ombrage; ils le mangeaient pour le petit déjeuner le lendemain. Ils croyaient qu'Ombrage, que Nicolas Potter était responsable de tous. Après tout, si un fonctionnaire du Ministère le croyait suffisamment pour enfreindre la loi... cela devait être vrai, n'est-ce pas? Malheureusement, ils ont cru tout ce qui leur avait été dit. Ils semblaient incapables de penser par eux-mêmes. Cela avait probablement quelque chose à voir avec Dumbledore. Dumbledore soutenait pleinement le Ministère, donc pour les moutons là-bas - le Ministère ne pouvait rien faire de mal. Si le Ministère déclarait Lucius innocent, il le croirait. Même s'ils le voyaient en costume de Mangemort, tenant un Moldu mort dans chaque main. Ce n'était pas la seule chose dans les journaux le lendemain du procès.

Cornelius Fudge, ancien ministre de la magie retrouvé mort en cellule

Ils avaient trouvé Cornelius Fudge mort dans sa cellule, cela ressemblait à un suicide. Il avait réussi à dissimuler une pilule empoisonnée sur sa personne. Après une autopsie, ils ont réalisé que c'était dans sa dent. Les nés de Moldus ont réalisé qu'il l'avait copié de l'ancien temps, les espions ont utilisé la même chose. Juste au cas où ils seraient pris, ils préfèrent mourir que de trahir leur pays même sous la torture. C'était tout nouveau pour les Pureblood's.

Le journal après cela était principalement consacré à Nick Potter et à tout progrès qu'il avait fait. Quel fond de nerfs d'Harry, à tel point qu'il avait arrêté de lire le journal.

"Harry, que penses-tu d'une soirée chérie?" demanda Eileen, autant qu'elle aimerait le surprendre, elle n'était pas sûre qu'il l'apprécierait.

"Je ne connais pas assez de gens pour faire la fête," dit Harry surpris, mais son cœur se réchauffa à cette pensée. Il l'aimait en morceaux et pour elle seule, il comptait qu'il allait mettre fin à cette guerre. Ainsi, elle pouvait connaître la paix dans son âge avancé qu'elle n'avait pas en tant qu'enfant ou jeune adulte.

"Bien sûr que tu le fais, ça n'a pas besoin d'être quelque chose de grand, juste ton chéri le plus proche et le plus cher." dit Eileen, essayant de le convaincre.

"Bien, OK." »dit Harry en lui souriant, ses yeux verts scintillant aveuglément.

"Bien." dit Eileen presque en train de danser - elle avait retrouvé son chemin.

"Ce qui est bon?" demanda Severus en entrant, "Tu as bien réussi tes quiz, une seule erreur." dit-il en passant sur les papiers, hochant la tête, ses yeux d'onyx brillant de fierté.

"Génial," sourit Harry en les acceptant, il s'améliorait à se souvenir de choses. Peut-être qu'il y avait eu un point à ces quiz à toutes ces reprises. Si vous entraînez suffisamment votre esprit, il a finalement fait ce que vous vouliez. Remarquez les choses que vous ne feriez pas normalement, la formation était une chose précieuse.

"En effet," sourit narquoisement Severus assis dans son propre repas.

"Je proposais juste une fête à Harry, son anniversaire approche à grands pas." »dit Eileen, j'espère que Severus n'avait pas oublié.

"Je sais," dit Severus, il se demandait quoi acheter et retirer depuis un moment. Un mois avant, il le coupait de près. Maintenant, il devait s'assurer qu'il ne l'achèterait pas de la même manière que les autres l'auraient. Peut-être devrait-il suggérer à sa mère de faire une liste. Donc, personne n'a fini par lui obtenir la même chose. Cela la garderait heureuse, sa mère était toujours la plus heureuse lorsqu'elle était en mouvement.

"Excusez-moi," dit Harry, il le faisait toujours quand il obtenait son quiz, il plaçait tout soigneusement dans sa chambre. Il était très organisé et bien rangé; c'était une bonne chose que la maîtrise des potions entre en jeu. Un laboratoire en désordre cause de la contamination, des accidents et toutes sortes de méchancetés. Il fit honte à Severus quand il s'agissait de propreté, à moins bien sûr qu'ils n'entrent dans quelque chose. Vous seriez en mesure de le dire tout de suite. Ils ont laissé une traînée de dégâts partout où ils étaient, jusqu'à ce qu'ils aient accompli leur mission. Après avoir dormi pendant des heures, ils se sont redressés et sont revenus à la normale.

Eileen a toujours su quand ils étaient sur quelque chose de grand. C'était à son tour d'être sur quelque chose de grand, elle connaissait les amis de Harry, et il en parlait souvent. Severus devrait cependant inviter certains des apprentis et maîtres des potions. Peut-être que Harry sortirait plus loin de sa coquille et se mélangerait correctement avec les gens sur sa propre longueur d'onde.