Chapitre 3

- Bonjour.

Personne ne me répond. Ou c'est signe de respect ou alors il ne comprenne pas qui je suis.

Le vieux commence à parler:

- Nous sommes tous réunis ici pour mettre fin au deuil et pour commencer un nouveau chapitre de l'histoire de notre trafic. Il marque une pose de quelque seconde et reprend, Cette jeune femme présente à mes côté est la fille du chef, il voulait que se soit elle qui reprenne la direction du trafics, alors elle le reprendra tel le veux nos règle.

- On devrait lui faire passer les tests. Qui nous dis qu'elle n'a pas encore été pervertie ?

- Tais toi ! Crois tu réellement que Sergeï aurait laisser sa fille être pervertie par le gouvernement !?

- S'il te plait tait toi. Je m'étonnais moi même du ton que j'avais employer, doux et calme. Cet homme ne pensais qu'à respecter les traditions. Je repris d'une voix forte. En effet je passerais les tests, jamais je ne transgresserais les traditions, je ne transgresserais jamais, non plus, la volonté de mon père. Et sachez, que le premier qui s'opposera à son choix mourra de mes mains. J'avait dis ma dernière phrase d'un ton glacial et fort.

Le silence me répondit et l'homme qui avait suggérer que je soit tester hausse fièrement la tête.

- Toi ! Ne t'oppose jamais plus au décisions de tes supérieurs ! Ou se sera la dernière fois que tu parlera ! Ma voix pourtant forte gelée et pleine de colère le fit rire.

- Crois-tu réellement que le trafic va t'accepter sans rien dire ? Juste parce que tu est la fille du chef !? Si sa se trouve tu ne sait même pas te battre !

- Vraiment ? Mon regard devient noir et persan, tu crois vraiment que je ne sais pas me battre ? Je fais une courte pause et reprend, Suis moi. Je sors de la pièce et me dirige d'un pas presser dans la salle au tapis. Là où on pratique la métrise de ses émotions. Je n'ai aucune envie de me battre sur un ring alors autant faire un véritable combat comme on en mène dans les rues.

Une fois arrivée en sont intérieur, en me retournant, je remarque que tout le monde m'a suivit et que seul celui qui m'a défier est entré dans la pièce, les autres sont tous rester derrière les baie vitrées.

Par non envie de tuer aujourd'hui je lui demande:

- Tu est toujours aussi sûr de toi ? Il me lance en riant,

- Jamais je n'aurais cru me battre contre une gamine ! Cette phrase eu raison de moi et me fit bouillir de l'intérieur.

Je me mit face à lui, une lueur de haine dansais dans mes yeux et dans les siens de l'amusement. Alors qu'il lançais le premier coup je l'esquivais et lui lance mon poing derrière le crâne. Il se retourne en furie vers moi, et se campant solidement sur ses deux pieds il envoya un deuxième coup puis un troisième, je les esquivais tous avec facilité. J'ai l'impression de me battre contre un débutant. Pour l'agacer un peu plus je lui dis:

- Même à 10ans je me battait mieux que toi !

Sa furie augmentant il m'envoie son genoux dans les côtes. Sa va enfin être drôle. Je fais mine de tomber et passe sous sa jambe lorsqu'il la soulève, lance mon pied dans son genoux qui le maintient debout et frappe son dos avec mon coude. Il s'étale par terre en grognant, mais se relève aussi tôt et m'envoie à la suite plusieurs coup de poing et coup de pied bien placer. Mais j'esquive toujours, ce qui à le don de l'énerver encore plus. J'esquive un coup en me mettant dos à lui tout en effectuant un salto arrière qui me fais atterrie sur ses épaule. Je resserre mes jambes autour de son coup, il commence à paniquer et à du mal à respirer. Il se secoue dans tout les sens et tente de me faire tomber mais ses mouvement sont de plus en plus désordonner et paniquer. Et juste avant qu'il tombe à la renverse par manque de force je saute de ses épaule sur le sol, me campe sur mes deux pieds, sort un pistolet de poche de mes chaussures, le vise avec et lance:

- Pour m'avoir défier, pour avoir tenter de m'humilier, pour m'avoir manquer de respect et voulut attenter à ma vie je te condamne à mort. Et je tire. Ce n'est pas la première personne que je tue mais comme toujours j'espère que dieu le pardonne.

La première fois que j'ai tuer mon père avait emmener un homme, une femme et un enfant dans la cave de la villa. Il m'a dis de tous les tuer je ne voyais pas leurs visages et j'ai tirer. J'ai passer ensuite deux semaines dans ma chambre à réfléchir à ce que j'avais fait, et j'ai fait des cauchemars 1an. Puis mon père est à nouveau venu et m'a présenter un autre homme, une autre femme et un autre enfant. Il m'a encore demander de les tuer mais cette fois-ci je voyais leur visages, je voyais la peur dans leur yeux. Ils étaient tous assis sur une chaises différentes. Je voyais la peur dans leur yeux, je voyais la supplication des parents, j'ai vu les larmes couler des petits yeux de l'enfant, j'ai vu et entendu les hurlement de la mère lorsque j'ai tirer la balle dans le crâne de son fils alors que son père tentait, en vains, de retenir ses larmes. J'ai vu cet homme dire pour la dernière fois à sa femme qu'il l'aime et qu'il est désolé, alors qu'on commençais à défaire ses liens pour attacher ses mains au plafond, à couper lentement sa chaire devant son maris, alors qu'il nous hurlais de la laisser tranquille, qu'on pourrais lui faire 10fois plus si on laissait sa femme saine. Je l'ai vu me supplier pour sa femme lorsque j'ai tirer une balle dans son crâne. Et j'ai vu le remerciement dans les yeux de la femme lorsque j'ai abréger ses souffrances.

J'avais tuer l'enfant en premier puis l'homme et enfin la femme, parce que pour faire souffrir il faut tuer les enfants pour faire souffrir les parents et tuer l'homme ensuite pour qu'il s'en aille en s'inquiétant pour sa femme et enfin la femme pour abréger ses souffrances. Depuis ce jours je prie tout les jours en espérant que dieu me pardonne. Je suis devenue très pieuse et j'essaie temps que je peux d'aller à l'église. Chaque année mon père m'amenait quelqu'un, ou pour les tuer ou pour le torturer. C'est comme sa que j'ai appris. Et ma souffrance de savoir des innocents, comme cette femme et son fils, mourir pour les fautes de leurs père ne fais que commencer étant donné le métier que je m'apprête à exercer.

- Nettoyez moi tout sa. Je sortis alors de la pièce, me dirigeant vers le vieux et celui qui l'accompagnait. En salle de réunion, vous et les hommes les plus important.

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