√43. Qui a dit qu'on ne pouvait pas voyager dans le temps ?
Zayn : INTISSAR NE FAIT PAS ÇA ! TIRE PAS !
Trop tard
Boum
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Salam aleykoum
√43. Qui a dit qu'on ne pouvait pas voyager dans le temps
Omniscient
Imaginez vous qu'après ce coup de feu, tous ceux qui se trouvent à cet endroit à ce moment sont tous figés. Durant environ 5 secondes personne ne bouge.
Kamel relève la tête vers son ex avec laquelle il se battait, en l'a regardant dans les yeux. Il est complètement immobile. Il se demandait si sa fille lui avait vraiment tiré dessus. Petit à petit, sentant du sang couler dans son dos, il se rend compte que oui effectivement. Et il ne lui faut pas trois heures pour que ses mains lâche et qu'il s'écroule en tombant sur le côté.
Intissar lâche brutalement l'arme du crime du crime. Machinalement, par réflexe elle veut s'approcher de sa victime, mais un soudain attroupement de secouriste autour de lui l'en empêche. Finalement elle est embarquée dans la voiture de l'ambassade direction l'hôtel.
Inti
Moi : Jsuis une criminelle. Je vais aller en zonz je vais finir ma vie en prison...je suis une criminelle....j'ai tiré sur un homme je suis une criminelle. Je suis musulmane et j'ai commis un crime.
Ma mère qui avait un gros bleu à la joue essayait tant bien que mal de me consoler. Mais ce que j'ai fais est impardonnable. J'ai tiré sur un homme, sur un père, un mari, une âme. Et s'il était mort ?
Ilyès : Tu n'iras pas en prison
Moi : Qu'est ce que tu en sais toi d'abord ?
Ilyès : Eh bien je suis policier. Je peux te dire que tout a été filmé et t'as voulu protéger ta mère c'est de la légitime défense.
Kayna : Et puis même si t'es condamnée à quoi que ça soit t'as un beau frère policier alors ...
Ilyès : Est ce que tu serais en train d'insinuer que je suis corrompu ?
Kayna : Euh... Exactement
Ils arrivent à me faire sourire et nous arrivons quelques minutes plus tard à l'hôtel
***
Quelques heures après nous avons prit un vol privé pour Miami, il y avait quelques journaliste à l'aéroport qui nous on suivi jusque chez nous, mais effectivement avoir un beau frère qui travaille dans la police ça aide beaucoup.
Mon retour dans la maison a été très compliqué, je n'arrivais pas à avancer chez moi. Et vous savez ce qui m'a fait pleurer ? Mon chat.
Souvenez vous, Kayna et moi avions adopté deux chats. Monsieur et Madame Squeezy surnommé aussi Morocco et Algeria.
Mon chat est devenu tellement dodu, mais je l'ai reconnu, et lui aussi, il passait par là et quand son regard s'est arrêté sur moi il m'a sauté dessus. J'ai craqué, j'ai pleuré
Moi : Tu m'as manqué monsieur squeezyyy
J'ai pas seulement retrouvé mon chat, j'ai aussi retrouvé mon amour Imed, fait la connaissance de Mekki et Médina. Et à ma grande surprise une dernière, Kawthar... J'm'y attendais pas a celle là.
***
*{Flash Back}*
Kamel : Tu fais encore la gueule ? Juste pour deux gifles ?
Moi : Je fais encore la gueule pour que tu as fait du mal à ma mère, m'as abandonné quand j'avais 3 ans, que tu reviens comme une fleur et tu frappes maman tu me kidnappes me marie de force me violer me fait me prostituée et pour deux gifles. Voilà pourquoi je fais la gueule.
Kamel : Oh ça va. T'es insolente
Moi : J'ai pas fini mon émission ferme la stp
Kamel : Comment tu parles à ton père?
Il s'est installé à côté de moi sur le canapé. J'ai poussé légèrement mes jambes et j'ai ramené un peu plus la couverture sur moi. Kamel a quand même trouvé le moyen de prendre la couverture.
Moi : C'est possible d'avoir des moments seule ou pas ? Il faut que tu me colles juste pour le plaisir de me souler ?
Kamel : Même quand j'essaie d'être gentil tu fais l'enfant et t'es pas réceptive...
Je me suis levée, vu que c'est impossible de regarder la télé tranquille ici.
Moi : Tu sais quoi ? J'espère qu'un jour, tu vas te faire tirer dessus. C'est dans chacune de mes prières. J'espère que ton pire ennemi vas te loger une balle LÀ
J'ai dis en pointant du doigt sa tête. Il s'est levé en riant. Il a sorti de la poche arrière de son pantalon un mini revolver. Non mais quel genre de psychopathe malade mental se balade avec un gun dans sa maison ?
Il me le tend et me dit
Kamel : Si tu me déteste tant que ça, tue moi.
Je me suis saisie de l'arme, et sans hésiter une seule seconde je l'ai jetée sur la table.
Moi : Un kebab a bien meilleur goût quand il est payé par quelqu'un d'autre.
*{Fin du Flash Back}*
Je me redresse sur ma chaise, la chaise de l'hôpital et lui sert la main. Il est allongé depuis 3 jours dans l'établissement de santé où travaillent mes parents à Miami. Il n'a pas donné signe de vie depuis le coup de feu.
Les médecins disent qu'il va sûrement se réveiller. Mais qu'il n'aura plus l'usage de ses jambes pendant un petit moment, car j'ai touché le bas de sa colonne vertébrale et pour l'instant, ils ne savent pas quand il va se réveiller. Je m'en veux, car je sais que dès qu'il sera réveillé, il va être arrêté par les autorités.
Moi : Je suis vraiment.... horriblement.... désolée.... Je voulais pas que ça se passe comme ça
Je sers une de ses mains avec les miennes et la plaque contre mon front, j'ai tellement peur à cet instant. Toutes les vacheries qu'on s'est lancé toutes les embrouilles, tout me revient, je regrette tellement que notre relation ait été aussi merdique...
Moi : S'il te plaît réveille toi...et excuse moi.
Je sais que je devrais pas pleurer, car certains diront qu'il le mérite, il mérite de ressentir juste un dixième de ce que j'ai ressenti. Mais je suis incapable d'être rancunière ou de faire du mal à quelqu'un, cette personne serait-elle Hitler. J'ai été prise d'un coup d'adré c'est tout. Et depuis, cette sensation me suit constamment. Vous connaissez cette sensation d'être rongée par les regrets et les remords ? Quoi que je fasses j'arrive pas à me sortir ce que j'ai fais de la tête.
X : Intissar ? Tu viens ? C'est l'heure de tes examens
Je me tourne vers la porte de la chambre. C'est ma mère, elle me sourit, un petit signe de compassion, elle sait ce que c'est que de voir son père sur un lit d'hôpital, presque mourant. Mais la différence c'est que ce n'était pas de sa faute. Moi si
Je me lève et passe le doigt sous chacun de mes yeux, je prends mon sac et me dirige vers mon père, me penche pour lui embrasser la joue et je lui chuchote à l'oreille des duas.
Kamel
Vous avez déjà était dans le coma ?
Je vous raconter comment moi je l'ai vécu. J'ai eu deux phases.
La première, j'étais assis, sur un chaise, j'étais habillé avec un jean noir, et un polo noir, sur une chaise noire, entre quatre mur noir. Le plafond c'était une sorte de bulle, j'entends comme si j'étais sous l'eau. J'entendais vaguement ce qu'on me disait, très vaguement. Je tapais du pied. Je n'avais aucun moyen de sortir de cette pièce. Je me levais. Je tatais les murs. Et au bout de quelques heures op. Tout le décor changeait. J'étais habillé en blanc, dans une pièce d'un blanc éclatant. Et ce que j'entendais changeait aussi. J'entendais une voix douce pleurer et implorait mon pardon. Dès qu'elle s'en allait, l'obscurité réapparaissait aussitôt.
La deuxième phase, un jour alors que le décor noir voulait virer au blanc, j'ai été rejoint par un homme, laid, qui sentait fort
Moi : Qui êtes vous ?
Homme : Suivez moi, ne posez pas de question.
Il m'a tendu sa main, j'ai hésité, il était vraiment horrible et il faisait peur, il m'a lancé un regard qui m'a glacé le sang, a fait trembler mon squelette. Et nous sommes complètement sorti de ce décor déprimant. Pour atterrir dans une chambre d'enfant que je connaissais trop bien
X : Kamel !! Arrête tout ce bruit !!
X : PFIOU PFIOU PFIIIOOOUUUU regarde maman je suis un super héros
X : KAMEL TA GRAND MÈRE TU ME DÉCONCENTRE
X : MAMAN AYLA ELLE M'A INSULTÉ ! ELLE A INSULTÉ JEDAY DE STAR WARS
X : Zak !! Parle leur je fais à manger
Les larmes me montent aux yeux, comment tout ça est il possible
Ayla : Ferme là Kamel je fais mes devoirs ! Si j'ai pas mon bac je t'egorge
Kamel petit : Continues à me parler sur ce ton et je dirais à papa que tu parles avec un Samir le soir ! Et que t'es allé le voir en pleine nuit !
Ayla : Tu veux combien
Kamel petit : 5€ pour arrêter le bruit et 10€ pour oublier l'histoire avec Samir
Ayla : roh..... Tiens. 10 ans et t'es déjà un connard. Tu vas en faire des dégâts plus tard.
Kamel : PAPA!!
Ayla : C'est bon c'est bon
Kamel petit : Tu veux bien m'acheter une glace
***
Kamel : Tu sais maman quand je serais grand et que j'aurais une fille je l'appelerai Warda comme toi, parce que je t'aime.
Maman : Winou wouldi mais avant d'avoir des enfants il faut faire des études, trouvez un travail, trouvez une femme qui se respecte qui...
Kamel : Ça veut dire quoi une femme qui se respecte
Maman : Euhm...ça veut dire une femme qui pratique sa religion, qui ne parle qu'en cas de besoin avec les hommes et qui ne sort pas tard pour faire n'importe quoi, qui ne critique pas les gens, y'a plein de chose qui font que tu te respectes ou pas
Kamel : Bah Ayla alors elle se respecte pas puisque ... Non rien ... Et ca veut dire que toi et khelti Fatiha....
Maman : Tu sais quoi chéri. On en reparlera quand tu seras plus grand.
Kamel : Je te promets que je vais ramener une femme qui se respecte.
Maman : Y'a intérêt ! Parce que sinon je serais pas du tout contente de toi. Mais ça veut pas dire que tu dois pas te respecter hein ! Ça va dans les deux sens bien sur ! Allé dors bien
Ma mère Ayla et Samir sont morts dans un accident de voiture en Algérie quelques années plus tard, alors que ma mère leur rendait visite. Ils nous laissé à mon père et à moi comme seul souvenir, Amîra, et Rayan. Âgé à ce moment là de 6 et 5 ans.
L'homme bossu et moi changeons de décor, nous arrivons dans mon premier appartement, je suis âgé de 22 ans à ce moment là, je voyais déjà Zahia depuis un an et demi, elle ne se doute pas une seule seconde que je suis amoureux d'elle. Et je préfère ne rien lui dire.
Zahia : Alors, tu me trouves comment ?
Moi : Je trouve un peu trop court ce que tu as mis pour un rendez vous avec un agent immobilier, et un concessionnaire
Zahia : Mais non, la jupe n'est pas courte, mais la chemise n'est pas assez ouverte. Là on voit bien mes seins.
Moi : Tu prévois de coucher avec lui
Zahia : Peut être que nous allons pas aller jusque là. Mais qu'il le fera quand même un prix tu crois pas?
Moi : J'en sais rien
Elle enlève sa chemise, sa jupe et me rejoins au lit.
Zahia : T'es jaloux chéri ?
Moi : Non, je pensais juste à ma mère, a un truc qu'elle m'a dit quand j'étais petit et...que je fais carrément le contraire c'est tout.
Ce jour là je me rappelle m'être promis de ne pas tomber amoureux d'elle, enfin, de l'oublier, de redevenir le Kamel que j'étais avant la mort de ma mère, c'est vrai que j'avais plus ma virginité mais je peux toujours le repentir non ? Mais ça ne s'est pas passé comme prévu, au fur et à mesure qu'on passe du temps je me rends compte à quel point j'ai raté ma vie.
Moi : C'est quoi tout ça ?
Zahia : Eh bah.... Intissar dort et...je me suis dis qu'on pourrait passer une soirée que tout les deux, c'est l'anniversaire de notre rencontre aujourd'hui
Moi : Pourquoi tu veux fêter le jour à partir du quel j'ai fais commencer à gacher ma vie ?
Zahia : C'est pas ça Kamel juste... C'est un prétexte s'il te plaît je sais plus
Moi : Tu pourrais la fermer deux minutes ? Je viens à peine de rentrer je suis obligé de t'entendre miauler ouf dégage
Cette nuit là encore une fois je l'ai entendue pleurer dans sa chambre, en regardant avec un œil extérieur, je me rends compte que j'avais une perle entre les doigts, et que j'en ai fais n'importe quoi.
Bien sur, notre voyage dans le temps n'aurait pas été complet si je n'avais pas vu les années de débauche que j'ai mené après qu'elle soit partie, ou tout le mal que j'ai fais à Intissar. Pour finir je suis dans une chambre d'hôpital avec cet homme.
Sur la table est posée une bassine, avec une éponge, de dos je vois une jeune femme, elle est en train de laver une personne dans le coma. Bien sur cette personne c'est moi.
Elle : C'est la première fois que tu viens à Miami ? Venir et être dans le coma ça craint, tu peux pas voir, les paysages, Miami beach, océan drive, y'a plein de choses à faire ici tu sais.
Tu devrais te réveiller, on irait faire un tour ensemble
Je reconnais cette voix, c'est la voix de la pièce blanche
Moi : Ce qui est vraiment bien ici, c'est que t'as beaucoup de français, bon c'est des Basques donc ça craint un peu mais beaucoup de gens parlent français ici. Et la mosquée ouf tu l'a verrais....si je me trompe pas, jeddi était imam non ? C'est ce que ma mère m'a dit en tout cas... Zakaria c'est bien ça ?
Je vois pas qui ça peut être..
Moi : Voilà t'es tout propre... J'allais quand même pas laisser une infirmière ou une aide soignante faire ta toilette non, c'est déplacé tu crois pas ? Je suis là pourquoi quelqu'un s'occuperait de mon père ?
En disant ça, la jeune voilée se lève, elle prend la bassine et c'est quand elle se retourne pour l'amener dans la salle de bain que je reconnais Intissar. Après tout le mal que je lui ai fais, qui peut me dire ce qu'elle fait là ? Qui peut me dire ce qu'elle attend pour me débrancher discrètement ? Pourquoi s'occupe t-elle de moi
Il est 18 heures quand elle quitte l'hôpital, elle dit au revoir au personnel, elle n'a pas oublié de me faire les douas que j'entendais et de me dire qu'elle s'excusait qu'elle m'excusait elle qu'elle m'aimait quand même. Comme à son habitude.
Et comme à son habitude, dès qu'elle s'en va, le décor redevient sombre, et pas rassurant.
Le Borgne bossu prend alors la parole
Homme : Tu veux que je te dises qui je suis ? Dans quelques années si tu ne changes pas, je serais tes mauvaises actions !
Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) nous a donné une description longue et détaillée concernant ce qui se passe lorsqu’une personne décède. Ses propos nous ont été rapportés par Al Barâ Ibn Âzîb (radhia Allâhou anhou), qui raconte:
[...]
Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit (ensuite): Et le serviteur kâfir
[...]
Son âme est donc ramenée à son corps et deux anges viennent alors, le font s’asseoir et lui demandent: « Qui est ton seigneur ? » Il répond: « Ah ! Ah ! Je ne sais pas… » Il lui demandent ensuite: « Quelle est ta religion ? » Il réplique: « Ah ! Ah ! Je ne sais pas… ». Il le questionnent encore: « Qui est cet homme qui a été envoyé vers vous ? » Il dit: « Ah ! Ah ! Je ne sais pas… » Un appel est alors lancé du ciel: « Il a menti. Tapissez donc l’Enfer pour lui et ouvrez lui une porte vers le Feu. »Lui parviennent alors (les effets de) sa chaleur et son vent brûlant; sa tombe se rétrécit sur lui au point où ses côtes se retrouvent emboîtés (les uns dans les autres). Un homme au visage laid, mal vêtu et puant vient auprès de lui et lui dit: « Accepte la nouvelle qui va te déplaire: Voici le jour qui t’avait été promis. » Il (le défunt) lui dira alors : « Qui es-tu ? Ton visage est celui (de la personne) qui apporte le mal. » Il répondra : « Je suis (la matérialisation de) tes œuvres malsaines. »
(Source : muslim.fr.com Référence: Mousnad Ahmad, Moustadrak Hâkim, Mousannaf Ibn Aby Chaybah, avec quelques variations. La version citée par l’Imâm Ahmad (rahimahou Allah) est authentifiée par Cheikh Choueïb Arnâoût et Cheikh Albâni (rahimahou Allah); certaines parties de ce long Hadith sont présentes notamment dans les Sounan Abi Dâoûd, Ibn Mâdja et Nasaï. Des critiques ont été faites par certains savants concernant l’authenticité de ces rapports, mais Ibn Qayyim (rahimahou Allah) s’attache à répondre longuement à celles-ci dans ses annotations des Sounan Abi Dâoûd – Voir pour cela ses « Ta’liqât » sur le Hadith N° 4127)
Kamel : Mais...mais...c'est impossible...je ne suis pas mort
L'homme : NON TU N'ES MORT ! MAIS SI TU PERSISTE À CONTINUER À RATER TA VIE C'EST MOI QUI T'ATTENDS ! ÇA SERA L'ENFER T'AS DERNIÈRE DEMEURE! Tu as gâché ta vie depuis 20 ans maintenant. Sois tu te repend. Soit tu vas souffrir, éternellement
Il s'en va, il me laisse seul ici, dans la chambre d'hôpital, je m'assois sur une chaise, en face de mon corps inerte. Bizzare je ne sens plus mes pieds
Une infirmière entre, elle relève les chiffres sur la machine, s'assure que la porte est fermée puis commence à déboutonner son chemisier, et cette débile commence à me gifler avec son sein
Moi : Mais tu fais quoi là 3robia (bledarde de bledarde mdddr vraiment quelqu'un de stupide) de ta race !
Bien sur elle l'entend pas. Je tente de tendre la main mais je ne l'a vois plus
Infirmière : Monsieur Benkorichi ?…
Je me sens partir c'est trop bizarre
La pétasse se rhabille et je sens quelque chose dans mes yeux. Un médecin entre et commence à parler super fort. Mes oreilles bordel ! J'assiste à tout se remue ménage quand je sens qu'on me pique
Médecin : Redonnez lui de l'adrénaline chaque demie heure 1 dose. Il est en train de se réveiller
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Salut salut !
Je vous ai manqué ?
Je sais vous allez me dire c'est pas trop réaliste la partie avec le monsieur là mais bon ? Who care ?
Moi au moins même si je me fais attendre quand je reviens je fais des parties super longues 💁
À vos petits claviers mes amrs❤
Désolé pour les fautes
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Bisous
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