La fratrie de l'Olympe

Une femme à la beauté froide et fière se tient installer sur un trône en or, plus petit que celui de Zeus mais la dame à temps de présence que l'or n'en devient que plus lumineux. Près d'elle, des dizaines de paon se promènent.

« -Je suis Hera aux bras blancs, fille de Chronos et Rhéa, petite-fille d'Ouranos et de Gaya, reine des dieux et de l'Olympe... » un long soupir.

« -Et je suis marié avec le plus gros connard de toute la mythologie greco-latine ! » levant les yeux au ciel.

« -Et c'est, accessoirement, mon frère. » elle crois elles jambes.

« -Alors, oui, je sais, c'est pas bien. Mais, dites vous qu'à la base c'était pas du tout prévue. Je suis la déesse de la fidélité, protectrice des femmes et du mariage. Zeus était marié et, sincèrement, je savais que c'était un grand coureur de jupon. » elle love la main pour signaler au journaliste de la laisser parler.

« -Et je sais aussi que j'ai un sale caractère, je me connais très bien, merci. » neutre malgré peut-être une pointe d'agacement face à cette réalité.

« -A la base, depuis la défaite de notre père, la prise de pouvoir de Zeus, son mariage, le « tragique » incident où il a avaler sa première femme « par accident ». » en mimant à chaque fois les guillemets de façon insistante.

« -Son remariage, une tripoté de gosses, sa séparation en « bon terme » avec la seconde... j'étais simplement et tranquillement dans ma demeure. Un splendide jardin ordonner à mon gout, habiter par les plus beaux êtres. » toujours l'air froid, droit, une prestance incroyable soulignant une beauté rigide mais admirable.

« -Et, quand il était à nouveau célibataire, tout d'un coup il s'est rappelé que j'existais. » un sourire malicieux apparait.

« -C'est notre mère qui est venue me prévenir. Je lui ait dit que je n'étais pas intéressé, que le trône de l'Olympe n'était pas pour moi. Ni dans mon passé, ni dans mon avenir. Apres tout, je lui ai assuré que mon cher roi et frère n'était pas du tout mon genre. » elle haussa des épaules.

« -Etrangement, elle ne m'a pas crut. Assurant que, si elle était certaine que je n'aimais pas Zeus, j'adorais le pouvoir et que je voulais plus que tout le trône. » un soupir mais toujours se petit sourire malicieux.

« -Finalement, comme elle avait vue que me parler ne servait à rien, elle est aller voir Zeus... » la son visage s'assombrit, devenant dure pour ne pas dire cruel et remplit de rancoeur.

« -Elle lui a demandé de ne pas m'approcher en avançant mon caractère très fort, trop proche du siens. Il l'a envoyé se faire voir. » elle se racla la gorge avant de reprendre.

« -Je n'ai apprit que récemment ce qui s'est passé. » essayant de garder sa digne noblesse habituelle.

« -De son autorité de mère et de déesse plus ancienne, elle lui a ordonné de ne pas chercher à m'avoir dans son lit. » la suite peut choquer des personnes.

« -Il a dit qu'il allait la violer pour avoir osé ordonner à, lui, le roi du ciel. Mère n'a pas eut peur, elle s'est changé en serpent et l'a attaqué. Il s'est aussi changé en serpent et... voila. » elle frappa l'accoudoir.

« -Et, bien sur, personne ne me l'avait dit ! Quand je pense, cette horreur que de toucher à notre propre mère et... » elle écoute, très agacé d'avoir été coupé dans sa phrase.

« -Quoi ? Ben oui, je suis sa soeur. Je vois pas le rapport, on est mariée. » elle se lève.

« -Et puis, je ne suis pas ici pour entendre les critiques pathétique de misérables insectes mortel ! Oser me couper la parole, en plus, pour dire des bêtises pareil ! » elle s'en va.

Zeus est assit.

« -Oui, certe, Hera est ma troisième épouse officiel et, donc, reine de l'Olympe. » il parle tout bas.

« -Oui... elle a un peu de caractère. » toujours moins fort.

« -Vous l'avez mit très en colère. » a peine un murmure.

Et, soudain, des cris d'une voix féminine très en colère.

« -C'est... plus ou moins fort que d'habitude ? » osa demander un journaliste.

« -Un peu plus fort que d'habitude mais moins que la naissance d'Heraclès. » le silence quand le nom du bâtard le plus héroïque du roi des dieux fut prononcé.

« -Tu as dit quoi ! » très fort, très en colère, perte à pulvériser une ile.

« -Oh non... elle m'a entendu. » et il fuit.

Une femme vêtue d'une toge blanche, aux cheveux blond, aux yeux vert et, particularité, des épis de blé décorant sa coiffure et sa tenue.

« -Je suis Déméter, fille de Chronos et Rhéa, soeur de Zeus, mère de Perséphone, déesse des récoltes, de l'agriculture et je m'occupe aussi des saisons, de façon général je nourrit les mortels. » elle écouta une question.
Elle semblait bien plus patiente, calme, une force tranquille contrairement à sa soeur.

« -Non, je ne suis pas marier. Ma fille et le fruit de ce que vous appelez « un coup d'un soir » avec Zeus entre sa deuxième et troisième femme. » elle hocha la tête.

« -Ma fille est tout pour moi. » d'une voix constante mais profonde.

« -Oui, quand elle est née, beaucoup pensait que je serais la troisième reine. Mais, selon mon frère, je n'étais pas un défi. Je me suis donné sans effort, sans conquête. Hera était un exploit, presque une prise guerrière obtenue seulement au prix du trône de l'Olympe. » ça ne l'a vexait pas.

« -Personnellement, j'étais juste d'accord. Zeus est un homme attirant et l'enfant qu'il m'a donné est purement parfait. » insistant sur le mot purement.

« -Ma fille était surnommé « Chora » avant son mariage. » elle leva les yeux.

« -Je devrais plutôt dire vole et outrage. Autant contre moi que contre ma fille. » personne n'osa lui demander pourquoi où qui était le « criminel » qui lui servait de « gendre ».

« -Je pourrais parler de ma chère fille pendant des heures si ce n'est des jours.

-Vous n'avez eut qu'un enfant ? » question innocente.

« -Oui. » comme blessé, brusquement percé par le mot comme par une lance.

« -Je n'ai qu'une fille. » son visage marqué par la douleur, une douleur profonde et ancienne.

Un homme musclé, la peau bronze, une longue barbe d'un gris bleuté. Il portait une couronne de matériaux marin noble, un trident à la main.

« -Je suis Poséidon, dieux de la mère et des tremblements, fils du puissant Chronos et de la glorieuse Rhéa. » d'une voix puissante et raisonnante.

« -Donc c'est pour une interview ? » plus calme, un grand sourire... étrangement un peu hypocrite.

« -Je suis prêt à répondre à toutes vos questions. » son sourire se fit menaçant.

« -Mais si elles ne me plaisent pas, je vous tue. » le silence.

Puis il éclata de rire, l'équipe n'en fit rien, paralysé de peur.

« -Riez ! » le sol trembla.

Et tous rire... de peur.

« -Parfait. » souriant à nouveau.

« -Avant de commencer, j'ai entendu ce que vous a dit ma chère Déméter. C'est faux, elle a eut deux enfants. D'abord, une fille avec moi puis cette plate et trompeuse Perséphone. » pleins de jugement.
Personne n'osait le couper, toujours tétanisé.

« -Notre fille, à moi et à elle, a au moins le mérite de ne jamais faire de caprice pour faire son travail, apporter l'Hiver. Et est d'une fidélité parfaite pour son époux, le vent du nord. Elle tient sa de moi. Depuis que je suis marié avec ma femme, je ne cour pas les garces comme Zeus ! » encore une fois, personne ose le contredire.

« -Avant, j'étais célibataire. Donc, oui, j'ai eut dans mon lit Méduse, Démeter, pleins de femme. » il marqua une pose et, étrangement un frisson le saisit.

« -Bon... peut être que, elles n'étaient pas forcément consentante et... mère, arrête de me regarder comme ça. » presque suppliant.

« -Dit le et je te laisse. » gronda une voix sortit de nul part.

« -Je les ait violer, c'est pour ça que Déméter, qui a été traumatisé, a rejeté la fille qu'elle a eut de moi.

-Et ? » ajouta la voix sortit de nul part.

« -Et Meduse aussi mais c'était parce qu'elle était une vierge au service d'Athéna, je l'ai violer dans le temple pour me venger d'elle et, du coup, j'ai pervertit son temple de déesse vierge et sa prêtresse vierge... du coup, pour se venger, elle l'a changé en monstre comme elle peut rien me faire. » toujours très nerveux le grand dieu.

« -Bien. » et la présence liée à la voix disparut.

Poséidon fit alors un sourire un peu bête.

« -C'était ma maman. C'est la meilleure des mamans. »

Personne.
Personne n'est installer sur la chaise.

« -Mais... on attendait quelqu'un non ?

-Oui, Hades, dieux et roi des Enfers, fils de...

-Oui, de Chronos et Rhéa. On sait, on fait que ça la.

-Ouais ben les fils de Zeus on leurs a tous fait dire que c'était les fils de Zeus.

-Ben oui mais c'était surtout pour savoir avec qui ils les avaient fait. Et puis, avec un peu de chance, on tombera bien sur un qui... » les deux journalistes parlèrent jusqu'à ce qu'une vois sortit de nul part les coupe.

« -Pardon mais, vous vous moquez de moi ? Je suis invisible où quoi ? » demanda une voix d'homme grave et suave.

« -Ah ! Mais oui. Attendez. » un bruit et, pouf, il apparut.

C'était un homme aux cheveux noir bien coupé, à la barbe sculpté et vêtue d'une toge rouge et noir. Il avait un oeil vert comme une émeraude et un autre rouge comme un rubis.

Il posa un casque sur ses genoux.

« -Excusez moi, c'est de ma faute, parfois j'oublie que porter mon « casque » me rend invisible.

-Excusez moi, monsieur, vous êtes bien Hadès ?

-Oui, oui? c'est bien moi. Je dois me présenter ? Parce que, c'est bien ce que vous avez dit. A la limite vous pouvez rajouter que je gère aussi le Tartare et que je suis marié à Perséphone mais c'est tout.

-D'accord, merci pour les précisions. Vous acceptez de répondre à quelques questions ? Et, avant, peut être nous raconter une anecdote, quelque chose de marquant sur vous ?

-Ben, je suis la pour ça. » très calme.

« -Alors, je suis le roi des enfers parce que, après que notre père Chronos à perdu face à Zeus, Poséidon, nos autres frères et soeurs, et moi même, on a décidé de partager le monde à la courte paille. Zeus à tiré la plus grande, il a eut le ciel, la Terre, les dieux et les Hommes. « Homme » avec un « H » majuscule, les femmes sont aussi dans le tas. Enfin, Poséidon à eut la moyenne, les mers et les terres dans le sens les cotes. Et puis, ben j'ai eut la dernière, la plus petite. Du coup j'ai tout ce que st souterrain. Ca à pas l'air formidable, je sais. Mais, en attendant, j'ai pas mal de fric. Ben, oui, les âmes, les trésors sous terres, l'or, les pierres et tout ça, c'est dans mon domaine. » il n'avait pas l'air de se vanter, juste que ça rentrait dans l'énumération de ses possessions.

« -Ca compense le fait que je n'ai pas de culte actif ou simplement mortuaire. Contrairement à ce qu'on peut penser, ça ne me dérange pas. » concluant par un signe polie de la tête indiquant qu'il avait finit.

« -Perséphone ? Oui, on est marié. Ça se passe bien. Bon, au début, c'était chaud avec sa mère... mais, pour ma défense même si elle est faible, j'avais demander le droit de courtiser Perséphone chose que son père m'avait accordé. Oui, oui, je suis aller voir Zeus, lui ait exposé avec précision mes projets de séduire et d'épouser sa fille et il a accepté. » une pause pour ne pas faire de trop long monologue peut être ou par manque d'habitude de parler autant.

« -Et, oui, j'ai du l'emmener en enfer pour se faire. A peine je m'absente pour une promenade que c'est le chaos la en bas.Alors, imaginez, partir plusieurs jours pour conquérir le coeur de la plus pure des dames... impossible. » il fit un geste de la main comme pour chasser tout cela.

« -C'est du passé, nous avons, grâce à Zeus, trouvé un accord qui nous conviens. Perséphone vit avec Déméter le printemps et l'été. L'automne et l'Hiver avec moi. Déméter est heureuse, Perséphone l'est. C'est tout ce qui compte.

-Et vous ?

-Oh, moi aussi. J'aime ma femme, mon domaine se porte bien et, bon... la seule chose qu'il me manque serait un enfant... » il haussa des épaules.

« -Ça arrivera quand ça arrivera. » il prit un air penseur.

« -Oh fait, je repense à ce que vous avez dis. Un dieu qui n'est ni l'enfant de Zeus ni le fils de Chronos et Rhéa mais qui siège sur l'Olympe, ça existe.

-Ah oui ? » très intéressé.

La plus belle des femmes, presque nue, avachit dans le siège. Ses longs cheveux blond vénitiens parfaitement bouclé dévalait le longs de ses sublime courbe, attirant l'oeil vers sa taille incroyable marqué par une ceinture d'or.

« -Je suis Aphrodite, déesse de la beauté, de l'amour et du sexe. » d'une voix langoureuse et envoutante.

« -Vous avez bien été renseigné, je ne suis pas la fille de qui que se soit ici. Je suis née de la rencontre de l'écume et des... mh comment dire ? » s'étendant, laissant encore mieux voir sa poitrine.

L'équipe souligne que c'est insupportable de résister au charme de la déesse autant pour les hommes que pour les femmes sur le plateau.

« -Mh... oui, quand Chronos avait castré son père en lui coupant les testicules. Il les as jeter dans la mer. Voila comment je suis née. » même cette phrase absolument horrible, dit par la bouche d'Aphrodite, enivrait l'équipe.

« -Hey. Arrêtez de mater, c'est ma maitresse. » Ares se mit encore Aphrodite et l'équipe.

« -Et toi rhabille toi un peu. » ordonna le dieu de la guerre, un brin jaloux.

« -Tu n'as pas d'ordre à me donner.

-Ok. »

Aphrodite, enrouler dans des tonnes de tissus, dépourvue de sa ceinture, agacé par la situation, tout de suite moins sexy.

« -Il supporte mal l'idée que je suis plus exclusivement à lui. » informa-t-elle.

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