Alors, Lucas lui à raconté l'histoire de A à Z et elle 'a giflé. Je lui ai dis de rester chez moi donc... ELLE EST RESTEE :)

On à fais une soirée Pyjama avec Clem . Mdrr

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Le lendemain on se réveille tranquille. Enfin ! Je me réveille ces deux mongoles de Fanny et Clémentine ce sont pas encore réveillées.

Je descend sans faire de bruit et je prépare des crêpes et des gaufres, je pose le Nutella et la Confiture de Fraise sur la table.

Après que tout sois prêt je remonte les réveiller

Fanny : Mmh non laisse moi !

Clem : Mmh nous non j'suis trop fatiguée

Moi : Ah bah je vais manger mes crêpes et mes gaufres toute seule...

Elles se sont levées d'un bond. Wallah trop voraces mes chéries ❤

On à manger quand Fanny reçois un appel.

Elle : C'est Lucas

Moi : Tu fais quoi ?

Elle : Je laisse sonner.

Elle à laissé sonner

Elle : Euh tu vois...Vu que je vivais chez Lucas...

Moi : Tu n'as pas d'appartement et tu veux rester à la maison ?

Elle : Oui, juste si ça ne vous dérange pas hein

Moi : Mais, ici c'est chez toi ! Tu peux même rester vivre ici
Elle : Merci

Nous : Derien

Je passe ...Disons un mois.

-Fanny est toujours à la maison et je passe beaucoup de temps avec elle. J'ai pardois tendance à oublier Clémentine qui pète des crises de jalousie..

-Narawa est enceinte mais de qui ? Mmhhh ça je sais pas... Vu que mon frère est mort...

...

Alors, j'étais posé avec Clémentine sur le canapé tranquillement parce que Fanny à dis qu'elle part.

On mangais des chips quand mon téléphone se mets à sonner.

Je réponds

Conversation

Moi : Allo ?

...: Oui, madame Hajar ***** ?

Moi : Oui, c'est moi. C'est qui ?

...: C'est l'Hopital de ********-********. Votre amie Fanny ***** est ici

Moi : Ouais j'arrive.

Et je raccroche

Moi : Clem bouge ton cul la !

Elle : Pourquoi ?

Moi : Fanny est à l'Hopital

Elle : Ah...Ok

Elle s'est changée et on est partis.

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On arrive à l'accueil et on demande la chambre.

On arrive dans la chambre de Fanny.

On ouvre la porte et la elle est en pleures, je m'asseois à côté d'elle

Moi : Fanny, pourquoi tu pleures ?

Elle :...