Parfois, c'est dans le malheur qu'on comprend son bonheur.
Dans la souffrance qu'on réalise le soutien qu'on a.
Crois ce que tu veux, tu m'es d'un grand soutien. Non pas que j'ai des problèmes, c'est plutôt l'inverse.
Quand tu en as, que tu m'en parles, je me sens utile. J'essaie de t'aider comme je peux, mais je sais bien que ce n'est pas suffisant pour guérir tes blessures.
Mais c'est en ayant eu peur de te perdre que j'ai réalisé ce que tu m'apportes.
De la joie, chaque jour quand on se parle.
Une compréhension des autres.
Une meilleure approche à des situations.
Tu es persuadée de n'apporter que du malheur, mais moi je sais que tu m'apportes du bonheur.
Les circonstances de notre rencontre, comme de n'importe quelle rencontre, dépendent de beaucoup de facteurs.
Un achat retardé, ou avancé, un ennui, un abandon, et on ne se serait pas connues.
On dit qu'avec des "si" on referait le monde, mais je ne le referais pour rien au monde, car pour une fois, ils sont bien tombés : ils m'ont poussée vers toi.