L'éclopé de l'amour
Je traine des pieds, mon cœur est lourds
Je suis le prédateur dans un piège à loups
Au talent que je traine, inépuisable, toujours
Illusoires sanglots tu restes le grand manitou
J'ai la nausée de toute cette solitude
Ma plume est lourde, dure, comme une enclume
Je ne vis plus et doute de mes certitudes
Ancré dans ce ténébreux brouillard d'amertume
Je déverse mon encre sur les pages vierges
Leurs hôte leur innocence...ces broutilles !
Confessant sur feuillets de vaines peccadilles,
Je décharge ma Luxure à la lueur d'un cierge.
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