Criminel-sitter ?!
Petite suite dont l'idée m'a paru inévitable (comme Thanos 😔👌) et qui a été rédigée au minimum 6 mois après Inquiétude. Je me rappelle plus quand je l'ai écris 😂😭
Enfin bref, j'espère que cet os (qui a été très looooong à écrire, vive la term ;-;)
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Moriarty soupira lorsque la sonnette retentit pour la troisième fois depuis un quart d'heure. Regardant avec un désespoir croissant l'heure sur son téléphone, il se promit de faire mourir dans d'atroces souffrances et de transformer en chaussures le misérable insecte qui osait le réveiller avant neuf heures un dimanche matin.
Se levant et attrapant un short qui trainait au passage, il quitta à regret le confort des bras de son compagnon et la chaleur de leur couverture. Il sourit malgré tout en entendant Moran se retourner dans le lit et grogner un très glorieux "Kelheurilé ?", suivit aussitôt d'un ronflement digne d'un ours en hibernation.
Enfin – à moitié – habillé, le Napoléon du Crime, le plus dangereux psychopathe de Londres embrassa tendrement le front de son amant avant de prendre son revolver et de se diriger vers la porte qu'il ouvrit au moment où la sonnette retentissait pour la 57ème fois.
Il failli s'étouffer en constatant que le cloporte qui sonnait à sa porte depuis plus d'une demie heure n'était autre que sa Némésis, Sherlock Holmes. Ce dernier regardait Jim d'un air méprisant tandis que John hésitait entre un face palm et un fou rire devant la mine ahurie de son pire ennemi, le tout en tenant une petite fille de quatre ans dans ses bras.
« Non mais dîtes moi que c'est une blague, lâcha Jim, après les explications de Sherlock et compagnie, je suis entrain de faire un cauchemar c'est pas possible.
- Dans ce cas-là on fait le même... fit Moran, à moitié réveillé et torse nu comme son partenaire, en se massant la tempe.
- Bon sang, c'est si dur à comprendre que ça ?! s'énerva John, Sherlock et moi avons une opération aujourd'hui et personne ne peut garder Rosie et on vous a aider l'autre jour. Donc vous la gardez pour la journée et ça me fait autant plaisir qu'à vous ne vous inquiétez pas.
- Oh arrête de dramatiser John, Rosie ne vas pas les manger, se moqua Sherlock en narguant Moriarty.
- C'est hors de question, trancha t-il, reprenez votre morveuse et barrez-vous vite fait dans votre appart de fou !
- Heu... Jim... elle dort sur le canapé là, lui annonça Sebastian qui crut que son compagnon allait tuer Sherlock et John à mains nues.
- Sorry not sorry Jim, pas question de la réveiller, elle hurle à chaque fois qu'on ose la toucher dans son sommeil. Tenez, fit Sherlock en posant un sac contenant les affaires de la petite à côté de Moriarty, viens John, on y va ! »
Le détective se leva sous le regard consterné de Moriarty, hagard, tandis que Sebastian cherchait du secours auprès du médecin dans cette galère. L'ex-soldat se leva en soupirant.
« Si vous avez le moindre soucis, appelez-moi, je devrais être joignable et au pire je vous enverrais un message.
- Compris, tenez-vous prêt... » lâcha le sniper, désemparé devant cette vie de merde qu'il avait.
Le duo repartit en silence et Sebastian passa la main devant son amant qui semblait sous le choc.
« Jim ?
- ... j-je veux pas d'enfants... je suis pas prêt..., souffla t-il d'une voix blanche.
- Jim, on ne va pas avoir d'enfants, on va juste servir de baby-sitter, ça va aller, le rassura Sebastian en le prenant dans ses bras. Il se figea quelques secondes plus tard, sentant le canapé bouger sous lui. Se relevant , il écarquilla les yeux, Rosie était parfaitement réveillée et montait tranquillement sur le canapé pour se joindre au câlin du couple.
- Dis-moi que c'est une illusion, supplia Moriarty, aussi surpris que le Tigre mais plus désespéré.
- Mais... tu dormais ! s'écria le sniper.
- Bah nan, Papa 'lock m'avait fait signe de dormir comme quant il veut faire du jus de citron avec Papa et que moi je suis dans le salon, lui indiqua la chipie, tout sourire, mais c'est bizarre, à chaque fois ils vont dans la chambre et vu qu'ils font du bruit je vais voir Mrs Hudson en bas !*
- Oh l'enfoiré..., murmura t-il, attends quo-aïe !
- Pas de gros mots devant les enfants Honey, fit Moriarty après avoir gentiment taper Moran à l'arrière de la tête et qui semblait s'être remis de ses émotions.
- Non mais tu te fous de ma gueule ?! Fit son compagnon en attrapant la main de son amant et en se protégeant des petits poings de la fillette qui l'imitait.
- Honey, fit le criminel, menaçant.
- Ok, ok ça va j'ai compris, capitula le Tigre en se relevant.
- Seeeeb...
- Quoi ? Ah non alors là même pas en rêve !
- Allez ! S'il-te-plaît, débarrasse moi de ce microbe collant, je n'ai pas envie qu'elle spoile mes plans à ses imbéciles de parents.
- T'as qu'à prendre un antibiotique, 'paraît que c'est automatique, se moqua Sebastian en levant les yeux au ciel.
- Eh ! je suis pas un microbe ! s'insurgea la victime des haines paternelles.
- Mais oui c'est ça petite bactérie, bref Seb ?
- Pffff, okay Jim, j'ai compris je m'en occupe.
- Génial ! ...Bon tu veux bien descendre de là toi ?
- D'abord tu dis pardon na !
- Nan na !
- Mon dieu..., soupira le sniper, qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ? Tu veux faire quoi petite sinon ? Il attrapa la fillette et la posa par terre, l'empêchant de repartir à l'assaut de Jim qui escaladait le canapé pour échapper au petit monstre.
- Hum... je sais pas trop, fit-elle en baissant la tête, penaude.
- Tu veux qu'on regarde dans ton sac ?
- Oh oui ! Papa 'lock met toujours plein de trucs marrants dedans ! s'exclama la fillette, même que Papa râle à chaque fois !
- Ok je veux pas savoir ce qu'il mettait à l'intérieur, bref, voyons voir ce que nous avons là, une peluche, une bouteille d'eau, des compotes – comme si on allait t'affamer ! - , un autre doudou, des affaires de rechanges, encore un doudou, une couverture – ça va tu pars pas dans la jungle non plus non mais ! - , des serviettes hygiéniques*, une peluche – encore ?! Bon sang mais t'en a combien ?? - , un sac de couchage - nan mais ils l'envoient vraiment chez les sauvages ou quoi ?? - ... ATTENDS QUOI ???
- Ça s'est Papa 'lock ! Il dit que j'en aurais toujours sur moi quand je serais plus grande et que je dois m'habituer !
- Bon sang pauvre gosse, profite de ton innocence, sinon il y a autre choses que des peluches là-dedans ?
- Eh ! Fais attention à Tigrou, Foufou, Licornette et Doucette**
- Pardon pardon, je repose Winnie, Pégasou...
- Non, non et non ! C'est Foufou lui, là c'est Tigrou et ici Licornette ! Attention, tu vas écraser Doucette !!
- Si tu le dis princesse, fit le sniper, renonçant à cette bataille perdue d'avance.
- Princesse ?! Pourquoi « princesse », demanda Rosie, en prenant un air de grande, Papa dit que c'est sexiste !
- Parce que tu me sembles être une petite fille légèrement capricieuse, se moqua t-il.
- C'est pas vrai ! Cria t-elle en tapant du pied par terre.
- Mais oui princesse, ricana t-il gentiment, bon, bouge pas, je vais aux toilettes.
- Oui oui..., fit-elle, un grand sourire aux lèvres »
Le sniper quitta la pièce en soupirant et priant pour que la petite ne fasse pas trop de bêtises. Le cri de Jim quelques minutes plus tard lui fit comprendre que personne ne l'écoutait là-haut. Se lavant vite les mains, il se précipita vers le bureau d'où sortait le cri de rage du criminel et les pleurs d'une petite fille.
« Sebastian ! Fulmina le-dit criminel, fais sortir cette tumeur d'ici avant que je ne fasse un meurtre !! »
L'ex-colonel soupira en voyant le piteux spectacle qui s'offrait à lui. Il tenait la petite d'une main et soulevait la furie qui se débattait dans les airs en pleurant, terrorisée. Sur le meuble qui servait à élaborer les plus grands plans du génie, les feuilles d'habitude si ordonnées – tellement manique ce génie – étaient éparpillées en tout sens et certaines volaient encore.
« Regarde-moi ce massacre ! Rugit-il, des mois de préparation réduits à néant ! »
Voyant la petite reprendre une crise de larmes, Sebastian décida d'intervenir :
« CA SUFFIT ! »
Tous se turent, en hoquetant pour la plus jeune, choqués que Sebastian hausse le ton de cette manière.
« Jim, je peux comprendre que tu sois énervé mais ce n'est pas une raison pour la faire pleurer, c'est qu'une gosse merde elle a quatre ans ! Allez viens, fit-il d'un ton plus doux, on va aller dans un endroit plus tranquille. »
La petite renifla et prit la main du Tigre avant de le suivre vers le salon en essuyant ses petits yeux. Le claquement de la porte tira Jim de sa stupéfaction. Laissant exploser sa age, il renversa la table devant lui en hurlant. Les feuilles volèrent tandis qu'il essayait de se calmer en respirant fortement.
Remarquant un fluo ouvert sur un petit meuble et craignant le pire, le criminel s'approcha. Il souri en remarquant le petit dessin que la fillette lui avait fait. Un bonhomme bâton qui riait à côté d'un autre plus rectangulaire. La légende indiquait : « Les méchants monsieurs qui sont gentils avec moi et qui embêtent mes papas ».
((Oui je suis fière de moi))
La feuille utilisée par la petite étant vierge, Moriarty comprit que sa colère était exagérée et qu'il n'avait plus qu'à s'excuser auprès de la petite. Partant à leur recherche, Jim se figea à l'entrée du salon, se cachant précipitamment dans les ombres. Appuyant sa main contre le mur, il se mit à espionner la conversation en face de lui.
« ...mais tu sais, faut pas pleurer pour ça, si la feuille était blanche, tu n'étais pas en tort d'accord princesse ?
- *snif* oui, mais pourquoi il est aussi méchant avec moi ?
- C'est pas ça, c'est juste que...c'est compliqué, il a perdu son frère très jeune et depuis... il a un peu de mal avec les enfants mais il n'est pas comme ça quant on apprend à la connaître, tenta de la rassurer Sebastian.
- Humpf, qu'avec toi ! râla Rosie.
- Mais non, enfin oui mais je veux dire, *soupir*, il n'est pas aussi méchant qu'il en à l'air et... je l'aime et... tu crois que je serais encore là s'il était comme il aime que les autres le voit ? Il est peut-être un peu psychopathe sur les bords, mais je l'aime comma ça. Il est doux et attentionné, qu'avec moi oui mais c'est normal - on sort ensemble – mais il est bien plus que ça !
- Hi hi hi vous z'êtes amoureux !
- C'est vrai que tu n'as que quatre ans, bref, c'est comme Sherlock, fit Moran, attendri, les gens pensent quoi de lui ?
- Bah les gens le trouvent pas normal et bizarre mais moi j'adore quant il raconte la vie des gens et que eux ils sont tous rouges !
- Et est-ce qu'il est comme ça avec ton papa ou toi ?
- Non ! Il est toujours gentil et il m'achète tout le temps des glaces quand on va à Saint James Park*** !
- Eh bien tu vois, Jim c'est pareil.
- Hum hum, toussota ce dernier, c'est bien gentil tout ça Honey mais j'aimerais bien garder ma crédibilité face à elle si ça ne te dérange pas ! »
Il s'assit sur le tapis à côté de son compagnon et l'embrassa en s'asseyant, sous le regard dégoûté de Rosie.
« Allez fais pas cette tête, un jour t'aura un petit copain ou une petite copine et tu fera bien pire !
- Jim...
- Oh ça va je plaisante !
- J'espère bien..., bon, je vous laisse vous expliquer, moi je vais chercher un truc pour le repas, des pizzas ça convient à tout le monde ?
- Ouiiiiiiiii, s'écria la fillette, folle de joie.
- Prends en deux, comme ça on aura pas de restes.
- Compris Jim, à plus et s'il y a le moindre soucis, tu m'appelles !
- Don't worry Honey.
- Mais oui... » marmonna t-il dans sa barbe inexistante.
Sortant tranquillement, le sniper finit de nouer son écharpe autour de son cou et fourra ses mains dans ses poches avant de se diriger vers la pizzeria la plus proche. Un petit vent frais du mois de novembre s'infiltra dans son manteau mais le Tigre continua sa route, imperturbable.
Après une quinzaine de minutes, il sortit de la boutique à regret, manquant de se faire renverser par une magnifique Bentley d'époque qui roulait beaucoup trop vite pour son âge mais qui évitait miraculeusement tout accident. Seul fait qu'il retenu de la voiture, le son de « Don't stop me now », poussé plus à fond que ce que permettait n'importe quelle enceinte.
Pestant contre les chauffards londoniens, le sniper se promit de s'occuper de ses pneus s'il retrouvait la voiture pendant une planque. Tournant les clés dans la serrure, il ouvrit la porte et entra la maison silencieuse. Inquiet, il posa les deux boîtes et sortit un silencieux. Traversant les pièces une à une d'une discrétion et d'une lenteur extrême, il se figea devant la scène qui s'offra à ses yeux quant il entra dans la chambre.
Jim Moriarty, le Napoléon du Crime, la terreur de Scotland Yard et de toute la pègre londonienne, dormait tranquillement, tenant, serrée contre lui, Rosie qui suçait son pouce en respirant doucement, ses doudous étalés sur le lit et dans ses bras.
Attendri par la scène, Sebastian sortit son téléphone et imortalisa la scène, envoyant la photo à John. Souriant, le sniper s'approcha et déposa un léger baiser sur le front de son amant, lui caressant légèrement les cheveux.
Repartant en souriant, le mercenaire prépara la table, sortant des chips et mettant les pizzas au four pour les réchauffer et posant la tarte au frigo pour la garder jusqu'à soir sans que Jim ne s'en rende compte.
Quelques minutes plus tard, le génie criminel et la fillette arrivèrent vers la table pendant que Moran répondait au message de John, rassuré que tout se passe si bien.
« Enfin réveillés les loirs ? se moqua Sebastian.
- Eh on est pas des loirs ! s'insurgea la petite avant de se mettre à hurler de joie, OH OUI DES PIZZAS !!
- Pff, je ne vois pas de quoi tu parles, sourit Jim.
- Mais oui, se moqua son amant en levant les yeux au ciel, pas si horrible que ça la gamine hein ?
- Mouais ça va...fit-il en rougissant légèrement et en détournant le regard.
- Hé hé hé » ricana Sebastian.
Le sniper s'attabla et saisit une part qu'il engloutit rapidement sous le regard de son amant.
« Hé ! C'est la pizza qu'y faut manger, s'exclama soudain Rosie à l'attention des deux criminels qui s'étouffèrent.
- Mais quelle gosse...
- J'ai presque envie de plaindre ses parents. Presque » finit Jim en s'essuyant les doigts.
Pendant que Sebastian et Rosie débarrassait la table en se battant à coup de mousse de liquide vaisselle et d'eau savonneuse, Jim se rendit dans son bureau, rangé depuis l'incident. En soupirant il se rassit et commença à se replonger dans son palais mental, prêt à élaborer un plan machiavélique à vous faire dresser les cheveux sur la tête. Quand soudain...
« Désolé Monsieur le Méchant ! fit Rosie, surprise de le trouver ici et effrayée de sa possible réaction, je repart...
- Pas besoin Rosie, qu'est-ce que je peux faire pour toi ? Sebastian est parti ? la rassura le criminel du mieux qu'il put.
- Non, il est aux toilettes mais j'ai perdu Foufou...
- Tu a une idée de la où il pourrait être ? Demanda le criminel en se levant doucement, viens, on va chercher ici et après on va voir dans la chambre d'accord ? »
Inconscient du fait que la porte était entrouverte, Jim ne vit pas la mine attendrie du Tigre qui contemplait la scène.
Deux heures plus tard, Sherlock et John revinrent enfin chercher leur fille. Le médecin était « légèrement » nerveux mais fut surpris de voir sa fille colorier tranquillement près de Jim qui trainait sur son téléphone. Avançant prudemment, le couple se regarda, laissé seul dans la pièce par Sebastian qui était parti chercher de quoi boire.
« Ah bah c'est pas trop tôt ! fit le génie du crime sans lâcher son téléphone du regard, il était temps que le monstre rentre chez elle !
- Eh ! Chuis pas un monstre ! Et tu disais pas ça quant on jouait tout à l'heure !
- « Quant on jouait » hein, se moqua Sherlock.
- Oh toi sois gentil, et retourne te mêler de ton-tes fesses ! grogna Jim.
- Mon dieu, on va dire que je n'ai rien entendu, soupira le détective.
- Y a une enfant imbécile !
- Dites... commença John, déjà lassé.
- Qui veut du jus de fruit ! s'exclama le Tigre, saisissant cette occasion de les détourner de leurs disputes puériles.
- Moaaaaa ! » cria Rosie en courant vers le sniper qui l'évita adroitement avant de déposer son plateau sur la table et de la servir.
Tous prirent un verre et se mirent à boire, Sherlock et Jim préférant observer la scène en silence, Rosie racontant sa journée à son père avec l'aide de Moran. Le détective sourit en repensant à la tête de John, à moitié paniqué en recevant une photo de la part du sniper, avant qu'il ne manque d'éclater de rire devant l'image. Depuis son palais mental, Sherlock prenait milles notes de l'endroit avant que son regard ne se perde dans les boucles de son amant – pour être sûr qu'il s'agisse bien de lui et non d'un alien déguisé bien sûr.
De son côté, Jim surveillait Sherlock mais il se rendit bien vite compte que le détective avait trouvé une activité plus intéressante à faire qu'espionner la vie privée de ses ennemis. Voyant que les deux génies étaient partis au fin fond de leur esprit, John et Sebastian se regardèrent, échangeant un sourire complice devant Rosie qui ne fit même pas attention à ce qui se passait autour d'elle, trop occupée à jouer avec ses peluches.
Plusieurs heures plus tard et après une tentative d'assassinat – de la part des hommes que Sherlock et John surveillait – où Sebastian avait pu démontrer une fois de plus ses talents de garde du corps, le couple et leur fille (pas traumatisée pour un sou) prirent congé des criminels les plus recherchés d'Angleterre. Soucieux que leur fille dorme bien, le détective consultant et le médecin la couchèrent rapidement.
« Dit Sherlock, chuchota John.
- Oui ?
- Tu crois que Rosie s'en est bien sortie avec eux ?
- Si tu veux mon avis, Jim ne touchera pas à un seul de ses cheveux s'il ne veut pas fâcher son Tigre ! »
Le couple ignorait bien entendu que le rêve de la petite Rosie était de retourner chez ses deux... criminel-sitter !
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* : CHUIS DESOLE MAIS J'ÉTAIS OBLIGÉE DE FAIRE DEUX VANNES AVEC SON INNOCENCE 😂😂
** Oui ce sont les noms de mes peluches pourquoi ? D'ailleurs Foufou c'est ma préférée owo
***Parce que les canards ne veulent pas de pain, à croire qu'ils n'ont jamais faim ou qu'ils attendent sagement leur repas...
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