Chapitre 13

Comment pouvais-je patienter pour vous poster la suite? C'était pas possible, j'avais trop hâte que vous me donniez à nouveau votre avis. Je suis d'ailleurs désolée car la situation ne s'arrange pas tout de suite. Mais je pense que ce chapitre reste joyeux tout de même :3. Enfin bon ~
Ici, il y a un petit lemon à la fin donc je suis désolée pour celles qui n'en voulaient pas, mais je trouvais que l'histoire y était propice à présent :3 bonne lecture :3




Jamais je n'aurai cru dire cela, mais à présent la vie au palais était devenue difficile à mener. Le prince était de plus en plus absent sur les ordres de son père, et il passait plusieurs de ses soirées à des fêtes de nobles auxquelles il ne voulait que j'assiste. Là-bas, son père lui présentait personnellement des jeunes femmes toutes plus stupides les unes que les autres aux dires du Prince. Je savais qu'il disait cela pour me rassurer, me faire croire que j'étais toujours particulier, mais ce n'était plus le cas. J'étais retombé plus bas qu'avant même. J'avais été comme son concubin et à présent, j'étais celui qui le servait pour les repas, et celui qui l'écoutait lorsqu'il avait besoin de parler. Il était à présent trop occupé pour peindre d'ailleurs, et je n'étais même plus son model. D'ailleurs, de nombreuses peintures avaient disparu une nuit, je l'avais entendu y mettre le feu et un peu plus de mon âme sembla quitter mon corps. A présent je devais le dégouter, il ne me touchait même plus, et plus les jours passaient moins je désirais lui présenter mon corps, lui offrir, j'étais devenu répugnant à pleurer, à l'aimer sans fin alors qu'il avait tant à faire. Mais je ne pouvais m'en empêcher j'avais si mal à présent... si mal que mon cœur se serrait chaque fois que je le voyais. Mes doigts se recroquevillaient chaque fois qu'il les frôlait, et dans son regard je voyais de l'incompréhension. Je ne savais plus que penser et je préférais juste obéir, si bien que cela me privait de mes pensées, cela occupait assez mon esprit pour qu'il ne divague pas vers mes sentiments.

Ma mère avait remarqué mon état et elle ne le commenta pourtant pas plus que cela. Evidemment elle m'avait prié de me marier mais chaque fois que j'imaginais un homme et une femme se marier je voyais le prince poser ses lèvres sur celles d'une autre et je sentais mon estomac se contracter. Jamais je n'aurai cru que l'amour serait si douloureux, sinon jamais je ne serai tombé dans ce piège, jamais je n'aurai autorisé à ce Prince d'entrer dans mon cœur, jamais je ne lui aurais donné le mien. Je pensais que tout était de sucre et de miel, quelle innocence stupide. Chaque matin je me le répétais, que j'avais été l'être le plus stupide sur terre, puis chaque fois que je sentais son regard sur moi je me disais que j'avais une chance folle que cet homme me porte des sentiments et je retombais à nouveau.

Taehyung ne me reconnut bientôt plus et chaque fois que je passais à ses côtés je le voyais faire une moue que je ne voyais que rarement sur son visage. Il était habituellement si heureux... quant à Jimin et Jungkook, ils me saluaient souvent, mais je savais qu'ils ignoraient ce que je ressentais. Ils étaient si proches du Prince que chaque fois que je les voyais je souriais jusqu'aux oreilles, au cas où ils en parleraient au chef des lieux. Je savais qu'ils en discutaient entre eux, je les avais entendu parler une fois. Leur chef leur avait ordonné de surveiller mes agissements, il me trouvait étrangement froid. J'avais l'impression qu'il avait peur, peur que j'oublie ma promesse. Mais ce n'était absolument pas le cas, je pensais chaque jour à cette promesse. Mais il fallait faire face à la réalité, jamais je ne pourrais être sien.

Ces pensées m'accablèrent encore plus alors que je me cachais dans la salle d'eau du palais. A nouveau le Prince était parti et voilà plusieurs heures que je m'étais réfugié ici. Le soleil était brûlant à l'extérieur lorsque j'étais entré et à présent j'étais là, tenant un miroir entre mes doigts pour fixer mon reflet. Les larmes avaient fait gonfler mes paupières alors que je regardais la cascade brune qui était sur mes épaules. Je les touchais chaque fois avec nostalgie, Prince Kim les aimait tant que je n'avais jamais osé les couper, je ne voulais pas lui ôter le plaisir de les peindre. Mais à présent... j'avais levé mon regard vers le fond de la pièce. Lentement je m'étais levé et j'avais attrapé l'objet brillant qui y trônait. Une dague. Lentement je la fis tourner entre mes doigts, observant rapidement la finesse des gravures avant de placer la lame à la limite de mon crâne. Je savais qu'elle était assez aiguisée pour me raser ces cheveux, pour les faire disparaitre, après tout je m'en servais pour me raser. Mon cœur tambourinait au creux de ma poitrine, ma main tremblait alors que je me fixais toujours dans le miroir. Je désirais tant effacer le bonheur pour mieux apprécier ce que j'avais à présent, et ces cheveux représentaient bien trop... je me senti pourtant défaillir et ma main retomba le long de mon corps avant que je ne tombe à genoux. Je n'en étais pas capable. C'est alors que j'entendis qu'on ouvrait la salle d'eau. Rapidement je m'étais retourné et c'est avec surprise que je vis le jeune fermier qui rarement s'aventurait à l'intérieur du palais. Il me retira la dague des doigts avant de soupirer longuement.

« Tu dois te laver à présent. »

Il me fit lever, et m'ôta mes vêtements après avoir rempli la baignoire de bain. Ne voulant pas le contrarier je m'étais lavé, paisiblement et sans un mot. Il m'aida à laver mes cheveux et soupira en voyant que j'avais tout de même réussi à couper un morceau d'une mèche. Mais il ne commenta pas l'évènement. Il se contenta de me laver, me rincer et de m'aider à me sécher. Il me tendit ensuite un pot de métal gravé et soupira.

« Couvre ton corps de ce baume. »
« Pourquoi ?... »
« Obéis s'il te plait. »

Je m'étais tourné et lui aussi alors que lentement j'avais passé le baume crémeux sur ma peau. Elle sentait bon la rose et l'huile de sésame. Ma peau brillait d'un éclat méconnu alors qu'au toucher elle était si douce... qu'attendait-il de moi ? lentement je m'étais tourné vers le brun qui me tendit une nouvelle tenue, tellement légère et claire... je ne comprenais plus... du moins j'avais peur de comprendre. Pourtant j'avais tout de même enfilé la tenue qu'il m'avait donnée et il s'approcha. Il attrapa mes cheveux encore humides et les tressa. Il roula les tresses et en fit un chignon haut, oubliant quelques mèches sur mes yeux, celle que j'avais coupé sans le vouloir venant chatouiller ma pommette gauche. Enfin, il me fit tourner face à lui. A nouveau il trouva une boîte de soins qu'il ouvrit. Je pus y voir une pâte colorée qu'il appliqua sur mes lèvres avec son petit doigt avec précaution. Enfin, il enfila une fleur dans un chignon et resserra la ceinture de mon étrange Hanbok.

« Tu sais ce que tu dois faire à présent. »
« Taehyung... je ne peux pas m'offrir à lui... »
« Le veux-tu rien qu'à toi ? Veux-tu qu'il t'offre sa pureté, son plus beau cadeau ? Yoongi ! si tu n'y vas pas c'est cette femme qui l'aura ! vas-y ! » il me gifla durement alors qu'il sanglot m'échappait.
« Il va l'épouser... et elle lui offrira sa virginité... » une nouvelle gifle vint rougir ma joue gauche.
« Tu l'aimes plus que tout alors cesses. Nous sommes pauvres, faits pour souffrir ! et toi tu as la chance d'avoir l'amour d'un Prince, qui jour et nuit cherche une femme qui voudra bien jouer la femme aimée toute une vie, et ce sans jamais l'être! Peux-tu imaginer la souffrance de cette femme qui le verra t'aimer alors qu'elle aussi l'aimera ? mais elle, elle n'aura jamais d'amour en retour ! Te rends-tu compte qu'il l'utilisera comme une couveuse d'enfants qu'il voudrait avec toi, qu'en l'aimant au lit c'est à toi qui pensera du début à la fin, que jamais elle n'aura une place pour elle dans ce palais car tu la possèdes déjà ?! Alors maintenant vas aimer ton amant, vas lui donner ce que tu as de plus cher, et reçois son amour en échange ! »

Jamais je n'avais été aussi ébahi alors qu'enfin il reprenait son souffle. Sa voix avait été si dure et pourtant si forte, pleine de bon sens. J'avais donc hoché de la tête, il avait tellement raison après tout. J'avais donc porté les pans de ma tenue avant de marcher dans le palais. Tant j'avais été enfermé je n'avais pas vu que la lune était déjà haute dans le ciel et que le palais c'était endormi. Enfin, tout le palais ne l'était pas. Je pouvais voir la chandelle chancelante du prince alors que l'ombre de son lit était projeté sur le mur. Il était allongé, immobile, une jambe repliée. C'est alors que Taehyung frappa à la porte pour moi et à peine eut-il une réponse qu'il me poussa à l'intérieur. Sauf que je n'avais pas encore envisagé ce que j'allais pouvoir dire, cela Taehyung n'en avait pas parlé. Je m'étais donc retrouvé devant le lit de mon maître, les doigts serrés sur ma tenue alors qu'il s'était lentement redressé. Il me regardait alors que lentement, et d'une main tremblante, j'avais passé ma mèche derrière mon oreille gauche les yeux posés sur ses pieds encore chaussés. Il était immobile à présent qu'il était à moitié assit dans son lit, attendant surement que je face une annonce. Or ma voix était cassée et chaque fois que j'ouvrais la bouche je sentais les larmes me monter. Ma gorge était si serrée que j'avais envie de tousser, de vomir et hurler, tout à la fois, mais j'étais incapable de faire cela. J'avais alors levé les yeux sur le lit, fixant ma place vide pour me donner du courage alors qu'il s'était relevé complètement pour s'asseoir en tailleurs sur le lit. Je le voyais du coin de l'œil, ses cheveux lui tombant dans les yeux, et la bouche entrouverte. Je ne devais pas le laisser parler en premier. Je pris donc mon courage à deux mains et mes lèvres se desserrèrent enfin pour laisser échapper ma voix faible.

« Mon Prince... »

Mes mains vinrent défaire le nœud qui retenait le haut de mon Hanbok avant que je ne le laisse glisser de mes épaules. Je vis le Prince sursauter alors que je venais lentement ouvrir mon pantalon. Le Prince Kim sembla avoir un mouvement de recul mais je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. J'avais donc fermé les yeux et laissé tomber mon pantalon. Je m'en défis en sortant mes pieds nus des différents tissus avant de soupirer. Les poings et les yeux fermés j'avais enfin pu murmurer ma requête.

« H-Honorez-moi, mon Prince... »

Il sembla ne pas bouger pendant un instant avant que je n'entende les draps se froisser. J'ouvris donc les yeux et je le vis s'asseoir au bord de son lit, les yeux rieurs et un sourire amusé sur les lèvres. Il vint alors me prendre par la taille et m'approcha de lui, me forçant à m'asseoir sur ses genoux. Immédiatement mon corps se tendit, trop peu habitué à sentir tant de son corps contre le mien. Ses mains sur ma taille, son torse contre le mien, et enfin son nez venant jouer avec ma pommette. Mes mains étaient venues se poser contre son torse alors qu'il avait ramené mes jambes dans son dos, les forçant à se nouer. Il vint enfin respirer l'odeur dans mon cou et un rire l'anima.

« Pourquoi ressembles-tu à une Kiseang*» Mes joues devinrent aussi rouges que possible.
« Je... je voulais vous plaire... » Il ne put s'empêcher de rire faiblement en mordillant tendrement mon épaule.
« Tu n'as pas besoin de toute cela pour me plaire. »

Il glissa alors sa main dans mes cheveux et retira la fleur qu'il jeta sur le lit. Puis, ses doigts vinrent défaire mon chignon et je vis dans son regard qu'il était amusé. Il prit donc plaisir à retirer lentement la tresse en glissant ses doigts entre les mailles et enfin il laissa mes cheveux venir caresser mon dos fin, avant qu'enfin il ne trouve la mèche courte. Il la roula entre ses doigts, l'air accusateur alors que je me sentais me tortiller de gêne.

« Tu as tenté de les couper ? » faiblement j'avais hoché de la tête. « Pourquoi ? »
« Je... j'étais très triste de ne vous voir que très peu... »

Le Prince soupira faiblement avant que ses mains ne remontent lentement le long de mon corps, venant caresser ma peau de la pulpe douce de ses doigts. Je me sentais dès à présent frémir et mes yeux se fermèrent d'eux-mêmes alors que sa main vint caresser la base de mon cou, me forçant à renverser la tête en arrière. Il se glissa alors contre mon cou et y apposa un baiser si tendre que je me sentis sourire tristement. Je ne pouvais jamais lui en vouloir, je l'aimais plus que moi-même, plus que le monde entier.
Sa bouche glissa le long de mon épaule avant qu'avec délicatesse je ne le sentes m'allonger à ma place dans le lit. Il se redressa lentement alors qu'il était à genoux face à moi. Il prit délicatement mes mains avant que je ne le voie retirer son chignon et son bandeau. Je compris donc que je devais retirer ses vêtements et c'est en regardant ailleurs que j'avais ouvert sa tenue. Il m'offrit un sourire tendre lorsqu'il attrapa mon menton et me fit le regarder. Il était si beau, ses cheveux tombant devant ses yeux noirs, venant caresser ses lèvres épaisses et rougies. Il ne m'avait pas rejeté et à présent... il allait accéder à ma requête. Mes lèvres se plissèrent de joie alors qu'enfin j'avais réussi à retirer sa tunique. Dessous il portait une tenue blanche que j'avais également retirée avant d'enfin voir sa peau. Mes mains vinrent alors timidement parcourir la peau de son torse fin, caressant délicatement cet épiderme si délicat alors qu'il avait rit un instant. Il se mis alors à genoux face à moi, ses doigts pianotant sur mes genoux repliés avant de se redresser.

« Attendez une seconde, amour. »

Je cru faire un malaise lorsqu'il eut prononcé cette phrase mais ce fut pire encore lorsqu'il se redressa, quittant le lit complètement nu. Mes mains vinrent alors couvrir mes yeux, essayant d'effacer l'image de ses parties si intimes, et tenter d'oublier que cela m'avait provoqué une chaleur au creux de l'estomac. J'avais un problème, finalement maman avait raison.
Dans un sursaut, j'accueillis le prince qui était de retour une petite boîte de métal entre les doigts. Il la déposa près de mon oreille droite alors qu'il venait délicatement se glisser entre mes cuisses, amenant son corps contre le mien. Immédiatement j'avais resserré les genoux et mordu ma langue. Son ventre... contre... il se mis à rire alors qu'il caressait ma cuisse.

« Voilà pourquoi je ne voulais vous honorer plus tôt. Vous êtes si sensible... »
« M-Mon prince pourquoi me vouvoyez-vous depuis plus tôt ?... » Mes doigts se tortillèrent dans sa nuque.
« Car je vous dois plus de respect à présent que vous êtes mon amour. Je veux dire officiellement. »
« Ce n'est pas encore officiel, Mon prince. »
« Ce le sera. »

Délicatement il vint capturer les lèvres alors que je sentais son corps enclencher un mouvement lent de balancier. Mes jambes, comme par automatisme se lièrent à sa taille et tout sembla si naturel à cet instant. Ses baisers glissèrent partout dans mon cou, sur mon torse et sa langue vint même jouer sur le bout de mes boutons roses. Jamais je n'avais été si bien et si gêné à la fois, alors mes doigts étaient venus jouer avec ses cheveux bruns. Ses doigts venaient alors caresser tout mon corps, trouver chaque zone sensible pour mieux les stimuler. Et enfin, comme si cela avait été tout à fait naturel, normal, il trempa son index dans le baume présent dans le pot de métal, avant que ses doigts ne passent entre mes cuisses. Il glissa un doigt à l'intérieur avec tendresse et cela m'avait suffit pour supporter la gêne. Je le voulais contre moi et alors qu'il s'attelait à me préparer à son arrivée, je caressais son corps, ce corps qui m'appartenait également, embrassant son cou, son menton, ses joues, son front... tout...

Enfin, il souffla la chandelle et je le senti attraper mes hanches. Il les suréleva avec les draps qu'il roula en boule dessous, et enfin je la senti, frapper contre moi. Il posa son front, demandant silencieusement l'accès alors que j'avais hoché de la tête. Enfin, il poussa, lentement, très lentement, et je pus le sentir être à moi, sentant chaque avancée, chaque frisson et chaque contraction. Je le sentais même palpiter alors qu'enfin ses hanches frappaient les miennes. Il me serra alors contre lui et me ramena sur ses hanches, s'asseyant dans son lit. Il attendait que je sois prêt mais je ne l'avais jamais autant été. J'avais alors commencé à mouvoir ma taille, le faisant soupirer de plaisir alors que j'étais moi-même étonné de ressentir une joie, un plaisir, un quelque chose qui coulait partout dans mes veines, me faisant couiner faiblement.

Il glissa ses mains dans mon dos et ma nuque, me câlinant amoureusement alors que j'accélérais mes coups de reins, murmurant des 'je vous aime' à son oreille auxquels il répondait toujours. Il s'offrait à moi, je m'offrais à lui et je savais que malgré tout cela, jamais je ne le regretterai. La joie, le plaisir, le désir, tout était présent alors qu'avec ferveur mes lèvres cherchaient les siennes, mon souffle erratique frappant le sien. Mais je n'étais pas assez rapide. Je fus alors rapidement repoussé sur le lit, son corps plaquant le mien alors qu'il donnait de plus forts coups de reins. Je mourrais de chaud, de plaisir et de joie alors que ses poings se serraient sur les draps, et que mon corps se balançait sous le sien. Il poussait contre mes hanches et je poussais contre les siennes alors qu'il souriait malicieusement.
Or, soudainement, un plaisir incommensurable s'empara de mon ventre. Je me mis à paniquer serrant ses épaules entre mes doigts, murmurant son prénom qui enfin m'échappa sans formule de politesse.

« Ce n'est rien amour, jouissez. »

La formule me fit rougir alors qu'il donnait de plus grands coups de reins. Mais je ne pus que lui obéir alors qu'enfin le plus grand plaisir jamais connu grimpa depuis mon ventre jusqu'à mon crâne. Je sentis soudainement mon dos s'archer et c'était comme si... j'avais un instant quitté mon corps tant c'était bon, comme si j'avais senti mon âme hurler de joie et transformer mon corps en un temple de plaisir charnel. Mais lorsque le prince se mis à faiblir je revins à mon corps et je le vis transpirant, amoureux, souriant alors qu'enfin quelque chose de plus apparaissait sur son visage. Il ferma les yeux, tendu son cou où je pus voir sa jugulaire enfler, sa bouche s'ouvrir et laisser un râle masculin s'échapper. Un sursaut me prit lorsque je senti quelque chose de chaud à l'intérieur mais je ne voulais pas en parler de trop, après tout, moi j'avais fait cela sur nos torses...

Il se retira lentement après que je pus observer ce tableau si superbe et s'écroula à mes côtés. Il passa ses mains dans ses cheveux, riant, heureux alors que lentement je m'étais glisser sur son torse. Il ramena nos couvertures et passa son bras autour de ma taille, embrassant chaque parcelle de peau sur mon visage alors que je lui souriais. Mais nous étions tous deux épuisés par tout ce plaisir et nous dûmes donc fermer les yeux, après un ultime baiser.

« Dormez bien, amour. »
« Passez une douce nuit également, Mon Prince. »

Il m'offrit un sourire et enfin, il s'endormi paisiblement, avant qu'également je ne m'endorme sur son torse délicat.

*Kiseang : ce sont, les prostituées qui étaient au palais, ou dans un bâtiment qui portait aussi le nom de Kiseang. Elles étaient comme des concubines, dans une caste basse de la société et étaient autorisées par l'état. Elles pouvaient ainsi offrir des plaisirs sexuels aux habitants tu palais en toute légalité :3

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