Chapitre 4


Je me réveilla en sursaut. C'était le jour de la visite. Je ne savais pas vraiment quoi penser. J'avais à la fois peur de le revoir, mais j'avais envie d'avancer dans mon enquête. Je m'habilla en vitesse, avant de réveiller discrètement Enid. 

" Enid ! Leve toi ! On part dans une heure.

- Grmmh..."

Soudain, quelques coup toquèrent à la porte. Je regarda par le verre de la porte, et je soupira de soulagement en ouvrant le porte. C'était une des dames qui nous rapportait le déjeuné. Je lui arracha des mains les petit déjeuné avec un "merci" tres bref, refermant tout de suite la porte.  Je me retourna vers Enid, qui était toujours en train de jacasser sur son téléphone. Elle me jeta un regard hilare :

" Regarde, Mercredi, tu savais que le nouvelle directrice avait un compte Instagram ?

- Non. Enid s'il te plait prépare toi je n'ai pas que cela à faire !

- Non, vraiment, c'est intéressent, il y a une nouvelle annonce concernant un nouveau meurtre.

- Sérieusement ?!"

Je m'approcha d'Enid, lui prenant le téléphone des mains. Je lu à voix haute :

" Chers élèves.  Malheureusement, il y a eu un nouveau meurtre dans une autre chambre, retrouvé avec des traces de brulures intenses. Si votre porte est en bois, veuillez nous appeler pour que nous changions votre poignée, par précaution. Bonne journée à tous, soyez prudents.

- Rah... Il nous disent même pas qui est mort...

- C'est sur.. J'aurais aimé avoir plus d'informations. ( je fronça les sourcils ) Bon leve toi Enid ça fais trois fois que je le te demande !"

Enid s'étira, et se leva. Elle avait la mine triste. Je lui prit la main et elle paru surprise. Je lui dit d'une voix qui n'était pas douce mais moins froide que d'habitude :

"Écoute Enid. Je sais que tu as peur que ce soit l'un de tes amis, mais... On doit trouver la vérité. Tu comprend ? Tu n'es pas un fardau pour moi. J'ai besoin de toi.

-Oh.. Je.. Merci Mercredi... je croit que c'est la chose la plus gentille que tu aie dite depuis que tu es née ! Ouh.. Non. Pas quand tu as dit je t'aime à Xavieeeeeeeeer....!

-Chut ! Enid tait toi si tu ne veux pas que je revienne sur mes paroles.

- Oui oui ok..."

On sorta par la fermeture, je fit bien attention de ne pas faire de bruit. Je ne voulais pas quelqu'un soit au courant de notre sortie secrète. Une fois sur le balcon, je prit une corde. Je le lança jusqu'à qu'elle atteigne un arbre pas très loins. Bon. Il y avait que deux mètres à traverser avec la corde. Descendre l'arbre serais une autre histoire. Je dit explicitement à Enid de ne pas le faire AVANT que je soit dans l'arbre. Je prit mon courage à deux main puis je prit la corde dans mes mains. Je m'accrocha aussi avec mes pieds, et je descendis jusqu'à l'arbre. Ce fut au tour d'Enid. Je l'attendais sur la branche, tout en lui donnant des conseils pour ne pas tomber. Au bout de un mètre, je la vit perdre équilibre, se tenant seulement à une main à la corde. Je me rapprocha, pour lui tendre la main, inquiète, puis je le vit tomber sans que je ne puisse rien faire. Je la vit percuter une branche pus tomber par terre. Je descendis aussi vite que possible l'arbre, les larmes aux yeux. Un tel coup pourrais être fatal, comme il pourrais être inoffensif. Ne me pencha sur son corps étendu par terre, du sang s'écoulant de son nez. J'hurla son nom autant que je pouvait. Je lui prit le poignet. Son cœur bâtait très bien. Un tout petit soulagement apparu en moi. J'enleva ma veste et je lui mît sous la tete. Les larmes coulaient sur mes joues sans que je ne puisse rien y faire. Je sortit un mouchoir que j'imbiba d'eau, et lui mît sur la tete. Que faire ? Il ne fait pas que Mme C soit au courant. J'eu soudain une idée. Je sortit mon téléphone, pis j'appela Xavier. Il décrocha automatiquement :

« Salut Mercredi ! 

( j'avais la voix tremblante ) - Salut Xavier...

- Bas alors qu'est ce qui c'est passé ?

- C'est Enid elle... Enfin bref rejoins moi sous mon balcon avec du matériel médical n'appelle pas la directrice ni l'ambulance à tout à l'heure. »

Je raccrocha tout de suite. J'éteins mon téléphone, pourtant, le téléphone se ralluma. Mon stolker. Son message s'intitulait : «  alors, on s'est fait un bobo ? » avec une photo de moi pleurant au dessus de Enid. Pour une fois je lui répondis : «  Ferme la ».

J'entendis soudain une voix au dessus de moi. C'était Xavier, venu avec une trousse médicale. Il descendis jusqu'à moi, les yeux écarquillés. Il me jeta un regard horrifié, puis me dit d'une voix tremblante :

« Qu'est ce qu'il lui arrivé ?

- Elle est tombée de la branche.

- Tout d'abord, il faut la remonter.

- Prend la sur ton dos. »

Il la prit et la remonta. Une fois en haut, je l'allongea sur son lit. Je dit à Xavier d'une voix froide :

« Part. Maintenant que tu m'a aidé tu peux partir.

- Mais pourquoi ?

- Je dois la changer.

- Oh je vois... »

Il sortit en reculons de la chambre me laissant le trousse. N'enleva ses habit à Enid, sauf sa brassière et son boxer. Je vis comme ça une grande blessure ouverte au niveau du bras. Je grimaça, essuyant le sang. Je nettoya la plaie, avant de sortit une aiguille chirurgicale propre un du fil chirurgical. Le dos tourné à Enid, je préparait ce qui allait refermer sa plaie. Quand je me retourna, je la vit réveillée, me souriant, mais malheureusement, très faiblement.

« Oh Enid... Tu t'es réveillée.

- O-oui...

- Écoute je vais devoir refermer ta plaie..avec... ça.. ( je lui montra l'aiguille et le fil. Elle eu un mouvement de recul, tout en grimaçant. Mais au final, elle hocha la tête)

- J.. je....c..omprend...

Je suis désolée si ça va te faire mal, mais il ne faut pas que tu fasse de bruit. Il ne faudrait pas prévenir la directrice.

- O-ok.. »

Je prit délicatement son bras, et enfonça l'aiguille dans sa chair. Je la vit serrer les dents, les larmes aux yeux. Je recommença à plusieurs reprises, grimaçant au petits cris de douleurs qu'elle poussait. Des larmes sortaient de mes yeux et je n'arrivait pas à les arrêter devant ce spectacle de sang. Quand j'eu finit, Enid poussa un soupir de soulagement. Je nettoya le sang et lui donna un peu d'eau à boire. Après avec désinfecté les autre petites égratignures, je lui mît sa robe de nuit, puis je la laissa dormir. C'est à ce moment précis qu'une jeune fille de mon âge, aux cheveux brun s'écroula devant ma porte, juste après avoir ouverte celle ci que Xavier n'avait pas fermé.

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