Chapitre 3
putain je me rends compte que j'ai fais que de la merde là OH ! MITSURU N'EST PAS UNE MEUF JE FOUT QUOI MOI-
Je suis vraiment navrée pour l'énorme OOC que j'ai fait, et je vous demanderais de m'excuser.
Donc Maintenant je vais donner à Mitsuru, la personnalité de MITSURU. PAS CELLE DE PUTAIN D'AYAME QUI EST CHIANTE COMME PAS DEUX-
Et pas non plus une personnalité de Hikaru mais en version chiant.
Vous avez compris que je n'aime pas Ayame ? Non ?
Je n'aime pas Ayame. A vrai dire je là déteste.
NE ME DEMANDEZ PAS POURQUOI ET LISEZ LA GEJOGKLRG
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Le garçon sortant tout juste de la salle, se retrouvant à présent dans un couloir illuminé, se senti déjà mieux. Le peu de lumière se trouvant dans cet endroit abandonné est toujours la bienvenue, et surtout, réconfortante. L'un des deux chemin fut bloqué par une pile de carton. Il commençait à se demander comme ce faisait-il qu'il y ait autant de carton en désordre. C'est un hôpital après tout. Les couloirs devraient être accessibles en cas d'urgence.
Il ne chercha pas plus loin et parti de l'autre coté, repassant devant la porte d'où il venait.
Il passa devant plusieurs portes, elles aussi fermées à clefs, le forçant à continuer à errer dans les couloirs, ne savant plus vers où se trouve la sortie.
Soudain, juste avant d'arriver dans un large couloir, il vit une forme blanche, avec une légère teinte verte pâle, qui brillait suffisamment pour ne distinguer aucun signe distinctif. La forme titubait devant lui, alors que Mitsuru s'arrêta sous le choc. Il en oubliait même de respirer, son esprit s'étant vidé.
Lorsqu'il reprit le contrôle de son corps et de ses pensées, il courût dans le couloir, mais la forme avait disparût. Il devra agir plus rapidement la prochaine fois. Il suivit donc la direction dans laquelle se dirigeait la choses, se trouvant dans une cage d'escalier.
'C'est une odeur... D'encens ?' Se demanda le garçon alors que la forme de juste avant venait de franchir la porte de l'étage inférieur. Sans y donner de seconde pensée, il franchit lui même la porte.
En poursuivant sa route, il le vit très clairement. 'Un fantôme ?? Ce genre de chose n'existe que dans les histoires ! Et pourtant... Rien ne peut ressembler à un vieil homme tout en étant blanc et transparent, pas vrai..?' Il suivit l'être, qui traversa une porte. Ça l'avait convaincu. Il devra dès aujourd'hui croire en l'existence des fantômes.
"Salle de radio" indiquait la planche qui était vissé sur la porte. Étant récluant à l'idée d'ouvrir la porte pour le moment, il passa la salle et continua son bonhomme de chemin, bien qu'il avait décidé d'entrer dans la salle de radio.
En passant devant un comptoir, ressemblant à un poste d'accueil, protégé par une vitre, il vit une forme passer. Une forme humaine.
Une femme, en chair et en os. Une personne en vie ! Il se précipita dans le local. En y entrant, son premier réflexe fût de tester les lumières, et un soupir de soulagement se fit entendre alors qu'elles s'allumèrent sans difficulté. Il pouvait bien le voir maintenant, le local était tout aussi en désordre que le reste du bâtiment.
En cherchant le signe de la femme qu'il à vu, il se trouvait qu'elle était debout, tout en faisant face au mur opposé de la vitre de l'accueil. Elle murmurait trop bas pour que le garçon ne puisse comprendre un seul mot de ce qu'elle disait.
Il tenta d'attirer son attention en parlant ou en lui touchant l'épaule, mais elle ne réagissait pas. Il alla alors dans la salle d'à côté, en espérant avoir des réponses, et plus que tout, sortir d'ici.
Une lampe torche de secours était accroché au mur, le boitier ne s'ouvrant qu'en cas de panne de courant. En cherchant dans la salle, il trouvât à l'opposé de la porte un bureau, avec un dessin accroché juste au dessus, collé au mur.
'C'est... Le dessin d'un enfant ? Un portrait ? On dirait une femme... Le portrait d'une mère ? C'est terrifiant.' Se dit-il en frissonnant face au dessin devant lui.
Les traits étaient épais et exagérés. La bouche avait des lèvres immenses tout en formant un 'o', alors que les yeux n'étaient que deux ronds noir, et les cheveux étaient en désordre.
Le bruit d'une serrure se fit vite entendre. Il se retourna pour voir si quelqu'un était entrée, mais son action fut interrompu pas des gémissements derrière lui. Il dirigea de nouveau son regard vers le dessin, et un nouveau gémissement se fit entendre alors que la feuille se mit à bouger.
Puis les lumières se sont éteintes.
Il courut aussi vite que possible vers la lampe de secours et illumina frénétiquement la salle de part en part. Son cœur battait tellement qu'il pensait qu'il allait exploser dans sa poitrine.
Il se précipita de sortir de la salle pour se retrouvé dans une situation pire que la précédente.
La femme d'avant, qui était dans le local, se tenait sur une chaise, une corde nouée à son cou. Il tenta de m'empêcher de commettre l'irréparable, mais alors qu'elle s'est laissée tomber en avant, il entendit le craquement de sa nuque, lui assurant que peut importe ce qu'il pouvait faire, il restera seul.
Il tomba au sol sous de choc. Ce n'est pas tous les jours que tu vois une personne se briser la nuque tout en suicidant, alors que jusqu'à présent, tout ce que tu souhaitais était de rentrer chez toi pour revoir ta famille.
Et plus les secondes passaient, plus Mitsuru se disait qu'il ne reverrait jamais son père et son petit frère.
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ah bah quand même.
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