Tu m'as donné des ailes

*point de vue Glen*

Je suis dans un endroit totalement blanc. Je suis tout seul aussi je pense. Je marchais sans vraiment savoir où j'allais. Je parcourais toujours cette étendue lumineuse lorsque j'aperçu un homme et une femme. Ils semblaient plutôt âge. Je ne pense pas les connaître mais ils me disent quelque chose.

Moi: euh... bonjour ?

Un vent... cool

Moi: je peux savoir où nous sommes ?

Deuxième vent... super

Moi: au moins, dites-moi qui vous êtes

Troisième vent... perfecto !

Bon bah... ils ne vont rien me dire. Ça c'est certain. Je décide donc de me rapprocher d'eux. Peut-être qu'ils ne m'entendent pas après tout.

Femme: restes où tu es !

Au moins quelqu'un a parlé parmi les deux.

Moi: qui êtes-vous ?

Homme: tes grands parents

Moi: du côté de qui ?

Eux: nous sommes Florence et Guillaume

D'accord se sont les parents de ma mère. Mais... il sont morts ! Je suis où là ?

Moi: je suis ravi de vous rencontrer mais est-ce que vous pouvez me dire où nous sommes ?

G.P Guillaume: le moment est venu pour toi de partir d'ici Glen

G.M Florence: ton temps n'est pas encore arrivé

Je ne comprend absolument rien donc j'avance encore un peu.

Eux: arrêtes-toi maintenant !

Moi: qu'est ce qui se passe ?

Lui: si tu approches encore tu ne reverras plus jamais tes proches

Elle: c'est ce que tu veux ?

Moi: non ! Je... je veux rentrer. Que dois-je faire ?

Elle: pense très fort à tous ceux que tu aimes et le tour sera joué.

Lui: tu diras à ta mère que nous n'oublierons jamais notre petite Calli d'amour. 

Moi: d'accord. Merci pour tout. Je ne vous ai pas connus mais je sais que vous devriez être des grands parents géniaux. 

Ils m'ont fait un sourire franc et ont disparu je ne sais où. J'ai donc fait ce qu'il m'ont dit et j'ai commencé à penser à tous mes proches, les yeux fermés.

J'étais toujours très concentré lorsque je ressenti une main. Je la resserre un peu et j'entends la voix de Rawen.

Elle: DOCTEUR VENEZ VIIITE !

J'entendais tout mais je n'arrivais pas à parler. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu deux inconnus en blouse blanche devant moi. Un homme et une femme. J'entendais aussi Rawen mais pas distinctement.

Homme: si vous m'entendez, clignez des yeux. 

Je m'exécute

Homme: bien ! Si vous sentez ma main, clignez également.

Il avait mis sa main sur mon bras. Je cligne donc.

Homme: très bien ! Une dernière fois. Sentez-vous ma main ?

Là, elle était sur ma jambe. Pareil, je cligne des yeux.

Homme: parfait ! Lydia, ramenez moi une faible dose d'adrénaline.

La femme disparaît de mon champs de vision et revient quelques instants plus tard.

Homme: tenez-vous prêt monsieur, je vais vous injecter. Vous allez sentir une légère piqure.

Je n'ai même pas eu le temps de réaliser que j'ai senti l'aiguille dans ma peau. A peine a t'il déversé le liquide que j'eu envie de sauter au plafond. Je me suis relevé en sursaut comme si je sortais d'apnée. J'avais un peu mal au torse quand même.

J'étais assis sur un lit à l'hôpital et dès que j'ai regardé de l'autre côté, Rawen vint me sauter dans les bras et me couvrir de baisers. Elle avait les larmes aux yeux.

Elle: merci seigneur ! Mon amour, je t'aime. Tu ne m'as pas laissée et je t'en remercie.

Moi: pourquoi Rawen ? Mais pourquoi tu me dis ça maintenant ?

Elle: tu ne te rappelles de rien ?

Homme: il aura besoin d'un peu de temps pour mettre ses idées au clair.

Elle: merci docteur.

Il hocha la tête et s'en alla.

Rawen: merci pour tout Lydia

Elle: ce n'est rien. Je t'avais dit de garder espoir. Bon bah... j'y vais. Belles retrouvailles les amoureux...

Elle lui fait une accolade puis elle sortit de la pièce. Rawen s'est retournée vers moi. Son regard était si... intense. Elle ne m'avait encore jamais regardé comme ça. C'était à la fois intriguant et excitant.

Moi: pourquoi tu me regarde comme ça ?

Elle: je suis la femme la plus heureuse du monde à cet instant précis.

Elle est venue m'embrasser et wow c'était... trop bien...

Moi: il s'est passé quoi ? Qu'est ce que je fais à l'hôpital ?

Elle: quelle est la dernière chose dont tu te souviennes ?

Moi: nous étions tous à ton anniversaire et j'ai chanté pour toi puis plus rien.

Elle: tu t'es pris une balle dans la poitrine.

Moi: qui a fait ça ? Raconte-moi tout s'il te plaît.

L'histoire qu'elle compta me laissa médusé. Eduardo a tenté de me tuer pour se venger, quitte à mourir ? Même après un an il n'avait toujours pas oublié notre trahison. En plus, il a été aidé par quelqu'un. Ce qui veut dire qu'on est encore dans la ligne de mire d'une autre personne. Je pense que c'est Edna et il faut qu'on la retrouve impérativement. Mais pour l'instant, l'heure est aux retrouvailles.

Le temps que Rawen ne termine son histoire, la grande famille était déjà présente: maman, Howard, Olga, Robert, Angela, Romuald, Agnès, Marco, Kealan, Enrick, Neis et même mon petit cœur Nora.

Moi: *souriant* je suis content de tous vous voir.

Howard: nous aussi mon fils. On a tous eu si peur.

Je m'apprêtais à lui répondre lorsque ma mère se jeta sur moi et me prit dans ses bras.

Elle: Tu nous as tellement manqué ! Je remercie le ciel que tu nous sois revenus.

Moi: merci ! Maman, je ne sais pas si c'était un rêve ou la réalité mais, j'ai vu mes grands-parents

Elle: qu'est-ce qu'ils t'ont dit ?

Moi: ils m'ont dit tous deux qu'ils n'oublieront jamais leur petite Calli d'amour. 

À l'entente de ce surnom, les larmes lui montèrent aux yeux mais ce n'était pas de la tristesse. Non. C'était de la nostalgie.

Elle: merci de m'avoir transmis ce message mon cœur

Moi: ce n'était rien.

Romuald: comment te sens-tu Glen ?

Moi: très bien vu que vous êtes tous là à mes côtés.

Kealan: oh... qu'il est mignon ! Tu en as mis du temps. J'ai eu 19 ans et t'étais même pas là avec moi !

Moi: t'inquiètes pas petit frère. On va se rattraper comme il faut. *rire*

Angela: mon fils n'oublie jamais que seules les personnes qui t'aiment souffriront de ton absence. Remercie le seigneur chaque jour pour cette grâce accordée

Moi: je compte bien le faire. Merci pour tout votre soutien

Les parents sont restés me parler un bon moment puis ils ont dû rentrer. Ça fait vraiment plaisir de se sentir entouré par de bonnes personnes qui nous aiment.

Marco: alors... Prêt à reprendre les affaires ?

Enrick: hors de question !

Kealan: c'est beaucoup trop tôt

Lui: calmez-vous les gars, c'était juste une blague

Rawen: hum... c'est mieux pour toi 

À un moment, j'ai remarqué que Neis n'était plus dans mon champ de vision donc j'ai commencé à scruter la pièce et l'ai vu assise dans un coin entrain de donner le sein à Nora.

Enrick: regarde pas ma femme toi ! Tu es encore convalescent mais je peux toujours te frapper mec.

Neis: *rire* t'enflammes pas chéri. On est tous une famille.

Rawen: c'est pas une raison. Allez, range moi tout ça *rire*

Elle: mon enfant ne va pas mourir de faim à cause de vous hein. Bande d'imb...

Nous: d'imbéciles ! On sait

On s'est tous mis à rigoler. Ce genre de petits moments resteront gravés dans ma mémoire.

Neis s'approcha du lit où je suis assis. Elle posa Nora sur moi. Elle est trop belle cette petite. On aurai même envie de la manger

Moi: comment ça va ma petite princesse ? Alors, tonton Glen il t'a manqué ?

Elle m'a sourit et ça m'a réchauffé le cœur d'un coup. J'aime trop les bébés.

Enrick: les bébés t'aiment bien. C'est bon signe

Marco: très bon signe même

Kealan: très très bon signe même

Neis: très très très b...

Moi: *rire* ça va maintenant. Vous me faites quoi là ?

Neis: on te prépare juste

Moi: à quoi ?

Enrick: à la grande révélation

Moi: vous n'allez pas le dire ? C'est quoi ce mystère ?

Rawen: Glen... je suis enceinte

Je la regarde et remarque qu'elle a carrément maigri.

Moi: *rire* c'est quoi cette blague de merde ?

Neis: c'est sérieux roooh !

Moi: tu es enceinte d'un bébé ?

Enrick: non ! D'un sandwich jambon fromage.

Moi: *rire* c'est vraiment vrai ?

Rawen: je suis enceinte de trois mois

Moi: comment ça se fait ?

Ils m'ont tout expliqué et j'ai été si heureux que je n'arrivais plus à fermer ma bouche.

Moi: *souriant* viens me faire un bisou

Kealan: vous êtes dans un hôpital je vous signale.

Nous: tg

Lui: sympa !

Rawen est venue sur mon lit et je l'ai embrassé comme jamais.

Je vais être papa les gars !!!!!!

Marco: par contre là, je suis du côté de Kea. *rire* Rentrez chez vous pour faire ça.

Neis: on va plutôt les laisser tranquilles. Allez, tout le monde dehors.

Marco: à demain le couple présidentiel et encore félicitations pour le bébé.

Nous: merci ! Bye bye

Moi: à nous deux maintenant. Ça a pas été trop dur de vivre sans moi j'espère ?

Rawen: ça va hein. Je l'ai plutôt bien géré

Moi: tu rigoles ou quoi ? Tu as maigris, tu as fait un déni de grossesse, tu as...

Elle: c'est bon ! Tu as raison. Je n'arrivais plus à rien sans toi.

Je lui ai fait une petite place sur mon lit.

Moi: viens là. Tu sais ? Je n'ai pas senti passer ces trois mois mais le fait de savoir que vous en avez souffert m'a mis un coup. Je ferrai tout mon possible pour ne plus que ça arrive.

Elle: prions pour.

Moi: allez, fais-moi bisou... encore... encore... encore...

Elle: *rire* toujours tu abuses !

Moi: *rire* je sais. Tu es heureuse de devenir mère ?

Elle: je vais pas te mentir, j'ai pensé ne pas pouvoir y arriver. Ensuite, j'ai eu une discussion plus que sérieux avec Neis et elle a réussi ma convaincre.

Moi: je suis désolé pour toutes les épreuves que tu as traversé pendant que j'étais dans le coma.

Elle: le plus important est que tu sois de retour et que je t'aimes encore plus qu'avant.

Moi: je t'aime aussi Rawen.

*point de vue Rawen*

Glen est sorti de l'hôpital une semaine après son réveil. En réalité, tout allait bien dès le premier jour mais il a dû faire une rééducation parce que ses membres étaient atrophiés. Nous prions tous les matins pour remercier le seigneur de tout ce qu'il a fait.

Nous sommes revenus dans notre maison et j'ai organisé un feu de joie et nous avons tous brûlé les habits que nous avions porté ce jour là. C'était une manière de tourner la page.

Je suis enceinte ! Bon vous le saviez déjà. Je n'ai toujours pas de signes pour l'instant mais le docteur m'a dit que ce n'est pas un problème. Il faut juste que je me prépare à ce qu'ils apparaissent à une vitesse exponentielle. Ce sera trop bizarre mais je ferrai avec.

Depuis que Glen, l'amour de ma vie m'est revenu, je suis sur un nuage. Je le couvre de baisers en permanence. Je suis trop heureuse qu'il aille bien.

Plusieurs personnes qui étaient dans le coma ne se sont jamais réveillés (paix à leurs âmes) mais Glen oui. Ça veut dire qu'il a encore de nombreuses choses à accomplir sur cette terre et que nous avons encore de longues années ensemble lui et moi.

Lui: ça te dis un restau ce soir avec NeiRick. J'ai envie de sortir un peu

Moi: ça me va. Je vais appeler Neis tout de suite.

Je n'ai jamais changé son nom dans mon téléphone même après un an parce que sa place reste toujours la même dans mon cœur. Elle et moi c'est et se sera toujours à la vie, à la mort.

My ride or die 🥵

Oui doudou

Moi

Vous venez au restau avec Glen et moi ce soir ?

Elle

Avec plaisir. J'y pense, on pourrait même avoir un thème comme avant

Moi

Ouais... c'est bien ça. Qu'est ce que tu dis de Camo outfits ?

Elle

Parfait ! J'informe mon mari

Moi

*rire* avoue, tu aimes dire ça hein

Elle

Trooooop *rire*. À tout les amoureux

Moi

Bye

J'ai raccroché et je suis partie m'étaler sur Glen.

Moi: tu sais ? On a encore un peu de temps devant nous. On pourrait... tu vois quoi ?

Lui: hum... je n'ai jamais fait l'amour avec une femme enceinte

Moi: *rire* encore heureux

Lui: c'est pas dangereux où un truc dans le genre ?

Moi: pas du tout. C'est conseillé même. Ça fait trois moi que tu ne m'as pas touché alors laisse-moi profiter.

Glen est si doux, si précautionneux. Il me traite comme une perle rare. Je sens magnifique lorsqu'il me touche, m'embrasse, me caresse.

L'amour que je ressens pour lui s'accroît de jour en jour. Et se sera ainsi jusqu'à la fin des temps...

******

Nous étions déjà tous les autres au restaurant et bien sûr, le thème a été respecté par tous.

Enrick

Neis

Glen

Moi

Si quelqu'un que je ne connais pas me voit et on lui dit que je suis enceinte de presque quatre mois, il l'aurait jamais cru. Moi même je ne comprend pas très bien alors que ça se passe en moi.

Neis: Nora est trop contente à l'idée d'avoir un futur compagnon de jeu. Elle espère que se sera un garçon.

Enrick: *rire* c'est elle qui t'a dit tout ça ?

Elle: elle n'a pas besoin de me le dire, je le sens. Je suis sa mère. 

Moi: *rire* si tu le dis. Je suis quand même d'accord avec Nora. J'aimerais avoir un garçon.

Glen: moi je veux une fille ! Elle s'entendra beaucoup mieux avec Nora.

Enrick: et qui sait, peut-être qu'on aura droit au remake de Neis et Rawen

Glen: si ma fille bavarde comme sa mère, je la colle en pension

Moi: essaye un peu pour voir. *rire* Il est malade lui.

Neis: grave !

Le dîner se passa dans une super bonne ambiance. Qu'est ce que j'aime mes amis. J'aurai pas pu rêver mieux sincèrement.

*point de vue Neis*

Tout est rentré dans l'ordre. Après la pluie le beau temps comme on dit. Je suis ravie de voir que Glen se porte bien et qu'il continu toujours ses blagues douteuses. Même comme je lui conseille d'arrêter pour ne pas fatiguer les oreilles du bébé à venir. Rawen a recommencé à manger, à boire et à dormir. Elle se sent revivre et ça fait plaisir à voir.

Le repas avec le couple d'à côté s'est très bien passé. Pour accompagner Rawen dans son accouchement, aucune goute d'alcool n'a été servie durant tout le dîner. Ça nous a pas trop dérangés. Nous ne sommes plus accro à l'alcool depuis la naissance de Nora.

Un enfant, sa change une vie. Ça fait naître en nous un nouvel instinct dont on avait même pas idée. Il y'a des responsabilités et il faut toujours garder la maîtrise de soi en toutes circonstances pour montrer le bon exemple.

Cependant, c'est aussi énormément de bonheur. Voir le visage de votre enfant et vous dire: c'est une partie de moi. Pour moi, en soi c'est une récompense.

Nora est présentement chez mes parents. Depuis le début des vacances, Agnès ne la lâche plus une seule seconde. Je suis sûre qu'elle l'a préfère à moi maintenant. Ça me fait plaisir qu'elle prenne autant à cœur son rôle de tata malgré son jeune âge.

J'ai retiré mon blouson et je suis restée en débardeur parce qu'il fait chaud dans cette chambre. Enrick prend sa douche. Je mets donc de la musique en aléatoire sur mon téléphone et c'est The One That Got Away de Katy Perry qui commence. C'est assez particulier comme chanson mais bon.

In another life, I would be your girl
We keep all our promises, be us against the world
In another life, I would make you stay
So I don't have to say you were the one that got away
The one that got away

J'étais entrain de chanter et de me dandiner lorsque des mains se posèrent sur mes fesses. J'ai sursauté et me suis retournée. 

Moi: tu m'as fait peur Enrick !

Lui: désolé ma petite femme chérie

Moi: *souriante* tu aimes bien dire sa hein

Lui: au moins autant que toi

Il me tenait toujours par les hanches et c'est à ce moment que j'avisai qu'il n'avait que sa serviette autour de la taille. Ses pectoraux et ses abdos luisant me font fondre.

Moi: la salle de sport ça te réussi vraiment !

Lui: et tout ça, ce n'est rien que pour toi

Moi: je suis drôlement chanceuse didonc

Lui: et si on faisait un autre bébé ?

Moi: avec plaisir

Le début de la chanson Body Smile de Dvsn apparu comme un signal.

Nous nous embrassions passionnément puis il s'attaqua à mon coups. Des frissons parcourent tout mon corps. Il me soulève et me dépose délicatement sur le lit. Il dépose de doux baisers sur ma poitrine.

Le contact de ses lèvres chaudes était un véritable régal. Il retira mon débardeur dévoilant ainsi mes seins nus qu'il s'empressa de lécher et de caresser. Je place mes mains sur sa tête pour qu'il continu le plus longtemps possible. Ça me fait tellement de bien.

Je retirai d'un mouvement rapide mon pantalon et il fit de même avec sa serviette. Il me pénétra avec force mais douceur. Tous mes sens étaient en éveil. Nos va et vient étaient très bien coordonnés. Nos gémissements de plaisir aussi d'ailleurs. Chaque coup me donnait encore plus envie de lui. J'aurai voulu qu'il ne s'arrête jamais.

Nous nous sommes mis face à face et nous nous embrassions. Il rentra de nouveau en moi avec délicatesse. Nos baisers étaient entrecoupés par nos cris d'extase. C'était si bon...

Même dans 109 ans, je ne me lacerai jamais de mon mari. C'est une certitude.

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