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Anna se leva du lit, elle était en ce moment un gâchis. Mais elle était prête. Elle sorti et chercha la chambre spécial.

Elle entra dans la pièce, et il y avait une chaise qui l'attendait, avec un docteur prêt à allumer les implants. Anna pouvaient sentir son cœur battre fort. Plus vite, plus vite, plus vite, et plus vite.

« Prête ? » le docteur écrit. Anna écrit précipitamment « oui ».

Le docteur poussa soigneusement ses cheveux, pour révéler l'implant dans son oreille. Il l'alluma doucement, et le sourire du docteur s'agrandit.

Quand le docteur l'alluma, elle ne pouvaient toujours rien entendre, juste le buzz silencieux qu'elle entends toujours qui souvent la fait impatiente. Ses mains étaient jointes, son estomac était noué. Elle attendait que quelqu'un dise quelque chose, dise n'importe quoi.

« Pouvez vous entendre ma voix ? » aussi tôt que la voix du docteur frappa ses oreilles, elle balbutia, et ses yeux commencèrent à se remplir d'eau. La voix était différente, mais épaisse et lourde. Le docteur n'était pas américain. Ses mains commencèrent à trembler, et elle commença à se sentir dépassé.

Le docteur se leva, et elle pouvait entendre tout les sons que toutes les actions produisaient quand le docteur se levait. Elle entendait ses pas, mais ils sont bientôt devenus distant, et elle ne pouvait plus les entendre. Aussi tôt qu'il partit, elle laissa sortir quelques larmes. Elle voulait entendre plus.

Quelques secondes plus tard, le docteur revint, mais avec la mère d'Anna à ses côtés. Quand Anna vit sa mère dans sa vision périphérique, Anna se leva et attrapa sa tête et dit,
« Dit quelque chose » Anna tressaillit à sa propre voix, elle commença à sangloter. Elle pleura sur l'épaule de sa mère. Anna commença à hoqueter et sangloter, tout était tellement surréel, tout était tellement bruyant. Elle entendait les baisers de sa mère, et elle entendait la voix de sa mère essayant de la calmer. Elle entendait les conversation que les personnes avaient à l'extérieur de la pièce, elle entendait les téléphones sonner, elle entendait les cries et les pleurs, et elle entendait rire. C'était trop dépassant.

Après tout les sanglots et pleurs, Anna réussit à sortir de la chambre spécial. Quand Anna mis sa main sur le dessus de poignée de porte de la porte de sortie, elle pouvait entendre ses battements de cœur dans ses oreilles. Elle ouvrit les portes, avec des respirations fragiles et des traces de morsures sur ses lèvres. Elle prit de grandes respirations, et laissa ses oreilles errer dans le monde. La première chose qu'elle entendit était le bruissement du vent, et les gazouillements des oiseaux. Jute ce qu'elle voulait entendre, c'était beau. Le trajet en voiture jusqu'à chez elle était silencieux, Anna priait d'avoir le courage d'allumer la radio, mais elle ne l'a jamais fait.

Ils arrivèrent finalement à la maison, et une fois encore elle entendit les même choses. Sauf que quand elle marchait vers la porte avec les clés dans la main, elle entendit des enfants. C'était le plus doux des choses à entendre, plus doux que les cupcakes.

Elle en avait finalement assez après avoir passé deux heures à l'extérieur, en face du soleil, et souriant. Est-ce que c'est ça le bonheur ? Anna pensa. Elle se rendit à l'intérieur, et elle passa le reste de la journée dans sa chambre. Elle voulait sauvegarder la gloire d'entendre de nouveau son demain, parce que demain est le premier jour du onzième grade à son nouveau lycée.