J'aurai du comprendre.
J'aurai du le voir venir.
Nous connaissons tous ce proverbe.
Le calme vient avant la tempête.

C'était trop calme, trop parfait. Elle me parlait a nouveau, on se rapprochait, on redevenait ce que l'on aurait toujours du être, des soeurs. Des êtres proches. Ma mère allait mieux, même si ma relation avec elle était moins bonne qu'avant. Mon père est de mieux en mieux, j'apprends a le connaitre vraiment.

Mais c'était trop calme. Trop heureux. Depuis toujours je suis habitué a ce que tout vire mal, que tout vire au pire. Rien, ne reste longtemps beau autour de moi. C'est a ce demander si j'ai pas un mauvais sort, c'est plus agréable de le pensée du moins, parce que sinon ça fait mal de croire que c'est juste moi le problème.

Je suis tellement désolée du mal que j'ai pu faire par mes mots. J'espère juste ne pas avoir fait milles pas en arrière cette fois avec elle. Parce que j'ai peur de ne pas être pardonné cette fois...

Je sens que les choses m'échappent cette  fois encore. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas ce sentiment d'incertitude et de peur qui me sert le coeur. Parce que quand le malheur commence, il attend de frapper un grand coup avant de fuir. J'ai peur de ce que se pressentiment peut représenter cette fois. J'ai peur de ce cauchemar qui a hanter ma dernière nuit.

Appelle le 911 Coryne! Vite

J'ai peur des "et si" qui deviendrait ma réalité. Parce que je ne suis pas prête a assumer cela. Je ne suis pas prête a la perdre elle pour une simple différence d'opinion. Alors je pleure. Je me vide de ses larmes amères pour éviter d'y laisser mon âme.

I was stumbling, looking in the dark (ohho)
With an empty heart
But you say you feel the same
Could we ever be enough?
One Direction