Sadness love

Vous rappelez vous la dernière fois que vous avez feuilletée les photos de votre enfance? À quoi pensiez-vous? Quel émotion vous serrais les tripes avec le plus de force?

C'est la tristesse pour moi. Parce que je réalise que quand on est enfant on n'a pas conscience de l'impact de nos gestes de nos paroles. On ne comprend. On est trop petit. Et pourtant, nous avons le pouvoir de briser des âmes. De détruire des vies.

Les enfants sont cruels envers leurs confrères. Mais n'est-ce pas ce que les adultes leur apprennent au finale? N'est-ce pas ce que la vie ce résume a être. Des blessures a panser. Plus ou moins profonde. Plus ou moins dangereuse.

La différence c'est qu'avec l'âge, nous apprenons a faire disparaitre nos douleurs. À les cacher aux yeux des autres. L'enfant pleure. L'adulte sourit. Qui arrive a voir la différence après tout? Un sourire est un sourire.

Parfois, les adultes aussi sont cruels. Parfois, ils blessent les autres. L'amour est le meilleur des exemples. N'est-ce pas la plus belle des richesses. Le plus beau des sourires. La plus belle des sensations. Mais quand on se fait arracher le coeur, il ne reste que le vide. Et parfois, on se l'arrache soi-même. Pour se protéger.

Le vide. Le manque. Un besoin vital de ressentir alors qu'au fond on a toujours l'impression que ce n'est pas assez bien, que ça ne marchera pas.
Se protéger. Un mécanisme qui est dure a éliminé voir impossible. Comment pouvons-nous revenir en arrière après avoir souffert et aimer a en mourir?

C'est dure, c'est dure de faire confiance. De regarder l'autre personne rempli d'espoir alors que l'on arrive a peine a sortir la tête de l'eau pour respirer. Et le pire c'est que même quand on la  rencontre, même quand tout semble parfait. On compare. On observe. Et on relève les différences. Et on prend peur. On se sent terrifiée. Parce qu'après tout, notre cœur a cédé la place a ce trou sans fond de souffrance et d'oublie.

Pourquoi les choses changeraient? Pourquoi le bonheur serait accessible? La vie est une longue suite de trahison. Une longue suite d'abandon. A quoi bon s'attacher si c'est pour souffrir? Et pourtant l'âme humaine est ainsi. On cherche le réconfort dans les bras de gens de confiance. On espère seulement ne pas être poignarder dans le dos un beau matin.

Je me rappelle se soir là. Un soir de mars. J'étais tellement décidé, je devais lui arracher son coeur et détruire le mien au passage. On le savait. On l'attendait. C'était une évidence. Tout allait si mal. Et pourtant, la douleur était atroce. Je me rappelle m'avoir demander comment c'était possible d'aimer autant. Comment on pouvait en venir a ne plus être capable de respirer le même air. Mais l'amour est a un cheveux de la haine. Je hais et j'aime. Je me souviens et je souffre. J'oublie et me rappelle. Je mens et blesse.

La vie est éphémère. L'amour est traître. J'ai l'impression que le bonheur est une chose réservé aux autres. Mais je souris. Car ne vivons nous pas pour ses choses éphémère? Elles restent malgré tout. Elles sont notre quotidien. Alors je parle. J'écoute.  Jusqu'aux petits heures du matin. Parce que rien n'est plus grisant l'euphorie de la fatigue.

All my favourite conversations
Always made in the A.M
'Cause we don't know what we're saying
One Direction

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