Rage

Connaissez-vous se sentiment? Celui qui  vous fait faire des folies, qui vous pousse peu à peu contre se mur d'épine horrible. Mais pourtant on ne sens pas la souffrance, tout ce qu'on sens c'est la rage. Parce que c'est la pire. Parce que c'est comme une vipère. Elle nous guette dans notre faiblesse, elle nous prend au détour d'un couloir, elle nous fait commettre l'irréparable.

La rage. C'est une maladie paraît il. Et pourtant on peut ressentir son fourmillement, ses chatouillement quand on perd pied dans cette vie de merde. La colère est la première étape. Celle où on pardonne encore, où les erreurs nous semble pas si grave, où les erreurs nous semble humaines.

J'ai été trop souvent en colère, j'ai trop souvent pardonner. C'est plus assez fort maintenant, parce que la colère est inutile a mes yeux. C'est pour les faibles. Pour ceux qui n'arrive pas a comprendre le sens d'aimer la vie.

J'ai passé par là seconde étape. Celle de la fureur. Quand j'ai compris que la vie était en fait une chienne. Que la vie était un poignard sur lequel on sautait joyeusement. Qui nous rentre dans le coeur sans plus jamais en sortir quand un de ses fragments restent planter au fond de mon âme.

Quand est ce que j'ai compris que la fureur faisait partie de ma vie? C'était cette fois la. La fois qu'elle a trouvé ces feuilles en croyant lire une histoire mais qu'il s'agissait bêtement de ma vie et que comme la vie j'ai vu son visage sombre. J'ai vu cette personne que j'aimais tant me trahir sans la moindre considération, me mentir sans la moindre scrupule parce que j'en avait marre de tout a se moment là. Il faut dire. Mes soi-disant amis m'avait abandonner des mois plutôt. Et elle. Cette lumière et meilleure amie avait décidé que j'étais de trop dans sa vie. Seule au monde. La rage, la fureur est le sentiment qui nous vient le plus naturellement. On pense pardonner. Mais les souvenirs sont la. Tranchant comme des lames.

On ne change pas des traîtres.

La dernière étape. Cette rage qui m'habite depuis quelques jours, m'épuise. C'est épuisant de détester quelqu'un, c'est épuisant de se coucher tout les soirs, s'assurant que son téléphone soit proche, le son au maximum, espérant qu'il ne sonne pas une nuit encore. Espérant ne pas rêvé a se cauchemar que je vis jour après jour. Je hais tellement fort que ça fait mal, je ne sais même pas si cette fois je pourrais pardonner. Parce que cette fois elle est aller trop loin. Elle m'a brisé une fois de trop. J'en ai assez de me battre contre ses fous. J'en ai assez qu'ils ne m'écoutent jamais. Ne suis-je pas la mieux placée? Je suis en soins infirmiers. Je suis celle qui étudie les maladies. Celle qui les connais. Qui les comprend. Et eux joues avec le fin fils de la vie. Et le pire. C'est que le traitre apporte lui même sa chaire au bûcher. Il lui fera couper la tête et ne réagira pas parce que se sera ça faute.

Mon dieu. Que quelqu'un m'aide. Que quelqu'un m'empêche de lui dire ses quatre vérités parce que je ne serai pas tendre. Parce que j'en ai marre de me sentir étouffé quand je suis en société. J'en ai marre de me cacher pour pleurer. J'en ai marre de me sauvé en courant parce que je panique. Parce qu'elle me fait paniqué. Parce que je perd pied et espoir d'avoir une vie normale.

Qu'on me laisse ses anges qui sont là pour moi quand je ne ferai que fuir a l'autre bout de la terre. Qu'on me laisse mon ange qui me rassure la nuit alors que je n'arrive pas a dormir, pas a faute d'essayer mais a cause de trop penser. Qu'on me laisse mon ange qui me permet de me ressaisir quand je perd pied plus que je ne le devrais.

Je ne veux pas mourir. Loin de moi ses pensées obscures. Je veux juste réussir a sourire sans forcé, je veux juste respirer sans sentir cette boule dans ma gorge, je veux juste vivre. Vivre loin d'eux. Vivre avec ses deux anges que la vie ma donner. Merci. Merci car c'est bien la seule chose que la vie me donne de bien.

Hey angel
Do you know the reasons why
We look up to the sky?
One Direction

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top