28. « Miss Secret. »



De retour dans les rues de Californie.
( voiture à Thémis.)


THÉMIS

Sa respiration manque des pulsations, mais elle continue. Elle me chevauche et accélère en nichant sa langue dans mon cou. Sa langue glisse chaleureusement, me mordillant. Le fauteuil abaissé, elle tâtonne mon torse, prête à retirer mon haut.

— Tu m'as tellement manqué, glisse-t-elle entre deux souffles.

J'aurais préféré qu'elle reste là-bas.
Au Mexique, comme c'était prévu. Qu'elle débarque comme ça est en partie trop étrange; il doit se tramer quelque chose. Sinon, sa présence ici pour rien me contrarierait fortement.

— Tu ne dis rien ? ajoute-t-elle.

Je crois qu'elle s'attendait à une réponse de ma part. Seulement, c'est comme si quelque chose me nouait la gorge. C'est bien la première fois que j'ai le sentiment d'être mal à l'aise. Pourtant, si je suis là, c'est que j'en avais envie, mais je ne me sens pas totalement présent. Et Becca le ressent à son tour, je crois. Son front contre le mien, elle tente de capter mon regard.

— Sorun ne söylesene ? (Qu'est-ce qu'il y a ?)

Je n'en sais trop rien. Aucun son ne sort de ma bouche. Elle encadre mon visage pour ancrer son regard dans le mien. Le problème, c'est que mon esprit me joue des tours. Je m'efforce de chasser ces images, mais rien n'y fait.Elle est là, sur moi.

Et c'est sa voix que j'entends. Mon cœur se resserre; ce sentiment d'avoir commis une erreur m'étouffe. En arrière-plan, j'entends sa voix, celle de Becca. Je ne comprends rien à ce qu'elle dit, mais son regard m'hypnotise. Celui de Gemma.

Sa mâchoire si joliment dessinée, ses pommettes presque naturellement rosées, ses lèvres tendrement sculptées. Son regard me murmure mille et une choses. Le souvenir du contact de sa peau contre la mienne me parcourt, me procure des sensations inédites. Des sensations nouvelles.

Finalement, c'est mon téléphone qui vibre pour la troisième fois consécutive et qui parvient à me sortir de là. D'un geste net, j'expulse Becca sur l'autre siège, referme mon bas et attrape mon téléphone.

Nonna. Elle m'a appelé, mais aussi la ligne téléphonique des gardes. Je soupire et décroche tandis qu'il sonne une nouvelle fois.

- Parle, dis-je.

L'homme, d'une voix grave mais tremblante, bégaie presque. Il m'annonce finalement que Gemma est partie en furie de la maison et qu'elle a pris l'une de mes voitures.

— À quoi est-ce que vous servez ? m'énervé-je avant de raccrocher.

— Rhabille-toi, je crache, détournant le regard pour attacher ma ceinture.

Je sens la pression monter alors que je réalise qu'au lieu de m'obéir, elle me fixe sans bouger d'un pouce.

— Bana kendimi tekrar ettirme ! (Ne me fais pas répéter !), je gronde, ma voix la faisant sursauter.

J'attrape chacun de ses vêtements et les balance par la fenêtre, m'impatientant. Elle me regarde, bouche bée, presque dans l'incompréhension. Je me penche vers elle, mon visage face au sien, resté silencieux. Je lâche entre mes dents :

— Sors. J'ouvre la portière de son côté et la pousse hors du véhicule.

Gemma va finir par me rendre fou.
Son visage, son corps, ses cheveux, sa nervosité, tout chez elle me rend fou. Je n'arrive plus à rien. Elle est dans mon esprit. Dans mes pensées. Dans ma vie. Oui, bien trop présente. Qu'elle reste tranquille un court instant équivaudrait à me demander la lune. J'ai envie de la faire dégager pour ce qu'elle me fait ressentir.

Je conduis, la vue embuée par mes nerfs. Tout chez elle m'inquiète.

Même quand je sais qu'elle peut se débrouiller, mes pensées me rongent. Qu'elle se cogne le petit orteil pourrait me rendre dingue.
Avec elle, tout devient plus compliqué. Les décisions que je prends sont irréfléchies.



⚖︎



J'arrive finalement devant le manoir et balaie chacun des hommes d'un regard froid. Ils s'écartent de mon chemin. J'enjambe les escaliers et entre dans mon bureau. Pendant quelques minutes, je visionne les caméras de surveillance, cherchant le moindre indice qui trahirait sa destination. Je la vois au téléphone.
Puis, dans la séquence suivante, elle se dandine et danse dans tous les sens. Je me surprends à esquisser un sourire face aux images.

Jusqu'à dix-huit heures, plus rien.

Elle était sortie. Mais après, elle est rentrée. Lorsque je fais un arrêt sur image et que je zoome sur son visage, je constate qu'elle pleure.

À vingt heures, elle déambule dans la maison et, subitement, s'aventure plus loin que d'habitude dans les couloirs. Mes poings se resserrent, ma respiration se bloque. J'ai été clair avec chacun d'eux : elle n'a en aucun cas le droit d'accéder à cette partie de la maison. Elle n'y entre pas. Elle n'y passe pas. La maison est suffisamment grande pour qu'elle puisse s'aventurer ailleurs.

Sa main s'élève vers la poignée, mais Demir intervient rapidement.
Mon souffle que je retenais inconsciemment se relâche.

Mon regard divague un instant, puis je la vois paniquer et sortir de la maison. Je rembobine jusqu'au moment où elle parle au téléphone et j'augmente le son. Je l'entends dire à plusieurs reprises le nom de son meilleur ami : Lino.



GEMMA


J'arrive sur le lieu qui m'a été connoté. Le cœur compressé, la nuit est tombée depuis quelque temps maintenant et la ruelle dans laquelle je me trouve ne m'inspire aucunement confiance. C'est finalement après quelque pour ou contre que je me décide à sortir de la voiture. Une porte en bois.

C'est la seule chose que j'aperçois.
Face à elle, j'enclenche la poignée pratiquement sûr étrangement que ça serait ouvert. J'entre en douceur et sans faire l'erreur de faire comprendre que je suis sur les lieux. Parce que: ne somme pas dans un film et ne serais certainement pas une victime ce soir.

La pièce est faiblement éclairée par des néons bleus. L'endroit est sans fenêtre, sombre et oppressant.

Soudain, une serrure se verrouille derrière moi. Je comprends que je suis piégée. Je m'avance vers la seule porte visible.
Mon pied glisse sur une feuille. Je me baisse, brandissant mon téléphone pour l'éclairer. Une photo apparaît à l'écran et je frémis d'horreur. Mon cœur manque un battement.

" S'il meurt, je te le ferais payer." Avait hurlé la voix qui me fait actuellement froid dans le dos.

— Tu l'aimais vraiment pas vrai ? Dit tendrement cette voix que je reconnaîtrais entre mille.

Dana.

Je lâche la photo de mon ex-petit ami défunt, choquée. Un frisson glacé parcourt mon dos.

— No mi amor, no manches el único recuerdo que tengo de mi hermano. (Non mon amour, ne salit pas le seul souvenir que j'ai de mon frère.)

Mes mains se mettent à trembler, alors que mes démons refont surface.
Qu'est ce qu'elle fait là ? Après tant d'années..
Mes lèvres tremblent, je ne sais que dire.

— Tu vas rester silencieuse ? Dit elle alors que les lumières s'allume enfin.

Quand j'aperçois la pièce pleinement entacher de sang. J'ai des remonter. Mon regard suit jusqu'à remonter vers moi. Le sang d'une personne est actuellement sur mes mains.

— Où est il ? Qu'est ce que tu lui veux ? Murmurai-je.

Elle me fait un signe de tête en direction de la porte vers laquelle je me dirigeais déjà quelque minutes plus tôt.

— Moi rien, juste venger la mort de mon frère. Mais ton amie derrière la porte, elle. Elle risque de lui faire beaucoup de mal.

Elle ?
Pourquoi elle ? Qui elle ?

Lino n'est pas derrière cette porte ? Je l'interroge du regard. Ouvrant la porte sous les coups de poignard que m'inflige son rire. Elle n'a absolument pas changé.

Elle a songé à faire une teinture rouge sombre. Elle lui va bien. Dana a toujours été très belle, faute de son comportement qui la rend laide.
Quand j'ouvre la porte, je suis prise d'un pas de recule à la vue de mon ami. Lino.

Ligoter à une chaise face à la porte. Il est ensanglanté. Effrayer, ébahi, perdu, brisé, je me retrouve quand j'aperçois ma meilleure amie debout derrière lui, pointant une arme à l'arrière de son crâne.

Il a été mutilé.
Lara lui a fait ça ?

— Pourquoi ? Dis-je apportant ma main sur ma bouche.

Dana passe prêt de moi à côté de la porte pour entrer dans la pièce.

— Tu ne vois ? Il est venu ton heure de perdre l'une des personnes que tu aime.

— Je sais tout. Dit difficilement mon ami prit de douleur.

Je secoue la tête m'excusant à son égard à plusieurs reprise.

— Je voulais juste te protéger. Murmurais-je en m'adressant à lui. S'ils vous plaît laissez le, pour sa famille. Ne lui faites pas de mal. Je m'adresse cette fois aux filles.

— Je sais. Rétorque t'il.

— Assez les déclarations. Gronde Lara.

— Lara pourquoi ? La questionnais-je alors que ma vue s'embue

— Ne vois-tu pas ? Que tu es enfin en position de faiblesse ? Ton quart d'heure a sonner. C'est finit Gemma l'invincible. Tu m'entends ? Il n'y a plus personne pour veiller sur toi sans même que tu ne t'en rende compte. Ici, il n'y a que toi, ton passé, moi et l'un des êtres qui t'es le plus cher.

Elle rigole de nervosité et poursuit son récit.

— J'en ai ma claque d'être mise sur le bas côté Gemma. J'en ai ma claque que tu aies toute la renommé. Moros ? Pourquoi Moros t'es destinée ? C'est moi qui fait partie de ce monde depuis plus longtemps. C'est moi qui ai tué le plus de personnes aux méritent. C'est à moi que revient toute cette reconnaissance.

Ce qu'elle dit me brise le cœur chaque fois un peu plus.

— Mais ça n'a jamais été une compétition. Dis-je Tu sais que c'est qu'un moyen de décompresser. Je marque une pose cherchant une once de cette femme qui est importante pour moi encore en elle. Laisse-le s'il te plaît, il n'a rien fait.

— Je veux juste une vie normal. Elle poursuit. Je ne veux plus être dans ton ombre. Je veux qu'on me regarde comme on te regarde, toi. Je veux paraître aussi intouchable que toi. Tu comprends ?

Non..
Je la regarde silencieusement désormais étouffer par le dégoût que j'éprouve en la regardant.

Je l'aime tellement, et je pensais qu'elle aussi.. M'aimait ?

— Tu penses mériter d'être plus heureuse que quiconque ? Elle souffle. Tu m'insupporte Gemma. Elle hurle avant de rire et de poursuivre : Combien de fois j'ai tenté de te faire buter. Tu ne t'en ai même pas rendu compte. Dit-elle en riant une fois encore. Tellement tu ne vois que par toi, tant tu pense être intouchable, tant tu es inconsciente du danger qui t'entoure parce que madame sait se débrouiller. Chaque fois que tu t'en sortais de peu, tu ne t'es jamais demandé comment ? Bien sûr. Elle se frotte le crâne et ajoute. D'après toi toute réussite te revenaient. Même lui tu ne le remarques pas tant tu es insouciantes. Il était partout. Tout le temps. Si j'avais pu te faire sauter plus tôt, je n'aurais pas eu besoin d'en arriver jusque là.

De qui est-ce qu'elle parle?

— Sans lui, tu serais morte depuis ce soir. Au casino. Lors de la fusillade. Tu ne t'es pas dit que le cas était trop gros et trop peu précis ? Que l'organisation était trop volatile ? Ou encore que le boss t'aurait contacté.

Non parce que je lui faisais confiance.

Chaque fois qu'elle ouvre un peu plus la bouche, ce que je ressens est similaire à un coup de poignard répétitif en plein dans le cœur. Comme ci quelque chose en moi, se brisait un peu plus à chaque instant. Sans aucun contrôle les larmes s'échappent de mes yeux. Tout ce monde que j'avais bâti autour de notre amitié, l'amitié dite PARFAITE et saine. Tout s'est effondrer à l'instant même où la porte s'est ouverte sur son visage. L'espace d'une minute j'ai cru à une mauvaise blague. Mais tout s'avère réel.
C'est tant absurde que j'ai du mal à y croire.

— Non Lara... je n'ai pas douter de toi, je m'en excuse.. C'est le principe de la confiance... De la loyauté tu connais ?

— Ne t'en fait pas miss sainte nitouche. Tu n'as tuer personne par erreur. Leur cas était véritable. J'ai décidé de m'infiltrer dans le bureau du boss et d'en choper une affaire classée non effectuable sans protection majeure. Pour être parfaitement sûr que tu sauterais. Mais il a fallu qu'il soit encore là, pas vrai ?

— Monsieur Falconneti et sa petite protéger. Comment penses-tu que ses associés ont su qui tu étais ? Bizarrement rien ne m'arrive... Elle s'approche de moi et m'assène un coup dans le ventre en disant.

« FAIS ATTENTION AU MONDE QUI T'ENTOURE PAUVRE CONNE »

Thémis ?

— Ça a des avantages d'être dans l'ombre de toutes les affaires. Mais ce soir. Tout s'arrête. Elle ajoute

Elle enclenche la gâchette.

— Tout ça doit cesser. Et ton prince ne viendra pas te sauver ce soir.

Non il ne viendra pas. Et qu'il soit présent ou non. Je me chargerais d'elle. Instinctivement, je brandi mon arme.

— T'es complètement toucher. Lâchais je abasourdit. Si tu tire je tire. Je reprends froidement ravalant mes larmes après m'être tordu de douleur dans un gémissement.

— Moi ? Toucher ? Alors que tu vis chez l'homme qui m'a séquestré pendant plus de quarante huit heure, qui m'a pendu par les bras. Qui n'attendait que de me brûler vive ? Débite t'elle alors que je sens mon coeur s'arracher. Mais tu veux savoir ce qu'il y'a de plus drôle ? C'est que c'est grâce à toi que je suis en vie.

— À moi ? Murmurais-je

— Oui, si tu n'avais pas taper de crise il n'aurait pas exiger ma sortie. Mais il m'a ordonné en contre partie de fermer ma gueule. Affirme t'elle en m'adressant une énorme gifle me faisant tomber au sol. Et puis j'ai décider de me venger. Parce que tu dépasse les bornes Gemma. Ajoute t'elle en riant.

— Et c'est là que je prends place. Par l'opération d'une divinité quelconque elle soit. Je me suis rapprocher d'elle pour en connaître tes faiblesses. Elle m'a tout vendu sur un plateau d'argent puisque je me suis présenter à la période où elle te détestait bien plus que ça. Puis nous avons mit en place l'opération Palace Grant, qui a bien évidemment échouer. Au départ elle a refuser que je passe à l'action. Puis hier soir elle n'a pas hésité.

— Dis moi ce que toi tu me veux Dana. Vas droit au but. J'ajoute.

Lino toussote de douleur.

— Que tu perde tout ceux que tu aime. Comme tu as assasiner celui qui me restait.

— Espèce de demeuré, vous tous avez fait les aveugles lorsqu'il me violentait. Lorsqu'il m'agressait sexuellement. Toi comme ma mère comme tout ceux qui m'entouraient avez préféré me laisser mourir à petit feu. Alors cette fois ci était la dernière, ce jour où il s'est servit d'une bouteille en verre pour me pénétrer.

Lara écarquilla les yeux.

— C'est ce que tu cautionne ? C'est ce pourquoi tu veux m'abattre Lara ? Ne te trouve tu pas assez ridicule ?

Elle approche son arme de mon meilleur ami qui depuis était rester silencieux.

— Bute le ou je le ferai. Ordonne Dana à ma traître d'amie quand elle voit apparaître sur son visage une once de regret.

J'aurais peut être du lui confier cette part de ma vie. Mais j'ai toujours pensé que le temps ferait les choses et qu'un jour ou l'autre je finirais par réussir à le lui dire.

— Tu ne comprends pas combien tes motivations à m'éteindre son absurde ? Je cherche juste à faire justice à ma propre personne et aux Fe-

— Et voilà. Nous somme reparti pour un tour. Miss sainte nitouche te revoilà. C'est exactement pour ça que je ne te supporte plus. Penses-tu être meilleure que quelqu'un ici ? Tu vaux mieux ? Moi si je le fais c'est pour l'argent et l'excitation et toi tout ce que tu sais faire c'est râler et dire que cet argent tu n'en a rien a faire. Eh bien cède ta place. EXCUSE NOUS MADEMOISELLE MONTSERRAT ! Madame préfère refuser les talles de son père sous prétexte qu'elle ne veut avoir de dette de personne et gagner d'elle-même. Madame fait semblant d'être dans le besoin alors qu'elle est née avec une cuillère en argent dans la gueule. DONNE TA PUTAIN DE PLACE À QUELQU'UN QUI EN A VRAIMENT BESOIN SALOPE. Tu n'est clairement pas l'indispensable que tu pense être. Tu prends trop de place dans ce monde, ça me fera plus d'oseille. Comprends moi.

Non.
Je ne comprends pas, je ne veux pas comprendre et ne comprendrais jamais.

— Oui je comprends, je comprends combien vous êtes atteinte psychologiquement. Dis-je d'un air compatissant. Vous devriez vous faire soigné. Dis-je en tentant de m'approcher de Lino.

Ce qui agace très vite son amie. Dana hurle.

JE NE VOIS PAS CE QUI TE PRENDS TANT DE TEMPS ! Bute le ! Elle accoure près de lui faisant éclater au sol la bouteille de vin qu'elle engloutissait depuis peu.

Je n'ai à peine le temps de me redresser pour réagir avant qu'elle le plante avec la même bouteille. J'enclenche mon arme et sans réfléchir, je tire en plein milieu de la tête de Lara puis dans l'arrière de Dana, hurlant de toute mes forces. Je vide mon chargeur remplit de haine sur chacune d'elle. Leur corps subis des secousses à chaque contact de balle causé par la puissance à laquelle je tirais sans repie.
J'accours près de mon ami.

— Je suis désolé. Tellement désolé. J'aurais dû faire plus attention à toi.

— Shhh Gem' .... Dit il a voix basse difficilement alors qu'il se vide de son sang. Tu n'y est pour rien. Comprends simplement que désormais- Il suffoque tandis que chaque son qu'il émet le brise un peu plus. Tu dois te battre contre ces personnes et ne te fier à personne.
J'appose mes lèvres sur son front, prise de larme. Je tremble.

Il devient brûlant et transpire à flot.
Ses yeux papillonnent.

RESTE AVEC MOI PAUVRE CON. Hurlais-je.

J'attrape mon téléphone,prête à appeler de l'aide.

— Il est trop tard. Dit il bien trop difficilement.

Je caresse sa chevelure crépus constatant qu'il s'était couper les cheveux depuis. J'éclate en sanglot, quand je réalise combien même ce détail je n'ai pas été capable de le savoir tant je ne le contactais plus assez.

Tant je suis insouciante.

— Je suis fière de toi moi, ma miss Secret. Dit il alors que je le sens partir.

Miss Secret ....


~

À très vite !
With love Ana. ✨

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