The deutch Man

Où j'en était ? A oui, il va la voir :

« - Tata ! Je voulais te dire que je suis désolé de m'être emporté hier. Je n'aurais pas dû. C'est l'idée que mon fil ai des problèmes, ça m'a fait péter les plombs. Mais tu ne le pensais pas, tu as juste dit ça pour rigoler et me tester. Je l'ai compris maintenant donc désolé. J'ai été un peu extrême pour des propos qui, j'en suis sûr, étaient vide de sens chez toi. »

Ouw ... C'est une excuse et un ordre en même temps. Je n'ai jamais rien vu d'aussi hypocrite comme excuse chez lui. Et puis il arrive à y caché des impératives. Il est fort, très fort, le brun. Pas pour rien que c'est mon époux celui-là ! Ha ha ha. Maintenant qu'il s'est « excusé » je le chope par les hanches, salut Aurélie vite fait et le tire sur la piste pour la dernière chanson. C'est pas un coller-serré ( j'aurais bien voulus ) mais plutôt une danse énergique et populaire. Tant mieux, c'est une que je danse le mieux avec lui. On va mettre le feu ( si ce n'est pas déjà fait ). Il est trop chaud pour ne pas enflammé la foule d'un seul pas de côté.

La danse se termine et j'hésite franchement à me jeter sur mon amant pour le dévorer, embrasser ses lèvres, lui faire comprendre que l'abstinence me tue. Si j'avais put je l'aurais entraîné à l'égard des regards et je lui aurait violemment fait l'amour contre le mur. Mais je ne peut pas et du coup je suis frustré, très frustré. C'est de la torture de le désirer autant sans pouvoir rien assouvir de mes envies. Bref. Il va s'asseoir à table pendant que je me recarde mentalement. Ce n'est pas que je puisse avoir un problème de pantalon mais ce serais bête d'avoir un comportements d'animal en rut ou de faire une connerie de lapsus. Une simple pensé pour mon paternel me calme directe. Ça à toujours eut l'effet d'une douche froide. Tant mieux, comme ça le vieux sert à quelque chose. A table on répète le discours de la veille, rien de bien intéressant. On apprends une demande divorce qui explique l'absence de quelqu'un aujourd'hui et puis un nouveau viens de rejoindre la table des adultes. Du haut de ses 18ans il nous raconte ses projets d'études.

Le dîner fini assez tardivement et je réalise que je n'ai toujours pas appeler ma mère. En fait je n'en ait plus envie. Il va falloir que j'avoue mon oublis plus ou moins volontaire à mon mari sinon ça va barder mais ... Mais je prétexte être occupé à ranger nos valises pour ne pas avoir à être forcé de passer ce foutu coup de fil. Sauf que l'heure du départ approche, la voiture est chargé, on est prêt à partir, Mathéo est déjà en train de dire en revoir aux autres membres de la famille. D'ailleurs en passant il parvient grâce à un peu d'aide de la part de son oncle à arraché de petites excuses d'Aurélie. Maintenant il va bien falloir que je le lui dise puisqu'il vient de refermer la porte d'entré derrière nous. Mais non ! Non ! Je suis débile alors j'attends encore qu'il attache Sacha dans son siège auto. Et j'attends même qu'il s'attache lui aussi côté conducteur. Merde ... Je boucle ma propre ceinture à sa droite et puis qui vivra verra.

« - Honey ... Tu va rire mais ... J'ai pas appeler ma mère. »

Je ponctue ma remarque d'un petit rire nerveux. Lui ne rigole pas du tout, il se tourne vers moi avec un faciès colérique en serrant fort le volant. Dans une série de gestes sec, le regards droit dans le pare-brise, il sort son téléphone et cherche dans son répertoire un des nombreux numéros associé à une série de smiley. « veille femme/flèche/mariage+pleins de cœurs » Je souris mais ravale vite ma grimace quand pour réponse j'ai droit à un regard noir quand il me tends le combiné. Aussitôt que je le saisie il démarre la voiture avec une brutalité que je n'aime pas trop. L'auto quitte la cour sans qu'aucun son autre que celui du moteur. Je porte penaud le téléphone à mon oreille. J'ai merdé, j'ai vraiment merdé. Ça sonne, je lui montre qu'il doit tourné à droite pour faire le plein au parking du super marché. Oui, on ne commence pas bien l'après-midi. C'est ma faute, pardon ...

« - Allô ?Hallo ? »

Au même moment mon brun se gare. La voix de maman ... Je bégaye un instant :

« - Anne, euh ... Françoise ? Enfin ...

- Wer sind an das Gerät ?

- Das ... Das ist mich, mutter. »

Mon brun à perdu son aspect fâché et déçu au profit d'un visage franchement surpris. Oui ! C'est de l'Allemand ! Et quoi ? C'est la seule phrase qui a bien voulu sortir sur le coup.

« - Philippe ?! C'est toi ?!

- Oui maman, c'est moi.

- Oh ciel ! .... Tout va bien ? Je n'ai pas eu de tes nouvelles depuis plus d'un an. Enfin si, j'en ai brièvement appris après la mort de ton père. Il ne t'es rien arrivé j'espère.

- Non, non tout va bien. Je ...

- Parle Philippe. Tu m'inquiète. Ne tourne pas autours du pot.

- Cette nuit je me suis souvenu de la berceuse que tu bébé. Je me suis souvenu que tu étais une bonne mère et que je t'ignorais pour de mauvaises raisons. Je veut enterré définitivement la hache de guerre et ce ne sera fait que quand j'aurais mit à plat avec toi les 37 dernières années.

- Ça risque d'être long.

- C'est pour ça que je ne veut plus le faire par téléphone. Où vit tu en ce moment ? Je ... Je voudrais venir te voir en personne. »

Il y a un long silence dans le combiné puis elle reprends la parole :

« - Je ne suis pas sûr que tu puisse ou veuille me voir là où je suis.

- Mère s'il vous plaît ... N'avons nous pas assez tourner en rond ?

- Tu avais juré de ne jamais remettre les pieds ici alors ...

- Tu es à la maison ?!!

- Oui ...

- Mais père !? Il t'avais déshérité après ta demande de divorce et ...

- J'ai gagner le procès, une longue histoire. En temps qu'épouse et véritable héritière de la demeure il ne pouvais pas m'en privé. Enfin bref, ce qui appartenait aux Kayer est toujours aux Kayer. Seul l'entreprise familiale de ton côté paternel ne m'appartient plus. Je suis désolé.

- Pourquoi ?

- Parce que cette entreprise aussi te revenait de plein droit, tout comme la maison et les parts de marché de ton père. Au finale tu n'es plus dépositaire seulement que de la maison.

- Qu'est-ce-que j'en ai à foutre de la banque Kayer ?! J'en veut pas de ton truc. J'ai déjà un emploi et je ne veut pas de l'argent que père auraient put engendré. Plutôt crevé.

- Philippe ...

- Mère.

- Tu n'es pas content d'apprendre que tu es de nouveau héritier du domaine ? Je pensais que cela te ferais plaisir.

- Moi ce que je voudrais c'est te parler cet après-midi.

- An diesem Nachmittag !?

- Ja

- Heute ?

- JA !

- ...

- Maman ?

- A ce que j'avais pourtant compris tu habite dans le sud.

- Je suis en ce moment en Alsace pour ... affaires. En fait je suis à trente minutes de routes de la maison. Alors ?

- Alors Pétra va préparer de quoi te recevoir.

- Pétra est toujours là ?!

- Comment voudrais tu que je gère la maison toute seule ?

- Oh mon dieu. Stop. Arrêtons tout de suite. Au fond les chien ne fond pas des chats. »

Elle ne changera jamais, elle a garder une domestique à son service. Je pensais qu'elle avait un peu changer depuis qu'elle avait ouvert les yeux pour papa. Mais non, elle reste la bourgeoise qu'elle à toujours été. Bon dieu ...

« - Quoi qu'il en soit on arrive.

- On ?

- Oui, « on ». Je suis venu avec mon mari et une autre personne que tu dois rencontrer plus en détail. A tout de suite alors.

- Bald.

- Tchuss. »

Je raccroche puis regarde à ma gauche : Mathéo a les yeux en soucoupe. Je soupir :

« - Laisse moi conduire. »

Et sans le laisser protester j'échange ma place avec la sienne. J'ai besoin de conduire pour me vider la tête, pour redécouvrir à mon rythme le coin. Et surtout j'ai besoin de conduire pour être maître des événements à venir, pour avoir l'illusion de choisir quand est-ce que je mettrais exactement à nouveau les pieds dans cette maison que j'ai renier pendant plus de 19 ans. Je démarre , quitte le parking et m'engage sur la route. Maman a la maison ... Elle a la maison de famille ... Alors que père nous avaient déshérité. Et en plus elle veut que j'apparaisse sur son testament ? Je peut pas accepter ça. Autant pour mon honneur que pour le reste, y compris ( il faut le reconnaître ) pour ce que je lui ait fait. Et puis aussi ce serais reconnaître que j'ai eut tord de partir, que leurs idées n'étaient pas si fausse. Ce serais leur reconnaître une bonté et une clémence qu'ils n'ont jamais eut tout les deux.

« - Est ce que monsieur Jourdan peut expliquer à son pauvre mari ce qu'il est en train de se passer ? »

Je souris jusqu'aux oreilles. C'est que je l'aime celui là : il n'en fait pas exprès mais il me remonte toujours le moral en me rappelant que je suis un Jourdan, que je suis sien. Je suis à lui, il est ma nouvelle ancre.

« - Maman n'a pas déménagé. Elle est toujours dans la région. Plus précisément dans ma maison d'enfance et il semblerais que rien n'ai changer là bas en presque 20 ans. D'après ce que j'ai compris.

- C'est génial !

- Non, pas trop. Je suis pas sur que tu maintienne éternellement ton point de vue ... Hum ... Comment te dire ?

- J'étais vraiment un gosse odieux ... J'ai peur de le redevenir.

- Tu as changer Philippe, n'ai pas peur. Au pire je serai là pour te rappeler qui tu es. Tu es mon mari.

- Merci mon amour. Et bien ... profite du paysage alors. »

Et je ne lui dit pas ça pour rien : l'Alsace est une région magnifique mais plus encore nous venons d'entrée dans la vallée du Rhin et le spectacle est est toujours à coupé le souffle. On remonte le fleuve pendant un moment, Mathéo est comme un gosse devant les grands espaces verdoyant, les points d'eau, les vignes. Je sourit et me met à fredonner un air Germain avec bonne humeur. Puis à un moment on arrive dans un tout petit village ancien au pieds de hautes collines couvertes d'arbre.

« - C'est dans ce village ?

- Non. »

Je pointe du doigt un toit qui dépasse du couvert des arbres bien plus haut et loin dans les collines. Le visage de mon brun se décompose. Ça y est : la gifle du passé est sur nous. Il me regarde avec stupéfaction alors je me racle la gorge :

« - Rmm Rmm ... La ... La Kayer Haus. »

Le pire c'est que c'est vraiment le nom de la maison. Je comprends la stupeur de mon brun, rien qu'avec cet angle de toiture qui dépasse des chênes et autres pins centenaires on devine que la bâtisse est énorme. Enfin énorme, dans mes souvenirs elle n'était pas si grande que ça.

« - Tu as grandis dans un château !?

- C'est pas un château, c'est juste une grande maison.

- Une PUTAIN de villa !

- Non plus, la conceptions est trop ancienne pour être appelée villa. »

Je m'enfonce de plus en plus dans l'atroce étiquette du « Gros Bourge ». A mon grand désespoir mon chéri ne me voix déjà plus tout à fait comme avant.

On grimpe encore un peu la colline sur un chemin étroit enserré de foret pour arriver devant un énorme portail bleu aux grilles imposantes de plus de deux mètres surmonté de flèches stylisé. Les lourdes doubles portes en inox peinte dressé vers le ciel marquent l'entrée d'une grande propriété dont les impressionnant murs pâles cerclent deux hectares d'un domaine formé de bois et de jardins. Sur l'enceinte de béton crépie une série de lettres argenté signe « Kayer Haus », en dessous, toujours sur le mur, une plaque de métal indique « Résidence du PDG du groupe Douet-Kayer » et encore en dessous de cette place une minuscule fente métallisé sert de boite au lettre cachée et encré dans l'enceinte. On peut aussi distinguer avec un bon coup d'œil le matériel de vidéo surveillance dissimulé. J'avance ma voiture qui fait tout d'un coup bien minable jusqu'au nouvel interphone flambant neuf qui n'était pas là quand je suis parti. Après avoir baissé la fenêtre je sonne et une voix éraillé de vieille femme répond :

« - Domicile de madame Douet-Kayer oui bonjour.

- Pétra ?

- Qui êtes vous ?

- C'est Philippe. Pétra c'est bien toi ?

- Philippe ... Il n'y a plus eut de Philippe dans les contactes de madame depuis le départ de ... Oh mon dieu ! Monsieur ! Je vous ouvre tout de suite ! Bon retours chez vous monsieur. »

Les portes s'ouvrent alors seules, lentement et silencieusement devant mon capot pour laissé entré la voiture. Ils ont moderniser toute la propriété à ce que je vois : avant il aurait fallu aller ouvrir soit même ou sonné le portier. La domotique ça facilite drôlement la vie. Ça m'aurais étonné aussi que mes parents ne se soient pas équiper de cette dernière. Euh qui n'ont pas le meilleur du meilleur ? Impossible ! Je suis sarcastique même dans mes pensées maintenant, ça devient grave. J'avance sur le chemin gravillonné qui s'étant au delà des murs. Un regard en coin me fait constater que mon petit diplômé d'informatique spécialisé en domotique est complètement bouche bée. Je doute que ce soit à cause du matériel de pointe vu qu'il en a vus tous les jours pendant ses années post bac. De toute évidence Mathéo est stupéfait par le cadre, moi sa réaction me met mal à l'aise. Ma Volkswagen s'avance entre les grands platanes de la longue allée. On remonte un encore un peu à flan de colline sur un chemin entretenu presque plat pour débouché tout d'un coup sur les jardins. C'est une grande clairière à la pelouse bien verte impeccablement tondu ( alors qu'on est en plein mois d'Août ) dont l'immense majorité est masqué par la maison. Au sortir de la forêt aux allures très « sauvage et pittoresque » le contraste avec les jardin c'est le jour et la nuit : l'herbe est rase, sans un accros, les topiaires sont minutieusement taillé dans des formes géométriques régulières, des parterres de compositions florales forment ça et là des touches de couleurs harmonieuses, tout est irréprochable. Le jardinier fait vraiment bien son travail.

Mais le plus impressionnant reste sans aucun doute la bâtisse elle même qui siège ici : imposante, écrasant toute la propriété avec son petit air royale magnanime. Il faut dire qu'elle domine toute la colline en son sommet. C'est une vielle maison de pierre grise au toit noir sur trois étages dans le plus pur style Allemand, un vieux pied de lier inachevable enserre de ses feuillages une partie de l'aile gauche. Si on peut vraiment parlé « d'aile » puisque en vérité la maison est de forme rectangulaires, d'un seul bloque parfaitement symétrique autours d'un perron centrale, sans aucune autre proéminence que les décors en bas relief de la façade. La grande porte au perron de pierre blanches donne accès à l'entré de cette imposante habitation. Les fameuses moulures de la façade sont toujours bien entretenues, les volets traditionnels on été doublés de discret volet roulants électriques savamment camouflé dans l'ensemble. Sur le disque de gravier clair au pied du bâtiment trône paresseusement garé là une Volkswagen hors de prix. Moi qui prenait ma bagnole pour un truc pêchu ... Maman n'a pas changé d'un pouce : elle est comme toujours hyper ostentatoire. Je roule dans un crissement de cailloux pour m'arrêter juste à côté de l'autre carrosserie « grise comète ». Je lâche un soupir et passe ma main dans mes cheveux en me relâchant sur mon siège. Un regard a mon brun l'indique que les ennuis vont commencer :

« - Un 4x4 ! Ta mère a un 4x4 !!

- Ouais ... Je vois pas l'ancienne voiture de mon père.

- Il avait quoi ?

- Euh ... une ... Wiesmann ... d'occasion hein ... Enfin ...

- Je connais même pas la marque.

- C'est des voitures allemande de sport.

- Putain de merde. »

Il se frotte le visage pour essayer de croire à ce qu'il voit. J'avoue que moi aussi, si je n'avais pas grandi ici je n'y croirais pas. Mathéo n'a jamais grandi dans une famille riche, ni lui ni aucun membre de sa famille, il a toujours fait parti de la classe moyenne. Et moi en sachant que je suis un privilégié et bien j'ai honte, j'ai horriblement honte. Je ne regrette pas une seule seconde de m'être éloigner de ce panier de crabe que représente le « haut du gratin ». Trop d'expression d'un coup là ... Soudain un aboiement retenti, puis deux, et toute une série de jappements et grognements féroces. De derrière la maison surgisse à toute allure pour venir presque se jeter tout croc dehors sur la voiture. Ils aboient méchamment la bave au lèvre. Tout est aller très vite, Honey à fait un mouvement et mon cœur s'est emballé ! Je le retient immédiatement par le poignet, tirant même un peu durement pour qu'il reste dans l'habitacle. Je doit empêcher mon amour de sortir !

« - Tu fait quoi Mathéo ?! »

Mon ton est plus dur que je le voudrais mais en même temps on vient d'échapper à la catastrophe puisque mon brun a déjà la main sur la poignet de porte.

« - Bah je sort.

- Ouvre pas cette porte ! Tu as pas vus les chiens ou quoi ?!

- Si, pourquoi ? Ils sont dressé, on est des invité, je vois pas pourquoi ils nous attaqueraient, non ? Alors ...

- Alors rien du tout ! Tu reste dans cette voiture et tu attends. »

Il semble perplexe mais j'ai mit assez de persuasion dans la voix pour qu'il m'écoute. Je ne voudrais pas l'effrayé mais les deux molosses noir et feu dehors n'ont rien de vulgaires chiens de gardes inoffensifs. Mon père à toujours aimé les chiens racé, les Doberman par exemple, mais surtout les bergers allemand. Ils y en a toujours eut plusieurs, deux ou trois, pour garder la propriété. Et ce ne sont pas des simples chiens de gardes pour la bonne raison qu'il les a dressé lui même ( il m'a aussi appris à le faire ) : ce sont de véritables chiens de combat . Ils sont éduqués comme le faisaient les SS pour tuer ce qu'on leur ordonne dés qu'on le leur ordonne. Et ils ne lâcheront pas l'affaire avant d'avoir réussi leur sale besogne. Si Mathéo sort avant que quelqu'un les aient calmé et attaché alors il est bon pour l'hôpital, si ce n'est pire. Je frissonne en imaginant leurs crocs monstrueux se refermé sur sa peau pâle et souple. J'ai la nausée en imaginant une infime partit de la scène qui auraient put avoir lieu devant moi. Je ne veut pas qu'il soit blessé, je tient trop à lui. Il ne doit rien lui arrivé, je l'aime tant. Ces sales clebs auraient dût être attaché bon sang !! D'habitude on les attachaient toujours quand on avait de la visite ( désiré évidemment ). Je baisse la vitre avec appréhension, j'ai un peu peur qu'un d'entre eux saute dedans. Le plus vite possible je vocifère « Sitzt ! » de ma voix la plus dur ( assis en allemand ).


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