sortir de l'hopital
Mathéo se lève, un drôle de sourire faux au visage, le petit dans ses bras. Je lui crochète amoureusement le bout du nez pour attirer son regard :
« -Et toi mon petit cœur dors, il faut que tu te repose alors fait un gros dodo et quand tu te réveilleras un matin, promis, Daddy sera la et il te feras un gros câlin. »
Il ferme lentement ses petits yeux. Mon attention retourne à mon brave homme au foyer, je suis fier d'avoir un époux pareil. Il est fort,il fait tout ce qu'il peu, il sera parent seul pendant un petit moment, à élever notre enfant et cette fois même s'il y a un problème je ne pourrais pas venir. Cette fois il va falloir qu'ils'accroche et qu'il s'arme de tout son courage, mais j'ai confiance :il a mon soutient, et l'aide de ses proches et surtout c'est la personne la plus déterminé que je connaisse. Je le tire par la nuque et lui fais la bise sur le front. Je le déçoit là mais je ne voudrais pas choquer mon voisin trop catholique. Pas que j'ai des problèmes avec la religion mais, je suis athée, et des fois je trouve les idées comment dire ... L'intolérance ça me débecte,voilà.
Il voulait m'embrasser alors je secoue négativement la tête et tend la joue. Un smack sec et rapide, je sais qu'il fait comme il peut, j'ai senti ses sentiments, pas la peine d'en faire plus. Je lui sourit, je croit que nous nous sommes compris. Après mon maris évidemment toute mes pensées reviennent à mon petit prince dont l'état m'inquiète, je l'embrasse également de tout mon cœur.
J'entends un bruit ... Ah, c'est la voix de ce vieux, le grincement de cette gorge hachées par les années et un tremblante n'est pas ce que je voulais entendre. Il s'agite dans son lit, il n'y a pas que sa voix qui vibre, il semble pris de convulsions et lorsque sa ... rage ?Explose il nous en fait voir de toute les couleurs. Comme prévus, ça n'a pas louper :
« -MAIS VOUS ETES DES PÉDÉS !
Euh, non. Nous ne sommes pas des « pédés », merci.
Vous êtes des saletés de PD ! C'est scandaleux ! Scandaleux !
Nous ne sommes pas « PD » nous sommes homosexuels. Ce qui est complètement différent. Mathéo, allez y, avec Sacha. Çà ne sert à rien que vous restiez ici, je m'en occupe.
Darling je suis pas sur que ...
T'inquiète, je vais m'en tirer, il fera sûrement une syncope avant que je en perde mon sang froid. A demain mes anges.
A .... A demain ... Darling. Sacha, dit au revoir à Daddy. »
Ala place j'ai droit à de vigoureux pleures, il a la force de crier donc c'est bon signe. Je sourit jusqu'aux oreilles. Mes deux êtres cher se sont éclipser et de nouveau les cris de ce trou-duc me percent les tympans. Oh ça suffit. Il continue à me hurler dessus,alertant la moitié du personnelle et réveillant tout l'hôpital.Tout ça pour quoi ? Parce que ce vieux aux manières archaïques à vus un couple un peu hors du commun. J'entends des pas et la portes'ouvre, quatre infirmière et infirmer entre et se ruent au chevet de mon voisin alors que deux médecins en blouses blanches me regardent curieux par l'encadrement de la porte. Il y a mon médecin traitant et celui qui s'occupe de mon cas dans le CHU. Monsieur Morelle, celui qui m'avais prescris cette médication, me manque un peu tout à coup. Au fond lui et moi étions presque des amis, etc'est grâce à lui que j'ai cette vie la. Je m'en veut d'avoir voulus y mettre un terme, d'avoir faillis tout envoyer en l'air parce que je ne voudrais jamais changer de vie, je réalise que pour rien au monde je ne veut troquer mon quotidien contre un autre.Médicaments à la noix, c'était donc vraiment de ta faute ?Paradoxe : ce qui m'a donner une belle existence a faillis me la prendre. Mais je redescends sur Terre lorsqu'un couteau me frôle dangereusement le nez, je me retourne :
« -Crève ! Saleté d'homo ! »
Il vise trop bien pour un vieux celui là, il a fait lancer ou tire précision c'est pas possible. La prochaine fois il ne va pas me louper, avec sa fourchette. Il la brandit à un mètre de mon menton alors que les internes tentent de le maîtriser. Bon courage les gars( et les filles ).
« -Monsieur Martin, calmez vous, tout va bien.
CE TYPE EST UN PD ! Voilà ce que c'est !
On va vous changer de chambre, calmez vous. »
Ils semblent demander une preuve de ce qu'avance le patient alors je prends sur ma table de chevet, dans le tiroir, mon portefeuille et en sort les deux photos que je garde toujours avec moi ( oui c'est cliché, mais je suis un homme fait de clichés ). Dans la partis photos plastifié de mon porte-feuille il y a les portrait de mon maris souriant, de la crème sur une mèche et une autre de mon fil tout juste sortit de la maternité. Je les montres aux personnelles avec mes dents blanches dévoilées jusqu'aux oreilles. L'un d'entre eux fait la grimace et les autres reprennent leurs occupations, en l'occurrence tranquilliser cet personne d'un age certain, par la force s'il le faut. Maintenant ça suffis.
« -Allons allons, ça ne casse pas trois pattes à un canard.
VOUS VOULEZ RIRE !? C'EST UN SCANDALE !
On va vous changer de chambre, d'accord.
Laissez plutôt crever ce truc ! Pourquoi vous soignez une erreur de la nature pareille !? Ça se sauras ! Et votre hôpital coulera à cause de ça ! Il va couler parce que ça réputation sera celle là : ici on soigne les sodomites pédophiles ! »
Mmm la délicate insulte. Ce qui me choque moi c'est qu'un des soignant hoche là tête et approuve entre ses dents d'un « c'est ce que je leur dit tout le temps » en rangeant les affaires de l'aïeul. Ah bah c'est beau, en fait les mentalités n'évoluerons jamais assez vite. Je les regardent un peu perturbé se débattre avec leur protégé agité pendant quinze longues minutes avant que celui-ci ne disparaisse par la porte de la chambre dans un derniers cris de protestation. La pièce à retrouver un peu de calme, je soupir d'aise, c'est fini. Mon doc' et moi on se regarde les yeux ronds :
« -On me fait déplacer pour voir ça ?
Non non, je ne suis pas fou, je ne paie pas mon médecin pour qu'il vienne voir des spectacles de lancer de couteaux. C'est au sujet de mon traitement.
Ah oui, ça vous dérange si ?
Non asseyez vous, prenez votre temps. »
Il se pose sur une chaise, sort son PC et prend connaissance de mon dossier pendant de nombreuses et longues minutes. A un moment il se remet à parler, brisant ce silence trop pesant :
« -Et donc vous suiviez un traitement hormonal qu'on vous proscrit aujourd'hui car il vous pousse à la dépression.
Oui, regardez mon bras. C'est pas joli joli, pourtant je ne veut pas complètement arrêter. L'idéale se serais de trouver quelque chose qui a les mêmes effets sans les malus.
Ça n'existe pas une médication lourde sans effets secondaires monsieur Jourdan.
Mais il y a bien une solution ?
Je cherche.
Vous allez pouvoir me trouver un nouveau traitement ?
Peu être, une seconde ... Ce n'est pas évident. Les génériques pour ce genre de pathologie ça ne court pas les coins de rues. Et surtout j'ai vos nouvelles prises de sang, il faut que ça corresponde à ces nouvelles mesures.
Ça a évolué ?
Un peu ...
En bien ou en mal ?
Difficile à dire ... En mieux je dirais, mais c'est probablement temporaire. »
Je ne veut pas redevenir impuissant ! Ça non ! Jamais !Mon honneur en a assez prit dans sa face pour supporter un autre coup bas comme celui là. Je croise les doigts, pitié faites que je ne soit pas le seul ou l'un des seuls à être intolérant au traitement principal. Faite qu'il y est un générique ... Pitié ... Le temps file et toujours ce silence.
« -Un problème.
Je cherche. C'est assez épineux je en vous le cache pas : ce genre de traitement sont généralement uniques rare et cher. Mais heureusement dans votre cas c'est, hélas, plutôt commun. Disons pas trop rare pour être précis. On as peut être une chance de trouver quelque chose.
Peut être ?
En médecine, monsieur Jourdan c'est toujours des « peut être » et des « on espère ». Sauf pour la médecine généraliste, on ne risque pas grand chose avec la grippe du coin. Quoi qu'il y en a qui en meurt ... Comme quoi rien n'est écrit. Pour en revenir à vos soins, on vous avait donner les gélules les plus puissantes du marcher.
Ah ... »
Vlan dans ton honneur Phil. Tu étais déjà un cas désespéré.
« -D'ailleurs c'est abusé à mon avis, mais ce n'est que mon avis.
On aurait du me donner un truc moins fort ?
Pas forcément, mais moi je vous aurais donner un truc moins costaud. Vous deviez être un bête de sexe, sans me moquer hein.
Très drôle ...
Oui et donc, ce pourquoi on vous as donner ce traitement et pas un autre c'est grâce à l'efficacité à long terme. Celui là, que vous aviez, avait très peu de chance de devenir inefficace avec les années, vous auriez donc put le prendre toute une vie sans jamais plus avoir à revenir vers un médecin. SI vous n'aviez pas fait une dépression à cause des excipients ... enfin j'espère que c'est les excipients.
Ca pourrais être autre chose ?
Peu être, même si c'est peu probable rien n'est impossible. »
« -... Et si c'est l'agent actif qui vous met dans cet état alors hélas je ne peut rien pour vous et vous devrez faire sans ce médicament pour le reste de votre vie.
Il n'y aurais pas d'autre solution ?
Non.
Mais ne vous en faites pas, je sais ce que je fait et même si lui trouver un remplaçant ne sera pas facile nous allons arriver à supplanter ce médicament. Faites moi confiance. »
Comme si j'avais le choix, je m'allonge un peu plus sur le martela semi-relever. Autant se mettre à l'aise, il a l'air d'en avoir pour un moment. Ce lit est dur, les chambres d'hôpitaux c'est pas l'endroit où on dort le mieux ( ironiquement c'est souvent la qu'on dort pour la dernière fois ). Je regarde mon bras à la recherche d'une preuve de cicatrisation ... Ça ne fait que depuis hier alors je peut bien me gratter, c'est pas demain la veille que je vais sortir du pétrin dans lequel je me suis fourrer. Je pousse un soupire marqué de lassitude, cela dit les bords des plaies semblent se liés ensemble peu à peu. Ça cicatrise à son rythme, j'ai bon espoir.
« -Monsieur Jourdan je regrette mais pour l'instant je n'ai rien trouver et le travaille m'appelle ailleurs.
Rien ?
Aucun résultats non, mais je vais consulter des collègues et ensemble nous trouverons ce qu'il faut faire pour votre cas. La solution existe, ne vous en faites pas, il va juste falloir plus de temps que prévus pour la trouvé. En attendant et bien vous ferez sans ce traitement, mais bon , dans votre état avouez que vous pouvez vous en passer. Vous n'allez pas en mourir. Vous serez peu être un peu frustrer mais guère plus.
Mais ...
Ce n'est pas à l'hôpital que ça va vous déranger d'être impuissant. A moins que vous ne vouliez vous faire une belle infirmière ? »
Je hausse un sourcille ( realy nega ? ) il est sérieux là ?
« -Où plutôt un infirmier dans votre cas ? Je plaisante bien sur,c'est une. Vous passerez me voir au cabinet à votre sortit, si une solution existe belle et bien je l'aurais trouver d'ici là et je vous la prescrirais aussitôt.
Au revoir docteur.
Oh excusez moi si je vous ai vexer. Mes honoraires ... Sans rancune hein ? Bien au revoir. Et bon rétablissement.
Oui oui, au revoir. »
Je soupir ; quand je disais que ça n'était pas gagner je n'imaginais pas à ce point là. Mais, au moins, je pense pouvoir sortir. Le plus tôt sera le mieux.
Le lendemain j'ai reçus la visite de mon brun, seul cette fois.Dommage, je voulais revoir aujourd'hui aussi mon petit bout d'amour.
« -Bonjours Darling.
Bonjour mi amor. Sacha n'est pas là ?
Il est chez maman.
Ah OK, tant pis. Sinon, tu as put l'emmener chez le pédiatre ? Tu as pris rendez-vous au moins ?
Pour dans deux semaines, samedi.
Pas avant ?
Non, impossible. Ça va toi ?
Oui, j'ai hâte de sortir.
Il t'a dit quoi le médecin hier, après que je soit parti ?
Eum ... C'est pas gagner : pour l'instant je suis à court de pilules et je n'ai pas droit de prendre quoi que ce soit. Il me cherche une solution au plus vite.
Aïe ... Ca va aller ?
Tu es celui qui va le plus en partir.
DARLING ! »
Je sourit de toute mes dents : j'adore sa voix toute gênée, et il rougit encore comme un ado. Ça ne changera jamais, ça au moins.J'aime quand ses joues prennent ce teint fuchsia ou cramoisi, elles le font de moins en moins souvent. La gamme de rouge que prennent ses joue est tellement vaste, là elles sont justes légèrement rosies,rehaussé d'une pointe de vermillon, c'est adorable.
« -Je t'aime.
Je t'aime aussi. Tu m'as manquer.
Je t'ai manquer ? On s'est vus hier.
Je sais, mais tu m'as quand même manquer : depuis quelques temps, hier aussi, tu n'étais plus toi même. Tu avais changé, tu n'étais plus ... toi même. Mais je te retrouve comme avant, je suis soulagé. »
Je le regarde et il me donne un bref sourire candide et heureux. Il vient accoler ses lèvres contre les mienne avec tellement de douceur que je répond moi aussi le plus tendrement que je puisse faire. Mes yeux se fermes d'eux même afin de profité de notre baisé sec, un peu enfantin peu être, mais j'ai l'impression d'être sur un petit nuage. Ses doigts m'ont frôlé, comme un miroir les miens le frôle et nos mains se rencontre et se nouent. Dehors un passereau chante,une mésange, un rouge-gorge peu être, ou un bête moineau,qu'importe, c'est un petit oiseau de jardin sans aucune prétention qui chante mélodieusement.
« -Mathéo ... »
Il me regarde droit dans les yeux sans savoir quoi répondre. Ce n'est pas grave, ce n'était pas une question, je prononçais juste son nom pour moi même. J'énonçais justes ces quelques sonorités pour le plaisir de les entendre vibrées dans l'air.
« -Je t'aime. »
Les coins de ma bouche se tirent, j'aime quand il me dit ça. On ne prend pleinement conscience de la force de ces trois faibles mots que s'il n'y a rien autours pour s'en détourné ou en dévié le sens. Je ne connais rien de plus dépouillé qu'une chambre d'hôpital, je ne connais pas de meilleur lieu qu'ici pour comprendre la profondeur de tels paroles.
On se regardent et on s'embrasse une nouvelle fois. « une nouvelle fois ... » Oui, c'est un peu ça, c'est comme si tout était nouveau : on hésite, on tâtonne, on se cherche du bout des lèvres sans jamais rien faire de trop osé, de trop érotique, non,tout reste très chaste et pourtant ... Pourtant ce sentiment d'être profondément, indubitablement et irrémédiablement amoureux semble comblé chaque monceau de ma physionomie. On se touche du bout des doigts, il a les ongles un peu long, se sent sa main dans mes cheveux. Il la descend lentement le long de mon oreille puis contre ma joue, moi j'incline la tête pour la posé pleinement sur sa paume. De mon autre main je prend la sienne et emmêle nos doigts,comme la main d'une femme elle est un peu froide, mais comme celle d'un homme elle est grande et rassurante. Je plonge, ivre dans son regard whisky.
Et moi je me noie dans ton regard semblable à un lac au début de l'automne : le gris du ciel, le vert des arbres, le bleu de l'eau qui se mélange pour ne former qu'une seule couleur indescriptible. Je me noie dans ce petit havre de paix.
La seule chose qui nous force à rester conscient c'est se besoin d'oxygène qui quelques fois nous éloigne mais jamais très longtemps. J'ai confiance, je ferme les yeux, je sais que quand je les rouvrirais il sera toujours là. Je n'ai plus peur, je sais qu'il sera à mes côtés pour le meilleur et pour le pire jusqu'à ce que la mort nous sépare. Dans deux mois c'est notre premier anniversaire de mariage.
Ce matin un infirmier ( fort bien foutus, soit dit en passant, mais pas du tout à mon goût ) est venus me voir. Il m'a dit de rassembler mes affaires, que quand un de mes proches arriverais je pourrais partir avec lui. J'ai presque exploser de joie, mais ça ne fait pas bien d'embrasser amicalement la joue d'un mec qui vous regarde déjà de travers. Parce qu'il sait, il sait que je suis marié à un homme,que ce dernier m'attire. Tout le service le sait. Je croit que j'ai échapper de peu aux menaces de morts d'ailleurs. J'ai bien remarqué( qui ne remarquerais pas ? ) que les regards des autres sur moi ont changer : les hommes me fuit et me méprise. Comme si j'allais leur sauter dessus, ridicule. Quand aux femmes elle me jette des coups d'œil dédaigneux, parfois haineux. Les filles, je vais pas vous piquer votre maris vous savez, j'ai déjà le mien. C'est pas possible ça, dès que ça se sait le comportement de toute la population envers toi change. Et j'ai l'impression que ce sera toujours comme ça, il n'y a personne pour s'en foutre ? Bah non, ils se sentent tous plus ou moins concerner par ce que TOI tu fais de TON cul. Mêlez vous de vos oignon sérieux !
Enfin,enfin je vais quitter cet endroit pourav' qui put le vieux et ledétergent. Ma valise est vite faite pour l'excellente raison que moins je reste ici et mieux je me porte mais surtout parce que j'ai rien sur moi : quand Mat' m'a amener ici il n'a amener que moi.Bon par la suite il a apporter deux trois babioles mais pas grand chose. Dire que l'hôpital est une horreur c'est pauvre,particulièrement quand on se fait cracher dessus. Il me tarde tant de retrouver mon lit chauffer par un autre être endormis, de retrouver cette délicieuse odeur de repas, de sentir de nouveau un autre corps tout contre le mien quand je somnole à 22h.
Tout serais parfait si seulement je n'avais pas autorisation de sorti sous condition. Oui monsieur : liberté conditionnel monsieur. Je dois porter une genre de coque moche en plastique bleu translucide sur la totalité de mon avant-bras. « Pour protéger vos cicatrices » qu'ils disent. Bon, c'est vrai, elles sont fraîches et assez fragiles, ça ne fait qu'une semaine et demi que je suis suturé. Je doit donc les lavés plusieurs fois par jours avec un antiseptique et garder ma coque au maximum. Même pour dormir et me laver et même si elle me gratte comme une chienne je la porte. Bonheur. Cela dit je préfère ça à la fameuse hypothétique infection.
Mais la n 'est pas la question : mon beau brun vient d'arriver alors que je faisait machinalement bouger la fermeture de mon sac/valise. Il entre dans la chambre et vient derechef se lover contre moi. Je reçoit un petit bisous amoureux à la commissure des lèvres. ( Phil, c'est à toi, sourit comme un navet ).
« -On rentre mon ange ?
Tu ... Tu peut sortir ?
Oui. »
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