S'aimer comme des bêtes
Mathéo... J'ai le cœur qui fait un bond dans ma poitrine. On dirais une adolescente. Après tout malgré cette petite baisse de régime je l'aime toujours. Encore comme au premier jour ? Pas sûr ...Mais je l'aime, mais je suis amoureux, et je le veut, je le désire pour moi seul. Il traverse notre jardin au gazon de plus en plus haut, le pas empresser sur cette allée de dalle en pierre. Il se jette dans mes bras, je n'ai pas le temps de penser que ses lèvres touches les miennes, et je sent monter un brasier. Sa langue joue avec la mienne, ses doigts se perdent dans mes cheveux, mes lèvres s'oublient contre les siennes, mes mains baladent sur son corps de dieu. Nous luttons un moment à qui contrôlera ce baisé avant d'abandonner tous les deux, trop heureux de se retrouver. Juste,juste pour profiter de son souffle chaud se mêlant au mien. Sa main effleure doucement ma joue, il éloigne sa bouche et halète un peu à quelques centimètres de la mienne.
« -Dit moi ce qui ne va pas Darling ?
Je ne sais pas, notre couple va mal.
Sincèrement, est-ce-que tu m'aime encore ?
Oui.
Alors on va s'en sortir, parce que moi aussi. On as juste besoin de se retrouver tu ne croit pas ?
Si. »
Pour se retrouver je ne connais rien de mieux que ce ballet de doigts un peu trop éhonté sur nos corps. C'est qu'on est presque dans la rue,ce n'est pas une bonne idée d'être si proche en publique. Mais d'un autre côté, qu'est-ce-qu'on s'en fou.
« -Il y a autre chose pas vrai ?
Mon travaille, ça ne me plaît plus. Mais je ne dois pas abandonner, pour vous, je ne peu pas. Il me manque quelque chose. Depuis quelques temps il y a un truc chez moi qui ne me correspond plus. Je crois que c'est mon travaille ... C'est sûrement ça.
On vas en parler, allez, laisse moi entrer.
Sacha dort, je vais chercher ta valise. »
Il me passe les clefs et embrasse ma joue. Lorsque je revient avec mon chargement une quinte de rire de clair résonne dans la maison.
« -Tu l'as réveiller ?
Ah non, je suis entré et il m'a vu. Il a crier comme une groupie, je ne pouvais pas l'ignorer alors j'ai été le voir. »
Sacha enfile les baragouinages et les rires plus vite que jamais, il babille sans interruption. Je ne doute pas un seul instant que cela soit vrai, ils voulaient se retrouver tous les deux.
« -Oh mon bébé d'amour ! Gouzi-gouzi ! Mon petit cœur. Hou ce que tu m'as manquer toi. »
Je souris amèrement, on retourne au point de départ, on oublie les sujet qui fâches. Mais ils ne disparaissent pas, il vont remonter,et comme maintenant on tentera de les enfouir. Tout ira de mal en pire, les choses vont s'envenimer, on va finit par se disputer. Et un jours ses problèmes qu'on enterre nous déchireront. Il n'a plus parler de notre mal-aise l'un vis à vis de l'autre. Je lui ai dit ce qui s'était passer, vite fait, il était trop occuper par Sacha pour entendre que j'avais négliger son enfant. On ne s'écoutent même plus. Il a débarrassé sa valise. Il me prend la main en retirant sa cravate de l'autre, je me mord la lèvre, trop de fantasmes ... Et pas assez de sentiments en ce moment pour les assouvir.
« -J'ai envie d'une douche, on la prend tous les deux ?
Je ... OK ... »
C'est ambiguë, un peu honteux, comme si notre relation ne permettais pas notre contacte. Il retire expressément son costume, je retient un râle, la vue aussi m'avais manquer. Il le remarque et sort d'une voix espiègle :
« -Le spectacle te plaît ?
Plutôt deux fois qu'une. »
Il se glisse dans la baignoire, l'eau chaude met de plus en plus mes nerfs à rude épreuve. C'est la lutte entre mon cerveaux qui me hurle de l'envoyer chier, de râler, de gronder, de pester et de lui faire signaler dans un haussement de ton qu'on ne parlent plus. Et puis de l'autre côté il y a mon cœur qui envoie tout paître, au diable les mots, le corps parle si bien de lui même, il ne demande qu'a être toucher par ces doigts fin et tant pis pour tous le reste.Moi je lutte, pris entre deux feu c'est dur de rester sain d'esprit.Heureusement pour mon orgueil j'écoute mon cerveau mais c'est difficile. Alors qu'il me savonne le dos et contre toute attente ça y est, nous allons discuter !
« -Alors comme ça ton travaille ne te satisfait plus ?
Quoi ? Ah ... non ;
Pourquoi ?
Je ne sais pas, je ... J'en ai assez d'entretenir les cinq mêmes serveurs de ce MMO pourris.
C'est le tien pourtant.
Si tu savais. Oui et non, ils changent tout, depuis la mise à jour tout va de travers et ça bug pour un rien. C'est toujours les mêmes trucs qui plantent, à cause de mes amélioration faites mains qui ne sont pas compatible avec leurs programmes qu'ils rajoutent.
Ils ne peuvent pas corriger ça ?
Non ... Je dois tout faire moi même, point par point. C'est tellement rébarbatif.
Et donc ?
Donc j'en ai assez d'être payer beaucoup moins qu'avant pour faire un travaille encore moins intéressant et stimulant. Mais je ne peut pas démissionner, le brevet que j'ai déposer ne rapporte pas assez pour qu'on puisse en vivre.
Tu ne veut pas chercher un nouveau travaille ?
Mine de rien j'aime bien le secteur et la paye reste bonne. Mais ...
Mais ?
Mais il faut que je fasse quelque chose de mes mains, là c'est n'importe quoi. Je me perd, c'est plus moi.
Qu'est-ce-que tu compte faire ?
Je ne sais pas. Je suis coincé. »
Il me rince à l'eau chaude en silence. Pendant un moment seul le bruit du pommeau de douche brise le silence.
« -Mathéo ?
Je réfléchis.
A quoi ?
Une solution.
J'ai chercher tu sais. Je suis pris au piège par une clause d'exclusivités.
Dans ce cas il reste le prude-homme.
Impossible.
Pourquoi ?
Pourquoi ? Parce que mon avocat coûte cher, je n'ai pas les moyens. Et en prime il trouve que je fais trop de procès : mon brevet, les agressions, la mort de mon père plus trois ou quatre autres choses. Je ne peut plus engager de procédure judiciaire.
Qu'est-ce-qu'on fait alors ? Je travaille ?
Non ! Sûrement pas.
Pourquoi pas ?
Parce que c'est non. Ton rêve c'était d'élever nos enfants, et en plus avec ton accident c'est foutus.
Je pourrais travailler ailleurs que dans mon domaine d'étude tu sais. Et puis je ne suis pas une petite femme au foyer, j'aurais aimé travailler aussi.
Désolé ...
Quand on veut on peut toujours s'en sortir.
Et je trouverais une solution, en attendant je vais bosser et mettre un maximum de côté.
D'accord. On sort ?
Oui. »
Je lui passe sa serviette. Pendant que je me sèche il s'adosse à moi de tout son poids. C'est pas évident de rester droit, c'est qu'il pèse.
« -Mat ?!
Je me demandais s'il était possible de faire pression sur ton boss pour qu'il te change de poste.
Mon chef de service ? Même pas en rêve, c'est une hyène.
Qui t'as parler de ton chef de service ? Il faut viser le haut de l'échelle, le PDG directe.
T'es un malade.
Tu connais pas le proverbe ? Il faut viser la lune comme ça même si on échoue on finis dans les étoiles. Réfléchis : tu lui a vendu la machine qui a fait sa fortune. Il t'en doit une, alors si tu lui parle directement, sans passer par la case « petit chef idiot comme un caniche » alors peut être que ...
C'est totalement tordus comme idée mais ...
Mais ?
C'est tellement dingue que ça pourrais marcher ! Il va me falloir un dossier conséquent ! Non ! Un projet, un projet énorme !
Et tu l'as ?
Pas encore, mais je vais trouver. Il suffit de fouiller un peu. »
Devant mon enthousiasme grandissant il m'embrasse. Je me dépêche de finir de me sécher, motivé par l'idée de trouver un nouveau sujet d'expérimentation. Je me sent presque revivre, la même énergie qu'a mes vingts ans ! La même volonté qui pulse dans mes veines, et une bonne humeur que je ne cache pas.
« -C'est cool, je ne t'avais plus vus si motivé par ton travaille depuis notre dispute de novembre il y a quelques années.
Vient là toi ! »
Je le tire à moi et le sert fort, le soulève du sol en lui faisant un gros câlin. Il pousse un petit cris surpris en retenant la chute de sa serviette de ses hanches. Alors que je sourit jusqu'au oreille je sent quelque chose de dur contre ma cuisse.
« -Mathéo ? Je rêve pas là ? »
Il rougit en tentant de se dégager de la trop grande proximité de nos corps. Je le lâche et, sans retirer sa serviette, il se dirige vers notre chambre. Il marque un temps d'arrêt, comme s'il venait de se souvenir de quelque chose, avant de s'enfermer le plus vite possible dans les toilettes. Je réalise qu'il vient de se cloisonner, seul, avec une trique colossale.
« -MATHÉO ! SORT DE LA ! »
Il marmonne un « Non » haché par la porte et commence à gémir d'une manière assez audible malgré le bois.
« -Je t'interdit de faire ça ! Tu m'entend !? Sort de là !
Désolé ... Je peut plus ... arrêter maintenant.
Si tu fait ça tu aura affaire à moi ! On avais dit jamais seul ! »
Il ne répond pas, il gémit et halète tout seul. Je frappe la porte de toute mes forces, faisant vibrer les gonds.
« -Tu vas me payer ça très cher ! »
Je donne un violent coup de pied, la frustration est horrible. Je commence à avoir mal sous la pression, tout mon corps réclame une attention que je ne lui donne pas. Parce que moi, ce que je veut,c'est Mathéo. Je me mord la main pour contenir les pulsions qui me viennent.
« -T'as intérêt à être préparer quand tu sortira parce que je vais te défoncer ! Tu fais chier ! »
Pas de réponse, un petit cris, j'y crois pas ! FAIS SUER !
« -SORT DE LA !! »
Et je l'entends se soulager allègement de l'autre côté de la porte en gémissant mon prénom. J'ai une trique infernale, je vais craquer !
« -SORT ! »
Toujours rien, aucun signe de démission, c'est trop tard je pète les plombs.Je me précipite dans la chambre, il va me le payer. J'ouvre à toute vitesse un tiroir, envoie valser ce qu'il y avait dedans pour découvrir une mallette noir à code. Je le compose à toute vitesse en tremblant et et retient un grondement en en dévoilant le contenus. J'avais détester mon enterrement de vie de garçon à cause de cette mallette qu'on m'avais fait ouvrir devant tout le monde mais maintenant je n'avais qu'une envie, essayer de grès ou de force le fantasme qu'elle permettait d'assouvir. D'un geste violent je tire la couette, envoie tout valser dans la pièce pour qu'il ne reste que le matelas blanc et les draps monochromes de bien net. Tu vas voir salopiot, ce que je vais te faire après un coup dans le dos pareil ! Tu ne recommenceras pas de si tôt ! Je pose la mallette de « jouets » sur la commode en entendant la porte des WC s'ouvrir timidement. Une petite voix éraillé appelle, honteuse et apeurer. Le sang chaud pulse dans tout mon corps, réveillant des penchant que je ne croyais pas exister.
LEMON HARD LEMON HARD LEMON HARD LEMON HARD
Je me jette sur lui par surprise, lui fait une clef de bras et le plaque contre le mur. Ma langue glisse sur son lobe avant que je ne lui morde le cartilage. En un tour de main, quinze minutes et une corde plus tard, il est attacher serrer au lit, nu les cuisses écarter sans pouvoir les refermer par pudeur.
« -Philippe, je suis désolé.
Moi aussi ...Toi tu va prendre cher.
Fait pas ça .
Tu l'as bien chercher. »
On aurais dit la voix d'un vieux pervers, il a la larme à l'œil, le plus inquiétant c'est encore que ça me chauffe davantage. Je vérifie que ses poignet ne sont pas attaché trop fort avant de l'embrasser. Il répond dangereusement bien, trop bien même pour que cela ne soit sain. Mes mains glissent, il frissonne, déjà son membre se redresse. Tellement chaud ... Je sort du tiroir le lubrifiant et la boite de préservatif. Je tire la mallette et il me regarde la bave au lèvre, j'en sort le premier engin et il gémit.J'hésite : je le prépare ou pas ? Juste un petit peu alors ... Un doigt, juste un doigts.
« -Tellement serrer Mat ... »
Je grogne comme un ourse en mordillant ses tétons, il cris presque, je vais craquer avant d'avoir fait ce qui me faisait envie !J'enfile rapidement une protection, sort ma ceinture en cuire et il gémit, je crois que je lui fait autant plaisir qu'a moi :
« -Han oui ... Mon colonel ...
C'est un de tes fantasmes ? Je te savais pas aussi sale ... »
Il bouge lascivement les hanches, il réclame plus le salop. Je lubrifie rapidement un vibro et lui balade sous le nez. Il se mord la lèvre en remuant de plus belle, essayant d'étouffer des bruits affreusement érotiques. Il cris quand je le plonge en lui, ça à l'air de faire mal, cela dit moi aussi j'ai mal, je lutte contre la frustration. J'actionne les vibration et la pièce se remplis de petites plaintes haleté.
Il se frotte à moi ... Et ça vibre ... Mat, ressaisit toi vieux,Mmmmmgh ... Han ! Le brun perdait totalement pied, c'était trop. Le neuf de sa liste ? Sérieusement ?! Il faut le vouloir pour ne pas gémir de toute ses forces quand on entend une ceinture claquer l'air. En plus c'est douloureux, un vibro avec si peu de préparation ... Et son mâle l'embrassait avec tellement de fougue. Soudain il retira l'objet et Mathéo se sentit désespérément vide. Il ne savais pas comment réclamer plus autrement que part de petits cris frustrés.
« -Quoi ?
Encore ... Encore ... Philippe, encore !
Tu en veut plus ?
Mmmgh .. oui !
Et tu crois sincèrement que je vais te donner ce que tu veut ?!
Han ! Colonel ... »
Ça ne tournais décidément pas rond dans sa tête, plus il le violentait plus Mathéo calquait sur lui l'image qu'il s 'étais fait d'un mâle dominateur et jouissif ! Et il adorait ça !Oh oui, il adorait ! Quand il n'était pas aussi frustrer et perdus ! Il sentit quelque chose de moins important se glisser sans son intimité et lâcha un cris. Non seulement Phil avait commencer par le plus gros, par le meilleur, mais en plus il lui avait poser un anneau pour l'empêcher de venir quand il le voulais. Se sentir museler c'était ... C'était tout et trop, rien et ... Il n'arrivait plus à aligner une pensée cohérentes, il ne voulais qu'une chose :
« -Prend moi ! Prend moi ! »
Je n'arrive pas à me concentrer pour rester à le regarder sans rien faire, il faut que je m'occupe de mon cas avant d'exploser. Ma main bouge toute seule, et pas assez vite ...
Qu'est-ce-qu'il lui faut ? Je ne le supplie pas assez fort ? Ne t'amuse pas tout seul bon sang ! Tu as besoin de te soulager alors prend moi ! Mathéo ne pouvais pas réclamer, sa gorge était empêtré dans des exclamations érotiques qui ne voulaient pas s' arrêtées.Et il avait mal, il avait besoin de venir mais l'anneau contenait le flux, enflammant ses reins, ses poignet les brûlaient à cause de la friction. Il se débattait mais pourquoi ? Pour la délivrance ?Pour plus ? Il devenait juste fou, à voir son maris gronder comme une bête sans le sentir en lui. Et tout d'un coup les choses dégénérèrent, le blond embrassa sauvagement le brun avant des'enfoncer dans son intimité d'un grand coup et sur toute la longueur. Avant même que l'autre n'ai pus crier du fait de le recevoir, enfin, les coups de gourdins reprirent. Il allait violemment percuter les hanches de son amant, il s'en fichais des sens tourmentés de celui-ci, ce qui comptais c'était qu'il prenait son pied. Il avait l'intimité en feu, trop de mouvement, trop de plaisir à la fois, et ça ne voulais pas s'arrêter. Tant qu'il n'aurais pas jouis, Mathéo ne jouirais pas !
Quel jour sommes nous ? J' m'en fout ! Quel heure ? M'en fout !! Quelqu'un entre dans la pièce ? M'EN FOUT !!Plus vite ! Plus vite ! Plus vite ! GRRRMMMM ...
Han !Il rugit presque ! Et ses cheveux qui volent dans tous lessens ! Il va trop vite ! Ça fait mal ! Je vais craquer ! Je veut venir ! Retire moi ce truc ! Touche moi plus ! Aime moi p'tin !
Rien,ils étaient des bêtes, juste du sexe, et du sexe sacrément violent en prime.
Ça vient, j'y suis presque ... MGH ! Encore un peu ... Juste un peu ! Han ! Tellement serrer, tellement chaud !AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH. Grrrrrmmmmmmmmmmmmmm ... Oh ptin ... Oui.
Philippe se retira dans un soupir mais Mathéo toujours attacher gémissait sa douleur, ça lui faisait un mal horrible d'être contenus comme ça.Ah l'instant ou son blond lui retira l'anneau il se vida dans le préservatif si fort que tout son corps fut prit d'un genre de convulsion, et ça pendant prêt d'une minutes.
Je jette le ... Les préservatifs usager dans la poubelle et range, tout en cherchant mon souffle, les outils que j'ai sortis de ma mallette.Et dire que je n'en ai même pas utiliser la moitié, il y a du potentiel la dedans. Je me passe une main sur le visage, inspirant une pleine goulée d'air. Woaw ... Lorsque je me retourne Mathéo tremble encore de tout son être, les chevilles liées au sommier, la tête révulser en arrière et sa voix n'est plus qu'un râle guttural qui ne veut pas cesser. Il retombe enfin, vidé, dans les draps blancs et froissées.
FIN LEMON FIN LEMON FIN LEMON FIN LEMON FIN LEMON
« -Alors ? On as vus les étoiles ? »
Il est tout pâle, il ne répond pas, il repose juste dans notre lit comme une poupée de chiffon livide. Ses yeux son vides, ses membres inertes, rien. A l'instant ou je commence à paniquer il tourne la tête dans un bruit venus de loin, très loin, comme un pantin désarticuler. Je le détache doucement, embrassant les marques rouges sur ses chevilles et ses poignets. Il a tirer si fort sur les cordes ... J'accompagne doucement son corps déphasé pour sa réception dans le linge tiède. Il me fait peur, dans cet état second, je m'en mord l'intérieur de la joue. Je l'ai briser ...
« -Mat ?
Hun ? »
J'ai le droit à un regard noir foudroyant qui contraste avec ses joues rosies à l'extrême. J'en soupire de soulagement, il reprend pied.Ses couleurs lui reviennent rapidement et sa respiration ample et posée me rassure considérablement. Il détourne la tête :
« -Tu sais pas à quel point je te déteste.
J'ai une vague idée de la chose.
Oh non tu sais pas, tu sais pas à quel point ... Il y aura des représailles ... »
Je sourit, ça va mieux il me semble. Je m'allonge à ses côtés,embrassant continuellement son poignet un peu rouges. Les marques s'effacent déjà, et son anatomie elle aussi semble absorber le choque pour ne bientôt plus en avoir aucune séquelle. Il me détruit encore une fois du regard en cherchant quelques peu son souffle. J'ai besoin de savoir :
« -Avoue que tu as aimé.
Jamais.
Ça veut dire quoi ? Que tu n'avoue pas ou que tu n'as pas aimé ?
Que je te déteste ... »
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