Première dispute

Après ce moment difficile il m'a pris dans ses bras et on est rester comme ça pendant longtemps. Son odeur parfaite, le contacte de sa peau,son poids contre moi, son souffle chaud dans mon cou et dans mes cheveux ; tout ça j'en avait rêver. Quand on s'embrasse je plane, il est ma drogue, je ne veux pas qu'il parte. Je lui murmure à l'oreille :

« -C'est grave si tu sèche les cours demain ? Je veux que tu reste avec moi. »

Il à l'aire effrayé, il se relève et me regarde. C'est fou comme je suis dingue de lui.

« -Je ne peux pas sécher comme ça. C'est ma dernière années.

Si je t'amène là bas ? Tu pourrais rester ?

Ce n'est pas raisonnable ... Il vaut mieux que je rentre chez moi. »

Pourquoi veut tu partir ? Tu n'es pas bien avec moi ? Je m'allonge et l'allonge sur moi, je profite de ce câlin et je sent le sommeil venir. Je rouvre les yeux, il s'est relever, il est vraiment tendus.Qu'est-ce-qui ne va pas ?

« -Mathéo ? Tout va bien ? Tu veux partir ? Pourquoi ?

Je ... Je me sent mal ... »

Quoi ?Il est malade ?! Je me relève d'un coup et pose ma main sur son front ... Il n'a pas l'ère d'avoir de fièvre. Je m'inquiète comme un fou.

« -Tu as mal où ? Au ventre ? A la tête ? Tu veux un Doliprane ?

Non non. Ça ira. Je vais me reposer chez moi et demain ça ira mieux. »

Je vois ... Tu ne veux pas rester ici, c'est pour ça.

« - Qu'est-ce-que j'ai fait de mal ?

Rien du tout ...

Alors pourquoi veut tu partir ? De quoi tu as peur ?

... de toi ... »


Je suis choqué là ! Il ... Il a peur de MOI ?! Mais pourquoi ?


« -Je te fait peur ... Bon ... »

Il voit mon regard déprimer et réalise qu'il a été dur avec moi.Alors il se rapproche et pose un bisous sur ma joue. Je veux savoir ce qui l'effraie.

« -Pourquoi est ce que je te fait peur.

Ce n'est pas vraiment toi qui me fait peur c'est ... Ce que tu veux me faire ... »

Quoi ?Attend ? Il croyait que je voulais coucher avec lui ce soir ?J'éclate de rire en comprenant ça. Je le prend dans mes bras et le rassure :

« -Ne soit pas bête, je ne vais rien te faire. Je voulais juste que tu reste dormir à la maison ce soir. Me prendrais tu pour un pervers ? »

Je rit encore un peu, ce qu'il est mignon quand il est gêner comme ça.Il ne me répond pas mais il à l'ère plus détendus.

« -Tu reste ou je te ramène chez toi ?

Pour l'instant je reste ... Tu me laissera changer d'avis ?

Bien sur. Mais plus après minuit ... »

Je rit et il comprend que c'est une plaisanterie. Il est bientôt 13 h alors je commande des pizzas et on reste toute la journée dans ma chambre à jouer à FIFA ... Il me met vraiment la misère mais c'est pas grave. Il propose qu'on aille au labo pour bosser un peu,histoire de « préparer son brevet de fin d'étude » ...Curieux va ! C'est comme ça que je t'aime. Pendant qu'on travaille je le questionne, je veut tout savoir :

« -Tu mesure combien ?

C'est quoi cette question ?

Tu veux pas répondre ?

Si, je fait 1m71 ... Pourquoi tu me demande ça ?

Je veut tout savoir de toi ...

Pff, tu es un peu bizarre non ? Bon alors ... Mathéo Jourdan né le 12 mars 87, actuellement âgé de 28 ans, finis ses études en informatique. J'ai redoublé deux fois ... Adopté à la naissance je ne sais pas trop ou dans le sud de la France, probablement vers Clermont-Ferrand, j'ai un frère aîné, né biologiquement de mes parents. Je chausse du 39 et je suis de signe poisson. Quoi d'autre ?

Tu es beau ...

T'es c** ... Et toi ?

Philippe Douhet, 34 ans depuis le 23 juin, né en 81, fil unique de parents stupides qui m'ont émanciper dés que possible. J'ai fait des études longue et actuellement mes recherches sont financé par l'état. Je mesure 1m82 pour 77kg, je suis cancer et j'aime bien le sport mais la chose que je préfère c'est toi.

Marie et Kai c'est qui du coup ? Je croyais que c'était ta nièce et son copain mais tu n'as pas de frère ...

C'est compliquer, disons une squatteuse et son chat errants, ils sont pas en couple. Bon, tu vient faire les présentations ?

Quoi ? On s'était déjà vu eux et moi non ?

Mais pas en tant que mon copain.

Je suis pas sur que ...

Elle nous a vu nous embrasser ce matin je te rappelle. Ils savent que je suis gay et de toute façon ici c'est chez moi, on est adultes on fait ce qu'on veut. Allez vient. »


Je le prend par la main, il se dégage. Je fronce les yeux, si il croit que je vais me contenté de marcher côte à côte dans ma propre maison il se fourre le doigt dans l'œil. Je l'attrape par la taille et le soulève, il n'est pas très lourd, je le charge sur mon épaule et descend à table. Lui se débat un peu sur mon épaule en braillant de manière pas très viril. Marie lâche un soupir et ajoute un couvert en nous voyant débarquer. Moi je jette Mathéo sur le divan et entreprend de le décoincer un peu : il est très chatouilleux. Il part dans un fou rire me suppliant d' arrêté avant de me frapper avec les coussins. Je fait mine d'avoir mal à la tête,il s'arrête, s'inquiète, se penche pour comprendre ce qui ne va pas. Et au moment ou il s'y attend le moins je lui saute dessus par surprise, il cri et me traite d'idiot, on chahute comme des gosses pendant encore 15 minutes et puis on finit par se calmer.

Je m'assoie derrière lui, enfouie mon nez dans sa nuque et reprend mon souffle. Je n'aurait jamais imaginer que les choses serais à la fois identique et différente par rapport à l'amitié. Je repense à ce que nous faisions en tant qu'amis et finalement ce n'est pas si différent, c'est juste un peu plus intime. Heureusement que ce n'est pas une révolution entre nous, j'aime les choses comme elles sont.Une bouffé de son parfum me plonge en transe ...

« -A quoi tu pense ? Phil ?

Je me demande ce que je serais sans toi ... Et toi ?

Ce qu'il va se passer ensuite.

Là tout de suite on va passer à table, riais-je.

Arrête ! Ce qu'il va se passer à la longue ...

J'avais compris, j'embrasse son cou, je vais tout faire pour te rendre heureux. »

Il rougit et puis Marie nous appelle.

« -Bon ... fait elle ... Je suppose que vous n'êtes plus simplement amis.

Supposition correcte.

Je suis contente pour toi Phil. »

Pour une fois qu'elle ne me colle pas la honte, incroyable. Le courant à l'air de bien passé même si Mat' est hyper gêner. Le mieux à faire c'est peu être de le laissez se détendre petit à petit,direction la douche, je lui dit en passant que les films sont dans l'étagère : ce soir c'est film-party dans ma chambre. Je fait couler l'eau et revient sur ma journée : Mathéo, celui que j'aime, est avec moi.

Mathéo attendais debout dans le salon sans trop savoir quoi faire lorsque Marie lui montra la fameuse étagère qui servait de médiathèque.

« -Tu es ici chez toi tu sais. Je peut te tutoyer ?

Bien sur. Mais je ne me sent pas vraiment à ma place ... Je veut dire ... J'arrive comme ça du jour au lendemain.

On s'en fiche, tant que tu ne le fait pas pleurer sa va bien se passer. »

Il eut un petit rire nerveux et elle lui conseilla de choisir le film plutôt que de faire les cents pas. Le soirée se termina tranquillement et j'avoue avoir longtemps rêver d'avoir Mathéo chez moi comme ça, c'est le bonheur.

Il est trop mignon quand il se dandine pour demander la salle de bain.Il est beau les cheveux mouillé, il est magnifique quand il sourit,son rire est le plus beau du monde, il me fait envie dans mes vêtements trop ample pour lui. Je sent bien qu'il est de plus en plus tendu au fur et à mesure que le soleil se couche. Il a peur que je revienne sur ma parole, alors je ne tente rien. Pas que je n'ai pas envie de son corps mais je sais qu'un simple baisé pourrais le faire paniquer vu l'état dans lequel il est.

Un énorme screamer apparaît sur la TV et il sursaute à peine, moi je hurle. Il me regarde et rigole, il se souvient de passages bien plus effrayant dans les films qu'ont avait vus ensemble. Il comprend que je ne les ait pas regardé et je me sent ridicule, je suis découvert.Il prend ma main dans la sienne et je ne résiste pas à l'envie d'entremêler nos doigts. On frissonne, pas de peur cette fois, et on continus le film en se tenant la main ( j'ai dû la lui écrabouiller vu comme je suis un froussard ). Et puis à un moment il s'endort sur mon épaule, alors je l'embrasse sur la joue, éteins la télé et le porte jusque dans les draps. Elle est belle ma princesse aubois dormant. Je me couche à côté de lui, et le prend dans mes bras. Je ne tarde pas à le rejoindre dans les bras de Morphée.


Je me réveille ce matin avec un affreux sentiments de vide. Je me retourne dans mes draps et ré enfouis mon menton dans l'oreiller. Je m'étire sur toute la surface du lit et réalise que ce manque vient de l'absence de Mathéo à mes côté. Où est il partit ?J'aurais fait un rêve ? Complètement paniqué je cherche une preuve de son passage des yeux. Il n'y a rien. Un rêve ... Si j'avais sût j'en aurait profiter ... J'enfonce mon visage dans un des mes énième coussin lorsque une odeur familière me parvient.Cette oreiller sent la vanille ! Un tout petit peu certes mais il sent son shampoing ! Il est vraiment venus ! Il a vraiment dormis dans mes bras ! Mais alors où est il maintenant ? Pourquoi est il partit comme un voleur sans rien me dire ? Je m'habille à toute vitesse et descend dans le salon :personne. Mais il est quelle heure ? 9H34 affiche la pendule.J'ai dormis pendant tout ce temps ? Pas étonnant qu'il n'y ai personne : ils sont tous en cours ou en train de traîner dehors. Pourquoi ne m'a il pas réveiller ? Je déteste l'idée d'avoir été laisser en plan mais d'un autre côté je m'en veux d'avoir fait la marmotte. J'engloutis mon café et remonte dans mon bureau, je suis vraiment en rogne : je n'ai rien fait pour me réveiller seul et loin de lui. Moi je voulais mon bisous du matin,je voulais me lever en douceur avec son corps contre le mien. Raaah !Il me fait suer à me fuir de la sorte. Je sort mon portable et l'incendie par message :

« Tu es où ? Je me lève ce matin et tu n'es pas là ! Je suis vraiment en rogne ! Je veut te voir ce soir. »

J'attends une minute, puis deux, et trois, 15 minutes plus tard : toujours pas de réponse. Il m'aurait pas donner un faux numéro quand même ?Je l'appelle ... Et tombe sur sa messagerie. Je comprend, on ne veut pas entendre parler de moi ? Ça va barder ! Il faut que je trouve Tom, lui saura comment le contacter. Et pour trouver Thomas il y a toujours le bar. Je me rue au Ioay-coffee et je saute presque à la gorge de Chris' :


« -Il est où ?

De qui tu me parle Phil ?

De Mat' ... Oh et puis non Tom ... Les deux !

Et bien comme tu le sait Tom bosse jusqu'à 19-20h tous les soirs et Mat' finis à peu prés aux mêmes horaires si ils reste tard en cour. Mais ça tu le sait mieux que moi non ?

J'arrive pas à contacter Mat' ...

Je te sert quelque chose ?

Je veut bien ... Tu saurai pas comment contacter Mathéo ? J'y arrive pas ...

Tu n'es pas le seul. Thomas est venus me voir hier, il voulais aller à une soirée avec son frère mais impossible de le trouver.

Hier ? Il était chez moi hier.

Quoi ? C'est vrai ? Raconte !

Seulement quand il sera là avec moi.

Fait pas ton timide. Je t'offre un verre de vodka si tu me dit tout.

Bon ... Va y, verse. »

J'avale la boisson brûlante et lui résume vite fait la soirée :

« -Mat' est passé au matin, il m'a embrasser, on s'est plus alors on est ensemble. Il est rester chez moi hier soir mais au matin ils'était barrer et depuis impossible de mettre la main dessus.

Bravo ! Deux de casé. Vous me donnerez une photos de vous deux hein ?

Pourquoi ?

Tradition du complexe. On tient un livre d'or : tous les clients qui trouve quelqu'un laisse une photos de tous les deux et un petit mot.

Très mignon, fit-je sur un ton sarcastique, Et pour Tom ? Vous avez un livre à part ? »

Il rit un bon coup et m'offre un champagne pour arrosé la bonne nouvelle. Je vais finir saoul avant de le retrouver moi.

« -Bien sur que non, si un couple se sépare on enlève la photos.

Et le mot ?

Si l'un des deux veux absolument le faire disparaître, ce qui est pas commun, alors on retire la page.

Mouais ... En attendant je sais pas pourquoi il m'a planté ce matin.

C'est si important que ça ? Plus important : ça se fête une première fois !

QUOI !? Tu n'as pas honte ? On as rien fait si tu veut savoir.

Pff, quel coincé.

Tu n'as pas honte Chris' ?

Je rigole, je rigole. Je suis content pour toi. »

Christophe ne semble pas capable de m'aider à le trouver ... Bon ... Et bien je vais aller le chercher à sa sortie des cours moi même !

A 200 km/h sur la rocade, je sais c'est pas terrible mais je suis pas de la meilleure des humeurs, j'arrive devant son université. Il y a peu de chance qu'il sorte tout de suite alors je me gars prés de la porte et je bosse sur mon PC tout en surveillant les allé et venus des étudiants.

Au bout de plusieurs heures je le voix sortir, il a l'ère fatiguer mais il est magnifique quand même. Et puis je vois qu'il est accompagné :Il rit avec un mec plus jeune que lui d'un ou deux ans. Ce conn*** à son bras sur les épaules de MON mec et ça je ne le supporte pas. Je l'appelle mais rien ne se passe, il n'a même pas daigner regarder son tel. Ça ne va pas se passer comme ça ! Je ne te laisserai pas me mettre des vents Mathéo. Je sort de ma voiture pour aller le chercher mais il monte dans la voiture de cet autre garçon, mon cœur manque un battement. Pourquoi monte il dans sa voiture ? Il n'utilise pas les transports en commun ? C'est ce mec qui est venus le chercher ce matin ? Il était déjà en couple ?Il se moquait de moi ? Je rentre chez moi, dégoutter. Au bout d'une heure je reçoit un message de sa part :

« Je suis aller en cours ce matin. Là je suis chez moi, tu veut que je vienne chez toi ou tu vient ? »

Je ne répond pas, pas envie. Il m'appelle, je veut raccrocher mais je me trompe de bouton. Me voilà au téléphone avec lui :

« -Allô ? Phil ... Pourquoi tu n'as pas répondus à mon message ?Tu veux que je vienne ?

Non.

Pourquoi ?

Reste avec ton copain, c'est mieux. Après tout il est jeune, tu dois le trouver beau. Pourquoi tu le trompe avec moi ?

Qui ça ? C'est toi mon copain. De qui tu parle ? Il n'y a que toi.

Alors c'était qui le type avec qui tu es rentrer ? Tu es monter dans sa voiture ! Il avait sa main sur ton épaule ! C'est pour ça que tu hésitais ! TU L'AIME ET MOI JE SUIS LE GÊNEUR ! VA TE FAIRE VOIR !

Mais c'est juste un ami Phil ! Il est hétéro ! »

Je raccroche, je ne veut rien entendre. Ça fait moins de 48h qu'on est ensemble et il m'a déjà fait pleurer, posé un lapin et tromper. Je me suis complètement planté sur son compte. Thomas appelle ... Je répond vite fait :

« -Allô ...

PHILIPPE TU UN PARFAIT CONNA** !! VA T'EXCUSER AUPRÈS DE MATHÉO !!

Pourquoi tu me gueule dessus ? Il me trompe ...

CRÉTIN !!!! IL M'A RACONTER !! C'EST SON EX-COLOCATAIRE !! ENC**** !!! ILS FONT DU COVOITURAGE PAUVRE TACHE !!!

Quoi ...

TU VIENT DE FAIRE DU MAL A MON FRÈRE AVEC TA JALOUSIE MAL PLACER ALORS VA T'EXCUSER PETIT C** !!

Son ... du ... covoiturage ...

TU AS QUINZE SECONDES POUR POSER TON GROS CUL DANS TA BAGNOLE !! IL EST AU BAR !! JE TE DONNE 20 MINUTES !! SI DANS 20 MINU .... »


Je raccroche et me jette sur mes clefs. Je fonce à toute vitesse,grille trois feux rouges, manque d'écraser une vieille. En bref je frôle l'accident par vingt fois avant de me garer à l'arrache sur le parking du bar. Je cours et défonce presque la porte et tombe nez à nez avec un Thomas vraiment furieux. Sur son épaule il y a Mathéo qui sanglote, lui lui frotte le dos alors que Chris' me lance un regard accusateur. Certains clients ignores la scène pendant que d'autre nous regarde intriguer. Mon Mathéo pleur et c'est ma faute ...Je m'approche. Son frère et le patron me fusille du regard mais je les ignore, pour moi le mal est fait. Je pose ma main sur son épaule.Je l'éloigne de l'épaule de son frère et le prend dans mes bras,il s'accroche à mon T-shirt qui s'humidifie de ses larmes.Qu'est-ce-que j'ai fait ? Je suis un monstre ! Je lui frotte le dos pour calmer ses pleurs et lui se raccroche à moi.

« Pardon Mathéo ... Pardon ... Pardon, pardon, pardon, pardon ... Mon unique ... Je suis désolé ... J'ai été stupide ... je voulais pas te crier dessus ... Je voulais pas te faire de mal ... Pardonne moi bébé ... »

Il pleur un peu moins et frotte son visage contre mon torse. Je comprend à quel point je lui ai fait mal. Il ne me le dit peu être pas mais lui aussi est amoureux, lui aussi souffre des doutes et de la peur d'être rejeter. Lui aussi à besoin de l'autre plus que de sa propre mère. Il a dû être tellement désemparer quand je l'ai jeter comme ça ... Je suis le pire des enf*** ...

« Pardon bébé ... Pardon mon prince ... Mon chéris ... Mon unique ... »

Je prend son visage bouffis entre mes deux mains. Hier soir j'avais sûrement la même tête. Il essuie ses yeux ambres. Je l'embrasse et il me répond, il se raccroche à ce baisé comme un naufragé à un canaux de sauvetage. J'approfondis encore notre baisé, je le rassure sans mots, je le protège de moi même, je le fait miens parce seul contacte. Quand on se sépare enfin, il a encore la larme à l'œil et une partie du bar applaudit bêtement. Chris'nous as photographier comme un rapace qu'il est. Je me sent vachement rouge tout d'un coup : le bar entier à vu ça. La tension retombe rapidement et Mathéo reste dans mes bras, il ne bouge pas, il a peu être peur que nous nous disputions à nouveaux. Il me dit « je t'aime. » d'une petite voie et je le croit sans problème. On s'aime.


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