Paranoïa ou danger réel ?

Depuis que Mathéo est rentré tard ce jour la il règne une ambiance bizarre chez moi. Il va déménager à la maison dans quelques mois et donc je suis super content mais je ne sais pas pourquoi je sent comme une pression. Je regarde par la fenêtre sans raison, je vérifie les verrous plusieurs fois par jours, j'ai l'impression que des personnes se balade dans ma maison.

Je dors mal ces jours ci et mon travaille n'avance plus, mes employeurs sont sur mon cul pour que je finisse au plus vite et pourtant toutes les nuits je fait la ronde avec ma lampe torche. Mathéo en a de plus en plus marre avec ma paranoïa, surtout que je ne sais pas ce que je crains moi même. Je n'avais jamais eu ce sentiments d'insécurité avant, au contraire, ma maison est sûrement l'endroit le plus sûr mais ...


Les semaines passe et mes cernes deviennent énormes, je réveille de plus en plus souvent Mat' la nuit. Je vérifie qu'il est la, que tout va bien mais ( et c'est logique ) je le dérange. Il dort mal à cause de moi et n'arrive pas à trouver de travaille à cause de ses mauvaises performances en entretient. Tout ça c'est de ma faute ...

« -Écoute Phil, ça ne peut plus durer. Tu ne dors pas, tu m'empêche de dormir, ton travaille n'avance plus et le miens fait presque de la marche arrière. La situation devient clairement invivable comme toi comme pour moi.

Qu'est-ce-que tu veut dire ?

On ne peut pas continuer comme ça. »

Je meurt d'angoisse. Je ne veut pas qu'il me quitte ! Non !Pas maintenant ! J'ai besoin de lui ! Il me rassure, je ne peut plus me rendormir sans le prendre dans mes bras. Si il part je ne suis plus rien ...


« -Phil ... Je ...

Je t'aime ! Je t'en pris ne me quitte pas ! Ne me quitte pas ... Je peut pas vivre sans toi bébé ...

Moi aussi je t'aime. Quoi qu'il se passe et quoi qu'on fasse je t'aime darling. Tu comprend ? »


Je l'embrasse. Heureusement pour moi nous avons toujours été proche et je n'ai pas manquer de preuve d'amour et de ''bisous calmant''pendant mes nuits blanches. Il m'a toujours rassurer et jusqu'à maintenant je n'avais jamais douté de son amour pour moi ...Qu'est-ce-qu'il m'arrive pour que je commence à avoir peur pour nous comme ça ... Là ! Encore se sentiment d'être observé !Je déteste ça ... Il voit mes regard inquiet vers la fenêtre et prend mes mains.

« -Ça ne peut plus durer darling. Je vais annuler mon emménagement et rentrer chez moi.

Quoi !?

Non non non ... Calme toi fifi ... Je ne te quitte pas d'accord, on s'envoie des messages tout les jours, on s'appelle et on se voit le plus souvent possible. Comme au début.

Mais ...

C'est juste pour un temps, promis. C'est juste le temps que je trouve un travaille. Ensuite, je te le promet, j'emménage chez toi. On réglera ensemble ce problème d'insécurité, d'accord ?

Sans toi ça va être pire ... Je veut pas ...

Je suis désolé Darling mais là j'ai pas le choix. J'ai trois gros entretient dans les semaines à venir et je doit être en forme. Je ne PEUT PAS les louper sinon ma carrière est foutus.

Je sais mais ...

Phil ... C'est juste une dizaine de jour. Et puis tu n'es pas tout seul dans la maison, il y a Marie et Kai. Il faut que je le fasse, je n'ai pas le choix. C'est le plus urgent pour l'instant.

...

Fait pas cette tête Darling, c'est toi le plus important je te promet. Il me faut juste quelques jours, tu y arrivera !

Je ... Je croit que je peut tenir quelques jours ... Tu viendra me voir hein ? Tu ne me quitte pas ? Tu ne me laisse pas seul ? Tu ne m'abandonne pas ?

Jamais Phil, jamais ! »


Il m'a embrasser et pour une fois je me suis sentie à sa merci.Aujourd'hui c'était moi le ''uke'' , celui qui avait besoin d'être rassurer, cajoler, consoler. Mathéo, sauve moi de cette peur incompréhensible, je t'en pris.

La même journée il a commencé à faire ses valises et le lendemain matin il était partit. Depuis presque un mois qu'il vivait ici je m'était fait à sa présence, elle m'était devenus normale.Maintenant je redécouvre une autre sorte de souffrance : le manque et la solitude. Je regrette tout les petits détails insignifiant comme nos brosses à dents dans le même pot, ses affaires et les miennes dans le placard, l'entendre me dire bonjour et voir son sourire. Je regrette encore plus les grandes choses,celle qui me rendait vraiment heureux : son rire, son visage, sa présence, son contacte, son odeur, ses baisés, sa peau ...

Dans mon lit trop grand je fait de plus en plus de cauchemars et je dors de moins en moins. Mon employeur me harcèle car il sait que mon travaille n'avance plus et pire que tout, mon sentiment d'oppression est plus intense que jamais. Mon seul réconfort c'est que Mathéo m'appelle, inonde ma messagerie de textos doux et vient tous les jours. Quand il rentre c'est toujours la même chose : je me jette dans ses bras, je l'embrasse le plus fort, le plus langoureusement et le plus longtemps possible puis je m'endors quelques heures dans ses bras. A mon réveille il me rassure, me dit plusieurs fois qu'il m'aime, me dit que rien ne lui arrivera. Parfois on mange ensembles, ça dépens de l'heure, et puis il repart, il a du travaille. Moi je n'arrive pas à avancer sur le mien car chaque fois, toutes les dix secondes, je me retourne pour surveiller derrière moi. C'est sans fin et c'est épuisant. Il a raison, la situation est vraiment critique pour moi.

Et puis un jours, il n'est pas venus. Plus de message ... Plus d'appel ...Plus de nouvelle ... J'ai fait les cents pas pendant des heures lorsque quelqu'un sonne à ma porte. Je me précipite pour ouvrir et tombe sur un gamin :

« -'jour m'sieux ... Alors euh ... Tenez. »

Il me tend une enveloppe blanche plutôt épaisse par endroit. Je n'ai pas le temps pour des idioties, j'ai peur pour Mathéo là ! Je prends un ton sec et froid.

« -Qu'est-ce-que c'est ?

Je sais pas moi. C'est un type qui m'a donner quinze balles pour que je vous remette ça en main propre. »

J'ouvre la lettre par curiosité. Il doit y avoir quelque chose d'important à l'intérieur pour qu'on paye un gamin. Cette histoire ne me dit rien qui vaille. Je sort le lettre et quelque chose en tombe au même moment : des cheveux ... Je suis pris d'un horrible frisson et je déplie la feuille en toute hâte. Je lis aussi vite que je peut et le contenus de la lettre me fait frémir.

« Tu vois, pauvre con, ce qui arrive quand on me cherche. J'ai ton abrutis de petit jouet. Il me semble que tu l'aime bien, alors si tu veut retrouver autre chose que son petit corps sans vie tu as intérêt à te pointer sur le parking de l'aratoire d'ici ce soir. Tu as pas intérêt à appeler les flics et si tu vient armé ou accompagné tu sais ce que je vais lui faire. Si tu me croit pas malgré l'échantillon de cheveux, j'ai joins un truc qui devrait te convaincre que je suis sérieux. »

Mes mains tremblantes laissèrent tomber l'enveloppe et la lettre. Alors que je la ramassait, écraser par le poids de cette nouvelle, le gamin commença à partir :

« -TOI TU RESTE LA !

Quoi ? Mais j'ai rien fait moi !

Je m'en fou ! Tu rentre et tu reste à porter de main le temps que je sache quoi faire ...

Quoi ? Ça va pas la tête ? Je me casse. »

Je le chope par le col et le soulève sans mal à plusieurs centimètres du sol. Il couine alors que je lui hurle dessus :

« -C'est un enlèvement petit *** !

Je savais pas ... Je sais rien ! Lâchez moi !

Qui t'a payer pour me faire porter cette merde !?

Un type, je le connaissais pas. Je le jure !

Décrit le !

Grand ... Un peu plus petit que vous ... Avec un tatouage de serpent sur la main ! »

Je le lâche et il s'enfuit en courant tout en me traitant de taré. Qui ça pourrait être ? Je ne vois qu'une seule option :l'espèce de dégénéré de la dernière fois, le type qui m'avait draguer au bar. Qu'est-ce-que je peu faire ... Je regarde à l'intérieur de l'enveloppe et y trouves plusieurs mèche de cheveux mi-long châtain, par pur réflexe je les prend et les portes prés de mon visage ... Il s'en dégage une faible odeur de vanille, c'est les siens c'est sur. Avec ça il y a un morceau de tissus pas très grand mais imbiber de sang sécher.

Je m'écroule sur mon palier ... Ils l'ont enlevé ... Ils vont lui faire du mal ... Ils vont le tuer ! J'ai le regard vide, la tête qui tourne, je suis totalement perdu. Mon premier réflexe et de remettre tout dans l'enveloppe, je la pose sur la table et me jette sur le téléphone.

Répond.

Répond !

Répond !!

RÉPOND !!!!!!

« Votre correspondant n'est pas joignable pour le moment, veuillez laisser un message après le BIP sonore ............ BIIIIP »





Je laisse tomber le téléphone. Il ne répond pas ... Après un momentd'absence je me ressaisit et reprend le téléphone. Je compose en tremblant le numéro de Thomas. Ils doivent être ensembles ... Dites moi qu'ils sont ensembles.

« -Allô ?

Thomas ! Dit moi que Mathéo est avec toi ! Qu'il va bien.

Phil ? Mais qu'est-ce-que tu raconte ? Il n'est pas chez toi ?

Non ... Il est retourner à son précédent appartement et ... Tom ! Je croit qu'on l'as enlever !

Mais qu'est-ce-que tu raconte ? »

Je me met à parler de manière décousus à un rythme effréné et incompréhensible :

« -Ils ont du l'attraper quand il est rentrer chez lui ! Ilsveulent que je vienne seul ! La lettre ... Je ... J'étais suivit ! Ils observaient ma maison ! Ils ont Mathéo !Thomas ! Ils ont Mathéo ! Qu'est-ce-que je dois faire ?

Calme toi bon sang. Je comprend rien de ce que tu me raconte. Inspire. »

Je reprend à grande peine mon souffle et dit tout d'une seul traite :

« -Ils suivaient ma maison, un type bizarre qui m'as draguer au bar, il a dit qu'il se vengerais, je n'étais pas sur alors j'ai rien dit, je ne pensait pas qu'il ferait quelque chose mais je vient de recevoir des menaces, il dit que je dois y aller seul, à l'abattoir, si je désobéit ils tueront Mat' ! »

Ma voix se brisa dans les derniers mots et je me raccrocha au combiner en espérant une réaction de Tom qui ne vint pas. Au bout de se qui me sembla être une éternité j'entendis la voix de Thomas à l'autre bout du fil : « On va y réfléchir ensemble,j'arrive. »

Je me souviendrai toujours du ton qu'il avait employé dans cette phrase, je ne l'avais jamais entendu parler comme ça. Lui qui avait un caractère farceurs et joyeux, insouciant même avait à cet instant la voix la plus dur et la plus terrible que j'ai jamais entendu. Elle me glaça jusqu'aux sang tant elle débordais de haine et de colère.

Quelques minutes plus tard il arriva, je lui tendis la lettre et je vis ses trais se déformé sous la violence de ses émotions. Ses points se crispèrent et les veines de son cou et de ses mains pulsèrent. Au moment ou il saisit le tissu ensanglanté il me regarda , les yeux brûlant de rage. J'aurai du être terroriser par ce regard mais au contraire il me redonna de l'énergie. Il me communiqua cet esprit de vengeance et me redonna du courage. Je me sentait invincible,porté par l'adrénaline dans mes veines, j'allais faire payé à ses type ce qu'ils venaient de faire. Personne ne toucherais Mathéo tant que je serais vivant ! Je suis le seul à avoir droit de voir ses larmes ! Ils vont payer !

Je monta dans la voiture avec Tom et on se rendit au bar. C'était évident qu'ils seraient armé et nombreux, c'était un piège qui m'était dédier à près tout. Je fis craquer tout mes doigts, bien content de m'être finalement remis à la boxe. Ce soir se serait Free Fight ... On entra dans le bar en claquant la porte et Chris'vit nos têtes plus qu'énervé.

« -Qu'est-ce-qui ne va pas vous deux ? Je ne vois pas le troisième membre de votre trio, où est Mat' ? »

J'éclata l'enveloppe sur le comptoir dans un grand bruit de planche. Quelques clients se retournèrent.

« -Je cherche des types qui veulent péter des gueules.

Ça va pas vous deux ? 

Dit il en prenant l'enveloppe, nous nous étions mis au milieu de la salle en cherchant des mecs capable de se battre. Il se déconfit en lisant la lettre et en voyant le contenus de l'enveloppe. Nous nous apprêtions à partir puisque personne ne voulais nous suivre.

« -Où est ce que vous allez ?!

A l'abattoir.

Hors de question ! Vous allez vous faire tuer et ils tuerons Mat' ! Allez prévenir la police.

Si je le fait il le tuerons aussi. »

Je sortit avec Tom du bar, en me retournant nous échangeons Christophe et moi des regard désoler. Dans ses yeux brille la crainte, dans les miens aussi mais la mienne est voilé par ma détermination.

On arrive au parking du vieille abattoir, personne à l'horizon. Je place ma main dans ma poche et réalise que j'ai oublier la lettre au bar ... Fait suer. Je n'ai pas le temps de m'inquiéter de cette disparition puisque une apparition fait son entré. C'est bien le type qui m'avais draguer, je vais faire la peau de cet enc***** ! Mes poings se serrent quand il avance à la lumière du réverbère.

« -Je t'avais dit de venir seul abrutis !

Où est Mathéo ?! »

Il fit un petit signe de la main et deux de ses bras droit tirèrent mon trésors sous la lumière du réverbère. Je trembla de rage, j'étais sur le point de me jeter sur eux : il était presque nu, ses vêtements arraché. Il ne devait plus avoir la force de trembler de froid. Un des monstres qui le tenais tira sur ses cheveux pour relever son visage. Il était ensanglanté et meurtris, sa lèvre était coupé et son nez avait saigné abondamment, ses yeux était poché et noirci par des coquards imposant. En ouvrant les yeux il me vit et je lu espoirs, surprise, peur et regret dans ses yeux-misc lôt. Ses lèvres bougèrent et je lus « Idiot, tu n'aurais pas dû venir. » Je regarda son kidnappeur, j'allais le tuer ! Mais Thomas bougea avant moi, il se jeta sur eux. Une détonation retentit et Tom s'écroula à quelques mètres d'eux. Mathéo cria sans voix et moi je me tourna vers la direction du bruit. Je ne compris pas tout de suite ce qu'il se passait mais ma haine me submergea lorsque je vit un quatrième homme sortir de l'ombre avec une arme à feu. Ils ont enlevé Mathéo ! Ils ont tirer surTom ! JE VAIS TOUS LES TUER ! Un râle m'indique que Thomas est vivant, heureusement il n'a été que faiblement toucher, enfin faiblement ... A la jambe quoi.

« -Désolé mec mais j'avais dis personne, seulement toi et moi.

Enfoiré ! Laisse les partir, c'est moi que tu veut non ?

Ce que je veut c'est te faire souffrir, petite merde ! Et le mieux c'est que tu va les voir souffrir aussi. »

Une nouvelle détonation retentit alors que celui qui est armé tire en direction de Thomas au sol. Je me jette sur lui et il tire dans ma direction, la balle siffle à mon oreille, il m'a louper. Je lui envoie un coup de pied dans les valseuses et deux coups dans le ventre, un troisième dans la nuque et il tombe, inconscient. L'un des deux lâche Mathéo qui est trop faible pour s'enfuir. Voyant que leur prisonnier est trop amoché pour fuir, le deuxième vient rejoindre son camarade.

Je frappe comme je peut mais je suis vite surpasser par leur nombre et leur force. Le sifflement dans mes tympans se mêle au rythme de mon cœur. Ils me maîtrisent à grand coup de pieds dans les côtes et me forcent à lever les yeux. Ce que je vois alors, au travers d'un voile ensanglanté, me dégoutte,me répugne, me fait haïr plus encore ces types. Oui, je les hais ! NE LE TOUCHEZ PAS ! Le leader arrache les vêtements de Mathéo,et lèche sa joue en me regardant. Il m'adresse un sourire sadique.

« -Tu vois petite merde, je vais me faire ton copain et ensuite se sera ton tour. »

Ses mains répugnantes passe dans le pantalon de Mathéo, il sourit envoyant mon regard implorant et choquer. Il va violé Mathéo sous mes yeux !? Je ne le lui pardonnerais jamais ! IL VA MOURIR SI IL NE RETIRE PAS CETTE MAIN ! Mais je ne peut pas bouger, on me cogne et me force à regarder cette horreur.

Soudains les quatre hommes s'immobilise et se relève, le chef lâche Mathéo qui s'écroule. Je réalise que le sifflement que j'entends à présent est le bruit d'une sirène de police. Des hommes arrivent,se sont probablement des agents, je les entend parler sans vraiment comprendre ce qu'il se passe. Les deux types qui me maintenait au sol me lâche, aussitôt je me relève et avance en boitant un peu. Dés que mon appuis sur mes jambe me semble stable je m'élance vers Mathéo toujours allongé à même le sol. Je ne me soucis pas des hommes qui arrêtes nos agresseurs ni du bruit, ni du médecin qui semblait vouloir m'ausculter. Tout ce qui compte c'est Mathéo. Je tombe à genoux une fois à son chevet je le redresse, tourne son corps face contre terre vers moi, vers le ciel. Je relève doucement son menton, il pose une main tremblante sur ma joue, de sa vois cassé et éraillé il me gronde :

« -Tu es stupide ou tu le fait exprès ? .... Tu n'aurais pas dû venir ... Idiot.

Je n'allais pas rester assis à rien faire alors que tu m'avais été enlever. Ça va ? Tu n'as rien ? On va appeler le médecin pour être sur. »

Je lève la main et hurle au médecin de venir, que Mathéo est blesser.Il finit de s'occuper de Thomas et arrive. Il met Mat' adosser à moi et commence à l'inspecter.

« -Comment vous sentez vous ?

J'ai été un peu secouer mais ça va.

Et vous ? Dit il en se tournant vers moi, Vous allez bien ?

Oui, je me suis pris quelques coups mais rien de grave. »

Il retourne à son osculation.

« -Je vous dis que tout va bien.

C'est au médecin de juger. »

Celui-ci se redresse et me sourit.

« Vous vous en sortez bien, quelques ecchymoses rien de plus. On ne va pas vous hospitalisé pour si peu. J'ai largement de quoi m'occuper de vous dans ma mallette."

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