Papy, mamie, tonton et tata

Dans mes bras mon fil à cesser de pleurer, je fredonne en même temps que le chanteur et comme on dirais que ça lui plaît je fait quelques pas de danses léger. Je me retrouve à chantonner en dansant dans mon salon, mon Sacha dans les bras enfin silencieux qui à l'air de beaucoup s'amuser sur cette drôle d'attractions surprenante. Je vais doucement, pour ne pas le secouer, ça suffit de bouger un peu pour lui plaire. Ça doit le bercer de me savoir détendus puisqu'il s'endort. Je le pose dans son couffin qui a atterrit à force d'utilisation à cet endroit dans le coin du salon. Je sent derrière moi une main capturé la mienne puis l'autre, je me fait tirer en arrière comme une princesse.

« -Mathéo ?

On danse, Darling ? »

Je hoche la tête et il fait trois pas, je crois que je vais avoir le rôle de la Lady pour cette danse, tant pis. Je m'amuse comme un fou,il me fait virevolter malgré ma carrure et j'étouffe un rire. Il accélère et, comme chaque fois qu'on est tout les deux pris dans la valse, nous avons notre bulle autour de nous deux. Nos lèvres tirée à s'en faire mal au zygomatiques, c'est la seule chose que je vois.Je me souvient de la piste de danse du Pride où nous avons eut de si beau moments, en tant qu'amis au début et puis plus tard nos soirée tango, ou slow. La musique s'arrête :

« -Une autre très cher ?

Volontiers mon brave.

M'accorderiez vous cette danse ? »

Ils'incline comme une jeune fille en relevant une robe imaginaire. Je lance un disque et il sourit en reconnaissant Time of my life deux pas vers lui, un pas vers moi. J'aime Durti Dancing ... On s'était même entraîner pour le porter et le refaire au milieu du salon,c'est très stupide mais très romantique. La chanson suivante est un slow Il était une fois, J'ai encore rêver d'elle. Je l'attrape par les hanche et l'embrasse du bout des lèvres :

« -Mat' ... Je peut te parler de quelque chose ? C'est au sujet du petit ...

Il est malade ?! Il y a un problème ?!

Non, non, il dort peu c'est tout. C'est juste que ...

Que ?

Te détrompe pas, je l'adore de tout mon cœur, c'est ma famille, mais ...

Mais ?

Je sais pas, j'ai pas l'impression que je ne suis pas son père, que je suis de trop dans votre relation.

Qu'est-ce-que tu veut dire ?

Tu vois, il s'endort en quelques minutes dans tes bras, dans les miens il lui faut toujours beaucoup de temps. Il sourit plus quand il te voit, il interagie avec toi. Moi ... Je suis un étranger dans votre relation. Je suis pas son papa, je suis daddy, l'élément rapiécé.

Phil ... »

Il me sert contre ses épaules et j'avoue que c'est rassurant. Elles se sont élargie, je le sent, il a une carrure un tout petit peu plus viril qu'avant.

« -Tu n'es pas l'élément rapiécé, ça jamais. Il est tout petit, il ne sait pas comment te le montrer mais il t'aime, ton fil t'aime.Croit moi, il a besoin de toi, tu es son père, et moi aussi j'ai besoin de toi. Qu'importe comment il t'appelle, c'est juste une façon pour lui de nous différencié, de nous identifié, pour lui c'est plus simple. Je n'ai jamais considéré daddy comme discriminant. Toi aussi tu le sais, ce serais compliquer avec « papa 1 » et « papa 2 », là sa mettraient un ordre d'importance entre nous. Je n'ai pas penser à mal en proposant qu'on se fassent appeler comme ça, je ne pensais pas que ça te blesserais au contraire. Je voulais qu'on soit à égalité ... Je suis désolé.

Mathéo ... »

J'inspire l'odeur de son cou, l'éteint un peu plus, affirme le contacte avant de prendre une grande bouffée de ses effluves pour me donner du courage. Il a sut trouver les mots qui tranquillisent mon esprit.Il balance les hanches de gauches à droites, nos visages perdus dans les cou de nos partenaires, un slow tendre devant le sommeil tranquille de notre petite tête blonde.

J'ai encore rêvé d'elle
C'est bête, elle n'a rien fait pour ça
Elle n'est pas vraiment belle
C'est mieux, elle est faite pour moi
Toute en douceur
Juste pour mon cœur

Je l'ai rêvée si fort
Que les draps s'en souviennent
Je dormais dans son corps
Bercé par ses "Je t'aime".

Si je pouvais me réveiller à ses côtés
Si je savais où la trouver
Donnez-moi l'espoir
Prêtez-moi un soir
Une nuit, juste, pour elle et moi
Et demain matin, elle s'en ira

J'ai encore rêvé d'elle
Je rêve aussi

...

« -BONJOUR LES GARCONS ! C'est nous ! On as frapper mais vous ne répondiez pas alors on ... Oups, j'ai l'impression qu'on interrompt quelque chose. »

Marthe vient de passer son visage souriant dans le salon qui a brusquement changer d'expression ( son visage hein, pas le salon ) pour paraître très surprise. C'est vrai que surprendre son fil et son amant/beau-fil en plein baisé sur fond de musique tendre, l'un une main sur la fesse de l'autre et le deuxième remontant instinctivement la cuisse sous la caresse ... C'est ... gênant.Surtout que je n'ai pas vus ma belle mère tout de suite et que j'ai donc, sous ses yeux, caresser érotiquement la cuisse de son fil dans un baisé et un mouvement de hanche suggestif. Il décolle nos lèvres dans un soupir et Jean se gratte la gorge :

« -WOA !! Papa ! Maman ! C'est pas ce que vous croyez,c'était juste un câlin comme ça, il allait rien se passer !On faisait un slow, juste un slow.

Marthe, arrêtez de nous regarder comme ça, vous savez très bien. Au lieu de nous dévisagez entrez donc. »

Moment gênant, faisons comme si rien ne s'était passer. Mathéo quitte mes bras pour aider ses parents à accrocher leurs manteau. Jean est visiblement perturber, je croyais qu'en trois ans de vie commune ils'était fait à l'idée que son fil est moi on avait des contactes bouillants mais apparemment il préférais ne pas y penser. Le nez dedans comme on dit ... Bon. On s'installe tout les quatre pour l'apéro, mon brun a un rire nerveux, encore gêner de cette intimité surprise.

« -Euh ... Hum ... Tom ne va plus tarder ?

Mais oui, il va arriver. Je constate que finalement Sacha ne vous a pas éloigner, au contraire.

Vous voulez visiter ? On as refait un peu la déco depuis que vous êtes venus pour l'emménagement. Un peu de peinture de ça de là et ...

C'est bon Mathéo, on as compris, fait nous visiter. »

Il se lève droit comme un piquet, les joues toujours d'un rouge bien vif. Je ne me souvenait presque plus qu'il était pudique.

« -Allez poussin, ou plutôt petit coq, fait moi visiter ton nid d'amour.

Maman.

Je rigole, soit dit en passant il commence à se remplir ce nid. Peu être qu'un jour ça ressembleras moins à une garçonnière.

Maman ! Après toi, ici s'est la salle de bain. »

Je grignote les biscuit salé sur la table pendant que Mat leur fait faire le tour du propriétaire, surveillant Sacha. Il reste encore deux pièces vides et fermé dans la maison qui ne seront aménager que si d'autres enfants viennent se greffer à notre famille, ce qui n'est pas pour tout de suite. J'entends le mobile électrique tourner un peu, Mathéo et ses parents sont dans la chambre d'enfant.Cette pièce, c'est sa fierté : une ambiance douce réussi, des couleurs pastelles vertes et crèmes, des courbes et des formes rondes, on a opter pour un genre de jardin avec des stickers de,silhouettes d'animaux. Quand Sacha est né, qu'on as sut que définitivement c'était un garçon ( et pas une fille ) Mat' à acheter une peluche de dinosaure et un autocollant décoratif de lion énorme. Il en a rajouter un à côté des lettres grises sur la porte et depuis on peut dire que c'est une chambre de petit garçon tout à fait ordinaire. Des fois ça amuse mon mari de sortir Sacha habiller des vêtements roses qu'il avait acheter et les gens dans la rue font « Oh la mignonne petite fille » quand il sort dans le parc. Il leur fait une grimace et leur dit « Ça ne se voix pas que c'est un garçon ? » surprise générale et beaucoup peste plus que ne sont amusé de la blague « Vous ne pouviez pas l'habiller en bleu comme tout le monde ? - Non ! »Et il continue son petit tour dans le parc. Heureusement Sacha a un peu grandit, il s'est vus acheté des vêtements de petits garçon et Mathéo à cesser sa lubie. Tient, ils ont finis leur tours, les revoilà. Je sert une poire à chacun :

« -Il doit bien dormir votre petit avec cette chambre tout équipé.

Si seulement, il dort dans le lit de voyage dans notre chambre. On va bientôt le remettre dans son lit à lui, quand il aura de nouveau un cycle du sommeil plus constant.

Ah.

T'en fait pas maman, je suis sûr qu'on va s'en sortir.

Je sais ça, vous êtes mes grands garçons et de très bon pères. »

On sonne à la porte, Mathéo va ouvrir : c'est Thomas et Delphine.Ils tombent dans les bras l'un de l'autre, sûrement parce que mon brun à un peu bus et qu'il tient aussi bien l'alcool qu'un gamin de 2 ans ayant bût deux litres de vodka ( c'est à dire pas du tout). Delphine fait la bise à tous le monde avant de prendre un verre que je lui tend, les deux larron qui se sont retrouver nous rejoignent bras dessus bras dessous. Thomas m'ignore pour saluer ses parents et prendre un verre que lui tend son frangin, il m'en veut à mort et pour un long moment, il ne pardonnera jamais l'accident de Mathéo. Au moins je suis rassurer, ils ne sont plus froissé à cause de moi tous les deux. Ils forment de nouveau un duo souriant,ça fait du bien de voir la joie sur tout ces visages.

« -Bro, t'aurais pas un peu perdu dit ?

Si, tu as vus ça ? deux kilo cinq-cent en à peu prêt un mois, à la naissance de Sacha.

En parlant du petit, et si tu me présentait mon neveu ? »

Je me lève pour aller préparer le biberons du petit pendant que son papa va le récupérer dans son couffin. Sacha bouge un peu, fronce le nez, et se rendort sans même avoir ouvert les yeux. Mais le temps que Mat' traverse la salon ma crevette avais ouvert les yeux, s'était rappeler qu'elle avait faim et s'était mise à hurler. Je passe le récipient dont j'ai tester la température, il s'installe pour lui donner la tétée et là commence une magnifique démonstration du baby-power. Il boit goulûment, les yeux mi-clos sous le regard attendrit de toute sa famille :

« -Oh qu'il est choux !

Il est adorable.

Il est beau mon petit-fil.

Tommy, il est a croquer, je veut le même. »

Le compagnon de Delphine, alias Tommy ( c'était pas le surnom que lui donnait Mat' pendant son brocon ? ) regarde sa conjointe surpris.

« -Del' , tu croit pas que c'est un peu tôt ? Il est mignon OK, jene dit pas mais ...

Allez ! Tommy, dit oui !

Bah Tom, allez ! Fait plaisir à ta femme, fait nous un cousin à mon petit Sacha. Puisqu'elle te le demande.

Mat', arrête de la soutenir dans ses coup de tête, tu ne m'aide pas là.

C'est pas un coup de tête Tommy !

On y réfléchira tu veut ? »

Elle grogne un peu, mon maris sourit, Thomas fusille son imbécile de cadet du regard et finalement Delphine cesse de faire la tête pour arborer un sourire canaille :

« -OK !

T'es trop joyeuse pour que ce ne soit pas louche. Del' ?

Je sais que je vais obtenir gain de cause Tommy. On va avoir un bébé, la la la la la.

Et qu'est-ce-qui te fait croire que je vais dire oui ?

Tu me dit toujours oui.

Sauf qu'un enfant ce n'est pas pareil qu'un sac à main hors de prix.

Mes sacs ne sont pas hors de prix.

Quoi qu'il en soit c'est trop tôt.

Et si je me sentait prête ?

Pas mon problème, moi je ne le suis pas.

Pas grave, au pire j'arrête la pilule et trou toute tes capotes.

DEL !!

Je rigole Tommy, je rigole.

Vous deux ? Ca vous dérangerais de changer de vocabulaire devant un enfant ? Merci.

Désolé Mathéo. Et tout cas c'est un amour, c'est fou ce qu'il est calme.

Calme ? Croit moi Delphine ce petit monstre est loin d'être calme. Hein crapaud ? »

Sacha a ouvert les yeux et les tournes en tout sens pour inspecter cette foule massée autours de lui. Il lâche la tétine et regarde autours de lui avec des grands yeux ronds brun profond. :

« -Il y a du monde ? Ça te perturbe mon prince ? Il y a définitivement trop de monde pour que le biberon t'intéresse hein ?Phil, met moi ça dans la cuisine s'il te plaît. Merci Darling. »

Il fait faire son rot à la petite chose avant de me la passer et des'étirer dans le salon, visiblement ankylosé. C'est vrai que ce n'est pas facile ces temps ci et qu'un peu de repos ne nous ferais pas de mal. Sacha tourne et retourne la tête dans le creux de mes mains :

« -Alors ma crevette ? On fait les présentations ? Alors on a mamie Marthe.

Coucou trésor.

papy Jean.

Salut petit bonhomme.

Hou là là, il te fait peur papy ? Il est gentil pourtant. Non, il est grognon et ça te plaît pas ... Bon ... Et là tonton Thomas, ou tonton Tom c'est plus simple.

Salut petit bout, t'es mon premier neveu tu sais. Dit Philippe, j'ai le droit de lui apprendre plein de bêtises ?

Ça va pas la tête ?

Je le ferais quand même.

Thomas ! Enfin bref ... Et la on as tata Delphine.

Oulalalalala, t'es cro-cro-cro-mignon toi !

Ça fait beaucoup pour toi, hein mon cœur ? T'as pas l'habitude, normalement à la maison il n'y a que papa et daddy. T'es pas habituer à voir autant de monde. »

Je ne l'avais jamais vus si alerte, si curieux. Je le regarde avec uncertain émerveillement, ses yeux essaie de tout comprendre, de tout capter mais n'y parviennent pas, il a une bouille mi-surprise mi-déstabiliser adorable alors qu'il cherche à mettre de l'ordre dans le bazars qui l'entour. Le monde est grand Sacha, tu ne sais pas encore à quel point. Mais dieu, il est TROP MIGNON.

« -Il est vraiment à croquer.

Pas vrai maman ?

Honey, va chercher son cosy, il sera mieux. »

J'installe mon gamin qui fait des bulles comme une limace et on reprend l'apéro un verre à la main :

« -Bon et bien, à Sacha !

A Sacha !!

A ma bavouille. »

Je vide mon verre cul sec. Il est fort, ça me brûle la gorge et rosie les joues de mon mari qui est un peu pompette, voir carrément pompette :

« -Woua ! Ça faisait une éternité que j'avais pas bût d'alcool.

Oui et bien abuse pas Babe.

Fait pas le rabat-joie Darling.

Pourquoi tu n'as pas toucher à l'alcool ?

Ma couvade : pas d'alcool ou de trucs alcoolisé, c'était nocif pour moi.

Ça l'est toujours chéris, arrête toi là.

Oui darling, j'arrête. »

Ils bavardent tous un moment mais je n'arrive pas à me concentrer sur les discutions, trop de fatigue. Le cadet et l'aîné chahutent tous les deux, ça n'a pas louper. J'ai peur qu'ils réveillent Sacha mais en réalité il ne dort pas, trop occuper à voir toute ces choses nouvelles. Il ferme juste les yeux de temps en temps pour les rouvrir intrigué.

« -Ils t'empêchent de dormir papa et tonton ? Mon pauvre petit bout, tu vas retourner dans ta chambre. Là ce n'est plus possible,allez au lit. »

Il ouvre une énième fois les yeux en se sentant détacher de son siège lorsque soudain PAF ! Un oreiller volant m' atterris en pleine tête, me fait quitter des yeux ce que j'étais en train de faire, me détournant la tête d'une façon grotesque.

« -Lequel à fait ça ?! »

La vitesse m'a décalquer le visage, je remet ma nuque droite et cherche ces deux idiots du regards. Ils sont morts de rires ( il faut dire que c'était ridicule ) et ne sont pas les seuls : Sacha s'agite dans tous les sens, les yeux comme des soucoupes.

« -Et ça t'amuse crapule ?

Je ne suis pas le seul à trouver que tu as une tête à claque. »

Maintenant je sais que le coupable c'est Thomas. PAF ! Un autre coup sur le sommet du crâne et Sacha qui, s'il le pouvait, en réclamerais encore plus ! Il trouve vraiment ça fun de me voir m'en ramasser plein la tête ? Faites des enfants qu'ils disaient ?Il y en as déjà trop, pas la peine d'en faire plus, regardez moi ça. Il y en a qui ne grandissent pas.

« -Bouge pas bébé, je vais m'occuper des autres enfants que j'ai a charge. Marthe, tu peut le surveiller ?

Bien sûr.

Merci. HEY !! Vous deux ! Vous trouvez ça fin comme comportement ? Apprendre à un enfant que frapper est drôle ?

Il aura oublier dans un mois, relaxe.

Thomas, tu va voir. »

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