Nouvel aurore

" -AAAAAH !

On va jouer trésor ?

AAAAaaaAAAAH !!

Tu es content, hein ? Tu crois qu'il y aura qui aujourd'hui ? On est pas à l'heure où il y a beaucoup de monde. Je crois que ce sera juste Daddy et toi aujourd'hui.

Dagoupou ! Bitruf."

Je hoche solennellement la tête alors qu'il part dans un monologue qui semble des plus intéressant et nécessite de triturer ses doigts.Les portes glissantes s'ouvre sur le gros hale du complexe appelé"Le Pôle" qui regroupe non seulement le conservatoire de la ville, mais aussi la ludothèque et une grande médiathèque avec surement plein d'autres petites salles que je n'ai pas vu ni trouvé.Je sort ( difficilement à cause de mon chargement ) la carte d'abonnement des lieux et passe le portique vers les salles de jeux,direction la zone des moins de 3 ans qu'ils surnomment "le jardin" où sont régulièrement organisé par la commune et les bibliothécaires des petites animations comme la lecture. Evidemment les lieux ne crache pas sur le bénévolats des parents et Mathéo s'est retrouvé plusieurs fois à partagé un livre avec des mamans et des tout petits hypnotisé par une histoire quelconque. C'est un peu comme un crèche participative où tu reste surveillé ton môme.Comme prévus aujourd'hui la moquette verte est déserte, pas de peste hurlante ou de lanceur de cube en bois. Je pousse un soupire de soulagement.

" -Qu'est ce que tu veut faire Sacha ?

Agdneup."

Et dire que j'espérait sincèrement un truc interprétable. Plutôt que d'insister j'opine du chef et pose mon petit monstre devant un grand baque à moitié renversé de pièces de plastique imbricâble style légo. Ça va l'occupé un moment. Une femme arrive et fait de grands signe de la main, c'est une amie de mon mari, une maman qui viens souvent aux mêmes horaires que nous. N'étant pas un habitué régulier des lieux je la connais vite fait, mais elle et mon bruns'entendent très bien. En plus nos enfants on presque le même âge et je doit avouer qu'elle est très sympas.

" -Regarde qui est la petit loup. C'est Charlotte et sa maman."

Les deux filles arrivent à ma hauteur, on se fait la bise alors que les deux petits se retrouve et essayent de se faire eux aussi un bisou.C'est trop cute, je fond devant un truc aussi attendrissant. Aussitôt ils se mettent à jouer plus ou moins ensemble et relativement sagement alors on se contente de les surveillé du coin de l'œil.

" -Bonjour Philippe.

Bonjour Annie. Ça à l'air d'aller mieux, à ce que m'a dit Mathéo il y avait une petite fièvre qui traînait au niveau de la petite.

Oui, c'est vite passé. C'est la saison où toute les maladies reviennent. Ce n'est pas Sacha qui avait eu la gastro il y a deux semaines ?

Un peu plus, c'est fini depuis un moment déjà.

C'est normale, il est tellement énergique.

Ne m'en parlez pas, une vrai furie.

On me l'a dit. Et son TDA ? Mathéo m'en avait parler ...

Ah ... Oui ... On fait ce qu'on peut.

Oh je suis désolé, je n'aurais peu être pas dut ...

Non non, ce n'est rien. Ce qui me désespère ces les pédiatres. Ils ne sont pas foutus de trouver des solutions pour des cas qu'ils disent standard.

Ne perdez pas espoir. Sacha est un garçon très éveillé pour son age, il n'y a pas de quoi s'inquiété.

Annie, que ferait on sans votre soutient.

Vous êtes un flatteur.

Mais non. Je ... Sacha ! Lâche !"

Je me précipite sur le crapaud baveux qui mâchouille les briques de plastique que tous les gosses malades ont déjà dut mettre à la bouche et qui doit être plein de poussière. Empêcher son enfant de mettre un truc à la bouche c'est tout un sketch qui finit parfois en véritable bain de sang, la preuve quand je me prend le jouet sur l'arcade. Alors comme ça monsieur n'est pas content ?! Je lui retire l'objet des mains et commence à le gronder d'une voix sévère mais pas méchante. Je veut juste qu'il comprenne que c'est mal de frapper, même sans le faire exprès ou pour jouer. On ne tape pas. Je n'arrête pas de pensé à mon vocabulaire, c'était une de mes vieilles hantises : me transformer en papa gâteau vivant au rythme des enfants et parlant comme les enfants. Pour langage je me préserve mais il n'y a qu'à voir comment je suis raide dingue de mon fil pour savoir que niveau papa gâteau je suis foutu.

Annie et moi avons beaucoup discuter surtout de la pluie et du beau temps en gardant sous étroite surveillance les deux marmots, puis, quand les plus âgés du retours de l'école sont arrivé avec leur chahut brusque et inconscient nous sommes partis. Sacha à hurler, fait un de ses énormes caprices dont il a le secret depuis plusieurs mois maintenant. Je n'ai rien trouver de mieux comme punition que de lésiner sur les boudoirs à son goûter. Ouais, Mathéo et moi sommes nul quand il s'agit de punitions, on est pas fait pour ça,pas avec notre petit monstre. Mon brun s'est enfermé dans le bureau depuis maintenant de longues minutes. J'espère que les nouvelles ne sont pas mauvaise pour le maintenir occupé si longtemps. La porte claque, je détache donc mes yeux des factures qui traînaient sur la commode. Honey débarque comme une furie, déjà en train d'enfiler son manteau alors qu'il n'a pas annoncer quoi que ce soit. Je commence à paniquer, ça doit être grave, très grave pour qu'il se rue vers la sortie comme ça.

" -Qu'est-ce-qu'il se passe ?

Ça y est !!

Ça y est quoi ?

Ils ont les derniers papiers, le dossier est complet. Mme Tardus viens d'appeler !

C'est vrai ?!

Evidemment. Dépêche toi, prépare le petit."

En cinq minutes nous sommes tous les trois dehors, dans la voiture,équipé pour la grosse heure de route qui nous sépare de notre destination. Arrivé, nous avons le sourire énorme en voyant l'orphelinat. L'homme de l'accueil, un jeune homme blasé aux cheveux gras, nous a donné le droit d'aller dans le bureau de notre conseillère en adoption. La rouquine toujours un peu ronde et courte sur patte nous accueille avec un grand sourire elle aussi et nous indique après une bise les deux fauteuil en face de son siège.Quand elle fait un petit coucou à Sacha se derniers fait la grimace et prend un peu peur, évidemment il ne l'a pas reconnu. Comment aurait-il put ? Il était si petit quand elle lui a rendus visite la dernière fois.

" -Comment va la petite famille ?

Depuis quelques heures, au mieux.

Ravie que vous soyez aussi joyeux. Je suis vraiment désolé d'avoir mit autant de temps avec votre dossier. C'est qu'il est complexe, sans que cela m'excuse bien sûr. Heureusement que j'ai put avoir les derniers papiers aujourd'hui, ça aurait durée encore un long moment pour peu que la mère biologique ai été moins catégorique. Un vrai nœud.

C'est à dire ?

Il a fallu s'assurer qu'elle ne reviendrais pas sur sa décision de donner son bébé à l'adoption. Bébé qui a bien grandi dit donc. Qu'est-ce-que ça pousse vite, je ne m'y ferais jamais.

Oui, on confirme. Nous non plus on ne l'a pas vu grandir.

Vous n'en êtes qu'au début. Bon. Venons en au fait. Je dois vous poser une question, purement rhétorique, avant la signature définitive : avez vous toujours envie d'adopter cet enfant et pouvez vous toujours répondre à tout ses besoins.

Nous avons répondus d'une seule et même voix.

" -Evidemment !

Et bien voici le dossier complété. J'ai toutes vos attestations d'assurance et j'ai reçus hier les dernières photocopies du carnet de santé de Sacha. Tout est en règle, il ne reste donc plus qu'à signer. Là, là, là, là et ... là."

Je prends le premier feuillet de l'épaisse pile de documents et agite le stylo, profitant pleinement de l'instant présent qui se doit d'être mémorable. Je signe puis tends le paquet à mon mari qui tremble et frémis de tout son corps. Il trace sa dernière signature, la femme ronde retourne le fichier, vérifie ... Nous sommes pendus à ses lèvres.

" -Tout est en règle. Mes félicitations messieurs Jourdan : Sacha Jean Ludwig est désormais votre fil légalement et porte votre nom."

Une grosse larme à roulé sur la joue de mon brun.

" -Honey ? Tu pleur ?

C'est ... c'est l'émotion ..."

Je sourit et l'embrasse en essuyant le coin de ses yeux humides. Le petit bout de femme en tailleur gris-bleu sort un document d'un tiroir et nous le tends :

" -Voici votre livret famille. A jour. Il vous donne accès au allocations familiales et caetera mais vous vous en fichez. Je ne me trompe pas ?"

Complètement comme de la dernière pluie. On s'en fiche ! Sacha est notre enfant.


On est rentré chez nous, Sacha dormais comme une masse dans mes bras.Mathéo n'a pas lâcher le livret famille de tout le trajet, il l'a observé sans fin, tantôt riant aux éclats tantôt prenant un regard triste, tout le reste du temps son visage était mangé par un grand sourire. Je ne sais pas trop ce qui le rendais si mélancolique par moment mais ça lui est passé et tant mieux, ce "bout de papier" ne représente que du bonheur. Le petit dans son lit, ils'est jeté sur moi et m'a embrassé à pleine bouche, les bras cerclant mon cou, pendu à moi. Le gout de ses lèvres et la sensation de sa langue caressant la mienne me laisse pantelant en un instant. Pas assez pourtant pour ne pas lui répondre tout en le serrant contre moi, raffermissant ma prise sur ses hanches.

" -Darling ... Lit le moi s'il te plait.

Quoi ?

S'il te plait, lit moi le livret de famille.

Alors c'était ça que tu avais. Mon cœur, dit le la prochaine fois que quelque chose ne va pas. Surtout ça, surtout quand ça te travaille comme ça. D'accord ?"

Il hoche la tête et quand je lui passe derrière les oreilles il emmène sa joue au contacte de ma paume. On reste un instant les yeux dans les yeux ensemble, avant de nous embrassé pleinement encore et encore, faisant se caressé nos lèvres. On est au mois de Novembre,le premier Noël de Sacha est pour bientôt, entre deux baisé nous allons pouvoir fêter l'anniversaire d'un espoir, d'un rêve concrétisé.



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Je range mon bureau pour la quatrième fois de la semaine et pourtant il est toujours aussi dégueulasse au plus haut point. Je ramasse une pâquerette morte, séché et moisie sur le parquet. Bon sang ... Je la met à la poubelle et passe au prochain déchets qui traîne. Je m'arrête sur un énorme tas de feutres que je ramasse. En dessous il y a un dessin avec des bonhommes en noir de taille différentes et de très très long doigts, plein partout autours de la main en forme de rond patate. Les trois silhouettes filiformes se touche du bout de leurs longues ribambelles de doigts-spaghetti. La plus a gauche à de petits trait jaune salis à cause du noir sur le sommet de sa tête,comme la plus petite, au milieu. A l'inverse la dernière, moyenne à les cheveux marrons et qui encercle sa tête comme une coupe au carré un tentiné mixte voir féminine. Particularité : le ciel est rose et les trois personnage marche sur un océan de brun gribouillé à en perforé la malheureuse A4. Je souris, comme tous les petits personnages sur le dessin avant de l'épingler sur le mur, à côté de mon bureau. J'aime bien les bonhommes de Sacha ... Son nouveau chez d'oeuvre du jour prends place à côté d'un dessin bien plus brouillon et gribouillé datant tout juste d'une semaine. Un fatras de trait noir et gris s'emmêle sur un fond bleu vif avec un trais d'herbe tout en bas, au ras du bord de la feuille. C'est censé représenter le chat, mais c'est pas facile à reconnaître et le petit à dut longtemps nous expliquer que " C'est parce que Persi y bouge trop tout le temps." apparemment. Persi c'est le nom de cette saloperie féline qui nous pourri/embelli la vie depuis quelques mois. Cette teigne au caractère de cochon, digne de moi quand j'avais la vingtaine, est un simple chat de gouttière blanc avec des tâches noir sur le dos, la truffe et les oreilles. On s'est rendu compte après coup qu'il faisait un peu style "kittler"mais mon fil préfère le surnommer "Panda" depuis qu'on a été au zoo. Ce pauvre matou a perdu son nom dans les méandres des associations d'idées de la famille Jourdan. Cela dit, Panda, ça lui va bien. Je chasse le fameux ronfleur du dessus des albums photos sur lequel il s'était allègrement avachi. " Casse toi Persi."Il se glisse au sol, s'étire et s'en va non sans miaulé pour la mille-unième fois de la journée avec sa petite voix insupportable de squatteur. J'espère que le petit va te tirer les poil ! Persi et moi c'est conflictuelle, c'est Mathéo qui le voulais et l'animal à manger ma compta le premier jour. Autant dire que c'est la guerre !Je regarde encore mon bureau et désespère. Je ne me sortirais pas de ce foutoir. Besoin d'une pause. Je me laisse choir dans mon fauteuil à roulette ( plein de poils ) et me saisis d'un des fameux album photos plein à craquer de l'étagère. J'aime beaucoup les photos alors même si je les aient toutes sur mon PC je ne peut pas m'empêcher d'imprimer les plus belles. Force est de constater que notre premier né tien de nous, c'est à dire qu'il est magnifique,adorable, mignon, inventif, drôle, et j'en passe, parce que les livres photos de lui me prennent une étagère entière de ma grande armoire. Il faut vraiment que je me calme sur les cliché ... Mais je voudrais garder en mémoire absolument tout ce qu'il a fait, me souvenir de chaque instant. Je sais qu'il faudra bien que je fasse le tris, un écrémage quelconque, mais pour l'instant je veut toutes les gardées. Dans le tout premier, à la toute première page, j'ai coller une photo de Honey quand il avait son gros ventre, avachis dans le canapé à la période de Noël. Sa grossesse nerveuse, c'est un peu le début de son existence dans nos vies, quelque part. Et puis sur la deuxième il y a ses échographies, la troisième la toute première photos qu'on a faite de lui alors qu'il avait tout juste quelques heures, et puis ensuite notre première photo de famille prise par une infirmière où nous sommes tous les trois. Sur celle là Mathéo à les yeux si rouge, l'air si fatigué. Sacha est encore persuadé que c'est son papa qui l'a mit au monde à cause de ces photos et aucun de nous deux n'a encore eu le courage de lui dire que non. Aucun de nous deux n'a eut la force de dire à notre bébé qu'il n'était pas biologiquement de nous. Parce que c'est notre fil.Il n'a pas été adopter, il a toujours été notre enfant a nous. Je maudit le jour où il faudra lui expliquer. Je tourne quelques pages,me souvenant avec nostalgie de ses premières mèches qui ont précédé sont premier rendez-vous chez le coiffeur. Il y a aussi eut ses premières dents, ses premières grimaces, ses premiers sourires, son premier mot, sa première phrase ... La première fois qu'il a goutter de l'amer, et celle ou il a essayer l'acide, l'épicé ... Il y a eut son premier anniversaire ... Quand Mathéo l'a aidé à souffler sa toute première bougie ... Quand il a dit papa ... Quand il a dit dada, puis daddy ... Quand il a dit papy, et mamie, et tonton, et tata. Il y a eut tout ces câlins, tout ces moments tendres... Toutes ses colères, ses caprices, ses cauchemars, ses peurs.Chaque fois nous étions là. Je tombe sur une photo particulière :celle de ses premiers pas. Mathéo lui tient les main, il est en couche culotte et peine à tenir debout, c'était tôt le matin je m'en souviens bien. Ce jour là on voulais montrer à mamie alias belle-maman qu'il tenait debout et puis comme ça, d'un coup, il a décidé d'avancer sur ses deux jambes presque sans s'aider de son père. Bien sur il a manquer de tomber, mais mon brun le tenait parles mains et il a sut faire quelques pas. C'était vraiment un moment magique. Comme nous étions fier. Nous avons tous toujours été très fier de lui. Oui, en trois ans nous avons connu un vrai bonheur presque parfait. Seulement presque parce que le TDA de Sacha ne s'est pas résorbé comme nous l'espérions, à la place il a changer de nature : il ne l'empêche plus de dormir, au contraire, mais le rend hyper-actif et très très TRÈS énergique pour ne pas dire insupportable. C'est simple il court tout le temps. Partout ! Il monte et descends les escaliers à pleine balle, il court dans les couloirs, impossible de le tenir dans un magasin et il est tombé au moins un million de fois en faisant des dérapages en chaussettes. Le pire c'est que ces nombreuses chutes ne l'empêche pas de recommencer. C'est devenu une pile électrique doublé d'un casse-cou. Tout d'un coup j'entends un énorme BANG ... Je soupir et range l'album photo à sa place puis descends dans le salon d'où provenait le vacarme.

Sacha est assis sur le canapé, un pansement sur le nez commençant à partir. Il me fait un grand sourire où manque quelques dents, ses cheveux blond dans tous les sens. Mathéo s'occupe de désinfecté ses genoux égratigné, tout couturé de croûtes qui n'on jamais le temps de disparaître et légèrement ensanglanté.

„ -Daddy !

Non ! Sacha, ne te lève pas trésor, l'arrête Mathéo, je finis de laver ton bobo.

Reste assis crapaud. Qu'est ce qu'il s'est passé cette fois ?

Tomber de sa chaise en voulant attraper Persi. Encore.

Sacha ! On t'as déjà dit de ne pas embêter le chat. En plus tu n'a pas le droit de monter sur les chaises et tu le sait très bien.

Mais Persi panda ... J'ai faillou l'attraper. Voulais lui faire un câlin mais patapouf par terre. Et j'ai même pas pleuré !"

Jepousse un profond soupir en me retenant de lui dire que c'est bien.Il ne faut pas l'encourager dans ce genre de bêtises, il en faitdéjà bien assez. Mon expiration déprimé fait rire mon mari.

„ -Il va falloir racheter encore plus de pansements et de Mercurochrome.

Et des feutres !! s'exclame le petit.

Pourquoi ?

J'a tout fini le bleu et le vert.

C'est pour ça que le ciel est rose et le sol marron ?

Oh ! Tu l'as vu ? Je l'a pas fini mais moi j'avais plus de vert alors j'a fait de la terre. C'est marron la terre, pas vrai Daddy ? l'herbe c'est vert. Moi je voulais faire de l'herbe mais y avait plus de vert. Et moi je voulais pas faire de l'herbe marron parce que parce que c'est pas marron l'herbe. Et j'avais plus de vert. Alors j'ai fait de la terre. Sinon bah j'aura fait de l'herbe parce que c'est plus beau.

D'accord. J'ai accroché ton dessin dans le bureau tu sais, à côté de celui que tu as fait de Persi.

MAIS DADDYYYY ! NOOON ! Celui là j'a dit l'était pas beau et tout pas fini !

Sacha, cria Mathéo d'une voix ferme. Calme toi tout de suite.

Pardon papa.

Excuse toi auprès de celui sur qui tu a crier.

Pardon Daddy, ferais plus.

Je préfère. Aller, j'ai fini va jouer. »

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