Notre toute première fois
Pour ceux qui ne devinent pas il va y avoir un lemon, donc si vous ne voulez pas lire vous vous arrêter aux signale en gras et vous reprenez au signale en gras.
La mère de Mathéo n'était pas partit depuis dix minutes que déjà je commençais à craindre qu'elle revienne avec une autre visite surprise :
« -Ce ne serais pas un genre de furie ta mère ?
Elle a son propre rythme bien à elle.
Plutôt anarchique comme femme ...
Phil ! Ce n'est pas gentil, elle s'inquiète juste pour moi. Ses deux enfants ont eut un accident, c'est normale qu'elle vienne voir si tout va bien.
Mouais ...
De quoi tu te plain, ça c'est bien passé non ?
Oui, plus ou moins.
Il y a eu un problème ?
Mais non bébé. »
Tout va bien si on met à part que ta mère s' intéresse à notre vie au lit et qu'elle m'a menacer de mort. On se rassoit sur le canapé mais comme il est presque 13h je ne tarde pas à partir préparer le repas. Il faut aussi que je me remette au travaille au plus vite.
Plusieurs semaines on passé et nous avons reprit un rythme de vie tranquille.Je travaille bien et suis sur le point de finir un programme important qui devrait me donner accès à une petite prime quant à Mat' il cherche toujours du travaille. Certes il a reporter son emménagement mais tout va bien alors je ne m'inquiète pas. Thomas est rapidement sortis de l'hôpital et aujourd'hui il est complètement remis. Finalement j'ai réussi à porter plainte contre l'agresseur de Mathéo qui devrait aller passé quelques jours à l'ombre. Ça c'est grâce au courage de mon chéris qui a fait sa déposition malgré le traumatisme que représentait cette tentative de viol. Je suis très fière de lui.
Petit à petit notre complicité est redevenus la même qu'auparavant et elle a même pris plus d'influence. Le problème c'est que je ne sais pas combien de temps j'arriverai encore à me contenir alors qu'il vient se coucher tous les soirs à mes côté. Son parfum me rend fou et le soir, dans le noir, au contacte de sa peau, j'ai vraiment du mal à garder mon calme. Hors ce soir il me fait particulièrement de l'effet : il porte une chemise blanche devenus transparente sous la pluie d'un orage d'été ( il allait chercher le courrier ). Elle laisse voir clairement son torse trempé. Ses cheveux mouillé colle à sa peau qui bronze très légèrement, il a le souffle court d'avoir courus sous la pluie et dans son slim noir il est parfait. Ce pantalon est sûrement le pire de tous à porter dans le cas présent parce qu'il moule son derrière à la perfection. Il se sèche les cheveux devant moi et je sent maladivement mon caleçon devenir plus étroit. Je tiendrais pas le coup ... Je me lève et le prend dans mes bras, je colle mon bassin à ses fesses et mordille son oreille.Il sursaute et se retourne :
« -Darling ? .... Tu ...
J'ai vraiment envie, là tout de suite. »
Il rougit et je commence à déboutonner sa chemise avec empressement. J'embrasse les parties de peau qui se retrouve dévêtus au fur et à mesure que la chemise mouillé tombe sur le parquet. J'arrive au derniers bouton, devant son nombril, je passe un coup de langue sur ses abdominaux discret et il rougit encore.
« -Philippe ! Arrête !
Ton corps me dit de continuer pourtant ... »
Je dois vraiment lui faire peur avec le regard que j'ai en ce moment :
« -Philippe. Je veux pas ! J'ai pas envie !
Menteur. »
J'embrasse son torse et mordille sa peau, faisant dans son cou un suçons relativement visible.
« -Non ! »
Je m'arrête, son ton était trop ferme pour ne pas être sincère ...Il n'aurait réellement pas envie ? Je ne lui fait pas l'effet qu'il me fait ? Je retire quand même mon haut et le regarde dans les yeux :
« -Qu'est-ce-qui ne va pas ?
Je ... Ma mère ne ...
Tu va pas me sortir cette excuse pourris.
Pas sans protections ...
J'ai ce qu'il faut dans ma commode. C'est quoi le problème ?
Je ... J'ai pas envie ...
Tu as peur ?
... Oui ...
Tu es plutôt contradictoire comme mec, ils y a quelques mois tu n'étais pas aussi farouche.
Phil ... J'ai peur ... Tu peut comprendre ça quand même ?
Je comprend bébé. Mais tu sais je vais faire doucement ...
Je ... J'ai trop peur.
Détend toi bébé, j'irai pas jusqu'au bout si c'est ce que tu veut ... »
Je me sent nul d'avoir promis de me museler mais au moins j'ai réussi à le convaincre. Peu être qu'il acceptera ... Je croise les doigts car il me fait vraiment de l'effet quand il est rouge comme ça. Finalement il détourne timidement les yeux et se laisse embrasser.
!!!!!!!!!!!!!!!!! LEMON !!!!!!!!!!!!!! LEMON !!!!!!!!!!!!!!! LEMON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! LEMON !!!!!!!!!!!!!!!
Mathéo avait toujours peur, mais plus encore c'était la peur de perdre Philippe qui le poussait à accepter. Il était mort de trouille, mais lorsque le blond l'embrassa tendrement il se détendit un peu. Il lui faisait confiance après tout, il croyais que son amant serais doux,il voulais y croire. Le plus vieux lui était déjà embraser par son envie, par la vus que lui avait donner la gène du plus jeune. Son bas ventre était en feu, son boxer beaucoup trop serrer, et ce livre... Ce livre qu'il avait lus comme le voulais leur accord ...Pourtant, malgré son désir de se jeter sur le brun il se muselais,il le fallait bien, il tremblais. Si l'un était au bord de l'implosion l'autre était plutôt froid, il se forçais presque, les larmes lui montèrent aux yeux. « Qu'est-ce-que je suis entrain de faire ? » Mais Mathéo était déjà allonger dans les draps frai, un peu humidifiés par son propre corps mouillé,le plus effrayant était sans doute ce grand corps arqué aux dessus du sien, se contractant sous un désir à peine contenus. Cette vus de Philippe dévoilant son corps saillant vie revivre bien malgré lui une chaleur dans les zones les plus sensibles de son corps. Il était sexy, beaucoup trop sexy, et même s'il avait peur de voir son amant le dominé comme ça, ça avait quelque chose de furieusement excitant.
« -Tu as peur ? Tu veut toujours arrêter ? »
A quoi bon ? Ils étaient tous les deux à moitié dénudé, les reins en feu. Mathéo avait peur, mais surtout il avait honte d'être un homme et d'avoir envie de prendre ce rôle de la femelle en ce moment même. Il n'eut pas le courage de répondre tendis qu'un baisé doux se déposa sur ses lèvres salées. Leurs peaux se frôlèrent leur donnant la chair de poule, comme mue par leur volonté propre les mains du plus maigre parcoururent doucement les muscles finement ciselés de Philippe, c'était pour se rassurer : dans des bras si puissant il ne risquait rien, contre un torse pareille il n'avait rien à craindre non ? Sous les caresses de Mat', Phil qui avait déjà du mal à se contenir commença à perdre le contrôle, il ralentissait comme il pouvais ses mouvements, les voulant langoureux mais quand il lécha la peau du cou du petit brun celui-ci se contracta de peur plus que de plaisir. C'était trop tard, le désir le consumait. Ses pensées se désordonnaient, il laissait faire son instinct et tous deux se perdaient. Leurs érections se frôlèrent,puis Phil poussa ses hanches bien plus proche, et Mathéo gémit. Le balais de leurs corps commença à se faire plus embraser, à la recherche du plaisir contre le corps cambré de l'autre. Ils avaient abandonner leurs dessous en même temps que leurs appréhension,cette caresse charnelle était juste passion, pas de possession l'un de l'autre, juste une étreinte chaude. Mais le grand voulais plus,beaucoup plus, il comprima son torse sur celui ondulé du plus petit qui se pétrifia en se sentant soudain écraser au matelas de plus en plus tiède. D'une main compulsif Philippe sortit précipitamment un préservatif et un flacon de lubrifiant de la commode, il enfila la protection sous le regard terroriser du plus brun :
« -Je veux plus ...
Dit pas de conneries. »
Mathéo ne parvint pas à fuir l'étreinte il commença a se consumer sous les asseaux de la bouche de son amant, elle était partout, sur son cou, ses lèvres, ses tétons, elle aspirait sa peau presque sauvagement, lui arrachant de petits cris. L'odeur de sueur et de sexe se fit plus présente, l'air était lourd, et soudain un cris,un cris plaintif et arraché à son propriétaire, il cris fort qui lui était arraché. Il ne savait pas se qui s'emparait de son corps en ce moment : était ce la douleur ou le plaisir intense ? En tout cas ça faisait mal, très mal, c'était presque insupportable, il sentait ses entrailles se contractée fortement autours du corps étranger, sa voix mourus dans sa gorge :
« -Ca va ?
J ... J'ai mal ... arrête ...
J'ai juste mis un doigts. Ferme les yeux, je sais pas, détend toi. C'est bientôt finis.
J'ai mal ... arrête. »
Mais la douleur ne se retira pas, les larmes commencèrent à rouler le long de ses joues, et le pire c'est qu'il trouvais ça bien, douloureux certes, mais bien. Petit à petit les sensations les plus désagréables de tiraillement partirent et il osa de nouveau ouvrir les yeux : Philippe, les muscles tendus, la peau luisante de sueur, avec un doigt en lui, c'était trop. Son corps lui lança une décharge qui contracta tout ses muscles et le blond pris ça pour ce que c'était : de la jouissance, de la satisfaction presque. Il enfila rapidement un deuxième puis un troisième doigts dans le corps de son amant et celui-ci hurla.
« -Aaaaaaaaa .... Philippe ...Arrête ... J'ai trop mal. »
Sa voix était brisée, sensuelle, entre-coupé de gémissement rauque,et le parfum vanillé de ses cheveux, de la sueur, tout ce corps svelte tendus à l'extrême, il se mit à faire des va-et-vient en lui. Mathéo ne gémissait plus, il criait, il hurlait, il suppliait mais rien n'y faisait, les doigts de Philippe plongeaient profondément en lui, son corps tout entier se brisait, il avait l'impression d'être déchirer mais dieu, dieu ce que c'était bon,son bassin en feu lui envoyais des décharges puissantes de lasciveté et il sentait monter de plus en plus l'orgasme. La douleur s'effaçait en même temps que les mouvements du dominant étiraient la chair, il aurait suffis d'un peu plus de temps pour que la pénétration ne soit que pur plaisir pour les deux mais ... Mais Mathéo maudissait l'impatience, l'excitation, l'empressement qui s'était emparer d'eux : alors que ses cris de muait aux fil des mouvements de hanches qu'il effectuait en gémissements Philippe retira d'un coup ses doigts dans un bruit de succion lubrique. Pas le temps de crier de surprise, d'avoir peur, de sentir le vide qu'ils avaient laissés,il cria quand quelque chose de plus large encore les remplaça.
« -Mathéo ... mathéo ... Détend toi, t'es serrer putain ... »
Il pleurait, il pleurait parce que tout le plaisir était partit et qu'il avait juste mal, si mal que se détendre était impossible. La peau chaude de Phil ne suffisait plus, la vue de son corps bandé non plus, ni même la rougeurs de ses joues ou de ses lèvres, pas même leurs soufflent haletant, gémissant son nom, rien ne permettait d'oublier la souffrance. Sa tête partit en arrière, il allait tomber dans les pommes, s'abandonner. C'est ce geste, cette perte de tout reperd qui ramenas une sensations agréable : il s'était détendus l'espace d'un instant et ça avait été bon. Il calma un peu sa respiration et mordit fort dans le quartier d'épaule musculeuse qui se tenait à sa porter, par respect le propriétaire ne s'en plain pas. Ça allait aller, aux bout de longues minutes à souffrir le martyr et a tenter de décontracter tout son corps il finit par amorcer un léger mouvement de rein, enfin. Le signale était maigre mais il enflamma le corps entier de Philippe qui déjà plongeais à grand coup de hanche dans l'entrée chaude de Mathéo. Enfin, ils prenaient réellement leur pied, à grand coup de rein, de puissants va-et-vient, à grands cris, les respiration couper sous les asseaux de chaleurs venant de la jonction de leurs deux corps. L'orgasme montait et Mathéo n'osait plus regarde ce que lui faisait son amant, le son de leurs voix, leurs respirations haché et désorganisée lui suffisait. La sensations à nouveau supportable de Philippe en lui, et le bruit mat de leurs hanches se percutant lui suffisait. Tout accéléra encore, il mêla ses propres mouvements à ceux du plus vieux et alors que le bruit de leurs ébats semblait prendre toute la place Mathéo poussa un vrai cris de plaisir, fort,brut, avant de jouir entre leurs deux torse. Philippe grogna en venant dans le même mouvement, le corps de son amant s'étant beaucoup trop resserrer sur son membre.
Lorsque leurs corps se détendirent de nouveau, éreinté, le blond se retira et le brun lâcha un râle avant de se recroqueviller dans les draps froissées et trempées de sueurs, collant de son propre sp... Non, c'était franchement désagréable d'être allonger la dedans, il aurait aussi du mettre une capote, au moins pour ne pas avoir à changer les draps. Mais ce n'était sans doute pas le pire : il n'osait plus bouger car le moindre mouvement lui rappelait à quel point ses reins lui faisaient mal. Il avait l'impression d'avoir été pilonné à coup de gourdin, et c'était le cas, il se sentait mal. Pour ne pas geindre et se mettre à pleurer il mordit furieusement sa main et se glissa bien-han mal-han en position fœtal, de loin la moins douloureuse. Il allait le tuer, il allait tuer Philippe pour ça, il avait l'impression d'avoir été déchirer de l'intérieur, mais pas tout de suite, il était trop fatiguer, trop mal en point, trop épuisé ... beaucoup trop épuiser ... Putain ce qu'il avait mal,presque aussi mal que sommeil, et chier, il était persuader de saigner, ça n'était pas possible autrement.
FIN DU LEMON- FIN DU LEMON - FIN DU LEMON- FIN DU LEMON - FIN DU LEMON- FIN DU LEMON
Je ré-ouvre les yeux sur ce souvenir mon dieu que c'était bon. Mathéo me tourne le dos, j'embrasse son omoplate et il marmonne quelque chose :
« -Bonjours bébé, bien dormis ?
... Mm ... Non ... »
Euh... Bon ... Moi je suis encore fatiguer et mes yeux se refermes tout seuls, je pensais pas être aussi épuisé après ça. Honnêtement c'était géniale mais je doute que Mathéo ai autant apprécier que moi. Je m'en veut tellement ... Il a pleurer, pourtant j'ai été doux et je me suis tenus ... Je suppose que c'est parce que c'était sa première fois et qu'il était en dessous. Quel abrutis fini je fait ...
J'embrasse son cou et me lève. Je prend une petite douche lorsque j'entends un cris venant de ma chambre. Je sort à toute vitesse, aillant juste le temps de mettre une serviette autours de ma taille. Quand j'arrive dans ma chambre je vois mon amant recroquevillé sur lui même entrain de pleurer, je me précipite à son chevet :
« -Bébé ! Oh ! Bébé ? Ça va pas ?
Casse toi ...
Mathéo ... Tu ... Tu veut quelque chose ?
Casse toi ! »
Je m'éloigne de lui et retourne dans la salle de bain pour me sécher et m'habiller. En revenant je le retrouve dans la même positions,ses larmes ont un peu sécher. Il m'entend arriver et m'appelle d'une voie étranglé :
« -Philippe ? ... Tu ... Qu'est-ce-que tu m'as fait ?
Bah ...
J'ai trop mal ... Ça saigne ? »
Je le regarde mi choquer mi honteux, je n'y serais jamais aller comme un bourrin à ce point !
« -Biens sur que non bébé. Je vais te chercher des médicaments pour faire passer la douleur. »
C'est normal ou pas qu'il ai mal comme ça ? J'ai peu âtre fait une connerie ? Oh ciel ce que je me sent nul, je voulais pas le blesser. On est deux, je peux pas être le seul à prendre du bon temps à ses dépend. J'ai fait ce que je ne voulais surtout pas :j'ai blesser l'homme que j'aime. Je me sent tellement minable. Je descend chercher un verre d'eau et tombe sur Marie qui me regarde en grimaçant. On aurait été si bruyant que ça ? Quand même pas ? Je détourne le regard mort de honte et cherche mon verre d'eau et le Doliprane. Le cachet effervescent se dissous dans le verre avec un petit crépitement :
« -Et bien Phil ? A ce point ?
Occupe toi de tes affaires gamine. »
Je remonte à toute vitesse en faisant attention de ne pas renversé le médicaments. Je le tend à Mathéo qui grimace et gémis en s'asseyant.
« -Oh ... Je suis tellement désolé.
Tait toi ... Ça vaut mieux. »
Il vide le verre et tente de se lever en grimaçant, je l'aide à rejoindre la salle de bain où il me fait rapidement dégager.Quelques minutes plus tard, n'entendant toujours rien j'ose un « Ça va ? » immédiatement suivit d'un grognement et du bruit de l'eau. En sortant de la salle d'eau Mathéo à l'air un peu mieux, il grimace toujours quand il fait des gestes brusques mais il ne ''boite'' plus.
« -Plus jamais tu me fait ça.
Bébé ? Je ... Je suis désoler. »
Il me regarde le regard dur et fatiguer.
« -Aller ... Va me chercher le petit déjeuner plutôt. Idiot. »
Son ton est un peu plus gentils et je m'exécute. En revenant il fait un faible sourire crisper. Je croit que j'ai vraiment tout gâcher entre nous ...
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