Ne plus te voir ...

Il faut jouer le jeu, faire mine que nous ne savons pas, après tout nous ne sommes pas au courant, en théorie. On garde notre sangfroid, ou plutôt on essaie, moi j'exulte : j'avais raison,j'avais raison de l'appeler « ma crevette ». Je le préfère tellement de cette humeur là. Mes mains empoignent franchement ses fesses, ça au moins ça n'a pas pris des courbes déstabilisantes.

« -Si tu veut coucher : c'est non.

Pas envie, je voulais juste un contacte que tu n'envoie pas sur les roses.

Comme si c'était mon genre.

Mais c'est ton genre ces temps ci !

Ah bas merci.

Je sais plus quoi faire, tu prend la mouche dès que je te dis un truc.

Mais non.

Si ! C'est pénible ! »

Je le lâche et remonte dans mon bureau.

« -Où tu vas ?

Bosser.

Et moi ?

Trouve toi un truc à faire.

Mais ... Darling.

Pas de '' Darling '' après m'avoir envoyer chier !

Phil, fait pas l'idiot.

C'est moi qui devrait dire ça : t'es infecte.

On vas pas se disputer à quelques jours de la naissance de la petite !

T'as raison, je vais minimiser les risques de disputes : ce soir je dors dans le canapé.

Darling ! Fait pas le gamin purée !

Je ne fait pas l'enfant : j'en ai marre que tu me crache dessus. L'excuse de tes hormones je te l'ai pardonner pendant 7 mois, 7 mois Mathéo. Là je sature, il me faut de l'air.

Mais je t'aime !

Moi aussi je t'aime, mais je ne peut pas rester cloîtrer comme un moine dans son monastère parce que tu veut plus sortir, que tu ne peut pas boire et que je dois dire adieu au cul. Ça fait vieux con mais j'ai besoin de voir du monde. Non je ne vais pas te tromper, m'enivrer comme un porc ou un truc du genre, je veut juste vivre, ne plus mettre ma vie en suspend comme tu le fait avec la tienne, revoir mes amis.

Phil ...

Promis je rentrerais pas tard. »

Et je sort de la maison, 'vais boire un verre au bar, parce que merde à la fin, j'en peut plus. Dans le pub il y a un écran TV sur lequel est projeter un match de boxe entre deux tranches de foot. Je bavarde un moment sport de combat avec mon voisin de bière et puis rentre chez moi.

En ouvrant la porte je trouve Mat' enrouler dans un plaid devant un énième film d'horreur et en train de s'empiffrer de chips à chaque fois que la tension retombe.

« -Arrête de grignoter.

WOA !! Oh pu*** tu m'as fait peur.

Tu vas prendre des mauvaises habitudes si tu mange en dehors des repas.

Grrrmmm ... ( Crunch crunch crunch. )

Je vois, je suis sortis donc MOnsieur n'est pas content. T'es vraiment chiant ces temps-ci.

Tu me laisse à la maison tout seul donc maintenant occupe toi de tes fesses.

Mais c'est qu'il est fâché ?! Écoute Mat' , grandit un peu : j'ai eu plus d'une fois envie de t'envoyer chier pendants les derniers mois, mais je ne l'ai pas fait. Et je ne le ferais pas. Tu sais pourquoi ? Parce que j'essaie de me comporter en adulte responsable. On vas adopter, ça suffit, on est plus des ados, regarde toi : on dirais une lycéenne qui fait la gueule. Ressaisit toi bon sang ! Regarde où est en train de partir notre couple là ... Je sais que t'as du mal parce que c'est les derniers mois mais arrête de te cacher derrière cette excuse, fait un effort merde.

Philippe ...

Je sais plus quoi faire pour te plaire moi. Je sais plus. J'en ai plein le cul.

Darling ... je suis désolé ...

Bah moi aussi, mais pas dans le même sens je crois.

Tu veut ... qu'on prenne notre douche ensemble, tous les deux, comme avant ? »

Je n'ai pas spécialement envie, non, mais il essaie de sauver notre couple et de se racheter alors je vais faire un effort. Après tout pour lui ça doit aussi être compliqué de proposer ça : il fuyais mon regard et il va s'y confronté, il fuyais mon contacte et il va être obliger de l'accepter. Je l'attend dans la salle de bain,il semble gêner de se mettre à nu devant moi.

« -Mathéo, tu déteste ton corps à ce point là ?

Oui.

Allez vient là. Je ne comprend pas pourquoi tu crise comme ça, on fera de la fitness ensemble si tu veut quand la petite sera née. En attendant arrête juste de te rabaisser.

Mais je ...

Tu ?

Je suis gras.

Pitié, arrêter avec ça. Je t'aime, aime toi toi aussi.

Je ne peut pas, je ne peut pas aimer ce corps.

Et bien moi je l'aime quand même. Cesse de me fuir ou de me repousser, ce sera déjà bien. »

Il n'a rien dit, rien répondus, il est rester muet et pourtant,pourtant le soir venus, pour la toute première fois depuis ce qui semblait être une éternité, il dormit dans mes bras. Il s'y est réfugier malgré les contours plus trapus de son corps, malgré l'empressement bourrin qui s'était emparer de moi, malgré tout ce qui jouaient contre nous pour nous éloigner. Cette nuit la, j'ai bien dormis.

Del'air ! Il me faut de l'air ! Je cherche en vain mon souffle qui ne vient pas, happe quelques goulées d'oxygène. Tirer de son sommeil comme ça, par asphyxie, c'est vraiment atroce ... Mes poumons se regonflent du gaz vitale, je respire enfin. Qu'est-ce-qui a faillit me tuer ? Mathéo !? Il avait serrer mon visage contre son sternum durant un des rêves qui anime ses nuits. Je quitte l'étau de ses bras avec plus ou moins de facilitée sans pour autant le tirer du sommeil. Et croyez moi c'est un tour de force. Je frôle du dos de la main sa joue toute douce. Je me demande s'il compte arrêter de se raser pour perdre cette bouille de bébé ?Ou plutôt d'ado, qu'importe, physique et mentalement on dirait un gosse. Il ouvre les yeux et prend un sourire nostalgique en me voyant ainsi pencher sur lui, mine de rien notre proximité lui avait manquer.

« -Bonjour mon prince.

Bonjour Darling.

Bien dormis ?

Oui.

Petit déjeuner au lit peut être ?

Pourquoi pas.

Alors c'est partie. »

Je bise son front avant de remonter avec nos boissons habituelles ( aaah la petite routine ), du pain, du beurre et de la confiture.

« -Mollo sur le beurre, hein brioche. »

Il me détruit d'un regard assassin le temps que je lui fasse comprendre la plaisanterie. Ce n'était pas très fin de ma part, je m'en veut,je suis désoler. Je lui présente mes plus plates excuses et il semble, malgré une petite réticence, s'en incommoder. Tant mieux,il ne l'a pas si mal pris que ça. Enfin je croit : on déjeune dans le silence complet. On pourrais entendre une mouche voler et quand il reprend la parole, je le sentait, ça ne peut qu'être pire :

« -Philippe, je vais allez passer quelques jours chez ma mère.

Quoi ?! Pourquoi ?

On arrête pas de se disputer, tous le temps, on se prend la tête en permanence et ça m'épuise. Je veut un break. »

Quelque chose en moi se déchire, à ma grande surprise seulement un tout petit peu, mais c'est comme une aiguille de fer planter je ne sais où dans ma cage thoracique. C'est douloureux, brûlant, mon cœur autours de la plaie se contracte sur lui même pour ne devenir qu'une boule de nerf brute, acide.

« -Tu ne veut plus de moi ...

C'est pas ça, c'est plus complexe. C'est juste que je n'ai pas envie que tout dégénère alors je vais passer 2 ou 3 jours chez mes parents.

... Je vois ... Tu pars quand ?

Tout à l'heure. »

J'approuve bêtement, qu'est-ce-que je pourrais faire d'autre ? Il veut partir. Un anneau ce n'est pas un collier ou une laisse, il reste libre car après tout ce n'est qu'une bague ... juste une bague. J'ai dit que je comprenais mais en réalité je ne comprend pas, je ne comprend rien : tout ceci est beaucoup trop soudain. On parle tout de même de se séparer momentanément, de ne plus se voir ou se parler, de ne plus entrer en contacte, de s'ignorer, de retourner chacun d'où nous venons, dans notre bulle privée que nous avions partager l'espace d'un instant. Il ne veut plus me voir, il me fuit comme la peste. Je ne sais pas ce qu'il va advenir de nous mais clairement, ça craint.


Il est partis, exactement comme il l'avais dit et il ne me reste plus qu'a occuper deux jours de ma vie. Je ne sais pas ce qui me fait le plus peur : souffrir tel un condamné de son éloignement ou alors justement ne pas en souffrir à la folie. Parce que, si jamais je venais à n'avoir aucun regret, à ne pas sentir son absence,alors quoi, ça voudra dire qu'il est trop tard. Que nous vivions déjà sous le même toit mais plus ensemble, que tout était taris entre nous, assécher et ça, ça c'est insupportable. Oui il a fermer la porte pour ne pas revenir, du moins pas tout de suite, mais quoi ?! Quoi !! J 'en ai assez !! Bon sang !Cet enfant, c'était lui qui le voulais à la base ! Ça me saoul ! Ça me saoul !! Il veut un break !? Il veut un break pour quoi ? Parce que ce gamin nous ronge ! Il dévore notre amour comme une nuée de sauterelles !

Aussitôt pensé, aussitôt regretter : bien sur que non, ma fille n'est pas un parasite, bien sur que non elle n'est pas toxique pour nous.Je l'aime, je l'aime cet enfant, je le veut ce bébé, autant que lui désormais. Alors avoir put penser un seul instant une horreur pareil ... Je regrette, infiniment.

Mais où est le problème alors ? Il est partis le sac à l'épaule et ma mémoire à effacer tout souvenir d'un éventuel moment où il se serais retourner vers le perron. S'est il retourner vers moi, vers notre maison ? Où alors est il partis, rentrer chez lui sans remord, pour vivre comme avant ? Je réalise que bien qu'il n'ai ni emplois ni condition matérielle stable il possède bien plus que moi : si jamais nos chemins se séparaient il aurait un endroit où retourner, lui. Marie ... Et Kai ... A ce que je sais la première est partie définitivement, prendre son indépendance pour ses études. Quand au deuxième on raconte qu'il est mort, en Angleterre,rien n'est moins sur. Dans tous les cas je suis seul, ce n'est certainement pas ma mère qui va recoller pour moi les morceaux demon cœur briser en cas de rupture. Et je réalise à nouveau, que comme avant, je n'ai plus un seul ami vers qui me tourner : tousles gars du bar, ils sont toujours là bas, plus au nord, et moi je suis ici. Seul. Et je n'ai personne à haïr pour faire passer le temps, personne à qui reprocher ma condition misérable parce que maintenant que je suis orphelin de père c'est ma faute si je suis seul, plus la sienne. S'enterrer dans le travaille reste la meilleure solution. Mes collègues tient, parlons-en : je ne les ai jamais vus en vrai, seulement par web-cam. Mon travaille se fait à domicile et comme prévus je ne parle que très peu ... En fait je suis un ours, un asocial renfermer sur lui même, c'est horrible de réaliser ça. Mathéo était devant, au premier plan du cadre, il remplissait ma vie, mais dès qu'il s 'éloigne je réalise que c'est une toile vide. Je suis seul, si seul ici.

Et le pire de tout c'est que je n'ai même pas le numéro du bébé,pour me tenir une faible compagnie une fois par soir, c'est mon mari qui l'a. Si je n'ai même plus mon enfant à naître je n'ai plus rien. Comment ai-je put tomber si bas ? Oui il me manque, il me manque tellement. Il illuminait ma vie, lui donnait un sens. Ce que je suis pauvre en bien humain. Les proverbes disent vrai :l'argent n'apporte pas le bonheur. J'ai de l'argent, un peu, ça oui,mais personne à qui le partager pour égayé ma vie. Il faut que je fasse quelque chose, que je vive un peu, depuis que j'ai emménager ici tout n'a tourner qu'autours de notre petit monde à tous les deux et c'est nocif pour nous deux. Enfermer dans la même bulle nous avons manquer d'espace, nous avons empiéter l'un sur l'autre. Ils faut à nos corps et à nos cœur d'autres personnes à apprécier, à haïr, parce que deux dans un même bateau, ça aura beau être un paquebot, ça restera toujours une prison flottante de solitude, la solitude à deux.


Alors je sort, je vois du monde, mais personne n'arrive à passer outre la barrière qui s'est former autours de moi : je ne pense qu'a lui. Il obsède mes pensée, jour et nuit depuis qu'il est partis.Depuis combien de temps déjà ? Je ne sais même plus, je ressens juste le manque affectif, comme un poison dans les veines,qui me tue à petit feu. J'ai besoin de lui, de tous les détailles qui le composes et qui défilent dans le coin de ma tête entre deux repas infectes ou brûler et deux tranches de travaux pénibles. La vie, j'en viens à réfléchir à la vie, si c'est pas malheureux. Et la vie, d'après ce que j'en conclue, et vraiment absurde quand on a pas ce rideau coloré qu'est la passion à mettre devant. Et c'est vrai, quand je pense à lui je trouve le temps moins long, moins pénible, plus agréable et plus supportable aussi. Dans la grande maison propre et froide, j'attends que revienne le temps des bruits, de ceux qui sont partis et de ceux qui j'espère vont revenir. Des rires, des pleurs aussi, parce qu'il vaut mieux entendre des pleurs que d'être assourdis de silence.

Soudain on toque à la porte. Je descend pour ouvrir : c'est lui. Le même sac qu'a son départ, la mine déconfite, le ventre rond, les yeux plissé dans une expression mi-figue mi-raisin ... Oui, je suis content de le revoir, je n'imaginait pas que les deux derniers jours puissent être si long. Interdit, l'un face à l'autre, j'ai l'impression fugace que nous sommes deux étranger. Son sac s'écrase au sol dans un bruit mat lorsqu'il le laisse tomber et ses bras enserrent mon cou. Il se colle à moi dans une éteinte suppliante,essaie de fusionner son torse et mon T-shirt, son visage un peu crisper se perd dans mon cou dans une tentative inconditionnel de chercher du réconfort. Un peu surpris au début je ne tarde pas a comprendre : je lui ai manquer, autant qu'il m'a manquer, on a vraiment été con avec ce break. Mon cœur s'emballe, mes mains et mes bras ne s'ébahissent plus et se referment tel des serres avides autours de son tronc. Il soupire, un souffle faible de réconciliation,de plénitude, de soulagement peu être, qu'est ce que j'en sait ? Mon nez dans ses cheveux me redonne à nouveau le parfum enivrant de la vanille épicée, son odeur. La chaleurs de son corps contre le mien, enlacer de nouveau, l'éloignement qui nous avait plus détruit que la dispute, tout ça fait qu'aucun de nous n'esquisse le moindre geste pendant un long moment. On est trop bien,là, dans les bras de celui qui nous avait blesser quelques jours plutôt et qui aujourd'hui nous console. Le creux de ses bras c'est ...c'est tout, il n'y a pas d'autre mots. Tout doucement je le serre un peu plus, frotte légèrement la tête dans son cou et contre ses cheveux, je sent sont front s'appuyer sur mon épaule et ses mains agripper mon dos. J'ai le cœur en miettes, il s'emballe pour un rien, depuis que Mathéo est là je le sent pulser très fort dans mes veines. On n'a pas besoin de se le dire : nous sommes en manque l'un de l'autre.

Son souffle chaud arrive jusque dans mon cou et vient caresser ma peau, y déposant un baiser humide. Il pleur ? Nos regard se croisent,sans la trace d'une larme quelle qu'elle soit. Je ferme les yeux, me laissant envahir doucement par sa présence rassurante, déposant ça et la des baisé papillons le long de son cou. Je sent le bout de sonnez arpenter mes veines alors que je le tire à l'intérieur pour nous retrouver plus en priver. A peine ai-je referme la porte qu'il me plaque brutalement contre cette dernière, m'embrassant farouchement ! Je ne m'attentais pas du tout à ça, mais alors pas-du-tout ! Sa langue pénètre de force dans ma bouche, me dompte littéralement, j'incline la tête : plus, il me faut plus. Ma main agrippe ses cheveux, je le retourne et le plaque à son tour de tout mon poids contre la porte, un gémissement franchis ses lèvres aussitôt happer par notre échange. Nos doigts se perdent dans nos cheveux et bientôt nous sommes accolés, essoufflés et pantelant dans l'entrée. Le contactes de nos front tiédis, rien que ça, ça m'avais manquer :

« -Bon retours à la maison.

Je suis désolé, j'ai vraiment été infecte, excuse moi, je t'en pris excuse moi. Je suis désolé.

C'est rien. Juste ce soir c'est moi qui appelle la petite.

Mais ?!

Tu l'as eu pour toi tout seul pendant deux jours alors s'il te plaît, laisse moi avec elle juste ce soir.

D'accord ... Tu m'as manquer.

Toi aussi. »

On reste encore un peu enlacé et puis mon estomac gargouille :

« -Pizza ?

Pour moi salade césar.

Ah ? Et je peut savoir pourquoi ?

Il faut que je mange plus équilibré, c'est ce qu'il y a de mieux : petit régime.

Je te retrouve enfin ... Fait attention a ta santé bon sang. Je ne sais pas ce que je serais sans l'amour de ma vie.

Moi aussi je t'aime. »


Depuis ce jour la il s'est incroyablement rapprocher, à suivit à la lettre les conseil de son nutritionniste et à arrêter de prendre du poids.Il n'a pas perdus mais au moins il se porte mieux, ai plus raisonner et en conséquence bien moins fatiguer et irritable. Ça lui arrive toujours de craquer, de faire un caprice, de passer des rires aux larmes ou de péter un scandale en une fraction de seconde mais bon,c'est la grossesse, on y peut rien. En règle générale la frustration ambiante c'est beaucoup calmé, en fait elle à été remplace par l'excitation au fil je vous laisse imaginer : les jours passent et la date de la naissance approche, de plus en plus.Mathéo n'a pas tarder à devenir intenable, une vrai pile électrique.Le 7 Avril, toujours le 7 Avril, cette date le rendais dingue, ou euphorique, les deux. Au début du mois de Mars il fut à peu prêt supportable, sifflotant joyeusement, entretenant la maison avec un petit coup de main bien sur ( j'aime les batailles d'aspirateur ) et remettant sans cesse en place les affaires du bébé. En fais il sortait presque tous les soir un body, juste pour le regarder, le replier et le remettre dans le placard en sifflotant d'un sourire niais.

La semaine suivante les rituels qu'il avait dans la chambre comme sortir des vêtements ou remettre les peluches droites sont devenus une activité à part entière, il s'est même mit à faire tourner le mobile comme ça, juste pour l'essayer. Soit dit en passant ce mobile est magnifique avec tout pleins de suspension interchangeables et moi aussi je l'adore mais est-ce une raison pour changer les 5 décorations TOUT les jours ?

La première semaine d'Avril a sonner la fin de toute logique : ils'est carrément mit à dormir avec le doudou de naissance de notre futur enfant ! Je vous jure ! C'est un petit carrée de tissus doux et cotonneux décorer d'une tête d'ours dans des tons chaleureux et mixtes évidemment. Ah, et il n'a pas résister, il est aller acheter deux trois truc roses bonbon parce que je cite, « ce sera notre petite princesse et une princesse, tout le monde le sait bien, ça ne met que du rose, très cher. » ce à quoi j'ai dut approuver dans un soupir. Heureusement qu'il avait été pressé avant et que donc nous avions déjà tout le nécessaire sinon il aurait tout acheter en rose et si on avait voulus un garçon pour le deuxième on aurait pas pût s'en servir. Parce que oui, je pense déjà au deuxième, mais juste dans la théorie parce que j'ai vus les yeux brillants de Mat' et je sais qu'un seul ça ne lui suffira pas, jamais. Je vois d'ici les scènes de ménages :

« Darliiiiing !J'en veux un autre ! Allez dit oui !

Mais on galère déjà avec un.

Je veut un autre bébé, allez ! »

Je savais déjà que je céderais, je lui cède tout, il faut vraiment que je me secoue.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top