Mathéo, were are you ?

Je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ou j'en suis, je suis perdu. Dans cette ville que je ne connais pas bien la seule chose à laquelle je peut me raccrocher sans regret c'est Steven. Je ne comprend plus ... Il glisse à nouveau sa main contre ma joue mais je ne la retire pas, ses doigts froid glisse derrière mes oreilles et vont se perdre dans mes cheveux. Très gentiment il approche mon visage du sien :

« -J'ai très envie de te ré-embrasser. »

Je ferme les yeux, je n'ai pas envie de lutter contre lui. Ses lèvres ont un léger goût sucrée, celui de son cocktail. Les lèvres de Mathéo reviennent encore du fond de ma mémoire mais je n'en peut plus, je veut les oublier, je veut tout oublier. Je laisse filer un murmure rauque :

« -Steev' ... Fait moi oublier ... fait moi tout oublier ...

Tu veut que je te raccompagne chez toi ? »

Je hoche de la tête ... Je ne sais plus ce que je fait. Est-ce parce je ne veut plus être seul ? Les doigts froids de Steven parcours mon corps ... Il a de l'expérience ... Mais ... Ce sont les doigts de Mathéo que j'imagine sur ma peau. Ses lèvres ... Sa voix ... Son corps ... Le souvenir de notre première fois et même des suivantes envahissent ma tête ... je perd la raison ...Au moment ou il prend en bouche je gémit, han il est doué avec sa langue. Mathéo ... T'as pris des cours ou quoi ? Il sait exactement quand ralentir et quand accélérer, mon air me fuit, je chercher mon souffle et plus de sensations. Je ne contrôle plus mon corps, je tremble. Bébé ... Mathéo ... Plus vite ... Je ne peut que gémir, il est trop bon pour moi. Je n'ai même pas le temps de prévenir que tout mon être se parcours de spasme et je vient avant de m'endormir dans la même temps.

Le réveille sonne mais une autre main l'éteins à ma place. J'enfile mes lunettes et regarde Steven, il a l'air triste ...

« -Rallume ton téléphone et appelle le, Mathéo.

Quoi ? Comment ?

J'ai essayer de rentrer mes coordonnées dans ton carnet d'adresse mais il était éteins.

Pour Mathéo ? Comment tu ?

... Tu gémissait son nom quand on le faisait.

Quoi ? Oh pardon ... Merde ... Pardon ... Désolé ...

C'est rien, j'ai l'habitude. Appelle le , je suis sur que tu lui manque autant qu'il te manque.

... Non ... Non, c'est impossible.

Même toi tu n'y crois pas, tu sais très bien qu'il faut que tu lui parle Lud. Au moins ça.

Non ! Je ne veut pas ! Je ne lui fait plus confiance : il m'as tromper.

En qui as tu encore confiance ? As tu seulement confiance en toi ?

...

Tu ne peut plus vivre comme ça en fuyant ce à quoi tu tient le plus. »

Il me prend dans ses bras :

« -Lud ... Il est temps pour toi de rentrer chez toi, c'est bientôt Noël. Il y a un vole pour Paris ce soir.

Je ne veut pas ... Je ne saurais pas quoi lui dire , je ne saurais plus lui faire confiance. Ce sera différent ...

Moi je pense que tu saura quoi dire, la confiance reviendra d'elle même entre vous. Ne t'en fait pas.

Mais ...

Tu ne pourra pas passer à autre chose, tu pense encore trop à lui. Tu l'aime encore.

...

Va le voir. »

J'ai sentis les larmes me venir : j'avais fait comme les autres, je m'était servis de lui et il m'avait consoler.

« -C'est horrible ...

Philippe ?

C'est horrible ... Comment peut tu être encore célibataire alors que tu es génial ? Je suis comme ces abrutis qui t'ont fait du mal alors que toi ... toi tu m'as sauver.

Dit pas de bêtises. Je n'ai pas fait grand chose et puis si tu es heureux alors j'ai tout gagner.

C'est trop injuste ... Tu es tellement gentil, tu sais exactement trouver les mots qu'il faut et ... Pourquoi faut-il que ça se retourne contre toi ?

Sourit Philippe, j'aime ton sourire. Ne t'en fait pas, je trouverais mon Mathéo ... Va le retrouver.

Merci ... Merci infiniment ... Tu sais pas à quel point tu m'as sauver la vie ...

Arrête de te couper les poignets.

Comment ?

Je les ai vus ... arrête.

...

Ça ne t'aidera pas, ça te créera des problèmes. Promet moi que tu arrêtera, tu n'es pas assez bête pour continuer.

D'accord ...

C'est bien. »

Il ébouriffe mes cheveux en riant :

« -Tu fais ta valise ? Si tu ne te dépêche pas tu vas être pris par les prochaines neiges.

Quoi ?

Il neige demain, c'est ce soir ou pas du tout. Allez ! Dépêche toi ! »

Je fais ma valise en vitesse et il m'aide, puis il me tend un papier :

« -Lorsque tu te seras décider à rallumer ce pauvre téléphone tu me donnera de tes nouvelles ?

Tu as proposer ça à tous tes coups d'un soir ?

On est pas vraiment des coups d'un soir non ? Plutôt des sexe friends. Et oui, j'ai proposer à pas mal de mecs de rester en contactes mais ils ne le font pas vraiment. Ils m'ont sûrement oublier.

Impossible que je t'oublie ! Je t'enverrai des textos.

Bah, tu seras très occuper avec ton Mathéo, t'es pas obliger.

J'y tient. »

Steeve'm'a accompagné jusqu'à l'aéroport, je n'oublierai pas ce qu'il a fait pour moi. Il m'a sortit de ma mauvaise passe. Sur le quai d'embarquement je redoute que les chutes de neiges me bloque à New York mais je crains encore plus de rallumer mon portable ... Je le ferais une fois retourner à Paris. Je passe le portique et m'installe dans mon siège. Je vais dormir, ça m'évitera d'arriver crever en France ... J'ai une dernière pensé pour mon nouveau camarade américain : je te souhaite tous le bonheur du monde monsieur l'ange gardien. Et puis je m'endors à 2000 m du sol, au dessus de l'Atlantique.

Dans mon rêve Mathéo est devant moi et il me porte un regard accusateur,sa voix retentit dans ma tête :

« Tu revient vers moi quand ça t'arrange. Tu te plaint que je t'ai tromper mais tu fait pareil : tu bafoue tes sentiments pour moi.Et maintenant tu crois que je vais t'accueillir à bras ouverts ?Mais tu m'as jeter il y a plus d'un mois, tu ne crois quand même pas que je n'ai pas vécu pendant ce temps ? Qu'est-ce-qui te fait croire que je ne suis pas à nouveau en couple avec quelqu'un ?Oh bien sur tu pourrais le savoir, si tu ne m'avais pas ignorer complètement jusqu'à aujourd'hui. Ce n'était pas ma faute, ne crois pas que je t'aime encore après ça. »

J'ouvre les yeux sur ce rêves pénibles, j'ai conscience que c'est une possibilité : Mathéo est peu être à nouveau en couple avec quelqu'un. Mais je dois au moins lui parler, il faut qu'on mette les choses au clair. Je dois cesser de fuir et avoir plus confiance en moi ! Courage ! Ce n'est qu'un rêve, tu avisera en fonction de ce qu'il se passera en vrai.

J'ai atterrie à Paris puis suis rentré chez moi tard dans la soirée ...Enfin plutôt tôt dans la mâtiner. Je remet mon portable en marche qui se met alors à ramer sous la charge d'appels et de messages manquer : beaucoup de Thomas, quelques uns de Mathéo, d'autres de ma mère. Je suppose que le frère aîné voulais me parler de son cadet, comme il y a un mois. Il est encore trop tôt, je vais faire une petite sieste et ce soir je donnerais rendez-vous à Mat' au Ioay-coffee. Je regarde la date : Lundi 4 Décembre. Il doit travailler aujourd'hui, il va falloir attendre 20h ce soir.

20h 30 et toujours personne, pourtant je lui ai envoyer un message et je l'ai même appeler ? Pourquoi il ne répond pas ? Pourquoi ne vient il pas ? Peut être qu'il a vraiment rencontrer quelqu'un depuis ? Ou alors il me déteste et il m'ignore ? Tant pis je vais attendre ...

21h 00 ... Toujours rien. Je commence à m'inquiéter : il aurait au moins annuler en temps normal ? Mais on ne peut pas non plus dire que cette rencontre soit normale. Après tout je suis son ex avec qui il a eut des rapports plutôt médiocres ces derniers temps.Il faut aussi envisager qu'il soit chez sa famille pour les fêtes, c'est tout à fait son genre.

22h 00 ... Je dois être complètement dingue pour poiroter aussi longtemps. Mais il le faut ... Il le faut ...

23h 00 ... Finalement il n'est pas venus, alors je suis rentrer chez moi. Je lui proposerais un autre rendez vous demain, c'est pas grave, je vais persévérer. Je peut attendre.

Quand je suis rentrer chez moi j'ai réaliser qu'il avait vécu la même chose, ce même délaissement. Je m'en veut ... Je m'en veut horriblement. Ça va être dur d'attendre jusqu'à demain pour le voir, il faudra en plus que je m'occupe toute la journée ... Comme je ne travaille plus je me demande bien ce que je vais pouvoir faire... Et si je cherchait un nouveau projet ? Après tout je ne pourrais arrêter de travaille que pendant un temps avec cette somme alors autant chercher tout de suite. Je n'ai pas envie de devenir un simple salarier, ce n'est pas assez stimulant. Je voudrais bien que Mathéo travaille avec moi, comme ça on pourrais se voir tous les jours.

Je suis venus trop tôt ... beaucoup beaucoup trop tôt : il est seulement 19 h ... Comment je vais pouvoir attendre ? J'appelle Zack, le nouveau serveur qui travaille avec Christophe et commende une boisson sans alcool. Il vaut mieux que je soit sobre pour ré-entrer en contacte avec celui que j'ai perdu de vue. C'est tout de même étrange : son téléphone est allumer mais il ne répond ni au textos ni aux appelles, il ne décroche jamais.Pourquoi ? On dirait qu'il m'ignore royalement ... J'espère que ce n'est pas le cas.

Pffff... Il est déjà 20 h passé ... J'en ai assez d'attendre, il faut que je me fasse une raison. Tient ? Zack revient, il est drôle ce jeune sur ses patins à roulettes à faire le mariole. C'est sympas de s'amuser même au travaille, ça me donne de bons espoirs pour l'avenir. Quoi qu'ils sont un peu curieux les post-ados de nos jours :

« -Excusez moi, vous attendez quelqu'un ?

Oui, mais je doute qu'il vienne.

Hier aussi ?

Oui ...

C'est la même personne ?

Oui.

Je ... Je suis désoler mais je pense qu'il ne viendra pas, après tout il n'est pas venus hier et ...

J'attendrais quand même.

Je ... excusez moi. »

Le serveur s'éloigne en marche arrière et va parler au comptoir. D'ici je ne peut pas le voir. J'ai pris une table tout au fond de la salle pour être plus tranquille et pour ne gêner personne mais vu que je commande peu je vais probablement être dégager. Je vois Chris'essayer de me regarder depuis son bar, lorsqu'il me voit il prend un air surpris et laisse le soin de la caisse à son associer avant de me rejoindre.

« -Philippe ! Tu es revenus des États-Unis ?

Bah oui.

Et ... Tu attend Thomas comme ça depuis hier ? Tu sais pas qu'il est à l'hôpital tous les jours jusqu'à 21 h ?

Quoi ? Non pourquoi ? Moi j'attends Mathéo.

... Mon dieu ... Alors tu n'es pas au courant ... »

Il avait eu un regard choquer, pourquoi ? De quoi est ce que je devrais être au courant ?

« -... C'est pas à moi de te l'annoncer.

Explique toi : il est déjà en couple ?

Non en fait ... Suit moi. »

Il me fait lever et me conduit à l'arrière du bar, il m'assois derrière le comptoir et commence à faire les cents pas. Chaque fois que j'essaie de me lever il m'oblige a rester assis en lançant à son employer des regard circonspect. Zack me lance des œillades compatissantes en astiquant les verres.

« -Chris' ! Tu va cracher le morceau oui ?

C'est difficile à dire ... Voilà, Mathéo à eut un accident. C'était deux jours après ton départ pour l'Amérique, un taxis à griller une priorité à toute vitesse et ... Mathéo était dans sa voiture, il se l'est pris de plein fouet ... Il est dans le coma depuis ...

Non ... C'est une blague c'est ça ? Une blague ...

Je suis désoler ... Je croyais que tu savais ...

C'est pas drôle Chris' !! Arrête de déconner ! On rigole pas avec la vie des gens.

... Tiens, c'est l'adresse de l'hôpital.

T'as pas finis de te foutre de ma gueule !? Arrête ça tout de suite !! Dis moi la vérité !! Il est chez un ami c'est ça !? Il voit quelqu'un ? Il m'a déjà oublier ?! JE VEUT LA VÉRITÉ !!

... Désoler ... Si tu me crois pas c'était dans le journal. Zack ? Tu peux aller le chercher ? »

Il me tend un numéros daté du 30 Novembre, je commence à lire :Aujourd'hui dans la mâtiné un automobiliste à trouver la mort. Le conducteur, un taxis, ne transportait pas de passager lorsqu'il à griller un stop. Il aurait alors percuter la voiture d'un jeune homme, l'état de ce derniers est critique : son pronostique vitale est engager. L'enquête à révéler que seul le taxis était en faute, nous avons interviewer les médecins et des témoins. ''C'était vraiment très violent, personne n'a eu le temps de réagir.'' '' Le patient est aujourd'hui plonger dans le coma, nous espérons qu'il s'en sortira sans pouvoir le promettre. '' Toutes l'équipe soutient les familles des victimes.

« -... Philippe ...

Oh, vous allez loin là. Fabriquer un faux journal c'est vraiment dégueulasse.

Je vais te chercher un verre d'eau. »

J'ai déchirer son numéros, je ne peut pas y croire : c'est faux !Ils vont trop loin dans leurs plaisanterie vareuse !

« -Vous pourrez pas faire mentir les hôpitaux !! »

Je sort en claquant la porte et démarre en trombe. Ils ne pourrons pas faire dire n'importe quoi à un hosto ! ILS NE POURRONS PLUS MENTIR !! Je pile devant un gosse qui déboulait. Je reprend mon souffle comme je peut : j'ai faillit le percuter ... Il me regarde et un million d'images afflues dans ma tête. Des images de l'accident de Mathéo ... Notamment cette photos de sa voiture réduit en charpie. Il y avait une photos de la place côté conducteur ...Une photos en couleurs avec l'air bague déclencher, la tôle froisser, le plastique pulvériser ... une photo avec du sang ... du sang rouge sombre et sécher sur le volant ... Et un peu partout dans la cabine, beaucoup de sang. Ça ne peut pas être vrai ... C'est impossible.

J'arrive à l'hôpital, je ne veut toujours pas y croire, je crois que me dire que c'est un mensonge me permet de garder la raison. Sinon je serais déjà fou, déjà sur un pont à me jeter dans le vide. C'est forcément une mauvaise blague, un canulars pour se venger de ce que je lui ai fait. Ils m'attendent dans la chambre que vient de me donner cette infirmière, ils m'attendent et vont éclater de rire.La bande d'abrutis, ils m'auront fait une sale farce. Je suis devant la porte mais je ne veut pas l'ouvrir, je n'ai pas envie qu'ils se moquent de moi pour avoir crût à cette nouvelle grotesque. Il faut que ce soit une blague, il le faux. J'ouvre la porte en attendant une explosions de rires mais ...

C'est le silence le plus absolue : il y a le père Jourdan qui ne lève même pas les yeux vers moi. Il regarde le sol, sa tête calé sur ses mains, sont esprit semble lointain. Un peu plus loin il y a Thomas dans une position du même genre, le regard baisser tout aussi vide et ... Et Marthe vient me prendre dans ses bras.

« -Mon grand garçon ... Je suis désoler ... Tu revient de vacance pas vrai ? ... Mon pauvre petit ... mon tout petit ... »

Elle a une voix de vielle femme et elle me flatte le dos. Qu'est-ce-qui m'arrive ? Je ... J'ai envie de pleurer, de crier, de mourir mais rien ne sort ? Qu'est-ce-qui m'arrive ? Pourquoi suis-je aussi vide ? Pourquoi mes larmes refusent elles de sortir ? Pourquoi mon corps refuse il de bouger ? Pourquoi mes yeux refusent ils de regarder le lit ? Pourquoi est-ce-que je ne vois pas Mathéo ? Marthe s'éloigne et tire une deuxième chaise prêt de la tête de lit. Elle se rassoie et moi je reste debout dans l'entrée sans comprendre.

Au bout d'une éternité mon corps accepte enfin de bouger un peu. Je voie enfin ce qu'il y a dans les draps blanc de la chambre : il y a un corps. Il y a quelqu'un ... quelqu'un de très pâles, aux cheveux brun avec d'adorables reflets roux, un visage fin aux joues désormais creusés ... Il y a Mathéo. Je l'observe comme une bête curieuse : c'est lui et en même temps ce n'est pas lui. C'est son corps mais il n'a pas l'air d'être dedans. Où sont les rires,les sourires, les explosions de joies intempestives, les moues boudeuses, la voix magnifiques, les lèvres sensuelles ? Où sont passé toutes ses choses ? Pourquoi à il l'air d'une poupée de chiffons, blanc comme un linceul ? Pourquoi ne bouge il pas ? Il est ... mort ? J'entends le BIP BIP BIP que fait le moniteur au rythme de son cœur et je vois l'activité de son cerveaux sur un écrans vert. Les petits pics sont si bas, si faibles, presque invisibles. Tout indique qu'il vit mais tout indique qu'il se meurt ... Je ne vais pas le supporter, je vais craquer ... Je m'assoit sur la chaise à son chevet et prend sa main glacé dans la mienne.

« -Mon petit prince dormant ? Il faut te réveiller ... tout le monde s'inquiète pour toi ... Allez marmotte, debout. Tu peut pas faire la sieste pour toujours. »

Marthe pose sa main sur moi et les larmes commencent à couler toutes seules, silencieuses. Il ne m'entends pas ? Il ne sait même pas que je suis là ?

« -Mathéo ? C'est moi ! C'est Philippe ! Répond ... Dit quelque chose. Réveille toi, fait moi un signe. Réveille toi ... je t'en pris ... dit quelque chose ... »

Je pleure pour de bon, pendant longtemps, et il n'y a que mes sanglots et les moniteurs qui troublent le silence. Quand je me calme enfin je réalise qu'il est très tard mais je n'en peut plus, j'ai utiliser toute mon énergie. Je colle Marthe et me raccroche à elle qui me console en gardant pour elle sa propre souffrance. Soudain un médecin entre dans la pièce :

« -Messieurs dame, nous avons finis les analyses veuillez nous suivre. »

Il me remarque alors et je lui lance un regard implorant, dit moi que tout va bien et qu'il ouvrira les yeux dans une heure, dans un jours,dans une semaine. Dit moi que tout ira bien, qu'il va bien.

« -Vous aussi, suivez moi. »



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