Maman ...

J'en revient pas, à l'autre bout du fil il y a ma mère. Je l'ai quitter il y a plus de vingts ans en l'insultant de tous les noms. Comment va elle réagir ? Je pourrais raccrocher ... N'y pense même pas vieux ! Tu n'as pas fait tout ce chemin pour rien.

« -Allo ?

Hum ... Je ne sais pas si vous allez me croire mais ... C'est moi.

Qui ça moi ?

Moi, Philippe Douhet c'est moi.

Vous êtes vraiment mon fil ? Je veut une preuve.

Je suis partit à l' âge de 17 ans, je suis blond à lunette ... Typé arien.

Mon dieu ... Mon dieu ... C'est vraiment toi Philippe !?

Oui maman. C'est vraiment moi.

Oh mon dieu ... Ton père ...

N'en parle pas à père tout de suite. Je ne vous ai pas appeler par plaisir.

Oh ... Pourquoi alors ?

Ce que je vous ai fait il y a longtemps me pèse alors je suis vous donner de mes nouvelles. Je vais bien, sache le. Sache aussi que je ne regrette pas d'être partit.

... Je ... Comment va tu ?

Ma vie est un enfer ces derniers jours. Tu pourra le dire à père il sera content. Je suis sur le point de perdre mon emplois, mon copain, je suis gay, je n'ai plus de domicile pour les prochains jours et dés que j'aurai fini cette appel j'irai me saouler dans le bar d'un pote. Vous devez être content : vous voilà venger. Mais je ne regrette rien, jamais je ne penserais comme vous : vous avez tords. Jusqu'à aujourd'hui j'ai eu une vie de prince avec tout ce que je rêvais, j'ai même rencontrer LA personne. Alors je te le dis : j'ai bien fait de partir.

... Je ... Je ... C'est trop d'un coup ... Philippe ... J'avais peur que tu soit mort ...

Et bah je suis vivant.

C'est le principale. Tu as réussi ta vie alors ?

Oui, j'avais réussi ma vie même sans vous. J'étais un enfant débrouillard mère ... Allô ? ... Maman ? ...

PHILIPPE !!!

Père. »

Aussitôt que sa voix se fit entendre au combiné je fut pris de frissons. Le souvenir de ces fesser, de ses tollé quand j'échouais, tout ça revient me hanter. Mais ma haine remonte du même coup et mon ton se durcit. C'est la voix d'un vieille homme à l'autre bout du fil, je peut lui tenir tête et lui dire tout ce que j'ai penser de lui ces 20 dernières années.

« -Petit chien ! Fil indigne ! Tu ose nous appeler après ta trahison ? N'as tu donc plus d'honneur.

C'est vous le lâche père, j'ai le courage de reprendre contacte avec la pire ordure que j'ai jamais vu : vous. Vous vous m'avez renier je suppose, alors taisez vous et écouter ce que j'ai à vous dire.

EFFRONTÉ !!

Je ne suis pas mort dans un caniveaux comme vous le disiez : j'ai fait des études importantes et j'ai travailler pour les plus grands. J'ai rencontrer l'âme sœur, j'ai vécu fastueusement. Je n'ai pas sombrer dans l'alcool ou la drogue, je suis devenus un homme plus honnête et respectable que vous ne le serez jamais.

Tu vient pour me dire ça ? Pour crier au travers d'un téléphone que tout va bien ? Laisse moi rire Philippe ! Tu ne viendrais pas étaler ton talent devant nous si en ce moment même tu n'était pas au fond du trou. Tu essaie de te valoriser en rabaissant ceux que tu as abandonner et renier il y a longtemps. Tu as faillis faire mourir ta pauvre mère de chagrin, tu m'as couvert de honte. Alors ne vient pas chercher du réconfort ici ! Fil indigne !

Comme si j'aillais me réconforter avec toi ! Plutôt crever !

Tu vas faire faire une syncope à ta mère avec des manières pareilles. Où es le fil que nous avions élever ?

Le garçon imbus de lui même que vous aviez lobotomiser est mort ! Je suis enfin moi même père, et pas grâce à vous.

L'enfant que j'ai élever était un garçon fière et compétant. Toi tu n'es qu'une loque en mal d'affection et de reconnaissance. Tu es un déchet.

Ordure ! Tu peut dire ce que tu veut ! Je ne te dois rien ! Seul mère m'a vraiment éduquer comme j'aurais dû l'être et m'a laisser faire mes propres choix. Toi tu n'a été qu'un tyran.

Un tyran qui t'emmenais à toutes tes compétition de foot, qui t'a mener au sommet de chaque discipline, qui t'as offert tout ce que tu désirais, qui était là pour chacune de tes rentrés scolaires. Oui j'ai été un tyran ! Ce qu'on appelle communément un bon père.

TOI !!? Un bon père !? Tu ne m'as jamais rien appris qu'à haïr ! Tu ne m'apprenais qu'à me battre !

Les hommes se battent, c'est ce contre lequel tu ne peut rien : il faut lutter pour vivre.

Maman elle m'a aimé ! Elle ne m'a pas inciter à écraser mes semblables ! Elle ne m'a pas fait monter au sommet pour mieux abattre mes camarades ! Elle n'a pas fait de moi une créature capable des pires choses et de sang froid. Elle m'a montrer le côté doux de ce monde, qu'on pouvais aimer son prochain.

Ta mère t'a montrer ce que tu te devais d'acquérir et de défendre : le meilleur. Ou en est tu aujourd'hui ? Ou est le meilleur pour lequel je t'ai former ? En renonçant à mon enseignement tu as échouer lamentablement.

C'est là que tu fait erreur vieux croûton ! Je n'ai pas échouer ! Ce n'est pas ton enseignement qui m'a fait avancer ! C'est un mode d'éducation qui ne t'appartenait pas, tout ce que tu m'a appris de ta bouche n'était qu'affabulation, calomnies et mensonges. Ce que tu avais pris à d'autre m'a été bénéfique. Je ne suis peu être rien à tes yeux mais j'ai été quelqu'un pour la personne que j'aime.

Est-ce encore le cas, fait il avec un rire narquois ?

Je le saurais bientôt.

Tu t'ai fait larguer comme un étron ! C'est tout ce que tu mérite ! Si tu avais suivit mon enseignement tu serait devenus aussi important que le Führer ! Te voilà seul et malheureux ; espèce d'abrutis.

Tu es insignifiant. Tu n'es qu'un grain de poussière écraser sous la majorité infinies de gens qui haïssent ce type. Tu ne vaut rien, ton avis ne compte pas.

Moi au moins j'ai un avis ! Je ne suis pas comme toi, devenus un mouton ! J'ai garder mes opinion et continuer de porter haut et fière le blason allemand des Douhet-Kayer !!

JE NE VEUT PLUS JAMAIS ENTENDRE CE NOM !!

C'est le tient pourtant ! Philippe Frank Ludwig Douhet-Kayer !

SUFFIT !! J'ai cesser de me prénommer ainsi à l'instant ou j'ai comprit que tu n'était qu'un sale nazi ! »

J'entends ma mère tenter de calmer mon père qui commençait à criser au téléphone. Elle repris la communication :

« -Allô ? Philippe ? Tu es toujours là ?

Oui maman ... Je suis désoler de t'avoir fait subir tout ça mais pas d'avoir fuit ce type. Encore désoler. Adieu.

Philippe ! Att... »

Je raccroche et me laisse tomber sur le fauteuil. Ludwig ... Ludwig ...Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas entendu ce nom ...Il m'était devenu insupportable avec le temps, je l'avais fait effacer de presque tout mes papiers, de tout mes diplômes mais il m'avait quand même rattraper. Pendant un instant j'avais crû sentir revenir ce vieille accent de l'Allemagne de l'Ouest, héritage au combien lourd d'un arrière-grand-père issus de Saxe. Le souvenir de ces leçons d'allemand à la maison me revient par flash ... Comment mon père nous faisais partir tout les ans en Bavière pour les vacances, afin de faire un bain de langue. Ce taré avait une fascination diabolique pour le troisième Reich, pour ses origines,pour le nazisme. Il m'arrivait souvent à la maison de prendre cet accent allemand à couper au couteau issus des Land les plus typiques. Mon père m'applaudissait alors des deux mains.Heureusement je l'avais effacer ... Alors pourquoi ? Pourquoi lorsque je l'ai insulter j'ai crût entendre un Bavarois ... Je ne veut pas que ce passer revienne ... Je ne veut plus entendre parler de l'Allemagne ! Plus jamais !

Je me sent agresser, oppresser dans cette chambre aux murs jaunes vifs !J'ai l'impression qu'ils sont partout ! Les Allemand, desdeutsh mark, des SS, les Einsas gruppen, les nazis, et surtout lui ...Lui ! Mon père ! Trônant, la croix gammé broder au blousons, en parfait commandant du Reich ! Mon père en Hitlermoderne ! Désignant de son bras tendus une foule immense. Etpuis il me fait monter sur une estrade : le quais d'un train.Les vieux cours d'histoires me déchiquettent l'esprit. « Comment peut tu aimer un homme qui as fait assassiner autant d'innocent !?Comment peut tu pardonner à ce monstre les camps d'extermination !?Tu ne vaut pas mieux que lui ! Tu es un monstre ! »

Je sent la peur, la faim, la souffrance et la maladie de tout ceux qui se firent déporter ... Vers Auschwitz ... Vers la Pologne ... Les rafles ... La cruauté ... Mon père scande : Fur die neuer Führer ! FUR DIE NEUER FUHRER !! FUR MICH !! Il se tourne vers moi : Toi aussi mon fil, tu es l'héritier. NON !!NON ! NOOOOON !!NOOOOOOOOOOOOOON !!!

J'ouvre les yeux en sueur, complètement paniquer. Mes cauchemars son encore pire qu'avant ! Je suis gay : tout le contraire de ce quene sera jamais mon père. Je ne serais jamais comme lui !Jamais ! Tout va bien Phil ... Tout va bien Philippe ... « FrankLudwig ! » ... NON ! Je ne m'appelle PAS Ludwig !Je suis de gauche ! Il faut que je sorte : ces couleurs criardes dans ma chambre m'agresse. Un regard à ma montre ... Ça va il n'est pas trop tard, je vais dîner au bar ce soir. J'ai choisit cet hôtel en centre ville car je peut aller au Ioay-coffee à pied depuis alors je ne vais pas m'en priver. A moi Rhum et Brandi, au diable les risques : ce soir je me fend la poire ! Il me faut oublier les deux derniers jours merdiques que j'ai passer.

J'entre dans le bar et salut Chris en commandant une Vodka double :

« -T'a pas l'ère en forme toi.

Non ... Non ça va pas fort.

Et bien ? Qu'est-ce-qu'il se passe ?

C'est une longue histoire ... Je me suis disputer avec Mathéo, je lui ai dit des horreurs, on va sûrement se séparer.

Vous deux ? Ça m'étonnerai : vous êtes inséparable, indissociable. Raconte moi ce qu'il s'est passer.

Je lui ai hurler dessus et je lui ai dit que c'était finis entre nous si il ne m'assumait pas au travaille.

T'inquiète pas Phil, il va revenir. Vous êtes un des couples les mieux assortis je vois mal comment il pourrait hésiter.

Moi je vois mal comment il pourrait rester avec moi.

Dit pas ça, il a aucune raison de partir.

Si, il y a cette femme, Sophia. Si il se met avec elle alors il aura tout ce dont il a toujours rêver.

Il est homosexuel je te rappelle.

Laisse tomber ...

Phil, tu devrais pas te mettre dans un état pareil pour une petite dispute. Ça arrive à tout le monde. »

Je finit mon verre et commence à lézarder au comptoir lorsque j'entends une voix familière dans le fond de la salle.

« -Alors ? Tu sais ou il est ? »

Je me retourne vers Christophe pour lui demander ce qu'il se passe mais il répond avant même que j'ai poser ma question.

« -C'est vrai ! Thomas te cherchais depuis hier. Il est passer tous les jours, tu as de la chance de le croiser. »

Pas sur que ce soit de la chance ... Il m'a repérer, je tente une fuite discrète mais il me chope par la manche et me ramène à l'intérieur. Il me tire dans un coin à part avant de me coller une mandale :

« -T'es un enfoirer Philippe ! Pourquoi tu fait pleurer Mat' !?T'es un salop !

Laisse moi !

TU TE REND PAS COMPTE !! Il m'a appeler en pleur hier ! Il a passer la soirer à pleurer ! Par ta faute !

Je sais ...

Pourquoi tu lui as fait ça !

Il va me quitter de toute façon ! Tu es content ! Hurlait-je les larmes aux yeux, Il va me plaquer ! »

Je me prend un autre coup de poing :

« -Qui es tu pour décider de ça ! Tu sais pas comme il s'en voulais le pauvre ! Il a pas arrêter de pleurer ! Il me disait que tu avait été horrible mais que c'était SA faute !IL SE SENTAIT COUPABLE DE TES CONNERIES !! Crétin ! Qu'est ce que tu lui a dit !?

Que si il ne m'aimait pas il n'avait cas partir et me quitter. »

Un autre coup en plein dans le nez me sonne, il me tire par le col :

« -T'es un connard ! Tu sais même pas voir à quel point il tient à toi ! Tu le mérite pas ! J'arrive pas à croire que t'ai put lui dire un truc aussi salop ! T'as même pas honte de toi !?

Bien sur que si ! Évidement que j'ai honte, que je m'en veut. Mais tu comprend pas ! Je comptais plus pour ...

TU CROIT QU'IL PLEURERAIT POUR TOI SI TU COMPTAIT PAS !!! Il est con d'aimer un pareil enfoirer ! Tu va rentrer t'excuser maintenant ! Il pleure à chaque fois qu'il fait un pas dans ta baraque ! Il a pleurer toute la nuit parce que tu n'était pas là ! Tu lui as vraiment fait du mal connard !

Il a honte de moi alors pourquoi il me regretterais ?

BAH BIEN SUR !! ABRUTIS !! Il m'a parler de son histoire au taf, il a pas dit qu'il était gay à son boss alors il est obliger de le cacher au moins pendant sa semaine d'essais ! Il a pas le choix ! C'est pas qu'il a honte de toi ! C'est que si il en parle il va se faire virer ! Crétin !

Je ...

Maintenant tu rentre chez toi et tu te met à genoux devant lui pour lui demander pardon ! Exécution ! »

Il m'envoie un grand coup de pied dans le cul bien douloureux puis me tire par les vêtements jusque dans sa bagnole. Il me tend un mouchoir pour mon nez ensanglanter et démarre en trombe. Il se gare devant ma maison dans un crissement de pneu :

« -Descend.

Je peut pas ... J'ai pas prit mes affaires à l'hôtel.

Donne l'adresse j'irai les récupérer mais descend ... DESCEND ! »

Je lui tend rapidement un papier sur lequel est inscrit le numéro de chambre et l'adresse ainsi que la clef. Je sort de la voiture et me tient anxieux devant le portail. Qu'est-ce-que je fait ? Un coup de klaxon retentit et la porte d'entrer s'ouvre. Mathéo me voit et on reste face à face sans rien se dire, à plusieurs mètres de distance. Il me sourit, les larmes coulant sur ses joues, les yeux rougit d'avoir trop pleurer. Les larmes me monte aussi : je lui ai fait tellement mal.

« -Je suis désoler Mathéo ... Vraiment désoler. »

Il me regarde et ses larmes tombe au sol, je me sent tellement mal.

« -Bon retours à la maison. »

Je cours jusqu'à lui, je le prend contre moi et on pleures dans les bras l'un de l'autre. Je frotte ses cheveux et son dos lui s'accroche à moi et maltraite mon T-shirt en le serrant de toute ses forces. Il laisse aller ses larmes et ses plaintes me brisent le cœur,alimentant ma propre culpabilité et mes propres pleures. On s'est fait tellement de mal tous les deux. Tout ça à cause de ma jalousie mal placer. Quand on est tout les deux calmer j'embrasse son cou, son parfum m'a tellement manquer. Le goût de sa peau ... Je lui fait un suçons avant de lui mordiller l'oreille. Je commence à taquiner des zones érogènes tout en le poussant dans le salon. Il soupire et soudain je sent un poids important reposer au creux de mes bras :il ne tient plus sur ses jambes. Il tremble un peu ... J'arrête de l'embêter et embrasse ses lèvres entre ouvertes. Je sent sa langue passer, chercher le contacte et il m'embrasse autant qu'il le peut.

« -Tu m'as manquer Philippe ... Tu m'as beaucoup manquer.

Toi aussi ... Je suis désoler mon trésor, j'aurai jamais dû te dire toute ces choses.

A partir de demain je te promet de t'appeler plus longtemps et de te traiter de la même façon qu'à la maison. Je ne te parlerai plus de Sophia non plus, promis.

C'est pas grave si tu en parle, tant que je suis le seul à qui tu montre un visage aussi sexy ça me va. »

Je l'embrasse à nouveau, il pers aussitôt toute contenance et se laisse glisser au sol. Je relève son gilet et son haut d'un mouvement vif et embrasse son torse offert.

« -T'es sur de vouloir bébé ?

Mm-mh ... O-oui .... Ah !

Tu vas tenir jusqu'à la chambre ? »

Aussitôt que j'ai prononcer ces mots il se jette à mon cou en m'embrassant.Je le relève en même temps que moi et on enchaîne baisé sur baisé jusque dans ma chambre. Une fois arriver il s'écroule net sur le matelas alors je reprend là où on en était.


Ça faisait des heures que le petit copain de Philippe pleurait toute les larmes de son corps mais depuis quelques minutes plus rien. Il s'estpeu être enfin calmer ? Je passe dans le salon lorsqu'un bruit provenant de l'étage m'interpelle. Je rougis ... Il est quand même pas en train de se br... Une deuxième voix laisse entendre un grognement. Il est pas tout seul ... Phil ? Ils sont en train de... Non ... Les bruits qui proviennent de leur chambre ne laisse pas beaucoup place à l'imagination. Ou plutôt au contraire il laisse beaucoup trop place à l'imagination. Je vais m'enfermer dans ma chambre insonoriser pour échapper aux gémissements de leurs ébats et met un casque. Il faut absolument que je me change les idées. Je vais regarder la télé sur ma tablette et comme ça ces bruits vont disparaître. Évidemment il a fallu que le premier programme sur lequel je tombe soit un match de tennis ... Je croit que je vais mettre de la musique finalement.


Je reprend péniblement mon souffle, encore nu dans nos draps froissés.A côté de moi Mathéo semble encore dans un état second.J'embrasse une des marques rouges sur son dos et il me regarde.J'embrasse ses lèvres humides et il semble peu à peut revenir à lui :

« -C'était génial.

Pourquoi tu me dis ça ? m'étonnais-je en rougissant.

Parce que tu me le demande à chaque fois. Alors je te le dis maintenant : c'était génial.

Je m'en veut tellement de t'avoir dit toute ces choses.

Il y a une chose que tu m'a dite que je voudrais réentendre.

Quoi ? Laquelle ?

''Je t'aime'' »

Alors,comme une prière, je le lui ai répété jusqu'à ce que le sommeil nous emporte. Cette nuit là je n'ai pas fait un seul mauvais rêve,j'ai bien dormi.


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