Ma Rose

Je reprend pied avec la réalité, il s'est retirer de moi. Je me sent pas très bien, comme ... Un peu sale, trop féminisé, plus assez viril. J'ai un peu honte d'avoir éprouvé du plaisir à être le passif. Je retire le préservatif et fait un nœud en tournant le dos à mon amant. Lui vient se lover dans mon dos, il est déjà de nouveau dure alors que moi je suis encore essoufflé ...

" -Çà fatigue d'être en dessous hein ?"

Je ne répond pas, je me sent sali. Je me sent humilier dans mon statut de mâle. Comment peut on se sentir mal après s'être senti aussi bien, aussi aimer, après avoir pris autant de plaisir ? Comment peut on avoir honte à ce point ?

" -Hey ... Darling ? Tu regrette ?"

Il vient se poser à côté de moi et me caresse la joue, me force à le regarder de mon air perdu. Suis-je encore vraiment un homme ?

" -Oh mon chéri, c'est quoi cette tête ? J'étais pas bien ? Je t'ai fait mal ?

Non non, au contraire c'était très bien ...

Alors qu'est-ce-qu'il se passe mon amour ?

Je ... Je ..."

Comment lui dire que je me sent minable et pas du tout virile ? Je ne peut décidément pas ...

" -Philippe, regarde moi. Je t'aime.

Moi aussi je t'aime.

Et je t'aimerais toujours.

Moi aussi ...

Quoi qu'il arrive tu seras toujours mon Darling et je serais toujours ton Honey. Je t'aime mon amour, mon grand blond, mon fort boxer, mon nageur, mon Apollon à moi."

Entre chaque surnom il me donne un baisé, une caresse.

" -Tu as peur ?

Je ... Oui.

De quoi ?

De ne plus être un homme ... Tu vois j'imaginais que j'étais pas tout à fait un gay comme on les fait des les stéréotypes justement parce que j'avais toujours eu le rôle de l'homme et ...

Darling, il n'y a pas de rôle de l'homme ou de rôle de la femme, jamais. Nous sommes deux homme, il n'y a qu'un rôle à jouer quand on couche ensemble : le notre. Je ne suis pas une femme parce que je suis le passif, tu ne l'es pas non plus. Quand tu me fait l'amour comme ça, moi, je suis ton mari."

Je sourit, je sourit si fort que j'en ai mal au zygomatiques. Je l'aime,je l'aime tellement fort que j'en ai mal au cœur. Je l'embrasse d'abord doucement, puis de plus en plus violemment avant de me jeter sur lui et de l'écraser avec empressement dans les draps. Je bande de nouveau comme un fou, si dur que ça en devient douloureux. Je veut le posséder, le rendre dingue de plaisir, lui faire voir septième ciel et même plus haut. Alors que je me perd dans des baisés de plus en plus torride, je le sent m'appeler, me tirer à lui, réclamer mon corps comme il l'avait toujours fait depuis sa toute première fois.



Je suis encore tout essoufflé, les joues cramoisis. Je caresse doucement l'épaule, le bras, le dos, les hanches nu de Mathéo qui somnole la tête sur mon pec droit. Sa peau laiteuse est couvertes de marques rouges ou bleu-violacées, je m'en veut un peu. Mais d'un autre côté moi aussi je suis constellé de marques et puis qu'est ce que j'ai mal au cul ... Je rougis et grogne : mais qu'est-ce-qu'il m'est passé par la tête ? Franchement ?J'en sais rien. Ça ne me ressemble tellement pas. Qu'est-ce-qui « me ressemble » au fond ? J'ai fait ce que je voulais, et tant pis pour moi, tant mieux pour moi, il n'y a pas à regretter. En sentant mes mouvements plus présent que tout à l'heure Mathéo redresse son beau visage fin et délicat encore tout humide de sueur perlant sur son front. Il tourne vers moi ses iris ambré et brillants, magnifique.

« -Ça va Darling ? »

Je hoche la tête et le fait se ré-allonger contre moi. Il devras ce satisfaire de cette réponse parce que pour l'instant c'est le moment calin. Il commence tracé des petits rond sur ma peau moite, il fait toujours ça après l'amour. C'est drôle comme tique, c'est mignon.

« -Darling ...

Oui Honey ?

J'ai bien réfléchis, et même si c'était super quand on a échanger les rôles, je préfère comme d'habitude. Je ... et toi ?

Moi aussi je préfère.

Comme avant alors ?

Comme avant.

Sinon, ça va ? Je t'ai pas fait trop mal ? »

Je met du temps avant de répondre que non et donc il interprète mon silence comme un oui inavoué. Il me fait un faux sourire amer, l'air désolé :

« -Pardon.

C'est rien, j'ai pas eut mal. »

C'est une discutions de sourd, inutile de la prolongée. J'y met fin d'un baisé sur son front qui lui rend son beau sourire fendu et puisque il semble retomber dans un soupir parmi les méandres de la léthargie post-orgasmique je fait un état des lieu en silence. Miséricorde, Pétra va nous maudire sur neuf générations : vêtement séparses, sales et froissé, matelas irrécupérable car n'avais pas de dessus ou d'alaise, l'air à une température insoutenable et l'odeur ambiante plus que douteuse qui donne envie de fuir à toute jambe, au moins d'ouvrir quelques fenêtres. Je ne parle pas du nombre d'emballage aux couleurs flashy ouvert et à même le sol dont le contenus ( réservé aux adultes ) à finit à la poubelle (ou je ne sais où ) sans qu'on en ait fait le décompte. Nous sommes officiellement allongé à poil dans un champs de bataille en ruine qui fut une chambre. Ce constat effectué je sort mon mari de son demi-sommeil, c'était certes une récréation très plaisante mais un brin de ménage s'impose avant de regagner notre vrai couche qui n'est pas ici.

« -Honey ... Honey.

Mmm ?

Faut ranger et aller se couché maintenant.

Mmm ...

Honey ?

Laisse moi encore une minute.

D'accord trésor, mais une seule et après on s'y met. Il est quand même très tard.

Démon ...

Je sais.

Dit, tu les prends, hein ? Tu emmène la boite à la maison ?

Oui, je verrai avec mon médecin pour m'en faire prescrire.

Il en reste assez pour remettre le couvert demain ?

Ta libido est terrifiante, tu le sais ça ?

Merci, pas la tienne. »

Je lui pince les poignet d'amour, ça le fait couiner de douleur. Bienfait ! Saleté de beau petit cul.

« -Tu ne devrais pas jouer avec moi Honey. Moi je peux me passer de ton corps mais pas toi du mien.

Quoi ?!

D'un point de vue purement charnel, évidemment. Sinon tu m'es vital Babe.

Ça faisait longtemps que tu ne m'avais plus surnommer comme ça. Mais si tu crois que j'en oublie ton odieux chantage tu te met le doigt dans l'œil.

Ce n'est pas du chantage.

Juste de la tyrannie. »

Je retient un rire, cette fois on est tous les deux pleinement réveillés, épuisé certes mais réveillé. Alors nous avons vite fait remis la pièce dans des conditions descentes, ouvert le velux pour aérer et nous nous sommes éclipsé de la chambre d'amis. Nos vêtements manque de nous tombé des bras pendant qu'on retient des rires puérils qui nous viennent à l'idée de traversé la maison en tenue d'Adam. Oui, nous sommes de adolescent de 12 ans qui se baladent à poil et que ça fait rire. Une fois calme, sous les draps, après une brève toilette corporelle au lavabo, nous nous sommes laissé glisser dans un sommeil tranquille et réparateur, la chaleur de l'autre, forme brûlante, servant autant de réconfort que de fournaise. Mais on s'en fichait on était bien. Je me suis endormie tout de suite, je sais qu'une page s'est tournée aujourd'hui. Je sais que c'était important, que maintenant que j'ai tourner le dos à tout le mal il ne nous arrivera que du bien. Il ne peut plus nous arrivé que du bien, on le mérite, non ? Après tout ce qu'on a vécu ? On mérite ... J'en suis persuadé.Alors je n'ai pas peur, les années à venir je les attends.




Autant j'adore mon fil autant des fois je le déteste. Comme cette nuit par exemple, où il nous a bien empêcher de dormir, surtout mon mari,alors que la première moitié de la nuit à été épuisante.J'ouvre les yeux, trop de lumière. Pétra est en train d'ouvrir les volets.

« -Bonjour monsieur.

Pétra ? Pourquoi vous me réveillez ?

Et bien monsieur Mathéo votre mari est déjà descendu au petit déjeuner avec votre jeune fil.

Et donc ?

Votre époux voulais que je vous laisse dormir encore un peu mais il est déjà tard et il fait si beau dehors. Ce serais dommage de trop dormir. »

Je grogne et retient une insulte. C'est pas cette vieille qui s'est levé toutes les heures pour consoler un gros cauchemar, changer une couche, donner un biberon casse-croûte nocturne ou encore essayé de mettre fin à une veillé intempestive. J'enfonce la tête dans l'oreiller et cherche de la main mon compagnon chaud comme une bouillotte ... Plus de mari. Je peste de n'avoir plus d'excuse pour rester au lit donc je me traîne vers la salle à manger. Mathéo y débarrasse sa table de petit déjeuné avec Pétra, toujours vive comme l'éclair. Sacha dans les bras de son papa m' accueil avec de grands cris stridents et joyeux.

« -Mon bébé ! Viens la trésor, dis-je en le soulevant largement au dessus de ma tête. Et bah alors ? Tu as la forme ? Bah oui ! Bah oui ! Toi tu as la forme puisque Papa et Daddy n'ont pas put dormir, eux. Sale gosse. Oh mon vilain garçon. »

Je le redescend contre mon torse et le cale dans mes bras. Allez essayé d'expliquer à un enfant si jeune que son père est fatigué par sa faute ... Pfff.

« -Papa est tout fatigué, parce qu'il a gentiment laissé dormir Daddy quand tu faisait ton barouf. Toi tu avais décider de nous embêté,hein ? Vilain garnement. Tu pouvais pas nous laisser plus de la moitié de la nuit de tranquille, non. Crapaud ! »

Je le couvre de baisé et de poutous, le faisant rire et gazouillé. Mon précieux bout de chou. Il essaye encore de m'attraper le nez avec ses petites mains boudiné, je fond.

« -Darling ?

Mmm ? Marmonnais-je sans me retourné pour mieux dévorer des yeux la chair de ma chair qui m'a quand même bien fait chier toute la nuit ( quel emmerdeur adorable ).

J'ai commencer à rassembler les affaires pour faire les valises. On part dans deux heures.

D'accord.

T'es assez reposé ?

Parfaitement ! Comment ne pas être requinqué après hier, dis-je entre deux baisés.

Pervers. »

A son tours il me rend une bise. Il disparaît pendant que la bonne me sert un rapide petit café bien serré. Je remarque en avalant la boissons amer que personne n'a aucune nouvelle de la maîtresse de maison.

« -Pétra ?

Oui monsieur ?

Où est maman ?

Dans son bureau monsieur.

Ah ... Et elle compte y rester longtemps ?

Sûrement oui.

Tant pis alors. Pétra vous aiderez à faire les valises, je voudrais que vous rassemblez nos effets dans notre chambre pour qu'il n'y ait plus qu'à ranger. Ça nous laissera le temps de visiter le jardin.

Bien sûr monsieur.

Merci Pétra. "

N'ayant pas trouvé mon mari pendant mon habillage ni celui de petit je décide qu'on ne sera que tout les deux. Na. C'est ainsi que je me glisse dehors avec bonne humeur sous l'épais soleil d'un matin d'Août.

« -Allez ma petite crevette, Daddy va te montrer le jardin où il jouait quand il était petit. Je n'étais pas beaucoup plus vieux que toi trésors. »

Partis dans ma rêverie je redécouvre moi aussi ce terrain, accompagné des chiens qui nous tournent autours. Aussitôt que je les chassent d'une voix forte ils détalle tel des lapin, seule Dolly reste marché à nos côté un court instant, imperturbable. L'avant de la maison n'est guerre qu'une court, c'est le jardin arrière qui relève du meilleur terrain de jeux du monde, il peu être découpé en plusieurs parties. La première est une terrasse en pierre entouré d'une zone gravillonné qui forme un terre ceignant la maison. Cette terrasse très grande donne sur une profonde piscine rectangulaire à l'eau turquoise. Une toute nouvelle tonnelle permanente que je ne connaissais pas à été installer pour pouvoir préservé le bassin en toute saison. Comme elle est chauffé on doit maintenant pouvoir se baigné même en hiver. Plus loin, dans tout le reste de cette partie du jardin, il n'y a que du gazon bien net, parfois un arbre bien taillé droit. La pelouse est coupé en un endroit par un chemin de gravillons virant à droite, longeant la forêt et disparaissant sous une arche végétale, c'est l'un des passages vers la deuxième partie du terrain entretenue. L'autre passage se fait tout droit, parla pelouse, c'est la que nous passons. On sait qu'on entre dans une partie du jardin plus intime : un jardin anglais. Ici il y a de beaux arbres fruitiers, où d'autres aillant des couleurs de feuilles étrange et remarquable. Tout ce tronçons est entouré d'un carré de haute hais de hais ouvert en deux côté l'un par ce fameux vaste vide vers la partie un, l'autre par une nouvelle petite arche couvert de vigne vierge. Je traverse le grand vergé ombragé, très agréable en cette saison pour lire on somnoler, ou même pour un goutter de baies, pommes, poires, pêches, framboises et autres fruits sucrées en tout genre. Non, moi je vais directement, en m'attardant à peine,vers le « jardin secret » de mes parents. Le contraste avec le côté faussement sauvage du tronçon précédent disparaît complètement dans un flash en arrivant ici. La lumière brûle les yeux avant que ceux ci ne soient noyé de couleurs. Tout à gauche dans un coin il y a une serre remplies de plantes exotiques, le reste n'est qu'une gigantesque roseraies organisé comme un jardin à la française. Le chatoiement de couleur en affole la rétine, le nez est pris des parfums délicieux des roses. Tout les sens sont emballé, affolé, complètement occupé par le lieu, même l'ouï qui laissent entendre les pollinisateur et leurs voles lourds. Dans mes souvenirs ma mère était moins bio que ça. Un jardinier est en ce moment même penché sur un carré de Golden Moss, à moins que ce ne soit des Catherine Laborde ... J'ai un doute. J'entends des pas sur le gravillon des allées derrière moi, j'ai bien reconnu cette démarche se voulant discrète, chaloupé, au rythme que j'entends si souvent. Sacha regarde derrière, par dessus mon épaule. Je sais qu'il est là, le petit se retourne vers moi comme si on venait de lui dire un truc incroyable à mon sujet. Je doute que ce soit le cas, où même qu'il est compris, c'est son inspiration bruyante qui me fait pensé ça. Quoi qu'il en soit, je sais qu'il est là, dans mon dos, à essayé de me surprendre. Tiens, j'ai bien envie de jouer à l'arroseur arrosé et de lui faire peur. Il se faufile ...

« -Bouh ! »

Je pousse un cris et lâche le petit qui tombe ... de quelques centimètres avant que je ne le rattrape au vol en riant. Mission plus que réussi puisque Mathéo lui ne rit pas du tout, il a la l'œil humide, tout le corps tendu en avant, il a crier encore plus que moi, hurlé même, de peur en voyant son bébé plonger vers le sol. Il est complètement pétrifié et tremble de toute part. Je sourit malicieusement. Il est furieux, il lève une main mais dans un mouvement nerveux s'empêche de m'envoyer une claque monumentale, à la place il gronde et grogne ( pour ne pas dire d'insulte ) et m'envoie un coup de poing aussi fort et méchant qu'il peut dans le bras. Ça fait mal quand même ...

« -Espèce de sombre crétin !

Calme toi, je n'allais pas le faire tomber.

Tu l'as lâché !

Je le tenais bien, c'était fait exprès pour te faire peur. La preuve est que ça à marcher.

IDIOT ! »

Il m'arrache mon petit blond des bras, immédiatement ce dernier me réclame en criant « Da ! Da ! ». Je gagne donc mon petit duel et récupère mon marmot qui n'a même pas remarqué qu'il avait fait une petite chute sous le regard courroucé de mon brun. Je ne peut que rire d'une vois grave, fier de moi et de la frousse que j'ai réussi à lui coller à lui et seulement à lui.Comme je ne suis pas un sadique non plus je lui embrasse le cuire chevelu, histoire de le réconforté.

« -Ne fait.plus jamais.de blagues de ce genre.avec nos enfants. Plus jamais.

Oui, oui, promis. Qu'est-ce-que je peut faire pour que tu me pardonne my sweet Honey ?

Débrouille toi. Tu trouve bien des idées quand il s'agit de faire l'abrutis. »

Quelle teigne je vous jure, ce que je peut aimé ce caractère rebelle et indompté. Je pose Sacha dans les bras de son papa et vais voir le jardinier pour lui emprunté un sécateur. Je ne cherche pas longtemps les rosiers que je voulais et souris en les voyant en pleine floraisons. Celles là sont parfaites : des Red Baccara,elles lui correspondent tellement en tout point, parfumé, belles,rouges intense, d'une forme qu'on ne peut associé qu'aux sentiments que je lui porte mais aussi avec de nombreuses épines. Comme lui. Je lui ramène deux des tiges épineuses coloré avec un peu de feuilles grasses pour qu'il ne s'y pique pas les doigts. Je lui demande pardon en les lui offrant et il prends une mine renfrogné qui me redonne toute ma joie. Je sais que j'ai gagner mon pardon.

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