Le retours du calme et de l'âme d'enfant

Son« quoi » voulais absolument tout dire : oui j'ai insulter un membre de ma famille mais je n'en ai rien à faire, oui j'ai dit que j'allais lui faire faire un auto anulingus mais non je ne regrette pas un traître mot de ce que j'ai dit, et je vous emmerde. Il arrive à dire beaucoup de choses avec un quoi. Une voix de femme venant d'un bout de la pièce perce le silence désormais tout relatif :

« -Ma-mathéo ... On ne chasse pas un membre de la famille de la maison. Qu'est-ce-qu'il t'as pris ?

Cette chose se revendique ouvertement comme n'appartenant pas à ma famille.

C'est ta tante !

C'est n'importe quoi, renchéris un autre.

Mais qu'est-ce-qu'il t'as pris, explosent de partout les commérages.

Pourquoi il a fait ça ? »

On ne s'entend plus, le feu me monte au joues en sachant que c'est nous qui sommes le sujet de toutes ces discutions, le centre de l'attention. Oui, j'ai honte. Pas vraiment de ce que vient de faire mon compagnon mais plutôt d'être ainsi u milieu, exposé, moi qui devrait avoir pour devise « Pour vivre mieux vivons caché »au vus de mon mode de vie. Je n'aime pas mais alors pas du tout être le sujet d'intérêt d'une foule. Soudain le patriarche s'avance et pour la première fois devant une telle figure d'autorité je vois Mathéo rester droit et fier avec un air de défiance inflexible sur le visage. Un murmure monte : normalement Mat' aurait courbé l'échine. Encore une fois quelque chose ne va pas, quelque chose cloche, quelque chose est anormal. Celui qui est doux comme un agneau n'aurais donc aucun remord à ce qu'il a fait ? Il est d'un tempérament si insouciant et gaie d'habitude que cette attitude déterminé ne lui ressemble pas.

« -Mathéo.

Tonton.

Tu n'avais pas à faire ça.

Elle n'avait pas à dire ça. On ne touche pas à ma famille.

Elles est aussi ta famille.

Ce n'est pas ce qu'elle dit, si je ne suis pas son neveu alors elle n'est pas ma tante et PERSONNE au grand PERSONNE ne touche ou ne dit du mal de Sacha. C'est mon fil, ce que j'ai de plus précieux. Il passe sans aucun état d'âme avant vous tous ici, même avant Philippe. Il le sait, maintenant tous le monde le sait, j'espère que vous avez compris.

C'est bien que tu défende ton fil. Tu es un bon père c'est indéniable. Mais tu ne peut pas envoyer bouler le monde entier sous ce seul prétexte !

Et pourquoi pas ? Je comprendrais que tu me reprenne si j'avais fait ça à quelqu'un d'innocent mais tout le monde ici peut témoigné : c'est une garce doublé d'une langue de vipère qui dit du mal de tout le monde.

Ai un minimum de respect pour tes aînés !

C'est tout vu : je n'ai pas de respect pour cette femme, je n'en aurais jamais parce qu'elle n'a jamais eu de respect pour moi. Elle n'a jamais eut de respect pour mon frère, elle n'a jamais eut de respect pour mon père ou ma mère, elle n'a jamais eut de respect pour mon mari. Elle a toujours dénigré les autres, vous tous également chacun votre tour elle vous a dénigré dans votre dos, voir carrément face à vous. Elle ne respecte et révère qu'elle même. Des gens comme ça mérite une bonne leçon de temps en temps pour leur remettre les idées en place.

Ça reste ta tante et ses opinions sont siennes, tu n'as pas le droit d'imposer les tiennes sous prétexte qu'elles te sembles meilleur. Tu vois ou je veut en venir.

Tonton, désolé mais la je vais être franche, franche et méchant : ta sœur est une salope. Il serait temps pour vous de le reconnaître et que quelqu'un agisse en conséquence. Alors pour moi c'est simple : tu es le patriarche, le chef de cette famille mais je pari mon bras que tu n'as pas autorité sur elle comme l'avait mamie. Mamie est morte mais elle savait remettre à leur place les personnes odieuses comme Aurélie ELLE. Elle était juste, impartiale et stricte. Pour moi c'est tout vu : soit tu revendique ton autorité soit cette famille va droit à la catastrophe. A toi de voir mais mamie ELLE n'aurais pas laissé passer tout ça. »

Sur ce il tourne les talons comme si tout était dit en rajoutant pourtant un dernier :

« -J'ai beaucoup de respect et d'admiration pour vous tous ici. Mais tout ça ça se mérite. »

Un« et ça se perd » plane encore dans l'air malgré qu'il n'ait pas été prononcé de vive voix. Les discutions reprennent et cette fois il n'est pas question de Mathéo mais plutôt de son oncle. A-t-il de l'autorité ou pas comme le prétends son neveu ?Est il vraiment le successeur légitime de sa mère ? Que se passera il en cas de guerre ouverte entre deux parties de la famille ? Que fait on d'Aurélie ? Et de Mathéo ?Peut on accepter leurs comportements à l'un ou à l'autre ? La famille va elle vraiment ce scinder en deux ? Ou alors va elle se déchirer de l'intérieur, imploser littéralement pour savoir à qui revient l'autorité ? Une chose est sur, pour moi en tout cas, la suite va dépendre des choix de notre nouveau « leader ».Et c'est sans doute pour cette raison que la quarantaine de personnes présente en ce jour est suspendue aux lèvres cousus de mon oncle par alliance. Il claque dans ses mains :

« -Il soulève un point important et tout ceci ne se discute pas à la légère. Passons à table, on en reparlera l'estomac plein. »

Les enfants se précipitent dehors vers la table à part qui leur est destiné sous un parasol mais tout le monde les rappelles dans la maison : il pleut, il y a de l'orage dans l'air, sortie interdite. Les adultes ramène à l'intérieur un maximums de couvert, chaises, tables ... Tout le monde pousse les meubles et on installe de nouveau le couvert mais cette fois-ci dans le salon-salle à manger, partout. Pour une fois les tables des enfants ne sont pas loin, par manque de place. Les deux assemblées désormais détendu bavardent dans une bonne ambiance. Les verres se remplisses, les plats et les entrées arrivent sur les tables, des éclats de bonne humeur et les premiers tintement de fourchettes retentissent. Tout le monde est installé, nous en bout de table comme d'habitude, face à moi il y a Dilane, à mes côté Mathéo, à ma droite le vide.Marthe est arrivé sans que je la vois, je me relève et vais lui dire bonjour, Jean est dans la lune. Quand à Tom il n'a pas put se libéré, il ne viendra que demain. Je retourne m'asseoir et murmure à mon brun que sa mère est là.

« -J'ai vus, t'es long à la détente Darling. »

OK... Je suis à l'ouest. Soudain alors que mon brun me caresse doucement du pouce le dessus de la main en palabrant, un bruit de couvert que l'on frappe sur un verre retentit par dessus les voix :

« - Silence, silence ! Je croit que tout le monde a trouvé sa place. Tient, cette année nous sommes un nombre impair ?Personne en bout de table donc. Mais avant qu'on se mettent tous à manger quoi que ce soit je voudrais que nous nous levions tous et qu'on fasse une minute de silence pour mamie. »

Un grand bruit de chaise marque la levé de tous. Même les enfants comprennent que c'est un moment de silence et se taisent. Seul Sacha dans une chaise ré-haussé continue de faire du bruit mais contrairement à ce que je croyais personne ne nous en tient rigueur.Je regarde du coin de l'œil les nombreux visages baissé, certain son les larmes qui monte, d'autres semble absent et certain on des air graves. Les plus jeunes qu'on avait pas obligé à participé commence à regretter l effort et à trouvé le temps long : ils chuchotent et picorent dans leurs assiettes en passant que personne ne remarque rien. Ils me font sourire malgré que j'ai le cœur serrer. Mathéo lâche une expiration sèche, il a vu lui aussi et il à laissé échapper un faux rire au diable ses yeux rougis. J'aime les enfants, ils rendent heureux et efface la tristesse avec leur candeur. C'est officiel j'aime beaucoup les enfants, surtout le mien,mais ça m'a permis de cesser encore une fois de me murer.

Je découvre encore une facette de moi même nouvelle : avant je détestais les mômes. Mais ça c'était avant ... ( Les PUB, lavage de cerveau en puissance ). Je change, et j'aime de plus en plus changer. Je devient une meilleur personne chaque jour, j'en suis content. La minute de silence touche à sa fin :

« -Merci. »

Tousse rassoient et les discutions reprennent.

« -Silence, silence. Tout le monde à un verre ? »

Nous levons nos verres remplis d'un cocktail alcoolisé dilué dans du jus de fruit, je croit que c'est une Tequila ... pas sur ... Enfin bref,seul les adultes ont de l'alcool, les plus petit on du jus d'orange pour « faire comme les grands ».

« - Avant de trinquer et que chacun de nous raconte l'année qu'il a passé j'aimerais parler un moment. Vous avez tous vu l'altercation de tout à l'heure. Sachez que je trouve ça inadmissible, quoiqu'il ai été dit ou fait antérieurement. Alors que ce soit bien clair, je le redirais demain pour nos quelques absents d'aujourd'hui, à compter de maintenant, dans la maison et ses environs où nous nous réunirons, où qu'ils soit, aucune altercation ne sera toléré. Si vous voulez vous battre vous irez ailleurs ! Je trouve inadmissible qu'on fasse la guerre à sa famille le jour même celle-ci fête justement son unions, ses retrouvailles, sa solidarité. »

Il regarde intensément Mathéo qui baisse sa tête dans son assiette.

« -Ai-je été clair ? »

Tout le monde approuve, surtout mon brun qui hoche là tête. Il vient clairement de se faire passer un savon. Il va devoir aller s'excuser ou une bêtise du genre. Personnellement je préférerais crever que de cirer les pompes de l'autre vieille bique mais ... Au fond il faut bien réparer ses erreurs. Et puis il ne peut pas être le seul sanctionner après ça ; Aurélie aussi devras des excuses à ceux de qui elle a dit du mal. Enfin, on réglera nos comptes elle et nous.

« -Après ce sermons passons à un autre sujet : je sais que nous sommes dans un temps troublé mais je demanderais de ne pas nous reclure chacun de notre coté dans notre petit communautarisme.L'idée n'est pas de se complaire dans son malheur. Au contraire !C'est le moment de ressoudé plus fort encore nos liens les uns avec les autres. Nous avons plus que jamais besoin les uns des autres,nous sommes plus que jamais une famille. Maintenant je croit que c'est au tour de notre plus jeune convive de parler. Dilane, on t'écoute. »

Le petit neveu du patriarche, du haut de sa vingtaine tout juste atteinte lève son verre.

« -Cette année je ... »

Il semble chercher quelqu'un dans le centre de l'attablé mais ne trouvant pas la personne il reprends son sourire et une voix assuré :

« -Ça fait deux mois et demi que je sort avec un garçon. Il est gentil, il s'appelle Scott mais je ne suis pas sur que ce soit tout à fait sérieux entre nous pour être honnête. J'ai presque fini ma licence et j'ai trouvé un petit boulot qui m'a permis d'emménager tous les deux pour un temps. Je crois que c'est tout, j'ai fait le tour. »

Il se rassoit, habituel bavardage et sourire complices entre lui et son oncle. Cette cession me semble l'une des plus calmes qu'on ait eu pour les « joyeux ». C'est comme qu'il manquait l'élément perturbateur. C'est du second degré : pour moi c'est clairement l'absence d'Aurélie qui rend tout plus léger. On est ENFIN plus dans un procès mais bien dans une réunions de famille. En y repensant mon neveu par alliance est un vilain cachottier : il n'était question que de flirt alors qu'en fait il vivent ensemble.Menteur va. Tout ça pour l'effet de surprise. Alala, il faut croire que c'est de famille et que c'est contagieux en prime vu le nombre de fois où c'est arrivé à Mathéo et moi. Après un petit moment d'échange le silence se fait de nouveau, on attends la suite. A qui le tour ? Et bien en face de Dilan c'est Mathéo. Il se lève,donc forcément c'est le moment que choisi Sacha pour poussé un fort cris aiguë de bonne humeur qui fait bien rire les aînés. « Oui mon prince. » Mon beau brun prend le petit dans ses bras puisque celui-ci le réclame et reprends :

« -Je pense que maintenant tout le monde l'a bien compris : je suis l'heureux papa de Sacha, né le 17 avril de cette année. Si je le considère comme mon propre enfant je vous demande d'en faire de même à l'avenir. Il a beau être adopter c'est mon fil, tout comme je suis celui de Jean, à mes yeux il a tout autant droit que moi à sa place ici dans l'avenir. Bientôt il portera notre nom légalement, tout comme mon mari Philippe l'a pris pour notre mariage. J'ai eut le bonheur de prendre pour époux un homme fabuleux, il a réaliser mon plus grand rêve, mon veux le plus cher : celui de la paternité. Il me fait voyagé, et pas qu'au Canada pendant notre lune de miel. Je l'aime. Je me remet petit à petit de mon handicape des suite de l'accident de voiture de l'an dernier mais la route est encore longue. Je suis heureux quand même,c'est tout ce qui importe. »

Il se rassoit et j'en vois quelques uns ému. Il parle bien mon amour.J'ose pour une fois lui embrasser le front en public alors qu'il se réinstalle confortablement avec Sacha. Ceux sont deux merveilles mes trésors, de véritables diamants brut. Je lui murmure à l'oreille que je l'aime, que je les aimes avant de me levé à mon tour. Je suis bien décider à me revendiquer non plus comme le petit ami ou le fiancé mais bien comme le mari et le daddy : un membre à part entière de la famille.

« -et bien c'est à moi. »

Je me racle la gorge :

« -Cette années, pour la première fois, j'ai vraiment trouver ma place. Après presque deux décennies à se sentir orphelin j'ai désormais une famille, ici. Tout ça grâce à Mathéo, quand je l'ai épouser je n'ai pas seulement pris sa main. J'ai obtenus infiniment plus que ça. Pourquoi le cacher ( je relève ma manche et dévoile mon bras lézardé ) j'ai fait une tentative de suicide,on as des problèmes de santé, j'ai pas le job qu'on m'avais promis étant môme. Mais tout ça je m'en fou ! Je suis heureux quand même parce que j'ai une famille et que j'ai appris à voir le bonheur dans les choses simples. Mêmes si c'est pas toujours facile. Ah ! Et j'ai emmener mon jeune époux au Canada, je pense que ça lui a plus, peu être qu'on referas un voyage dans plusieurs années. En tout cas c'était une belle années. »

Je me rassois, j'ai été nul, d'un cucul à souhait. Oh je suis pas douer avec les discourt. On dirait que je vient de revomir un truc prédigéré de peace and love. Malgré la bassesse de mon élocution Mathéo me murmure un « je t'aime » enflammé. Mot d'amour entendus par toute la tablée des plus jeunes derrière nous.Ils lâchent un énorme « BEEEUUUUUUURK ! » quand mon brun m'embrasse très discrètement du bout des lèvres. Ils ne l'auraient pas remarquer s'il n'avaient pas les yeux rivé sur nous, NA ! Mais à cause de cet éclat de voix plusieurs adultes se retournent vers eux :

« -Qu'est-ce-qu'il se passe ici ?

Tonton il a fait un bisous à son amoureux ! Sur la boooouuuche ! C'est cracra beurk ! »

Le concerné rit de bon cœur alors que moi je devient écarlate. Je déteste les gosses ! Ils ne savent pas mentir, se taire, ou même être discret ! Le repas continu, je regarde un petit bouclé. J'ai du mal à me dire que c'est mon petit neveux maintenant. J'avais jamais eut de proches, pas de cousins, pas de grands-parents. Mon monde se résumais à un tout petit cercle très privé et là ... Wouaw ... Ça fait beaucoup de monde ! Le petit dont le nom m'échappe me tire la manche :

« -T'es qui toi ? »

Je ne sais pas trop comment répondre et lui expliquer, il est petit donc qu'est-ce-que je peut dire sans choquer ? C'est mon conjoint qui me devance :

« -C'est ton tonton Phil.

Comment c'est possible ? Ça apparaît pas les tonton.

Comment tu appelle l'amoureux de tata Adèle depuis qu'il sont marié ?

Tonton ?

Tonton Phil c'est pareil, il est marié avec moi donc c'est ton oncle.

Tata Phil !

Ha ha, non, tonton.

Bah pourquoi ? Toi t'es mon tonton, donc lui c'est ma tata. Les tonton et les tata ça va ensemble.

Oui mais lui c'est un garçon, on est tous les deux des tontons.

C'est bizarre.

Un peu hein ? C'est compliqué les affaires de grandes personnes. »

Comme on arrive plus à suivre Mat' lui intime le silence. Le repas se poursuit en écoutant un parents raconté ce qui lui est arrivé au bureau cette année, comme quoi la secrétaire du boss est sexy,comme quoi il s'est cassé le bras. Je ne veut pas savoir en quoi ces deux anecdotes sont liées, merci bien. Rien de bien intéressant quoi. Oh de temps en temps on as droit à un truc un peu spécialegenre une annonce de voyage et un projet de bébé mais ça reste globalement du basique alors on échange des blagues. Et puis il y a ceux qui émeuve avec leurs histoires de pneumonie vaincu ou de 30èmeanniversaire de mariage. Un souffle chaud arrive tout bas dans mon oreille :

« -Tu crois qu'on durera aussi longtemps ? »

Je répond de but en blanc : « Non » et il fait un bonen arrière choqué.

« -On va clairement duré bien plus longtemps. »

Il sourit, je lui ai fait peur et le pire c'est que ça m'amuse. J'aime le charrié. On se chamaille un peu, on peut éprouvé nos sentiments au grand jour et ça nous rend léger. ( Peu être légèrement chiant aussi ) ce poids phénoménale de la honte et du secret ôté de nos épaules je me sent libéré. ( délivré ? ) Depuis combien de temps n'avons nous pas pût nous aimer dans la lumière ?!Je respire ! Je crois qu'il y a eut un déclic : on ne se cachera plus jamais. Je roucoule, je ne sais pas trop, je plane un peu, trop de bonne humeur qui pulse dans mes veines. Je devient une insupportable masse de sucre :

« -T'as de beaux yeux tu sais

Qu'est-ce-qu'il te prends encore mon boxeur ?

Je t'aime. »

Je prends sa main comme celle d'une princesse et la lui embrasse, pile sur notre alliance.

« -Je peut enfin te le montrer devant tout le monde alors pourquoi nepas le faire. Tu es magnifique, tu es miens, tu es mon tout. »

Je l'embrasse en remontant le long de son bras pour choir dans son cou.Un grattement de gorge m'empêche de le dévorer alors qu'il émet un rire cristallin sous prétexte que je le chatouille de mes lèvres.

« -Désolé de vous déranger mais on est un peu à table les deux. Etpuis presque toute notre moitié de table vous regarde. »

Je hausse les épaules avant de ré-enfouir le nez contre la gorge de celui que j'aime. Rien à foutre. Mathéo lui, n'a même pas entendu ce qu'à dit Dilane. Il est bien trop occupé à chahuté avec moi, à faussement repousser mes baisé.

« -Vous êtes pire que Scott et moi bourré ... On dirais des pré-ados. »

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top