Hospitalisation : C'est ta faute
Je me dépêche de composé le numéro du médecin parce que je commence à flipper :
« -Allô ... Philippe Douhet à l'appareil, j'aimerai que vous passiez me voir chez moi. Je suis incapable de venir moi même ... Oui ...Merci ... A tout de suite ... »
Je raccroche et vais m'installer dans dans mon divan. Je me sent faible,mes jambes flageoles ... J'entends la sonnerie et cri comme je peut que la porte est ouverte. Le médecin entre et me regarde la mine soucieuse. Il m'examine de longues minutes et va dans ma cuisine. Il me ramène une mixture bizarre :
« -Buvez.
Qu'est-ce-que c'est ?
Un mélange de ce que j'ai put trouver de plus sucré dans votre cuisine.
Pourquoi ?
Buvez. »
Je m'exécute et ça a un goût infecte. C'est surtout affreusement sucré mais je ne reconnais même plus le goût de ce qu'il a mis dedans. Une fois que j'ai bus mon verre je sent as nouveau des papillons et je pars ... Je me réveille quelques temps plus tard :
« -Qu'est-ce-qu'il s'est passé ?
Vous avez fait un malaise. Ne bougez pas. Vous êtes sous alimenté et déshydraté, votre tension est très basse est vous devez faire de nombreuses carences à l'instant ou je vous parle.
Comment c'est possible ?
A vous de me le dire. A quand remonte votre dernier repas ?
Je ne sais plus ... Hier on m'a fait un plat de pâtes ...
Excellent réflexe, vous avez manger avant ça ?
Je ne croit pas ... Je suis rester ivre depuis plusieurs jours et ...
Vous n'avez rien avalé pendant plusieurs jours ? Vous devez avoir énormément d'alcool dans le sang ... Je ne préfère pas savoir ce qui se serait passer avec un verre de plus monsieur Douhet. Votre corps à perdu son habitude à s'alimenter, il va falloir que vous mangiez par petite quantité très régulièrement.
C'est à dire ?
Quelqu'un doit venir vous surveiller 24h sur 24 pour éviter que vous ne fassiez un autre malaise. Vous connaissant vous refuserez d'aller à l'hôpital alors vous allez faire exactement ce que je vous demande.
D'accord.
Je ne vous demandais pas votre avis monsieur Douhet. Bon, déjà buvez beaucoup d'eau, même si vous n'avez pas soif. Je veut que vous me vidiez aux moins deux litres par jours pendant les trois prochain jours. Et quand je dis deux litre c'est le strict minimum.
Compris.
Ensuite mangez. Ca ne sert à rien de faire des vrai repas si votre corps ne les supportes pas alors manger ce qui vous plais et ce qui vous tombe sous la main. Par petite quantité mais souvent. Essayez de manger sucré, fruits et des légumes et surtout des féculents.
OK
Dernière chose : reposez vous. Ne faite RIEN, restez dans votre canapé et faite le moins d'effort possible. Ne travaillez pas, compris ?
Mm-mh.
Bien. Y a t-il quelqu'un qui pourrais venir vous voir et rester prés de vous ?
Non ... »
Le médecin eut un soupir et alla voir mon fixe, il appuya sur la touche''rappeler'' et attendit.
« -Bonjour monsieur, je suis le médecin de Philippe Douhet que vous êtes le dernier à avoir appeler ... Oui ... Non, en vérité monsieur Douhet est assez gravement malade, j'aimerai savoir si vous connaissiez quelqu'un qui puisse veillez sur lui ... Merci pour lui.Bon courage. Au fait, à qui ai-je l'honneur ? ... Je vois ...Bien, je vais attendre votre arriver puisque vous n'habitez pas loin. »
Je regarde le docteur raccrocher et me faire un sourire :
« -Vous savez, vous n'avez pas à avoir honte d'être homosexuel.
Quoi ?!
La personne que je vient d'appeler, c'était votre petit ami. Il ne devrait plus tarder.
Mathéo ?! NON ! Je ne veut pas qu'il vienne ! C'est ça faute ! TOUT EST DE SA FAUTE !!
Calmez vous monsieur Douhet. Expliquez moi ... »
Mes nerfs sont à bout, j'ai trop poussé depuis quelques jours et il faut que je vide mon sac alors je déballe tout à mon médecin en pleurant à moitié :
« -C'est Mathéo ... Mon copain ... Il est partit il y a presque une semaine et ... Il m'avait promis qu'il m'appellerais tous les jours mais ... Je n'ai pas reçus un seul message ... J'étais désespéré... IL M'AVAIT OUBLIER !!
Calmez vous, continuez.
Pas même un texto en cinq jours ... Pas un ... J'ai voulu oublier moi aussi ... Alors j'ai été dans le bar d'un ami ... J'ai trop bu ... Personne ne pouvais me ramener chez moi ... J'ai du dormir sur place ... C'est le trou noir à partir de là ... Apparemment je ne suis rentrer chez moi qu'hier soir ...
Personne n'a put vous ramener en cinq jours ? Personne ne s'est inquiété chez vous ?
Ma nièce est émancipé, elle sait que je peut partir plusieurs jour sans qu'il n'y ait de problèmes et ce même si je ne donne pas de nouvelles. Quand à la troisième personne qui vit ici elle est retourner à Londres ...
Vous n'avez pas d'ami qui se serrais inquiété.
Mon meilleur ami est le frère de Mathéo ... Ils étaient partis ensemble à leur dîner de famille ... »
A se moment là Mathéo entra dans la maison. Je me retourna pour lui crier que tout était de sa faute mais le médecin me somma de me calmer encore une fois. Il prit Mathéo à part et lui parla longuement. Je sais qu'ils parlaient de moi puisque de temps en temps Mathéo se tournais vers moi en me lançant un regard pitoyable ou apitoyé, je ne saurais le dire. Puis le médecin rassembla ses affaires et partit une fois payé :
« -Bien, je vous laisse aux bon soins de monsieur Jourdan. Rétablissez vous vite. Et vous appelez moi au moindre problème d'accord ?
Bien sur docteur. Merci pour lui. »
Le silence dans la pièce était pesant. Je ne veux pas voir Mathéo alors je détourne le regard. Au bout d'un moment il se rend dans la cuisine et commence à préparer des casses croûtes de tout type.Une fois que je suis sur que le bruit des casseroles couvrira ma voie je me laisse aller à mes émotions contraires. Je pleure beaucoup et très fort, tout mon corps est secoué de spasmes, je peine à respirer. Il arrive en courant mais je ne peut plus stopper mes larmes, je frappe violemment ce qui passe à porter de mes mains. Il grimace mais ne s'en va pas, au contraire il me prend de force dans ses bras. Je continus de marteler son dos avec autant de rage que possible :
« -Connard ! Enfoiré ! Pas un message ! Tu avais promis ! Tu ne tient pas tes promesses ! Menteur ! Menteur ! MENTEUR !
Je suis désolé ... Je sais pas pourquoi je l'ai pas fait ... J'y ai pensé je te jure darling mais on était occuper. Tu sais bien que dans ma famille ils sont homophobes ...
TU N'AS PAS EU LE TEMPS HEIN !? MENTEUR !! J'AI PAS DORMIS DEPUIS DES JOURS !!! JE ME DISAIS QUE TU N'AVAIS PAS LE TEMPS ET QUE TU ME LES ENVERRAIS PLUS TARD TES MESSAGES !!! TU AURAIS PUS LES ENVOYER A DEUX HEURES DU MAT' !! J'AURAIS RÉPONDUS !!
Je ... Comment aurais-je pus le savoir ?-
TU ES LE PIRE !!! Si jamais j'avais disparut pendant des jours sans laisser de nouvelles ? Tu aurais réagit comment ? Si je t'avais fait croire que je ne voulais plus te parler ?!
Je serais devenus fou ... Désolé darling ...
Tu voit ! Quand je te dis que tu m'es vital c'est pas un mensonge pour moi ! Je t'aime à en mourir ! Si tu m'abandonne alors ma vie n'as plus de sens !
Dit pas des truc pareils Phil. Je suis désoler ... Je pensais pas te blesser ... D'habitude c'est toujours toi qui me protège et ...
Ça veut rien dire ! Tout ce que tu ressent je le ressent aussi ! Je voulais te protégé ... Toi tu m'as abandonné ...
Non ! Non. Jamais je ne t'abandonnerais darling, tu es trop précieux pour moi.
Alors pourquoi tu m'as oublier ?!
Je t'ai pas oublier Phil, demande à mon frère. J'ai parler de toi à mon neveu pendant tout le temps ou j'étais là bas. J'ai parler de toi à toute ma famille ... Je ne peut pas t'oublier.
Bébé ... Me laisse plus tout seul ... »
Le nombre de fois où il a passé l'éponge sur mes erreurs est le même que celui ou il a pensé mes plais. On se soigne mutuellement. Je suis vraiment épuisé là. Je m'endors contre lui.
Je fait un rêve : je suis sur une barque ballotté par les flots. Au loin je vois une autre barque où Mathéo me fait signe. Plus nos barques s'éloignent l'une de l'autre plus la mienne se délite. A l'instant ou le perd de vus ma barques'effondre et je plonge dans l'eau glacé. Je n'arrive pas à nager, je me sent couler, je me noie !
« PHIL !Phil ! Lève toi ! Tu fait un cauchemar. »
Mes yeux s'ouvre péniblement et je vois Mathéo pencher au dessus de moi. Il a l'ère vraiment inquiet. Il me dit que je suis très pâle et s'agite. Il me tend une barre hyper protéinée et une grande bouteille d'eau, il éponge mon front avec un gans de toilette glacé.Je mange péniblement, ma tête tourne. Il me force à boire toute la bouteille et me tend un lot de pilules colorée.
« -C'est des vitamines. Prend les ... »
Je m'exécute et avale une deuxième barre, il m'en tend une troisième et je lui fait signe que non. Je ne pourrais rien avalé de plus :mon estomac proteste mais les anti-vomitifs que j'ai pris le tienne tranquille. Je me rallonge et pose ma tête sur ses genoux, je sent revenir le sommeil. Il me parle d'une petite voie étranglée :
« -J'ai rappeler le médecin ... Meurt pas hein ... »
Je lui souffle quelques phrases avant de me rendormir :
« -T'es bête ou quoi ? Je peut pas mourir avant de t'avoir mis dans mon lit. Ce serait vraiment trop ... »
Je me réveille dans un endroit inconnus. Autour de moi tout est blancs'en est oppressant. Ma tête tourne ... Je n'ai pas vraiment sommeil mais dés que je ferme les yeux je me sent partir. Je n'ai pas la force de lutter ... Je retombe dans un sommeil sans rêve.
J'entends du bruit à côté de moi. J'ouvre les yeux avec une énergie que je pensait révolus. Mon regard tombe sur Mathéo : il est assis à côté de moi et tient fermement ma mains. Il a les larmes aux yeux et sa voie défaille :
« -Mon dieu ... Merci ... Dieu merci ... Je croyais que tu ne rouvrirais jamais les yeux. J'ai eu peur. »
Ses larmes tièdes tombes sur ma main, je tente de soulever l'autre pour les sécher mais une brûlure vive m'empêche de bouger mon bras.Je me retourne pour voir une énorme perfusion double relier à mon avant bras. Je me demande ce qu'il se passe et pose un regard interrogatif à mon compagnon :
« -Tu es à l'hôpital Phil ... Une ambulance est venus te chercher il y a quelques jours ... Ils ont dit que tu étais sur le point de tomber dans le comas ... Que tu allais peut être mourir ... J'ai eut vraiment peur ... Ils t'ont amener ici et on dit qu'il allait te sauver ... J'ai crus que j'allais te perdre ... Tu es sous perfusions depuis ... Ils ont cesser de te donner des somnifère ce matin et ils ont appelé Marie. Elle m'a prévenus et je suis arriver aussi vite que j'ai pus. Le médecin va revenir dans peu de temps. »
Il se calme petit à petit et continus de frotter ma main entre ses doigts tremblants. Je la retire de son emprise et lui caresse la joue. Il se calme pour de bon et se penche pour m'embrasser de plus en plus profondément. C'est le moment que choisit le médecin pour entrer ... Il tousse un coup et Mat' se dépêche de se rasoir complètement rouge. Je ne peut pas m'empêcher de rire et lui me regarde effarer. Je suis pris d'un fou rire. Le médecin attend que je me calme avant de commencer son monologue :
« -Bien ... Hum ... Monsieur Douhet, votre état est stabiliser. Votre sortie est programmer pour demains après-midi. Vous étiez déshydraté et sous-alimenté. Vous manquiez également de sommeil,en bref vous aviez pousser votre corps à ses limites. Je pense que vous prenez conscience d'avoir mis votre vie en danger et que vous ne recommencerez pas cette folie de sitôt. Surtout avec ... hum ...quelqu'un qui tient à vous ... »
Le médecin sort de la pièce non sans une petite remarque « Faite comme ci je n'était pas venus ... Désoler de vous avoir déranger... » qui ne manque pas de me faire à nouveau partir dans un fou rire interminable. Je soupire une fois calmer et mes yeux tombe dans ceux de Mathéo. Je vois bien qu'il est soulagé. Je lui fait signe de s'approcher et je scelle nos lèvre à nouveau. Il m'embrasse avec toute la passion possible, j'ai l'impression qu'il veut me posséder. Je décroches nos lèvres pour reprendre mon souffle. Mais je peut à peine inspirer qu'il comble à nouveau l'espace entre nos bouches, sa langue m'envahit, cherchant sa sœur.Ce baiser infernal continus un long moment, il va me tuer par asphyxie mais j'avoue que mourir en l'embrassant c'est vraiment le pied. Il est intarissable, rien ne semble pouvoir l'éloigné de moi,par ce baiser il veut me faire savoir combien il a eut peur, combien rien ne le fera lâcher prise, combien je suis à lui. Et je lui donne raison, évidemment.
Après ce qui me parait être les minutes les plus longues mais aussi les plus agréables de toutes ma vie, il s'éloigne enfin, rassasier de ce besoin d'amour. Nous cherchons notre souffle, un filet de bave transparent nous relis encore ... Il enfouis sont visage contre moi et s'accroche à mon cou.
Sous le coup de toutes ces émotions fortes il s'est endormis sur moi, je joue avec ses cheveux, les enroulant autours de mes doigts. Ses mains sont toujours crispées sur mes draps lorsque l'infirmière entre dans la pièce pour annoncé la fin des visites. Je chatouille son oreille en lui murmurant des mots doux :
« -Bébé ... Debout ma petite marmotte ... Allez ... Bébé ... »
Il finit par ouvrir les yeux et me sourit, il m'embrasse avant de remarquer l'infirmière qui fait une salle grimace et sort de la pièce en claquant presque la porte. Homophobie détectée ... Bon ...Il me regarde et je hausse les épaules. Un dernier baiser se pose sur mes lèvres lorsque une deuxième infirmière entre. Décidément c'est la journée ! Celle-ci à les yeux qui brille et je croit qu'elle me fait au moins autant flipper que la première ... Elle me rappelle quelqu'un avec son regard ... Au mon dieu une fan-girl !Elle demande très poliment à mon homme de partir et il s'exécute en me donnant un dernier baiser sur le front :
« -A demain Darling.
-Bye bye bébé ... »
Même regard pétillant de la part de l'infirmière ... Ça me saoul. Marie à le même, voilà pourquoi j'ai cette impression de déjà vu, et certaines de ses amies aussi. C'est le regard de la redoutable Fan-girl.
Je n'ai jamais compris pourquoi mais les couples gay font fantasmer certaines nana. Elle trouvent ça « trop mignon » ou« choupi-kawaii » selon les ados pubère qui me colle au cul ( Marie et ses potes ). Pourquoi ? J'en sait rien. En tout cas c'est un fait, des personnes détestes les gay, certains n'en ont rien à foutre et d'autres adore ça ... Le monde est bizarre.
L'infirmière de tout à l'heure, celle qui nous avait dévisager méchamment,revient avec mon plateau repas. Elle me crache de manger lentement et en plusieurs fois avant de profité du fait que je soit alité pour déballer toutes les horreurs racistes qui lui vienne :
« -Vous les homosexuels êtes des tares pour l'humanité : je comprend qu'un homme puisse être perdu dans sa vie mais il est impossible, quel que soit la façon dont on regarde la chose, que se soit une normalité. Faite vous soigné mon pauvre. Les homosexuel sont rependus le SIDA dans les années 80, ce sont eux qui ont développer cette maladie les premiers. C'est bien une preuve que la nature cherchais à éliminer un problème dans ses création. Votre attitude est illégale ! Vous incitez à la polygamie, au viol ! »
Je la laisse cracher son venin et quand elle à finit je la regarde droit dans les yeux :
« -Je pensait que votre espèce avait disparut. C'est bizarre ...
-Mon espèce !? »
Son ton scandalisé me fait bien rire, c'est décider je vais la fracasser :
« -Oui, comme vous l'avez dit, la nature extermine ses créations brouillonnes archaïque ou sous-développer. Je pensait donc qu'une créature incapable de s'adapter à son environnement et de réfléchir de manière logique serais disparut. Je vous félicite,vous devez être un des derniers membre de la sous-espèce humaine la plus inutile existante. »
Elle lâche un genre de jappement scandalisé et je continus :
« -Pour en revenir aux années 80, souvenez vous que la drogue y était légale, ce n'est pas vraiment une époque à prendre comme référence de ce côté la. Surtout depuis que la maladie est répandus dans toute les communautés désormais. Quand à vos deux derniers arguments ils sont d'une bassesse et d'une petitesse que beaucoup doivent vous enviez. Voyez vous, quoi que vous direz, quoique vous ferez, vous ne pouvais pas changer ce fait : j'aime cet homme. Et si cela vous gêne c'est parce que vous avez peur,ignare comme vous êtes, de ce que vous ne connaissez pas. »
Elle grogna de plus belle et partie en claquant la porte. Ce soir là je m'endormis en pensant au fait que demain Mathéo viendrais me chercher et ce cauchemar serais enfin terminé.
Le réveille sonne 7h30 ... Le réveille ? Il est trop, il a pensé à mes médocs et a mon réveille. J'ouvre la boite et y découvre une note à mon égare :
« J'ai appeler ton urologue et il m'a dit que ce n'était pas dramatique situ avais louper quelques jours de traitements. Prend le bien maintenant. Il a dit que tu aurais quelques problèmes et que tu te douterais lesquels ... Bisous darling. Mathéo. »
Effectivement... Au moment où j'allais prendre mes médoc' une infirmière est entrée dans la pièce et évidemment c'était la fan-girl qui apportait le petit déjeuner. Elle me regarde avec ma boite de pilule qui ressemble à une de ses grosses boites de chewing-gum et me sort que je ne devrais pas prendre quelque chose sans l'accord de mon médecin.Bon ... Alors va le chercher. Elle emprunte ma boite pour demander au docteur, quelques minutes plus tard elle revient et me dit que je devrait m'en passer pendant ma convalescence. OK ... Je repose la boite sur ma table de chevet puis remarque qu'elle ne part pas.
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