Quand ça n'avais sonné je n'étais aller n'ouvrir mais c'était pas mamie. C'était une belle dame très très très jolie avec des longs cheveux et du jolie maquillage comme la maman de Charlotte. Elle me regarde et souris, elle est belle. Alors je souris aussi. Papa et Daddy y disent qu'il faut pas parler aux gens qu'on connait pas. Mais elle a l'air gentille. C'est peut être une dame qui devait venir. Une fois une dame rousse que je connaissais pas est venu avec deux monsieur pas beau qui font peur. Papa et Daddy ont dit que c'était des gentils et que la dame était une fée et qu'elle était encore plus gentille. Et puis les messieurs on regarder la maison et l'on posé plein de questions rien qu'à moi sur comment je vivais avec Papa et Daddy. Je leur ai dit plein de choses. Et même que des fois je me faisait punir. Ils m'ont demandé si je me faisait taper quand je me faisait punir. J'ai dit que non parce que c'était vrai et que tous les grands m'avait dit de ne surtout pas mentir. Ensuite ils m'ont parlé de mes jouets et de plein de choses. Ils étaient gentil même si papa et Daddy les connaissaient pas. Alors peut être que la dame aussi est gentille. Elle est surement venue me poser des questions.

« - Bonjour madame.

– Bonjour petit. Tes parents ne sont pas là ?

– Si Daddy travail dans le super garage de robot et papa y fait des crêpes. Vous en voulez ?

– Non merci. Je ...

– Vous voulez rentré ? Je vais chercher papa !

– Non ! Non. On devrait discuter seulement tous les deux d'abord. Si tu veut bien. J'ai des choses importante à te dire, rien que tous les deux. »

Je le savais ! Pareil que les messieurs : Daddy et papa y avaient pas le droit d'être avec moi pas me n'influe lancer.

« - On va où alors ? On va dans le salon ?

– On pourrait parler devant la porte. Tu referme derrière toi ?

– D'accord. »

On s'assois sur les marches devant la maison. La dame me regarde beaucoup, c'est bizarre parce qu'elle ne dit rien.

« - Comment tu t'appelle ?

– Sacha Jourdan ! Et j'ai trois n'ans.

– Je sais quel âge tu as. Et tu sais pourquoi ? Ca a un rapport avec qui je suis.

– Vous êtes une fée ? Non non ... Je vais deviner ... Une magicienne ! Comme dans mon livre ! J'ai droit à des cadeaux ?

– Je ne suis pas une fée. Je suis ta maman. Tu en as une ici ?

– Non. Mais à la place j'ai un Daddy ! Et personne il a un daddy comme moi. Alors c'est plus mieux parce que je suis le seul à n'avoir un daddy et un papa. Mais des fois je suis un peu triste. Les autres y ont tous une maman. Vous vous êtes ma maman ? C'est ça ? Alors c'est encore plus plus mieux ! Vous n'allez vivre avec nous ? Comme ça je n'aurais un papa, une maman et un daddy ! Il y a de la place à la maison. Si vous voulez je peut partnager ma chambre.

– Non, je ne fait que passer. Je ne reste pas, pour l'instant on va juste parler. Mais je reviendrais une autre fois. »

Elle ma caressa les cheveux et pris une photos avec son téléphone.

« - C'est fou ce que tu me ressemble. Je suis contente que tu ne tienne presque pas de ton père.

– Mais daddy y dit que je ressemble à papa !

– Je parle de ton vrai papa. Celui qui t'a donné la vie.

– Oui. Je sais, c'est mon papa. Même qu'il avait un grooooooos ventre comme ça !

– Quoi ?! Non ... Ils t'ont menti. C'est moi qui ...

– MENTEUSE !

– Quoi ?

– C'est toi la menteuse ! Papap et Daddy y mentent jamais ! Y a même une photo de papa avec le gros ventre ! Et même une de moi où je suis dans son ventre. Et puis quand j'étais tout petit bébé Daddy y pleurais parce qu'il était content de m'avoir. Vous voyez ! C'est vous la menteuse ! Papa et Daddy y disent que la vérité. Mentir c'est mal !

– Mais ... Je ... Bon ... D'accord. Alors je ... Juste parle moi de toi.

– On peut aller jouer ?

– Bien-sûr.

– Alors mon Daddy y fait des robots et c'est super et mon papa y fait des gâteaux trop bon. Aujourd'hui il a fait des crêpes. On ira les manger ensemble après ? J'ai fait un dessin. Je t'en ferais un la prochaine fois que tu viendra.Vient ! Vient ! On va chercher Persi panda ! Persi panda c'est un chat et on dirait un panda mais il aime pas les câlins et ... »

C'est à se moment là que papa il a taper très fort sur la vitre en criant. Pourquoi il est en colère ? J'ai fai une bétise ? Il court très vite papa. En fait c'est contre la dame qu'il est très colère. Mais quand elle est parti il s'est faché contre moi. Il demande qui c'était la dame. Pourquoi il demande ? Je lui dit que c'est maman et il fait une tête bizarre. Je croyais que papa savais. Mais non. Il savait pas tout. Il me demande encore de lui dire tout tout tout ce qu'elle a dit et fait la dame. Il me sert fort et me fait plein de bisous. Je lui ai raconter tout ce dont je me souvenait, tout ce qu'a demander la dame, et même qu'elle a dit que papa et daddy était des menteurs, la menteuse. C'est même pas vrai c'est elle qui y est. Quand j'ai fini il me prend dans ses bras pour retourner à la maison. De habitude papa y me porte plus par que je suis grand maintenant. Mais là y me portait. Il faisait jamais ça. Je voulais qu'il me lâche comme normal et marcher mais il voulais pas. Il serait vraiment fort en m'appelant trésor. Trésor ça veut dire rare et précieux. C'est Daddy qui m'a expliqué. De n'habitude j'aime bien quand papa y m'appelle comme ça mais la non. Là j'aime pas beaucoup par que papa il a l'air triste.

« - Papa ... T'es fâché ?

– Un peu ... Contre cette dame. Mais surtout trésor, j'ai peur. J'ai vraiment eut très peur pour toi. Et j'ai encore un peu peur, mais ça va passer mon ange. Il faut le temps. »

Tout un coup moi aussi je n'ai eut peur et je serre papa. Papa y n'a jamais peur. Jamais. Alors si cette dame-maman elle n'avait fait peur à papa je voula plus la voir ! Même si c'est ma maman. Ceux qui font peur à papa sont des méchants.

Je reçoit un appel sur mon portable. Mathéo m'appelle alors que nous sommes dans la même maison ? Je décroche ... il pleur ? Non, il se retient.

« - Honey ?!

– Darlong ... viens dans le salon ... s'il te plaît.

– J'arrive tout de suite mon amour ! »

Je raccroche. Faites qu'il ne soit rien arrivé ni à Sacha ni à mon brun. J'arrête tout ce que j'étais en train de faire pour me rendre au pas de course dans le salon. Ils sont tous les deux bien portant, sur le canapé, enlacé. Mon mari caresse doucement la joue de son petit garçon qui s'est blotti contre son ventre.

« - Qu'est-ce-qu'il s'est passé ?

– Une femme ... Il y avait une femme dans le jardin avec Sacha.

– Quoi ?!

– C'était maman, fait la petite voix de mon fil.

– QUOI ?!

– C'est ce qu'elle a dit à Sacha. Elle lui a dit que c'était sa mère. Darling ... Je sais plus quoi faire ... »

Je viens le prendre dans mes bras. Que faire ... Qu'elle est dit la vérité ou non il faut bien reconnaître l'évidence : avec son entré à la maternel il est grand temps d'expliquer à Sacha pourquoi il n'a pas de mère mais deux pères. Nous nous regardons intensément les yeux dans les yeux, discutant en silence par le biais de nos iris aux couleurs si opposées.

« - Honey ... Il aurait fallu avoir cette conversation un moment ou un autre ?

– J'ai peur ...

– Je sais, mais de toute façon il le faut bien. Honey, ont ne peut pas « ne rien dire » et faire comme si. Ça va aller.

– Papa ? S'élève la toute petite voix de Sacha. Pourquoi t'as peur ?

– J'ai peur que tu ne m'aime plus mon bébé. J'ai peur que tu préfère cette dame à moi parce qu'elle dit être ta maman. J'ai peur que tu m'aime moins que ta maman ... Je ...

– Mais moi je t'aime gros comme ça ! Et puis la dame elle est méchante : elle fait pleurer papa. »

En entendant ça Mathéo sourit et embrasse le front de son fil, se serrant de plus belle contre lui. Il l'embrasse par trois fois en le câlinant doucement avant de l'asseoir sur ses genoux. Il prend une profonde inspiration, je me cale contre lui, moi aussi plus le dos plus ou moins droit. Le petit nous fait face, la mine sérieuse du haut de ces trois ans. LA discussion ... arrivé si vite ... Merde !

« - Sacha, on va avoir une discussion de grands toi moi et Daddy. Tu veut ?

– Je peut ?! J'ai le droit ? Comme un grand ?

– Oui. Comme un grand. Bouchon ... ( il cherche ses mots, ça se voix. Moi même je ne saurais pas par quoi commencer pour aborder la chose ). Tu as été un bébé, un jour. Notre petit bébé. Tu te souvient des photos ?

– Mais maintenant je suis grand.

– Oui, tu es plus grand. Est ce que tu sais comment on fait les bébés ?

– Nan ...

– Et bien il faut une petite graine de papa et une autre graine de maman. On les mélanges dans le ventre de la maman et ça fait un œuf.

– Comme un poussin ?

– Comme un poussin, sourit il. Pourquoi tu crois que papa t'appelle mon poussin ? C'est pas juste parce que tu as les cheveux blond trésor. Donc l'œuf grandit et forme un bébé. Voilà.

– Et le bébé y sort du ventre ?

– Oui. Tu comprends ?

– Oui !

– Mais tu vois, une graine de Daddy et une graine de papa ça ne fait pas l'œuf. On aura beau essayé, ça ne peut pas marcher. Tu comprends ?

– Oui.

– Donc ... ( Encore une fois il déglutit. Comment dire qu'il est né dans l'amour de ses parents tout en disant plus ou moins l'inverse dans le même temps ? Comment ne pas blessé la fragilité d'une si petite chose ? ) Daddy et moi on a été obligé de demander à une maman et un papa de nous donner leurs graines. Elles ont fait un œuf et puis un bébé. Mais tu vois ... les bébés ont besoin du ventre d'une maman. Et ... Comment te dire ça. Tu te souviens de la dame qui est venue ? Celle avec les cheveux carottes comme tu disais ? Mme Tardus ?

– La fée !

– Oui, la fée. C'est elle qui nous as donner les graines pour te faire toi.

– On les mets dans le ventre les graines ? On met pas l'œuf ?

– L'œuf il se fait dans le ventre, après qu'on y ait mit les graines ensembles.

– C'est pour ça que tu avais un gros ventre ! Parce que moi j'étais un bébé ! Et comme les bébé c'est gros bas dans ton ventre ça te faisait un gros ventre comme çaaaaaa !

– Mon trésor ... C'est très compliqué. Tu n'étais pas dans mon ventre à moi. J'en avais vraiment vraiment vraiment envie mon prince. Croit moi, c'était mon plus grand rêve que tu grandisse dans mon ventre mais ... C'est impossible. Parce que les papa, comme les daddy, ce sont des garçon. Et les garçons ne peuvent pas avoir les bébés dans leu ventre.

– Pourquoi ?

– C'est ... c'est ... Mon dieu comment t'expliquer. Il y a des choses comme ça qu'on ne peut pas changer.

– C'est une règle.

– Oui, une règle qui nous dépasse tous. Personne ne peut rien y faire et personne ne peut la transgresser.

– Ça veut dire quoi ?

– Que personne ne peut faire autre chose que suivre cette règle. On est obligé même si on veut le contraire très fort.

– Qui c'est qui a écrit la règle ?

– Je ne sais pas.

– Il est méchant ! C'est pas gentil d'interdire ça !

– Je pense qu'il avait ses raisons, qu'on est encore tous beaucoup trop petit pour comprendre. C'est la vie.

– Papa et Daddy sont trop petit ?

– Oui !

– Et mamie aussi ?!

– Oui. Trésor, la vie c'est la plus vieille chose qui existe juste après la terre, le ciel et les étoiles. Personne sur Terre ne peut parfaitement comprendre tout ça, et encore moins son but, nous sommes tous trop petit.

– WHOUA ! Alors même les grands sont trop petit pour des trucs ?!

– Oui. Mais là on se perd trésor. On en revient au bébés tu veut ? Tu as compris tout ce que je t'ai dit ?

– Mmmm ... oui ! Je croit.

– Dit moi ce que tu as compris ?

– Alors un bébé y vient d'un œuf dans le ventre. Et l'œuf on le fabrique avec des graines de papa et de maman. Mais du coup des graines de Daddy ça marche aussi ?

– Oui, mais seulement avec des graines de maman. Un daddy, mon poussin, c'est comme un papa.

– Mais ... Si ni papa ni daddy c'est une maman ... Comment vous avez fait ?

– On as pris les graines de d'autres gens : une maman et un papa que ni moi ni Daddy ne connaissons. On ne sait pas qui c'est mais ils ont été très gentil de donner les graines pour faire ton œuf.

– Mais alors vous avez volez le bébé ! ... Et c'était moi le bébé ?! Vous avez voler moi ?!

– Non ! Non ! Bien sur que non ! Trésor, jamais ton père ou moi ne volerions un enfant. Jamais on ne t'aurais voler. Le papa et la maman t'ont confié à nous quand tu es sortis de leurs ventre. Ils étaient d'accord, ils voulaient que tu deviennent notre enfant à nous. Daddy et moi on voulais tellement un bébé. Sacha, nous voulions t'avoir plus que tout au monde. Alors nous avons remplis plein plein plein de papier compliqué pour que tu soit notre bébé, et rien que le notre. N'oublie jamais qu'on t'aime mon trésor. On t'aime plus que tout. Nous te voulions plus que tu ne peut l'imaginer.

– Plus que quoi ?

– Plus que tout. Autant qu'on s'aime fort Daddy et moi.

– Ça fait beaucoup ...

– Oui, ça fait beaucoup. Et sache qu'on t'aime pareil.

– Mais ... »

Ses petits yeux commence à se recouvrir d'un fin voile de larmes.

« - Ma maman qui m'avait dans son ventre elle m'aimait pas ... C'est pour ça qu'elle a pas voulus de moi ?

– Bébé. Ne pleur pas. Les histoires d'adultes sont très compliqué pour les petits garçons de 3 ans. Je n'ai jamais connue ta maman mais je crois qu'elle t'aimais.

– Alors pourquoi ...

– Deux secondes mon trésor. Laisse moi t'expliquer, d'accord. Elle t'aimait seulement elle ne pouvais pas te gardé près d'elle.

– Pourquoi ?

– Je ne sais pas. Elle ne nous l'a pas dit. Mais si elle t'a confié à nous pour que nous devenions tes parents c'est qu'elle savait que nous pouvions t'aimer encore plus qu'elle. Comme ça elle était sur que tu serais heureux et entourer d'amour.

– Si elle vous a pas parler, comment elle pouvais savoir que vous m'aimeriez plus ?

– Tu doute qu'on t'aime autant que c'est possible d'aimer ?

– Non mais ...

– Elle le savait. Les mamans, les papas et les daddy savent ces choses là. Ils savent où est ce que les enfants reçoivent le plus d'amour. Et moi trésor je t'aime plus qu'un millions d'autres peuvent t'aimer. Sacha, tu es mon bébé. Ne doute jamais de l'amour de Daddy et moi pour toi. Nous sommes tes parents et des parents aiment pour toujours leurs enfant.

– Moi aussi. Je vous aime fort ...

– Mon trésor. »

Ils se firent un gros câlin puis Sacha vient dans mes bras pour se faire également cajoler et couvrir de baisé et de je t'aime de nos deux voix réunies. Puis Mathéo le repris dans ses bras, le positionna comme quand il le berçais alors qu'il n'avais que quelques mois.

« - Je ne sais pas si la dame que tu as vus aujourd'hui était vraiment ta maman trésor mais je ...

– Papa ... tu pleur ... arrête de pleurer ... s'il te plaît.

– Mon trésor. »

Il le serra tout contre son cœur, autant qu'il le pouvais. Alors je le pris dans mes bras, et ainsi mon fil dans le même temps et les câlina jusqu'à ce que les larmes silencieuses de mon époux se tarissent et qu'il se calme tous les deux de leur mésaventure. Puis je pris Sacha et l'assis face à moi sur mes jambes. On doit tout expliquer aux petits pour qu'ils n'aient pas peur, qu'il n'imaginent pas être en danger ou que les choses sont instables. Surtout dans des cas comme ça où au contraire les choses sont parfaitement clair et ne bougerons pas d'un pouce.

« - Ecoute crapaud. Si papa a pleuré c'est parce qu'il tient à toi. On t'aime et il a peur que quelqu'un t'emmène loin de nous. Mais moi je ne laisserais jamais personne faire. Tu es notre fil Sacha, le notre et celui de personne d'autre. On t'aime de tout notre cœur depuis que tu es né et même avant alors je ne laisserait personne, pas même ta maman, t'éloigné de nous ! Tu comprends ?

– Moi je veut rester avec vous. »

Ça y est le petit pleurait. Je me sentait vraiment comme un gros con. Il n'avait pas pleurer, ou presque pas et j'y mettait mon grain de sel il fondait en larme. En voyant ça Mathéo s'était remis à pleurer de plus belle et l'avait pris dans les bras pour le câliner tout son saoul. Finalement quand toutes les larmes furent sèches Papa nous as emmener dans la cuisine manger des crêpes. Si je croise de nouveau la femme qui a créer cette séance de pleurs et de douleur je l'éclate contre un mur ! Je jure sur mon nom que je la bute !