Acid lemonade
Comme vous l'avez compris LEMON, allez bonne lecture. C'est moi ou il fait chaud ici ?
" -Mathéo ? Qu'est-ce-qu'il te prends ?!"
Il ne répond pas et dans un mouvement sec m'arrache mon jogging. Je me retrouve en plein désarroi autant qu'en débardeur-boxer. Il a perdu la raison, mon cœur s'emballe, il me fait peur. Les instincts de sportifs reprennent le dessus, en un éclair mes capacité de ceinture noir de judo se remettent à joue. Dans une impulsion vif et puissante je le retourne et l'immobilise complètement sur le matelas. Il se débat avec cette étincelle dans les yeux, comme une bête prise au piège. Finalement, voyant qu'il ne peut pas bougé d'un pouce, écrasé entre moi et le matelas, il finit par cesser de se débattre. Il pousse alors un petit gémissement plaintif et implorant accompagné de coup de bassins qui finissent dans mon derrière. Je grogne, il doit savoir qu'il fait ça dans le vide.Mais rien n'y fait. Je le regarde en état de choc. C'est pas lui ça... Il me fait tellement de peine, je ne comprends pas, j'ai peur pour lui, je voudrais qu'il redevienne comme avant. Qu'est-ce-qu'ils'est passé ? Quand il s'arrête de se comporter comme une bête je lui caresse doucement la joue. Je m'inquiète et lui en réponse il couine.
" -Honey ... Qu'est-ce-qu'il te prends ? Tu me fait peur ...
J'ai une putain d'envie de niqué. Ça fait des mois qu'on fait plus rien qu'une fellation de temps en temps, rien de concret, alors prends cette merde de cacheton et baise moi."
Je suis son regard vers la table de chevet ou siège une boite de grosses pilule un petit peu différente de celles que je prenaient avant.
" -Hors de question.
Quoi ?! Il cris scandalisé.
C'est hors de question que je te "baise" sans aucun sentiment comme tu dit. OK ?
Mais Philippe, j'en ai envie comme un dingue bon sang. J'en peut plus de l'abstinence moi."
J'essaie de l'apaisé en déposant une bise tendre sur ses lèvre, elle chaste et amoureuse, pas comme le sien tout à l'heure.
" -Honey, on va pas faire du sexe pour le sexe quand même ?
Et pourquoi pas ?
Parce que je t'aime, avec toi ça ne doit pas être juste de la baise. Je t'aime, ça ne doit pas se passer comme ça. Tu comprends ?
Mais j'ai envie putain ? J'ai envie de sexe, de ta bite, de ...
Tait toi, tu te comporte comme un ado débile en manque."
Ils'arrête net, j'avais peu être un ton un peu trop dur. Il semble retrouve sa rationalité et s'étend complètement détendus cette fois, la nuque dévoilé dans un soupir. Malgré son sérieux retrouver au moindre mouvement je sent qu'il est toujours furieusement excité. Je lui lâche les bras qu'il croise immédiatement sur son torse avant de me regarder droit dans les yeux avec un regard aux pupilles dilatées mi figue mi raisin, entre la colère et le chagrin :
" -Et donc ? Toi t'as pas envie ? C'est ça que je doit comprendre peut-être ? Tu me touche pas pendant des semaines et t'en a strictement rien à foutre ? Moi je peut plus attendre. C'est à ce demander si tu m'aime vraiment. T'aime pas mon corps c'est ça ? Tu préférerais ta salope de Paola je sais pas quoi et sa chatte dégueulasse ?
Qui ? Quoi ? De quoi tu parle ? Calme toi Honey, je t'aime. J'aime tout chez toi. Je te le jure."
J'appuie mon propos d'une caresse qui descend de sa joue vers son sternum avant de plonger mon nez dans son cou au parfum suave de peau et de vanille. J'embrasse son épiderme feutré.
" -Tu sais très bien que je n'y peut rien."
Il enroule ses bras autour de mes épaules et me sert contre lui, enfin,avec un voix coupé :
" -Je sais ... mais c'est douloureux. J'ai l'impression que tu ne me désire pas, que je ne t'attirerais jamais autant que tu nem'attire. Et puis il y a toute ces femmes et ...
Tu es jaloux ? D'elles ?
Bien sur. Abruti."
Je suis pris d'un élan de franchise :
" -Moi aussi j'ai peur que tu aille voir ailleurs ...
T'es vraiment con en plus d'être impuissant. Tu cumule Darling, je n'irai JAMAIS voir ailleurs. Mais la, si tu ne prend pas ce foutu cacheton, je ne répond plus de rien."
Je lâche un petit rire avant d'observé la boite avec hésitation. Moi aussi j'ai envie mais ... C'est presque trop beau pour être vrai,trop tentant, en plus ça vient de mon père donc c'est forcément de la saloperie, et même si ça ne l'était pas rien ne me garanti que je ne ferais pas une réaction allergique, que la date de péremption soit correcte, que ce soit le bon médicament. J'ai plus de chance de m'empoisonner que de régler mon problème en prenant ça. Pourtant malgré tout mon argumentaire je sais que je cherche des excuses parce que à la vérité je connais mon problème ( à force des'être complexé dessus des nuits durant ) et je sais que le traitement que Pétra a déposé la est correcte, il donne un faible apport en l'hormone qu'il me manque et permet de relancé sa production. Je connais le fonctionnement de ce que je prends ou risque de prendre quand même, et la je ne peut pas cracher sur l'aide qu'on tend à mon couple pour répondre à nos envies.Pourtant je me dit quand même que c'est peut être pas une bonne idée ... En fait j'ai peur de décevoir mon mari. C'est vrai quoi,je n'ai jamais été un gros performeur alors avec un nouveau médicament ça risque d'être pathétique et je tient à mon image d'homme viril.
" -Honey, on peut pas, pas dans la même pièce que le petit.
Alors là c'est du foutage de gueule. On est dans un putain de château et tu veut me faire croire que c'est impossible avec un argument aussi nul que "le petit dors" ? Tu es sérieux ?
Bah ...
Dit le si tu n'a pas envie.
Si, si j'ai envie mais ...
Alors arrête de te payer ma tête et emmène moi dans une autre pièce. Oh, et prend.ce.foutu.cachet. Bordel."
Je le relâche complètement et il se mord la lèvre, une belle bosse déforme son dessous, il sert fort les draps pour se retenir de bouger le temps que je prenne les fameuses gélules, bref l'excitation perle par tous les pores de sa peau. Je récupère la boite sur la table de chevet et lit vite fait la posologie, au sol on a disposé une bouteille d'eau. J'avale la dose avec une gorgée d'eau sous l'œil de plus en plus pressant de mon brun.
" -Va falloir attendre que ça fasse effet."
Il grommelle quelque chose qui ressemble à "Je te hais" et puis commence une longue attente plus que gênante, surtout quand on sait ce qu'on attends, c'est à dire voir si ça marche. Je promène mon regard sur la pièce pour ne pas regarder mon amant. Le tiroir de la table de chevet est entre-ouvert, ça attire immédiatement mon attention. Un truc ni ouvert ni fermé dans une pièce visité par la veille bonne maniaque ? Impossible. A moins qu'elle veulent qu'on regarde ce qu'il y a dedans, ce que je vais faire parce que de toute façon c'est trop bizarre ... OK, où est Pétra que je l'achève ? Non mais sérieusement. On va reconnaître que c'était prévoyant de sa part, et puis bien pratique voir carrément nécessaire aussi. Alors je sort la boite de capote et glisse un des emballages dans l'élastique de mon caleçon avec un regard malicieux tout en paressant le plus à l'aise possible. Mathéo se lèche les lèvres à cette vue ( non mais quel lubrique ) avant de brusquement sortir de but en blanc :
" -Si c'est la bonne taille tu as de la chance. ( J'ai de la chance en effet, Pétra à acheter plusieurs boites de plusieurs tailles, je sais pas quand mais elle l'a fait )
Tu te fou de ma gueule ?
Ouais, et j'ajouterais que tu es crédule.
Hein ? Pourquoi ?
Tu crois sérieusement qu'un seul va suffire alors qu'on a pas couché ensemble depuis plus de trois mois ? Prends toute la boite et amène toi."
Il se lève, embarquant avec lui le récepteur du baby-phone puis me tire hors de la pièce. J'ai juste le temps d'attraper le contenue du tiroir avant de me faire entraîner dans les couloirs. Je passe devant et nous guide dans la chambre d'ami, j'ouvre le volet pour faire rentrer la lumière de la lune. Ça suffira, à moins que Mathéo ne préfère plus de lumière ? Il allume la lampe de chevet,je le savais pas angoissé dans le noir. Ou alors je me fait des idée et je le couve trop, il n'est pas si fragile que ça. Après avoir vivement bazarder notre "nécessaire" à porter de main il me pousse énergiquement sur le matelas sans draps ni couette ni coussin ( tous probablement rangés ). Aussitôt que je m'écrase sur l'épaisseur de mousse qu'il se laisse tomber à mes côté, presque sur moi, pour ne laisser que peut de temps nos deux langues jumelles l'une loin de l'autre. On s'embrasse doucement, revenant sur les lippes sucrées de l'autre encore et encore, et puis tout devient de plus en plus passionné. Je sent ses doigts sur ma peau caressé mon ventre et remonté mon T-shirt. Il s'éloigne un instant et me le passe au dessus de la tête. A nouveau nous nous retrouvons, comme en manque d'un oxygène qui viendrait de l'autre. Je descend son pantalon, et aussi son caleçon alors que je sens ses doigts de fée me retirer le mien.
J'ai une grosse bouffé de chaleur, complètement nu, face à son corps que je n'avais plus osée observé depuis un long moment de peur de perdre la tête. Il est magnifique ... tellement sexy, tellement érotique. Je balade mes mains sur la douceur de ses hanches alors qu'il m'embrasse. Et puis je dévie sur le rebondi de ses fesse, il regarde no entre jambe et je suis son regard non sans une certaine inquiétude ... Bon sang, je soupir de soulagement en voyant un timide début d'érection soulevé mon membre. Il sourit, et moi aussi. Une petite voix dans ma tête me rappelle une idée folle qui m'étais venu à l'esprit. Et j'ai tellement chaud, je commence à être empressé, je ne réalise pas ce que je dis :
" -Tu voudrais me faire l'amour ?"
Ils'arrête net, je gémis quand nos virilité humides se touchent. Il me regarde, droit dans les yeux, plein de luxure. Je ...
" -Que ... Tu ... Tu es sûr ?"
J'y avais réfléchis, alors je peut dire non sans trembler que "Oui,je suis sûr." Il a l'air d'un enfant à qui on vient de dire que c'était Noël. Enfin non, il se jette sur mes lèvres, frotte son corps au mien, on se perd tous les deux dans des caresses surtout nos deux dos. Le touché de sa peau ... La tiédeur de nos bouches qu'on embrassent ... La raideur de son sexe qui bouge contre le mien ... J'ai chaud, très chaud, et je me sent durcir chaque seconde un peu plus. Mon dieu ... Ses doigts s'accroche dans mes cheveux, mes phalange plonge dans sa peau. Tout va de plus en plus vite. Je sent sa main descendre vers mon fessier qu'il malaxe alors que je gémis. Il alterne baisé du bout des lèvre et échange langoureux, me rendant complètement fou. Je sursaute et pousse un petit cris de surprise quand ses doigts fin caresse toute mon intimité pour remonter le long de ma verge. Je gronde et soupir sous le plaisir que me provoque les pressions et les va-et-viens qu'il effectue d'une main experte. Entre deux baisé je l'entends me murmurer des "Je t'aime Philippe" mais j'entends à peine,trop concentré sur le plaisir que j'éprouve. Il éloigne sa main de ma virilité, j'ai la respiration haché, coupé, je commence déjà à suer. En entre ouvrant les yeux, nos regards se croisent.
" -Si tu te voyait Darling, on dirait une princesse.
Tu te ... trouve ... drôle ?
Oui, parce que tu fait un merveilleux vierge."
Je rougis, il rigole en m'embrassant les paupières. Je hoquette en sentant son doigts touché mon anneau de chair. Je me mord fort la lèvre, presque à sang, pour ne pas gémir. Ce serais trop gênant...
" -Tu sais, je vais te faire le même discourt que tu m'aurais fait : respire, détend toi."
Je gémis pour toute réponse, plus aucune pensé correcte dans ma tête.Ça part dans tous les sens, alors qu'on a rien commencé. Mais mon cœur s'emballe, je sais au moins ça.
" -Tu as peur ?
N-non ...
Tu sais c'est normale.
N'essaie pas de jouer les hommes virils.
Mais je ne joue pas."
Soudain je sent un brusque intrusion m'écarter sur son passage. Je voudrais glapir mais Mathéo étouffe mon cris dans un baisé langoureux et de nombreuse caresses. Le traître, il a lubrifié sa main quand je lui parlais. Il a beau essayé de m'empêcher de stresser je commence à paniqué : ça fait mal, c'est désagréable. Je sent son doigts glissant poussé de plus en plus loin en moi, et plus il avance plus c'est douloureux ... Non pas vraiment douloureux mais ... gênant ...étrange ... Je ...
" -Respire Darling, tu serre.
Ppp-p-putain ... p-pervers ..."
Il rigole et susurre que je peut être mignon moi aussi, malgré ma masse de muscle. Je serre les draps, il ne doit pas me prendre pour un lâche. Il voit comme je fronce les sourcilles et souffle pour me détendre ça le fait encore plus rire. Idiot. Et puis soudain il applique du mouvement et la je me met à gémir de manière incontrôlé. Son index va et vient en moi avec ce bruit de succion qui me rendais dingue quand j'étais à sa place. Maintenant que les rôles son inversé je me rend compte que ce qui rend vraiment fou ce n'est pas le son, c'est la sensation. Il ajoute un deuxième doigts,ma respiration se coupe : ça fait vraiment mal. J'ai lâcher les draps pour m'accrocher et lacérer ses épaules en criant. Il n'arrête pas les mouvements pour autant, au contraire il va de plus en plus vite. Je commence à peine à oublier la douleur grâce à de vif va et viens sur ma longueur. Je sais plus ou donner de la tête.Chaque fois que je croit que je vais me faire à la douleur omniprésente il fait un nouveau mouvement qui me lance et fait fourmillé tout mon être comme une décharge électrique. Je ne réalise même plus à quel point je cris, je le sent me dévorer le coup, et moi je m'accroche. On se sent tellement vulnérable quand le plaisir dépend du bon vouloir de son partenaire. Je le sert contre moi et lui mord l'épaule, j'ai perdu le compte de ce que j'ai à l'intérieure. C'est tellement gênant, et pas ce que j'ai connu de plus agréable. Je ... Je voudrais que ça s'arrête, ça fait trop mal et ce n'est pas bon. Juste dé... AAAH ! Sans que je l'ai prévus une pulsion de plaisir d'une intensité extrême me transperce de part en part, je me cambre et m'arque dans un frisson au bord de la jouissance. Mon Dieu ... Je reprend à peine conscience de mon propre corps qu'une autre de ces salves me brûle avec la même puissance que tout à l'heure avant que tout s'arrête d'un coup. Là seule chose que je sent c'est la douche froide que provoque le retrait des doigts de Mathéo. Quoi ? Je me redresse et le regarde :
" -Pourquoi tu arrête ?
J'arrête pas, je remplace."
Je rougis et détourne le regard, m'abandonnant à ses bon soin. Il enfile une protection sur mon membre pulsant. Je prend une grande goulée d'air en sentant des fluides glacée s'insinuer dans la moiteur de mon antre. Mon cœur s'emballe à l'idée de ce qui approche. Je serais pas en train de faire une connerie à tout hasard? Je me reprend immédiatement : en quoi faire l'amour pour ma première fois en tant que passif avec l'homme que j'aime serais une connerie ? N'importe quoi. Je le sert contre moi et l'embrasse avant de fermer les yeux. J'appréhende.
" -Darliiing ... Ouvre les yeux. Regarde moi mon chéri. Hey, respire d'accord. Tu souffle bien et ça va bien se passé, mmh ?
Tu me rassure pas beaucoup là.
Ça va aller. Regarde moi et souffle, c'est tout."
Je plonge dans l'océan d'alcool, de miel ou d'ambre que forme l'irissage de ses yeux. Ses pupilles sont tellement dilatée ... Je le sent me soulevé les hanches comme il peut et les calée avec ses genoux à peine couvert d'une fine couche de sueur tiède. Ses yeux,il a dit de ce concentré sur ses yeux. Ils luisent comme du caramel bouillant, débordant d'un flot de sentiment et surtout de beaucoup d'amour et d'érotisme. Il a les joues roses, le souffle erratique,il est magnifique. C'est dur de ne regarder que ses pupilles, surtout... Surtout quand on sent un gland encapuchonné de latex se présenté à son entré. Ma respiration s'accélère quand je sent se dernier faire doucement pression, je manque d'air, je perd mon souffle.
" -Respire Darling."
Je prend une grande inspiration, j'ai des flash devant les yeux, je me sent écartelé. J'ai affreusement mal, j'ai l'impression qu'on me déchire de l'intérieur avec une lenteur calculée. Je me sent partir quand le mouvement cesse et je commence à reprendre mes sens en mains, la larme à l'œil, le corps en feu.
" -Ça va ? C'est pas trop douloureux ?"
Réflexion faite, non ce n'est pas si douloureux que ça. Ça pique, ça brûle,c'est lancinant mais ... curieusement supportable. Je tousse, la gorge sèche.
" -C'est ... C'est vraiment à l'intérieur ?
Pas tout. Mais on va y aller doucement. Hey ... T'es purée de serré, c'est trop bon."
Je gémis et détourne le regard. Si il prend du plaisir c'est tout ce qui compte ... Bon sang son engin ne me paraissait pas si large avant... Je doit le démonter mon pauvre tréSORT ... Mhgltmgmmgngne ....Je sert les dents en sentant la reprise lente et fluide du premier coup de bassin de Mathéo. Mon long gémissement ne s'éteint qu'au soupir comblé de mon brun quand celui-ci arrive au bout de la pénétration. C'est douloureux ... c'est douloureux ... Mais en même temps vraiment bon, sauf que ça fait quand même vachement plus mal que du bien. Pendant un long moment je peut à peine respirer, juste m'accroche à lui avec tout ce que j'ai : mes bras, mes jambes, même mes dents planté dans son épaule. Et puis petit à petit la douleur diminue et il se retire complètement de moi en me faisant gémir de nouveau. C'est la que je réalise comment on peut se sentir "vide", personnellement je ne dirais pas vide, je dirais ... Ouvert, prêt à accueillir ce qui s'en va. C'est dégueulasse ce que je pense mais je m'en fout. Je ne veut pas parler de "comblé" je veut dire "emplis" et tant pis pour les puristes. C'est délicieux mais je crois que je préfère être le ...
" -Darling, tu pense trop.
Je ...
Tu ne va bientôt plus pouvoir pensé à rien. Désolé ..."
Je vois dans son regard qu'il contient un brasier prêt à me tomber dessus mais je m'en fiche. Il n'a pas a trembler, il me fait du bien. Je cris de douleur autant que de surprise et de plaisir quand dans un violent coup de rein il est de retours en moi. Il commence des va et vient de plus en plus rapide, je hurle, le plaisir grimpe en flèche,je sent que je vais bientôt jouir. Je l'entend haleté et souffler comme moi quand je prenait mon pied en lui. Il aime ... Tant mieux,tant ... Mieux ! Il va encore plus vite, il va même trop vite, c'est bon. C'est trop bon ! Je me contracte intégralement dans un frisson en jouissant. Perdu dans le cris le plus aiguë que j'ai jamais poussé je ne l'entends pas faire lui, l'un des plus grave qu'il ai jamais fait en faisant l'amour.
Et un chapitre LEMON ... Et bah la suite arrive, que voulez vous. Ah si, un petit vote SVP, un petit commentaire qui réchauffe mon cœur mélancolique et vous, vos lectures, votre présence. Là c'est parfait. Merci de me suivre comme ça. Je suis trop heureuse.
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