Qui es-tu?-Thomas
Voici ton imagine @louisea16
AVERTISSEMENT: contient du Smut!
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-POV Louise-
Arrivée ici depuis quelques jours, plus précisément deux semaines, cela faisait de moi la petite dernière et la seule fille du bloc. C'était flippant !!!
Mais le plus bizarre de l'histoire semblait venir du retour épisodique de ma mémoire. En effet, mon cerveau sélectionnait des bouts éparpillés d'image de moi avant mon arrivée. Et presque touts ces flashback incluait ... Thomas.
Il était adorable, trop chou et il me plaisais énormément.
Mais ne nous égarons pas et revenons à quelques jours en arrière ...
A ma venue au bloc !!!
-POV ALBY-
C'était jours d'espoir et de surprise. Hey oui !!! nous attendions la monter de la cage nous apportant commande et bien sur celui qui deviendrait le petit nouveau parmi nous. J'allais en faire quoi de celui-la? Un coureur, un bâtisseur, bon je verrais bien à son allure ou il serait le plus apte à se rendre utile.
Le bruit caractéristique que fit la cage en arrivant à la surface nous firent tous accourir. Gally s'empressa d'ouvrir les portes et ... Ho ... c'était une ''fille''.
-Une fille !!!
-Elle est morte?
-Elle a l'air de quoi?
-Tasse-toi je vois rien ...
-Quel âge elle à d'après vous?
Les commentaires fusèrent de toute part. Chacun semblaient avoir une raison de parler, alors que mon cerveau avait besoin de silence, pour analyser cette situation pour le moins inhabituelle à notre groupe. Je voyais déjà bon nombres de catastrophes que pourraient générer l'arrivée d'une fille parmi nous.
-Jeff, Chuck venez ici tout de suite ...
D'abord et avant tout, voir si elle se portait bien. Cela serait le rôle de Jeff, notre doc. Puis l'aider à s'intégrer graduellement en lui collant Chuck dans les pattes comme guide de camp. Ça me donnerait un peu de temps pour me faire une idée de ces capacités et savoir à qui la jumeler dans un des boulots disponible.
J'espère que sa venue ne nous causera aucun problème de rivalité.
''Advienne que pourra''. Comme le dit le dicton ...
-POV LOUISE-
Finalement il fut décider que je serais l'infirmière auxiliaire de Jeff. Cette décision avait été prise cinq jours auparavant, avec l'accord du doc et de notre chef Alby.
Depuis ce jour, j'aidais Jeff à soigner les gars du bloc et je bandais même leurs petits bobos. Mais cela me laissais beaucoup de temps libre que j'utilisais à l'exploration de mon nouvel univers. Toujours en compagnie de Chuck, qui était comme un petit frère pour moi, je flânais avec lui et ce même s'il était un peu bavard, car il savait mieux que quiconque commenter le site avec sa personnalité charmante et sans malice.
Je voyais d'autres blocards en plus de Chuck, Jeff, et Alby. Il y avait en autre Newt, rieur et farceur, qui depuis environ une semaine était devenu mon confident attitré. Puis Minho, lui par contre demeurait un énigme pour moi, avec ses joutes verbales et ses répliques sarcastiques. Et que dire de Gally, chef des bâtisseur, avec lui la simplicité régnait car tout était noir ou blanc. Fry-Pan et ses bons petits plats, plus quelques autres dont les noms m'échappais encore. Il ne restais plus que lui ... l'homme de mes souvenirs ... celui que je voyais parfois et qui faisais battre mon coeur ... Thomas.
Tout avais commencer quatre jours après mon arrivée. Je sortais des douches et je me rendais à la cafétéria manger un peu avant d'aller dormir, quand je croisa Thomas, une serviette sur l'épaule, il allait vraisemblablement se laver. Et c'est a ce moment la que je le revit, comme dans un rêve, sauf que mes yeux demeuraient grands ouvert et rivés sur lui. Je nous voyais tout les deux sous le jet d'eau chaude, enlacés, nos corps emboîtés l'un dans l'autre, nos lèvres en contact et nos langues se mêlant entre elle. Je gémis doucement, m'abandonnant à notre étreinte passionnée.
-Ça va Louise? me demanda Thomas en me regardant drôlement.
-Heu ... oui, bien sur, et toi?
-Moi c'est ok, mais pourquoi a-tu fais ce bruit bizarre, comme si tu avais mal?
Bonté !!! je ne m'étais pas rendu compte que j'avais gémis pour de vrai !!!
-Ho, c'est rien, juste une petite roche coincée dans mon soulier.
Après un bonsoir rapide, je disparut aussi vite que mes jambes tremblantes me le permettaient.
-POV THOMAS-
Louise ... dès que je fermais les yeux je l'apercevait. Des milliers d'images d'elle défilaient dans ma tête et toujours dans des lieux inconnu de moi. Je tentais à plusieurs reprises de percer le noir de ma mémoire car je devinais, au fond de moi, qu'une fois libéré je saurais enfin ce qu'elle représentais pour moi.
Mais en attendant une chose était sure et devenait une certitude pour moi, l'amour portait un nom ... Louise.
-POV NEWT-
Nous étions assis, Louise et moi, tenant entre nos mains un café bien chaud.
-A-tu encore des visions de Thomas?
-Oui, et elles deviennent plus claires et précises. c'est, tout a la fois, désespérant et merveilleux car je ne peux le forcer à découvrir le bonheur que nous éprouvions d'être ensemble lui et moi.
-Bin, je pourrais toujours l'assommer et si ça ne lui fait pas revenir la mémoire, tu pourra au moins le soigner, poursuivais-je dans un éclat de rire.
-Et s'il tente de résister, je l'attache au lit, s'exclama-t-elle avec un petit sourire.
-Qui parle d'attacher qui et à quel lit? demanda Minho.
Je ne l'avais pas vu arriver.
-Toujours aussi discret Minho, un jour tes grandes oreilles indiscrètes vont te perdre, répliquais-je.
-Ouais, bon, je vois que vous jouer les avocats et garder le silence !!! dit-il.
-Tu ne va pas nous faire une crise d'identité ou de rejet? demanda Louise.
Je pinça les lèvres retenant un fou rire.
-Tu pourrais aussi bien me dire de partir, ajouta Minho curieux de voir comment la petite nouvelle allait réagir.
-J'ai du savoir vivre moi, répliqua-t-elle en le poussant vers la sortie.
En l'espace d'un instant je me retrouva seul devant mon café devenu froid, car Louise se dirigeais vers le jardin, elle venais d'apercevoir son Thomas.
-POV THOMAS-
Je la vit venir vers moi, mais une étrange sensation de déjà vu me troublais. En effet mes yeux semblaient dédoubler ce qu'il apercevaient, d'une part Louise qui venait a ma rencontre et de l'autre elle accourrait se jeter avec force et amour dans mes bras. Je secouais la tête, tentant de reprendre le contrôle de ma vision. Il se passait quoi la !!! Que m'arrivais-t-il? Je lui tourna le dos et sans un regard vers elle, je parti retrouver Minho devant les portes du Laby.
Courir à travers les couloirs me laissais énormément de temps pour que mes pensées s'agitent et explosent comme un feu d'artifice dans ma tête. Et la ... pouf ... boum ... tout me revint en un seul coup. Je m'arrêta sec et heureusement que mes pieds semblaient cloués au sol parce que Minho me percuta de plein fouet.
-Hey !!! que t'arrive-t-il?
Je scruta minho et lui souri bêtement.
-Nous devons partir, retourner au bloc immédiatement, c'est une question de vie et ... d'amour.
-POV LOUISE-
Le voir partir dans les profondeurs du Laby me causa un serrement au coeur.
Je me souvenais de tout, de nos joies, nos peines, nos embrassades et de toutes nos caresses qui nous amenaient inévitablement à des ébats sensuels et torrides. Je regardais sans le voir l'entrée du laby, quand je senti une main se poser sur mon épaule. C'était mon cher Newt.
-Allez viens Louise.
-Je me jetai dans ses bras incapable de retenir mes larmes.
-J'ai pas pu lui dire un mot Newt, il est parti avant, me lamentais-je.
-Tu le verra à son retour et je l'attendrai avec toi, fillette.
Nous nous apprêtions à retourner a nos activités quotidiennes quand j'entendis des pas pressés courir vers le bloc. Tout à coup je frissonna et sentis Thomas me serrer contre lui afin de m'apaiser.
-N'aie pas peur, murmura-t-il en m'embrassant, il ni aura désormais que toi et moi dans nos souvenirs, plus tout ceux que nous y ajouterons.
-Je te crois Thomas, je crois en toi et moi enfin réunis. J'attendais seulement que tu vienne me rejoindre ...
-Ne t'inquiète pas mon amour, je me collerai à toi comme une seconde peau, me souffla-t-il l'amour et le désir brillait au fond de ses yeux.
-POV THOMAS-
D'une main au creux de ses reins, je la pressait d'avancer plus vite vers les douches, mon besoin de m'enfouir en elle devenait urgent. Les mains de Louise tremblaient un peu et c'était parce que je me trouvais devant elle en train de me déshabiller. Enfin libérer de mes vêtements, je m'allongeais dans ce qui portait le nom pompeux de ''baignoire'' et demanda à mon amour, d'une vois rendu rauque par le désir.
-Approche.
Dans sa nervosité elle heurta le porte-savon, je lui tendit alors un linge et lui présenta mon dos. Elle se crispa et entreprit de me laver. Peu a peu, ses gestes s'adoucirent et avec de lent mouvements elle pressa un linge humide et savonneux toujours sur le même endroit.
-lave-moi plus bas ma douce, sur les reins ...
Cet simple pression de ses douces mains sur le bas de mon dos me fit gémir et durcir. Je compris à son regard qu'elle était prête. Je me levais lentement, m'habillant à la vitesse de l'éclair et répéta ce petit mot:
-Approche.
Elle fit un pas, et un autre.
-Accroche-toi à moi.
Elle noua ses bras autour de mon cou, ses jambes m'entourant la taille. Malgré le désir insupportable qui me consumais, je quitta les lieux avec ma cargaison agripper a moi. Je continuais à marcher et me dirigea droit vers son lit. Je la déposa sur les couvertures et referma mes mains sur ses cuisses, les écartants afin de la livrer à mon regard. Je souffla, puis embrassa ce lieu intime, le coeur, l'antre de sa féminité. Je la saisi par les hanches pour qu'elle ne puisse éviter les assauts répéter de ma langues sur son bourgeon gonflé par le désir. Elle s'abandonnait à moi, gémissant et s'arc boutant. Je me collais contre elle, mon sexe entre ses seins. Je me répandis sur son corps l'inondant de ma semence. Je jouis tout en criant mon plaisir.
Louise me poussa contre les oreillers, s'allongea et commença à frotter ses seins sur mon torse, mon ventre. Elle poursuivi ce parcours avec sa langue et posa celle-ci sur mon sexe qui durcissait à nouveau. Elle me lécha et referma ses lèvres autour de moi m'amenant au porte du paradis ou de l'enfer, peut m'importais pourvu qu'elle n'arrête pas.
Je glissa une main entre ses cuisses et compris à sa moiteur qu'elle était aussi excitée que moi. Je m'installais entre ses jambes, sans cesser de l'embrasser. Et d'un geste du bassin je la pénétra, entra profondément en elle. J'entreprit un lent va et viens ou chaque poussée était différente des autres. Elle failli me renverser quand je saisi son sein dans ma bouche prenant tout mon temps, le mordillant, le suçant et léchant ce petit téton qui augmentais mon désir. J'accéléra le rythme, nous amenant au bord de la jouissance. Et d'un dernier coup de reins je me répandis en elle.
Tout les deux, étendus côte à côte, nous tentions de rependre notre souffle.
-Je t'aime mon coeur, soupirais-je tout en déposant un baiser sur sa tempe.
-Et moi je t'adore Thomas, tu es et restera mon homme a tout jamais.
-POV NEWT-
Je devinais au sourire qu'affichaient Louise et Thomas et surtout le fait qu'il se tenaient serrer l'un contre l'autre, bras dessus dessous, qu'ils avaient enfin résolu le problème concernant leurs souvenirs passés.
Minho me balança un coup de coude dans les côtes en hurlant à qui voulait l'entendre:
-On a du nouveau au bloc ... une paire de tourterelle !!!
Et dans un éclat de rire général, nous regardions s'amener vers nous nos deux amoureux. Je regarda Louise et lui dit avec un sourire.
-Je suppose que je dois désormais éviter de l'assommer.
-Oui ... mais moi je songe sérieusement à l'attacher au lit, me répliqua-t-elle avec un clin d'oeil.
Minho qui n'avait pas perdu un mot de notre conversation s'écria:
-Je le savais !!! Je le savais !!!
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Voila Louise ton imagine
J'espère qu'il va te plaire!
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