A bout de souffle- Minho
Voici un imagine sur Minho <3.
J'espère que sa va te plaire.
AVERTISSEMENT: contient du smut!
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-pov Alice-
Je courrais perdue dans les dédales du "LABY". Je courrais mais pourquoi ? Est-ce-que c'était de l'excitation que je ressentais à l'idée de trouver la sortie, ou simplement de la peur. La peur de perdre l'espoir, d'échouer dans ma mission de coureuse, d'abandonner et de trahir la confiance de mes amis ou surtout celle de baisser les bras avec résignation et de renoncer a trouver le moyen de tous nous libérer.
Une sensation étrange m'envahie, on m'observais ! Je m'arrêtais brusquement et regarda de tout les côtés afin de voir d'ou provenait la menace, quand soudainement , du coin de l'oeil, je l'aperçue ... C'était ...
Bong, bong, bong, je me réveillais en sursaut car notre adorable Chuck frappait le lever du jour avec enthousiasme. Pfff ... pauvre Chuck, un de ces jours quelqu'un va finir par casser son petit tambour fait maison et cela sera peut-être moi ! Tout en sortant de mon lit, je tentai de rassembler mes esprit, encore confuse par ce rêve troublant. J'essayais de comprendre, de trouver une raison logique à cette suite d'images que mon subconscient m'avais imposer dans mon sommeil. Peut-être trouverais-je la solution après avoir fait ma toilette et manger un peu ? Je me dirigeais donc vers ce qui nous servait de salle à manger. J'étendis le bras pour prendre la dernière brioche quand celle-ci disparu soudainement, capturer par ce terrible garnement nommer Chuck ! Exaspérer, je me lançai à sa poursuite.
-pov Newt-
Le soleil se levait à peine dans le ciel qui ce teintait peu à peu d'un superbe bleu. Nous étions tous rassembler et impatients que cette journée très spécial débute. Eh Oui ... je serais juge ! Un des cinq juges soit: Alby, Gally, Thomas, Minho et moi, l'incroyable Newt. Nous aurions la lourde tâche délire un nouvel athlète qui deviendrait possiblement notre futur héros. Bon passons aux choses sérieuses et que les jeux commence.
Un après l'autre, les candidats affrontèrent le parcours de résistance, de vitesse et de sauts afin d'éviter les pièges et trous dissimuler sur le chemin. Pendant que nous discutions entre nous de la performance des participants, nous vîmes débarquer devant nous un Chuck hurlant et gesticulant qui tenait fermement entre ses mains une brioche à l'odeur alléchante, et poursuivi par une furie ... Alice. Le spectacle était vraiment trop drôle, car le petit garnement perdait visiblement du terrain face à cette belle gazelle agile aux longues jambes fines, qui se rapprochait de lui.
-Je la laisserais bien m'attraper, dit Minho
-Faudrait d'abord qu'elle veuille bien te poursuivre, dit Newt en riant.
Minho me jeta un regard noir de colère avant de sourire et d'ajouter.
-Elle ne le sais pas encore, mais elle est à moi.
-pov Minho-
Cette agitation mit un terme aux compétitions. Le temps était maintenant venu de choisir notre prochain coureur. Chacun notre tour nous allions voter pour notre favori tout en pesant le pour et le contre. Arriver à moi, je du en surprendre plus d'un car je ne prononça ... Alice ...
Silence, un silence de stupeur ou, mes quatre amis, me regardaient comme s'il m'avait pousser une autre tête. Puis vint les cris de protestations...
-Elle n'est même pas candidates.
-Non, c'est une fille.
-Elle ne sais pas courir assez vite.
-T'as perdu la tête ?? Elle est pas assez en forme et forte pour ça.
Je levai la main pour les faire taire et d'une voix calme je leur expliquai ma décision. Je l'entraînerais, rien ne lui serais épargner, course, saut, musculation, mémorisation et ce jusqu'à ce qu'elle soit en parfaite condition physique et moral. On m'accorda deux semaines.
D'un pas alerte je mit le cap sur ma belle Alice et lui dit en souriant ...
-Ma belle, nous allons passer du bon temps ensemble toi et moi.
Je reçu une magistrale gifle qui failli me décrocher la machoire.
-T'es folle ou quoi ?? beugla Minho.
Elle me fit un croche pied et déguerpi rapidement.
-Que c'est beau l'amour ,chantonna Newt qui passait par la.
-La ferme Newt, si tu tiens a tes dents ... bien sur... grogna Minho.
-Ha, ha, ha, ok, mais ce que j'ai hâte de voir la suite, poursuivi Newt en continuant de marcher.
Coucher par terre, appuyer sur un coude, je la regardais partir, un sourire diabolique au coin des lèvres, en m'imaginant tout ce que je rêvais de lui faire subir... entraînement parlant...
-pov Alice-
Ma semaine commença par une série d'exercices aussi inutile que barbare, vu que je n'étais pas du tout intéresser pas la course au côté de notre cher bon vieux Minho. A mon avis c'étais une grosse perte de temps mais c'étais surtout le simple fait de me retrouver sous les ordres de cet idiot qui me hérissait littéralement le poil des bras. Et dire que j'en avait encore pour deux semaines. Brrrr !!!
-Allez, encore une fois, on monte et on descend, on monte et on descend, dit Minho.
-J'en ai mare de tes commentaires à la con, alors épargne-moi, avant que ...
je fut couper par Minho qui reprit de plus belle.
-Je sais mon ange, moi aussi je t'aime, mais avoue que si j'étais sous toi tu irais vachement plus vite, ricana Minho.
-Je vais le tuer, murmuré-je
D'un bond je lui sautais à la gorge, mes mains encerclais son cou prêt à l'étrangler. En deux temps, trois mouvements je me retrouvais coucher sur le dos, Minho assis sur mes hanches retenant mes mains au dessus de ma tête et riant aux éclats de ma faible tentative de résistance.
-Mmhummm !!! c'est très ... ouf ... j'en perd mon latin, ma petite chatte adorée, me susurra t-il d'une voix rauque.
-Lache-moi Minho, t'es pas drôle, lui dis-je.
Il s'approcha lentement de moi, posa délicatement ses lèvres sur les miennes et m'embrassa. Mes yeux s'agrandir de surprise et dans un réflexe, je le repoussai d'un coup de genou au niveau du ...
-aie ... gémit-il en se pliant de douleur tout en tenant son bas ventre.
Je déguerpi sans prendre le temps de m'attarder à savourer le plaisir immense que j'aurais eue à le regarder se tordre de douleur.
-pov Minho-
Je cherchais toujours à reprendre mon souffle après cette attaque sournoise, infliger par ma belle rebelle. Lorsque Newt se précipita vers moi pour m'aider à me relever.
-Ouais !!! tu semble manquer d'entrainement, me dit-il.
Je le dévisageais et m'apprêtais à lui dire ou il pouvais se mettre son commentaire, quand il reprit et me dit ...
-Heu !!! quand je parle d'entrainement c'est pas au physique que je songe ,mais plutôt au manque de romantisme, s'esclaffa-t-il.
-T'es un homme mort Newt, lui dis-je.
Nous courrions, comme des fous, à en perdre haleine. Je voyais bien ce que mon ami Newt cherchait a faire. Il voulait me faire évacuer ma colère et surtout ma frustration. Après un moment, nous avons rejoint les autres et pour faire amende honorable, j'invitai tout le groupe a prendre un verre au coin du feu.
-Qui m'aime me suivent, dis-je en tenant la bouteille d alcool.
-J'ai beaucoup mieux a faire. Je crois que je vais me laver les cheveux ou bien me couper une main ... clama Alice d'une voix forte avant de partir vers de sa hutte.
Alby et les autres voyant cela, préférèrent se retirer, me disant qu'il se faisait tard et qu'ils étaient tous éreinter. Je me tournai vers mon ami de toujours, Newt.
-Et bien, il semblerais que nous ne soyons que nous deux, me dit Newt.
-Serais-tu en train de me refiler un rencart ? réplique-je.
-Humm ! on pourrait se marier, répondit Newt.
-C'est tentant ... mais je ne me mari jamais au premier rendez-vous, ricané-je.
-Oui, tu a raison, c'est beaucoup plus prudent, marmonna Newt.
Je regardai la direction prise par ma douce Alice, me promettant de conquérir son coeur.
-pov Alice-
Au fond de ma mémoire je gardais le souvenir du baiser de Minho, et j'éprouvais le besoin de me serrer contre lui. Je voulais explorer cette délicieuse sensation, laisser courir mes mains sur son corps musclé, poser ma tête sur son épaule et me fondre dans ses bras. Mais jamais je ne lui dirai, jamais je ferai le moindre geste pour qu'il devine mon secret.
J'allais rejoindre Newt dans les champs, une discussion amicale s'imposait.
-Hey Newt, accorderais-tu un instant à une amie découragée et au bord du désespoir?
-Oui, une pause avec toi me ferait le plus grand bien, me dit-il.
-Newt ... que sais-tu des sentiments, je parle de ceux qui accaparent les pensées, ceux qui te font trembler des pieds à la tête, ceux qui t'obsèdent au point de ne plus songer qu'à l'être aimé?
-Je ne suis pas un expert en amour, mais je te dirai simplement ceci: Si ce que tu éprouve pour cet personne est si fort ... Fonce ... dit-le lui et vis ta vie à fond avec lui.
Je le regardais, songeuse, revoyant les bons moments passés, les nombreux fous rires, les chicanes ridicules qui ne durent pas et que dire des réconciliations. Je quittai Newt, le saluant d'un hochement de tête, et alla m'asseoir devant la porte du "Laby" afin d'attendre le retour de mon ti-Minh ...
Mes yeux ne cessais de fixer l'endroit ou il m'apparaîtrais enfin. Soudain je senti mon cœur s'emballer et mon pouls s'accélérer. Il était là.
-pov Minho-
Ouf !!! dernier virage et enfin chez moi. je devais être vraiment déshydrater car au bout du chemin je cru voir un mirage ... Alice ... Ma merveilleuse Alice était là devant moi comme je l'avais tellement rêver. J'étais aux portes du paradis. J'avançais vers elle les bras tendus. Elle se précipita a ma rencontre et termina sa course dans mes bras. Nous nous retrouvâmes violemment cloués au sol, l'un sur l'autre, enlacés. Je repris mes esprits et l'emporta dans ma chambre bien à l'abri des regards. Je la déposai doucement sur mon lit, son dos appuyé contre les oreillers. J'allumai une bougie, je pu voir dans ces beaux yeux des milliers d'étincelles illuminées son doux visage. La manière dont elle s'agrippa à moi m'excita diablement. Je me déshabillai, une fois nu, je la rejoint. Ma main se faufila sous sa chemise, la sensation délicieuse que j'éprouvai ne me permis de dire qu'un seul mot: Douce ... Elle était douce, la douceur faite femme.
J'enlevais sa chemise et tout ce qui se trouvais entre nous. Nous étions nu, tout les deux, étendus, nos cœurs battants a l'unisson. Je m'approchai d'elle, sa poitrine toucha mon torse, de surprise, elle poussa un petit cri de contentement. Je déposai une multitude de baisers sur ses joues, ses yeux. Je m'emparai de sa bouche goûtant sa saveur. Elle se pressa contre moi cherchant à découvrir chaque parcelles de mon corps, passa ses mains dans mes cheveux descendit caresser mon dos avec impatience. Je basculai sur elle, le plaisir de la sentir sous moi augmenta mon désir pour se petit ange-démon si passionnée et ardente. Je pénétrai doucement en elle, mais ses mains actives et caressantes, ses jambes enroulées autour de ma taille me fit perdre le contrôle. Mes mouvements si firent plus violents, plus profonds et dans un ultime élan, je me répandis en elle.
Quand mes mains vinrent se poser sur ses hanches, elle me souri gardant les yeux grand ouvert ou se mêlais sensualité et passion. Elle s'étira, comme un chat, son corps nu offert à mon regard.
-Petit diablotin !!! gronde-je.
Je plaquai fermement les mains sur ces cuisses et les écarta. Je penchai la tête. Mes lèvres effleurèrent son intimité, mes cheveux lui caressait les cuisses, tandis que ma langue jouait un jeu qui l'emmènerais toucher les étoiles. Du bout de la langue, je léchais les replis de sa féminité et débusqua ce petit bourgeon, que je suça, mordilla jusqu'à ce que je la sente partir, emporter par une vague de plaisir. Elle laissa ses jambes ouvertes et souleva les hanches dans une invitation à la rejoindre. Mon désir pour elle était évident et dur.
-C'est à mon tour de te toucher, murmura-t-elle.
Avec lenteur sa bouche creusa un sillon de feu allant de mon cou à mon torse en descendant le long de mon ventre. Son souffle léger fit tressaillir mon membre déjà sensible. L'attente d'être englouti par cette bouche gourmande devint insupportable. Sa langue s'enroula autour de mon sexe, le léchant de haut en bas, m'amenant au bord de l'explosion. Ivre d'excitation, je l'attirai sous moi et d'un seul coup m'enfonçais entre ses cuisses. Sans ralentir, je gardai le rythme qui nous conduirais vers l'orgasme. Je me raidi avant de donner un dernier et ultime coup de rein, je senti son sexe tressaillir, juste avant que ma semence jaillisse en jets. Je me retirai et sans lui laisser le temps de bouger, je la coucha sur le côté, son dos vers moi. Je remontai les couvertures sur nous et me plaqua contre son dos, mon sexe encore bandé se nicha entre ses fesses. Ce fut la dernière sensation que j'eu, avant de sombrer dans le sommeil.
-pov Newt-
Les paris étaient ouvert !!!
Nous étions tous présent, réunis devant un café. Aucun de nous ne voulu se rendre au travail et risquer de manquer la suite ... nous nous demandions tous ...
Qui sortirais entier de la chambre de notre coureur préféré?
Qu'en à moi, j'avais espoir en l'avenir de mes deux amis. Je levai les yeux et aperçu Minho.
-Salut Newt, me dit-il avant de prendre deux café et repartir vers sa chambre.
Le silence régnait, on aurait pu entendre voler une mouche. Quand une voix sourde le brisa.
-Éloigne-toi de la porte mon coeur, dit Minho.
Sa voix était si douce que le bruit de la porte volant en éclats nous fit tous bondir en arrière tandis que moi je me cognais contre le mur.
-Tu aurais pu frapper, cria Alice.
-Et tu m'aurait ouvert ma douce? dit Minho.
-Non ... mais tu aurait dû frapper quand même, rétorqua Alice.
-Qu'est-ce que tu fait ? Lache-moi grand crétin, cria Alice.
Je m'étouffais de rire, à la vu de Minho portant sur son épaule, une Alice furieuse.
-Espèce de tortionnaire patenté, repose-moi immédiatement par terre, beugla Alice.
-Ca par exemple !!! je viens de me faire insulter grave, ricana Minho.
Passant devant moi, Alice, les coudes appuyer au dos de Minho me dit ...
-Bonjour Newt, peut-tu me rendre une petit service et dire a ce grand dadais que mes jambes fonctionnent très bien et qu'elle ont besoin de se dégourdir.
-Bonjour à toi petite Alice, et oui je peut le faire, mais ça sera vachement moins drôle a voir, lui dis-je en riant.
Je me demandais qui de ces deux forte personnalité céderais en premier, qui aurais le courage de laisser l'autre gagner?
Je n'attendit pas longtemps.
-Je t'aime Minho.
-Je sais ma belle et je te laisserai toujours m'attraper.
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Et voilà!
J'espère qu'elle vous plait.
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