Doctor Strange

Hello everybody! à la demande expresse d'une amie qui lit mes imagines (coucou Sica :3) j'ai écrit les imagines sur Stephen Strange (attention au spoil) et je le rajouterais aux prochains imagines ^^ah oui et je lui ai promis une pub aussi! Voilà donc je vous conseille les drabbles qui n'en sont pas vraiment XD sur le magnifique et adorable couple NightSilver (des X-men Diablo et Quicksilver ^^) testé et approuvé par notre bande de joyeux lurons! (en vrai c'est cool ce qu'elle écrit *0*) donc voilà, ça ne coûte rien d'aller jeter un œil si vous êtes intéressées, elle se nomme Sica10 ! ^^ Enjoy! ^^

La 1ère fois que tu l'as vu :

Tu déambulais dans Kathmandu, un peu perdue au milieu de ce décor indien inhabituel pour toi. Tu bousculas un homme à la peau mate –plus que celle d'ici en tout cas- et t'excusas dans un anglais approximatif.

Tu soupiras et regardas pour la centième fois le papier où un nom mystérieux était inscrit. Kamar-taj.

Tu devais t'y rendre en vu de soigner les nerfs et muscles de ton bras droit qui t'avaient lâchés suite à un malheureux accident, mais le lieu semblait si secret et inconnu que tu te demandas s'il existait vraiment. Tu passas devant une marchande d'amour dans une rue bondée et t'arrêtas brusquement devant une porte.

Elle n'avait rien de spécial, pourtant. Une porte bleue, solide, somme toute banale. Mais elle avait accroché ton regard et tu ne parvenais plus à l'en détacher.

Tu montas la volée de marches et, sur le perron, toquas à la porte. Cinq minutes plus tard tu tentas à nouveau, jusqu'à tambouriner comme une folle.

PDV narrateur :

A l'intérieur de Kamar-taj on entendait puissance dix les martèlements de la porte à cause de la caisse de résonance de l'entrée. Les maîtres et les élèves commençaient à être rameutés.

Wong monta de la bibliothèque, des livres sous les bras : « Strange ! Vas ouvrir cette fichue porte ! »

L'homme interpellé apparu à l'étage et se pencha par-dessus la balustrade : « On a déjà assez d'apprentis ici, Beyoncé ! Renvoie-le !

-Elle insiste !

-J'en veux pas, renvoie la ! »

Wong grommela contre ce tête de mule de nouvel Ancien et, sa pile de livres dans les bras, lui cria : « Très bien, mais tu vas lui annoncer ça toi-même !

-Quoi ?!

-C'est ton boulot, Strange ! »

Le docteur jura dans sa barbe et le libraire s'en alla en ricanant.

Strange vérifia ses cheveux dans le miroir, lissa les plis de sa cape et descendit.

PDV lecteur :

Tu avais arrêté de tambouriner à la porte et avais posé ton front contre le métal frais. Le soir tombait tandis que tu tentais d'apaiser la douleur de ta main.

Soudain, sans prévenir, la porte s'ouvrit et tu tombas en avant, droit dans les bras d'un grand homme. Tu te redressas vivement, prête à te confondre en excuses, quand tu croisas le regard suffisant de l'homme qui fit claquer ses lèvres en signe de mépris : « Pas de place.

-C'est bien Kamar-taj, n'est ce pas ? Oh s'il vous plait, j'ai fais un tel chemin pour venir ici !

-ça t'aura fait les pieds. On n'a pas de place.

-Je serais toute petite !

-Tu prends déjà assez de place comme ça. »

Tu te rendis compte que tu étais encore dans ses bras :

« Mais c'est vexant !

-Peut importe, c'est complet.

-S'il vous plait ! J'ai dépensé tout mon argent pour venir ici !

-Tant pis pour toi. »

Wong passait à ce moment là et s'arrêta en riant : « On dirait toi à son âge, Strange !

-Quoi ?! »

Vous aviez crié en même temps, aussi vous vous regardâtes de travers en faisant la moue. Strange protesta :

« Ouai, mais...Mais...Mais ce n'est plus le cas !

-Oui, mais tu pourrais l'aider !

-Mais non, ja-mais ! »

Le libraire réfléchit une seconde puis hocha la tête : « Tu as raison, ne lui enseigne pas ! »

Strange fronça les sourcils et fit une moue, puis contra : « Non, on va la prendre. »

Tu souris et ris au clin d'œil de Wong, puis Stephen leva les yeux au ciel, soupira et lança : « Mais c'est toi qui t'en occupe ! »

Et il fila comme un voleur, te laissant avec un Wong exaspéré qui lui criait de se comporter en adulte responsable.

Tu le revois et tombe amoureuse :

Tu avais été logée dans la chambre de Wong, sur un futon que tu rangeais le matin et sortais le soir. La journée tu étais investie dans les activités, mais l'enseignement de l'Ancien était difficile, aussi la bibliothèque était ton deuxième lieu favori.

Wong te regardait passer chaque jour chargée de livres mais jamais tu n'avais accès à la réserve. Aussi, tu avais décidé d'utiliser les portails pour lui piquer des ouvrages.

Ce soir-là, après le coucher de Wong, tu glissas ton double anneau à ta main gauche et traça maladroitement de ta main droite les symboles dorés dans l'air en visualisant la réserve.

Le cercle se forma et tu y passas la main, attrapant un livre dans les étagères privées. Tu commenças à amasser des livres dans ton sac, quand tu tentas de prendre le Manuel des Sortilèges Défendus : Le Temps.

Une main agrippa alors ton poignet et te tira dans le cercle de lumière. Tu te retrouvas brusquement devant ton maître : Strange.

Tu t'apprêtais à te confondre en excuses mais quelque chose te retint : peut être le sourcil levé ou le minuscule sourire en coin du docteur. Tu lui offrit un grand sourire : « Professeur Strange ? N'ai-je pas le droit d'accéder à la connaissance ? »

Il sourit : « Les portails sont interdits dans la réserve.

-C'est pour ça que vous êtes ici alors que le maître Wong dort.

-Savez vous que ce livre est interdit ?

-Absolument, tout comme l'œil d'Agamoto à votre cou. »

Il sourit un peu plus à ta répartie impeccable puis se força à reprendre son air sévère :

« Comptez-vous me dénoncer à Beyoncé ?

-Qui ?!

-Wong.

-Eh bien, pas si vous gardez pour vous ce qui s'est passé ce soir.

-Entendu. »

Tu tendis la main et il s'apprêta à la serrer quand dans un claquement un épais tissu rouge s'interposa. La cape. Strange tenta de la faire bouger, sans succès.

Il haussa les épaules : « Bon, je vous fais confiance. Bonne nuit, Y/N. »

Sur ce il traversa un cercle de lumière et disparu.

Déclaration d'amour et premier baiser :

Tu avais beaucoup progressé dans la maîtrise de la magie et de l'esprit, tu parvenais enfin à faire bouger ton bras. Mais tu étais face à un dilemme : soigner ton bras et ne plus faire de magie, ou laisser ton bras inerte et progresser dans les arts de la lumière. Tu en avais parlé avec Wong, puis avec Strange, qui t'avait tout bêtement conseillé de faire moitié/moitié.

D'ailleurs, en parlant de Strange, vous vous étiez beaucoup rapprochés, votre goût pour le savoir et l'interdit vous étant commun.

Wong ne voyait que votre facette publique, de jour, où vous faisiez semblant de vous détester, et ignorait que la nuit vous vous retrouviez dans la réserve pour lire, partager vos connaissances et boire quelques alcools népalais.

Votre relation avançait bien, malgré le comportement étrange de la cape qui refusait tout contact entre Strange et toi, et parfois même que vous vous parliez.

Tu t'étais rendue compte qu'elle était sujette à une forme de jalousie à ton égard.

Tu te débrouillais donc pour qu'elle soit moins présente encore vous –se retrouver avec un voile rouge devant les yeux quand on parle est perturbant- mais elle n'appréciait pas cela du tout.

Et Stephen, cet ahuri, ne se rendait compte de rien, aussi tu décidas de prendre les choses en main.

Tu dégageas Wong du Sanctuaire pour une journée et préparas un environnement agréable à base de calme, et un repas new-yorkais dans la verrière. Tout était prêt, ne manquait que le principal concerné. Tu entendis ses pas dans l'entrée et tentas de le rejoindre. Tentas, car tu fus enroulée dans un lourd tissu rouge qui fila dans le sanctuaire et t'enfermas dans un placard à balais.

SANS ton double anneau. Shit. Cette fichue cape avait verrouillé la porte –une porte sacrément solide d'ailleurs, qui voudrait voler des balais ?- et s'était vraisemblablement tirée déjeuner avec Stephen à TA table, avec TON déjeuner.

Tu tambourinas contre le bois, pas très efficacement puisque personne ne vint te sauver. Mais pourquoi avais tu viré Wong ?

Tu t'assis et colla ton oreille au plancher. Rien. MAIS PUTAIN POURQUOI TOUT EST ISOLE ICI ?! IL BAISAIT LA NUIT L'ANCIEN OU QUOI ?!

Tu te cognas la tête contre la porte et soupiras : ton déjeuner était à l'eau. Tu avisas du coin de l'œil les balais et autres brosses qui jonchaient l'habitacle. Avec un peu de chance Strange serait prit d'une furieuse envie de faire le ménage et viendrait ici. Si peu probable....

Tu te mis à cogner contre la porte en hurlant le nom de ton seul possible sauveur. Mais il allait bouger ses fesses ce magicien ?!

Au bout d'environ une heure à secouer cette fichue porte tu entendis des pas dans le couloir. Tu gueulas : « Strange ! Strange sors moi de là idiot ! »

Au bout de quelques secondes une clé tourna dans la serrure, la poignée s'abaissa, et la porte s'ouvrit sur un Stephen Strange éberlué.

Tu voulus te jeter dans ses bras mais un tourbillon rouge s'interposa. Tu allais l'arracher de force quand la voix du docteur retentit, plus sévère et froide que tu ne l'avais jamais entendue : « écartes toi. »

Le tissu frémit puis lentement retourna sur les épaules de son propriétaire.

Strange te sourit : « Alors, tu te caches dans les placards ? »

Tu rougis et secoua la tête sans répondre. Tu ne pouvais pas décemment critiquer sa cape chérie.

Il passa une main dans tes cheveux : « Tu devrais aller déjeuner. »

Il posa légèrement ses lèvres sur ton front et tourna les talons en souriant.

Les semaines passèrent, votre relation se développait et un jour, un mardi après-midi de mai, Stephen descendit vers la porte d'entrée du sanctuaire, le visage fermé et son double anneau aux doigts.

Tu dévalas les escaliers en criant son nom et, n'arrivant pas à freiner, tu percutas son torse de plein fouet. T'accrochant à sa tunique, tu levas la tête : « Où tu t'en vas comme ça Stephen ?

-Mordo s'attaque à certains des nôtres, il faut que je l'arrête.

-Tu reviens quand ?

-Je ne sais pas, mais j'aimerais que tu gardes quelque chose pour moi jusqu'à mon retour.

-Bien sûr ! Quoi donc ? »

Il sourit et se pencha pour poser un léger baiser sur tes lèvres. Quand il se releva tu resta béate puis un sourire s'étira sur tes lèvres et tu voulus l'embrasser à ton tour.

Il posa un doigt sur ta bouche : « Tatata, tu me le rendras à mon retour.

-Je t'attends, Stephen. »

Il te fit un clin d'œil et sortit, disparaissant rapidement dans les rues bondées de Kathmandu tandis que tu souriais béatement.

Rencontre avec un autre personnage :

Tu observais par-dessus l'épaule de Stephen, perchée sur une marche supérieure, la carte brillante entre ses mains. Les lettres dansaient sur le papier glacé et Stephen restait silencieux. Wong rangea un livre : « Alors ? Tu as perdu ta langue ? »

Tu répondis à sa place : « On est invités à une convention magique à Londres.

-Et bien, ça lui a fermé le caquet ? Remarque ça nous fait des vacances. »

Stephen se secoua finalement : « Aller Y/N, on y va. Wong, on reviendra le plus tard possible pour profiter d'une virée sans toi.

-Hey ! »

Ignorant Wong, il te prit la main, traça un portail doré juste devant Buckingham Palace et t'y tira.

Londres était encore chaude et ensoleillée en cet automne, et la foule paresseuse coulait comme la Tamise dans la grande ville.

Main dans la main, vous marchâtes jusqu'à Big Ben, passâtes par une porte plus ou moins secrète et montâtes un long escalier en colimaçon.

Au bout d'un certain nombre conséquent d'étages, vous entrâtes dans une vieille salle circulaire en bois sombre, avec des poutres soutenant la voûte et une armature en fer plus ou moins bien dissimulée.

Un pan de mur était consacré à l'horloge, avec un grand cadran rond et légèrement transparent qui éclairait la salle avec les aiguilles en contre-jour qui créaient d'étranges ombres sur le sol.

Dos à vous, observant la ville par ce cadran géant, se tenait une grande femme vêtue de violet et de noir, ses cheveux tordus en deux sortes de cornes de part et d'autre de sa tête au maintient impeccable.

Strange te poussa légèrement derrière son dos : « ça ne ressemble pas vraiment à une convention magique, Maléfique. »

La femme se retourna, son visage verdâtre dardant de grandes pupilles noires vers le magicien : « Strange ! Stephen, mon petit, je ne t'attendais pas si tôt. Tu es bien pressé de tomber pour moi... Et...de toute évidence tu t'encoquine avec de jeunes paysannes sans intérêt.

-Ne parle pas de Y/N comme ça ! »

Stephen, d'un mouvement de main, créa des disques de lumière. Maléfique eut un rictus : « Vraiment, comptes tu m'attaquer avec ces jouets ridicules ? Tu es si adorable...Mais je ne compte pas me battre contre toi. Tu refuses et a toujours refusé de collaborer avec moi, te sentant supérieur et tu as rejeté mon amour pour toi ! Je te maudis, Strange ! »

Elle pointa son long doigt tordu vers toi et prononça sa sentence : « Ta chère et tendre ici présente mourra le 13e jour de ses fiançailles, à l'aube, et tu n'y pourra rien ! Maintenant, vivez et souffrez, jeune couple malheureux ! »

Et elle disparu dans un épais nuage de fumée verte.

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