La fête foraine
Pdv Thomas.
Je me réveille en sursaut. La cause, de grands coups donné dans ma porte. Je me lève dans être vraiment réveillé et vais vers la porte. Les coups continuent.
-J'arrive, j'arrive.
J'ouvre la porte et je crois ne pas bien voir la personne qui se trouve devant moi. C'est elle, elle. La personne don je suis amoureux depuis que je l'ai rencontré, voilà de ça 3 ans. À l'époque nous étions dans la même école à partir de la 3 ème secondaire. J'ai 18 ans et elle aussi.
Elle s'appelle Lise et moi Thomas. On se connait depuis 3 ans. Elle est la fille la plus géniale que j'ai rencontrée, forte de caractère, elle n'abandonne jamais, ne laisse jamais ses amis seuls, elle a un petit côté enfant que j'adore. Et moi, un garçon avec des amis, plutôt cool, un garçon normal quoi. Je me demande comment on a pu devenir amis avec autant de différences qui nous sépare. On est même meilleurs amis. Je l'aime depuis toujours mais elle ne s'en rend pas compte.
-Lise ?
-Thomas ! Habille-toi !
-Pourquoi ?
-On va à la fête foraine. Allez, dépêche!
-Mais j'ai pas envie.
-Je m'en fout, allez viens.
Devant son insistance et sa joie, je ne peu pas refuser. Et ça me donnera un peu de temps pour qu'on soit tous les deux. Je fila m'habiller tandis qu'elle attendait sur le canapé. Quand je du prêt, on partit. On prit ma voiture jusque là.
Pdv Lise.
Je suis dans la voiture de Thomas. Il est super, c'est un gars géniale. Je suis une fille tout à fait normale comparée à lui. Je l'aime depuis la 3 ème secondaire, moment ou l'on c'est rencontré mais lui ne m'aime pas. Aujourd'hui, j'ai trouvé un bon prétexte pour passer du temps avec lui, la fête foraine.
J'adore les fêtes, je les passe toujours avec lui. On est meilleurs amis depuis longtemps et je passe presque tout mon temps avec lui. J'ai 18 ans et depuis mes 15 ans on est toujours ensemble. Ce qui ne me dérange pas.
Aujourd'hui j'ai prévu de lui dire que je l'aime mais j'ai peur de sa réaction. J'ai peur de gâcher notre amitié pour ça.
Enfin, on est arrivé. Je descend de la voiture et regarde autour de moi. Les manèges, les vendeurs de sucreries, tout me rends heureuse ici, mon âme d'enfant ressurgit et je commence à sauté partout en emmenant Thomas de manège en manège.
Pdv Thomas.
Cela fait maintenant 3 heures que nous sommes à la fête et Lise n'arrête pas de courir partout. Elle veut faire toutes les attractions qu'elle voit. On dirait une enfant qu'on emmène pour la première fois à la fête foraine. Nous continuons donc de monter dans les manèges.
Il est 20 heure et Lise commence à avoir faim, on se dirige donc vers un marchand de barbe à papa. Elle en commande deux et sort son portefeuille. Je pose une main sur son épaule en lui disant.
-C'est moi qui invite, laisse.
-Arrête, je vais le faire.
-Non, j'insiste.
-Bon... D'accord.
Je paye les barbes à papa et on continue de marcher en mangeant.
Il se fait tard et la nuit commence à tomber. On décide de faire une dernière attraction avant de partir.
Pdv Lise.
Il me demande quelle attraction je veux faire en dernier car il se fait tard. Je lui répond que je veux aller sur la grande roue et nous y allons. Nous attendons dans la file tout en terminant notre barbe à papa. Quand vient notre tour, nous prenons les billets et nous installons dans une cabine, un à côté de l'autre. La roue commence à tourner. Je décidé que arriver en haut je lui montrerai mes sentiments.
Pdv Thomas.
Un blanc s'installe entre nous, nous sommes gêné alors que je ne vois pas pourquoi. J'aimerais qu'arriver en haut je lui dise mes sentiments mais je n'en ai pas la force. On regarde chacun de notre côté tandis que la roue tourne. Lorsque la roue arrive tout en haut, Lise se tourne vers moi, on se regarde dans les yeux.
-Thomas.
-Oui ?
-Je dois te dire un truc. Dit-elle avec un sérieux que je ne lui connaissais pas.
-Vas-y.
-Hé bien...je...je... Je t...
-Quoi ?
-C'est trop dur. J'y arrive pas. Dit-elle tandis qu'une larme lui échappe.
-Pourquoi tu pleures ?
-J'ai peur de tout gâché.
-Mais non, vas-y, parle.
-J'y arriverai pas.
Tandis que je m'appretais à répliquer elle approche sa tête et scelle nos lèvres. Je suis en même temps choqué et heureux mais je n'arrive pas à bouger et elle prend ça comme un refus.
Pdv Lise.
Je me retire vite. Il n'a pas répondu et j'aurais du m'y attendre. Comment ais-je pu autant me leurré. Je crois que j'y ai cru un court instant. Mais il n'a pas réagit. Je me retourner et les larmes coulent en abondance.
-Désolé, je ne sais pas se qui m'a prit. J'ai cru que...
Je ne termina pas ma phrase.
-Je voudrais que l'on reste amis. Dis-je.
-Non.
-Je m'en serais douté.
Les larmes coulèrent plus fort encore. J'avais tous gâché, tout.
Pdv Thomas.
-Non, je ne veux pas que l'on reste amis.
Je la regarda se tourner encore mes l'extérieur et pleurer plus fort. J'étais encore sous le choc. Donc, elle m'aime. La douceur de ses lèvres, les papillons dans mon ventre. Et soudain, mon cerveau tilta. Je l'aime et elle m'aime, sauf qu'elle crois le contraire.
Je la saisi par l'épaule et la retourna. Les larmes coulaient sur ses joues et ses yeux étaient rougis. Je n'attendit pas plus longtemps et l'embrassa. Au début, elle ne réagi pas mais, après, elle répondit. On s'embrassa encore et encore. On se sépara et nos deux fronts restèrent collé.
-Je t'aime. Lui dis-je.
-Moi... Moi aussi. Je t'aime.
************
-Voilà chérie, tu sais maintenant comment nous nous sommes rendu compte que nous nous aimions.
-C'est trop mignon papa. Dit Maël, ma fille.
-Je suis de ton avis. Dit Lise, ma femme.
-Un jour, je voudrais aimez quelqu'un comme vous vous aimez. Dit Maël.
-Ne t'inquiète pas. Ça t'arrivera aussi. Lui répondis-je.
***†***********
Voilà mes bichons.
Os qui n'était demande par personne mais que j'avais envie d'écrire.
Bisous.
Helllia.
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