Fanfic Percy Jackson - Rencontre inattendue

Bon, ben voilà. J'ai tué une dizaine de loups en faisant dérober le sol autour de moi. Une fois les loups avalés par la forêt, le sol s'est remis normalement, et j'ai réussi à me dégager du loup mort (avec des difficultés). La forêt était silencieuse, comme retenant sont souffle après ce qui s'était passé. "Tu vois quand tu veux" me dit la femme aux yeux verts. 

Je n'osais pas répondre. Comment aurais-je dû réagir ? Je ne le sais pas, mais j'avais une boule au ventre énorme, et, pliée en deux, les jambes en coton, je me suis écroulée dans le buisson pour vomir. J'avais jamais tué personne, considérant le meurtre comme quelque chose d'horrible, une faute impardonnable à ne jamais commettre. Et me voilà, à avoir assassiné une dizaine de loups (le nombre exact était 11, et je ne sais pas comment je le sais). Après m'être vidée, je me suis approchée de l'arbre le plus proche, et je me suis écroulée de sommeil. 

J'aurai jamais dû m'endormir. 

Les cauchemars étaient horribles, plus sanglants les uns que les autres. Je voyais un piège, une faux qui découpe un homme hideux en morceaux. Les morceaux balancés à travers le monde, afin que jamais personne ne puisse reconstruire cet homme. Javais les yeux de quelqu'un d'autre, et la personne que j'incarnai souriait, fière d'elle. 

Sans transition, je me retrouva dans la forêt, où j'entendais les plaintes des loups qui me déchiraient les entrailles. 

Puis c'est devant ma mère que je me retrouva. Une femme très jolie, qui portait toujours des robes longues. Je pensais qu'elle avait une cicatrice sur ses jambes et qu'elle ne voulait pas la montrer, mais la je la voyais, le teint blafard, les yeux rouges, et les jambes... L'une était tellement poilue qu'on aurait dit qu'un animal avait fusionné avec ma mère, l'autre était aussi métallique et dure que du fer. 

Puis, sans transition, je me réveilla, face à un garçon qui était un peu trop près de moi à mon gout. Je lui asséna un coup de poing en pleine figure, avant de me relever pour lui faire une clé de bras. 

- C'est bon ! Lâche-moi je suis gentil ! m'a t-il dit, souffrant le martyr. Je me promenais juste quand je suis tombé sur toi ! Allez lâche-moi s'il te plait.  

Je l'ai lâché. "Tue-le" me conseilla la femme. 

- Même pas en rêve !

- Quoi ? demanda le garçon, surpris.

- Non rien. Qui es-tu et d'où viens-tu ? 

Je pointais maintenant mon poignard de droite dans sa direction. 

- Euh... Je m'appelle Malcom Pace et c'est un peu compliqué. 

Mon cerveau réfléchissait à toute allure. Malcom Pace... Ca me disait quelque chose. "Perd pas de temps et tue-le !" me hurlai maintenant la femme, mécontente. Je rangea mon poignard. 

- Et si tu prenais le temps de me raconter ton histoire, Malcom ?

- Si tu veux, mais ce n'est pas fameux. 

Il s'est assis, un peu paniqué. Mais je le rassura d'un regard : il n'avait rien à craindre de moi. (Bon, d'accord je venais de le menacer avec un poignard après lui avoir fait une clé de bras, mais ça s'excuse, non ?).

Il commença à me raconter une histoire très plausible de paysan dans le coin qui a des moutons et tout le blabla, mais la femme se méfiait, et moi aussi. 

- Et en vrai, ça donne quoi ?

Il parut surpris.

- Comment tu as su que je mentais ? D'habitude, personne n'arrive à savoir si je dis la vérité ou si je mens.

- Je ne sais pas... Quand tu mens tu fais une mimique au coin de ta bouche. Tu veux bien être honnête, maintenant ? 

- Tu ne me croirais pas. 

- N'en sois pas si sûr.

Je prêtai pour la première fois attention à son physique. Il avait des cheveux blonds un peu ébouriffés, une peau bronzée et des yeux gris qui me donnaient l'impression d'être examinée des pieds à la tête. Dans un sac à bandoulière, j'ai vu qu'il était équipé de deux livres et d'un couteau. 

Il m'a suffit de réfléchir un peu (eh oui, ça m'arrive) et je me suis rendue compte que je savais qui il était. Je poussa un petit cri de stupeur.

- Tu es Malcom, le demi-frère d'Annabeth ! 

- Oula : tu es bizarre, toi. Comment tu sais ça alors que je ne t'avais jamais vu avant ? Tu es une amie d'Annabeth ?

"Ennemi" disait la femme. 

- C'est un peu compliqué. Disons que j'ai des livres, et que dans ces livres, il est question de l'histoire de Percy. Ainsi que des héros de l'Olympe ensuite. Donc... Ouais, je conais bien Annabeth, mais elle ne me connais pas. 

- C'est du pipeau ton histoire, on dirait ! Je n'ai jamais entendu parler de livres de ce type ! Et en livres, je m'y connais !

Il me rappelai une amie, quand je lui parlais de ces livres, elle m'a affirmé qu'elle avait eu beau chercher, ils n'étaient en vente nulle part. 

- Tu veux une preuve ? Alors, Annabeth a peur des araignées, à cause de l'histoire entre votre mère, Athéna, et Arachné.Elle est la petite amie de Percy, et se passionne pour l'architecture. Elle était la plus vieille de la colonie, étant arrivée avec Thalia et Luke, qui s'est trouvé être un traitre plus tard. Elle a été missionnée par les dieux de reconstruire l'Olympe. A bord le l'Argo II, elle avait pour mission d'utiliser la marque d'Athéna pour ramener l'Athéna Partenos. Elle s'entend bien avec pas mal de monde (surtout Piper) et elle est conseillère du bungalow d'Athéna. Ah et son père s'appelle Frederic Chase, il est passionné d'avions et est diplomé d'Harvard. Son cousin, Magnus Chase fait parti de la mythologie nordique. Ca te va ? Ou je dois encore me justifier ? 

Il avait l'air effaré. Terrifié. Et horrifié. Mais au moins, il ne semblait plus avoir de doutes quand à ce que je disais.

- Mais dis-moi... 

- Lucie. 

- Dis-moi, Lucie. Que fais-tu ici, toute seule, dans le bois ? 

- Je... Tu vas me trouver idiote. Mais, je me sens liée à l'histoire de Percy et Annabeth. Je sais pas... Mais je sens qu'ils vont avoir besoin de moi. Je sens qu'un danger arrive, t qu'il faut que je vous aide. En plus, en temps que fan, j'ai toujours rêvée de rejoindre la colonie. 

- Mais... Sans vouloir te vexer, tu sais si tu es une demi-déesse, ou tu supposes ? 

- C'est à dire que... Bah en faites je pense être mortelle. Ou du moins je pensais. 

Une boule m'étripait le ventre, tandis que je racontais à Malcom ma superbe soirée d'hier. A la fin, il n'en menait pas large non plus. Il semblait perdu. 

- Attends... Un vent qui parle... Tu as fait QUOI au sol ! Mais c'est pas possible je... Olala. Lucie, tu ne peux être qu'une demi-déesse. Je ne vois pas d'autres solutions. Tu ne peux pas rester ici. Tu as de la chance de n'être tombée que sur des loups. La dernière fois, les mosntres s'agitaient encore dans le coin. 

Moi ? une demi-déesse ? C'est le plus beau jour de ma vie ! Et le plus flippant aussi. Et ouaaaaaaaaaaaaaaaah Moi, Lucie, J'étais une DEMI-DEESSE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Enfin en supposition, car ma vie restait quand même incroyablement calme, pour une DEMI-DEESSE !!! 

- Il faut que je te ramène à la colonie, c'est plus prudent. Déclara Malcom, en se levant. 

Au même moment, les branches ont tressailli, et une silhouette féminine se planta devant nous. 

- Vous n'allez nulle part, Malcom Pace. 

Je regardai la silhouette avec effarement. 

- Maman ?! 

Yo les gens j'espère que le confinement se passe bien. Pour moi en tout cas, ça roule ! J'espère que les aventures de Lucie vous plaisent. N'hésitez pas à laisser un commentaire ! 

Gros bisous !

L.V

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