Pour info le sujet de l'histoire était " La premier fois que vous couchez ensemble " et l'histoire et sur " Game of Thrones - Préférences - RPG " de Melyssa69 , mais ici j'ai rajouté des choses.

Lilia Arterton est représenté par Gemma Arterton

Ça ce passe après la saison 6 mais ce n'est pas inspiré de la saison 7 de Game of Throne ( quand j'écris ça je ne l'ai malheureusement pas encore vu ).
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Infos Histoire et Personnage :

Lilia Arterton est la meilleure amis de Daenerys Targaryen depuis que cette dernière et son frère on était accueillis par maître Illyrio Mopatis, un riche magistrat de Pentos .
Maître Illyrio a recueillit Lilia quand elle avait 5 ans, il l'a trouvé dans son jardin inconsciente et amnésiques, n'ayant pas d'enfants il l'adopta et la traita comme sa propre fille. Lilia a donc eu le droite une excellente éducation ainsi que des connaissance dans l'espionnage grâce à Varys, dit l'araignée ( un ami de son père adoptif ).
Quand Darnerys a était vendu à Khal Drogo, Lilia a prétendu ( à son père adoptif ) vouloir devenir la traductrice de Daenerys pour s'assurer que elle et son frère avait bien l'intention de reprendre le Throne de fer mais la vérité c'est qu'elle voulait juste protéger sa meilleure amie.

* Viserion est le dragon jaune de Daenerys Targaryen, c'est aussi le dragons qui aime le plus Lilia.

*Nerys est le surnom que donne Lilia à Daenerys.

*Le verredragon est une roche volcanique fragile et vitrifiée, communément appelée obsidienne. De couleur noire, aux reflets parfois bleu violacé, ses bords sont tranchants comme un rasoir. Les seules armes capables de tuer les Marcheurs Blancs sont celles faites avec du Verredragon.

*L'acier valyrien est un acier forgé selon un processus en partie magique ( avec des flammes de dragons ) qui confère une légèreté et un tranchant sans égal aux lames qui sont ainsi forgées.

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Histoire :

Ça fait une semaine que je suis arrivais avec Théon devant les portes de Winterfell sur le dos de *Viserion.
Je crois que je rappellerai toujours de la tête de Sansa et Jon quand j'ai crié que j'étais venu sur l'ordre de Daenerys Targaryen pour faire d'eux nos alliés. Il faut avouer que je n'ai pas été très fine sur ce coup là, heureusement que Théon était là pour confirmer tous mes dires et m'aider à les convaincre.

Pendant cette semaine il s'est passé pas mal de choses. 
D'abord, Jon qui est apparemment le roi du Nord depuis peu, a accepté de s'allier à Daenerys si elle promettais de donner son indépendance au Nord quand elle sera Reine et de l'aider à combattre ce qui venait avec l'hiver, les Marcheurs Blancs. Ayant appris plus jeune ce que sont les Marcheurs Blancs, j'ai directement sauté sur *Viserion pour prévenir *Nerys de la future situation critique dans le Nord .
Nerys était encore en mer quand je lui est tout raconté mais elle a accepté sans hésiter de combattre les Marcheurs Blancs quand je lui est expliqué ce qu'ils sont . Pour l'indépendance, là par contre elle n'a pas dit oui sans hésiter, elle a même pas dit oui du tout, la réponse que j'ai apporté à Jon à ce niveaux à était un pauvre on verra . J'ai connus Nerys plus poétique, mais bon, c'est mieux qu'un non catégorique, en tout cas Jon s'en est contenté avec une grimace. D'un côté, il n'a pas trop le choix puisqu'elle n'a pas dit non, le problème c'est qu'elle n'a pas dit oui, non plus .

Après ça, tout fut plutôt calme, si on enlève le fait qu'on a préparé la guerre contre les marcheurs blancs au Nord et potentiellement contre Cercei si elle essaye de s'échapper ou que Daenerys a besoin de renfort.

Et puis, il y a aussi eu un petit quelque chose qui m'a beaucoup plu. Avec Jon, on s'est embrassé, enfin c'est plutôt lui qui m'a embrassé quand je suis allé le voir dans sa chambre pour lui soumettre mon idée, qui était d'aller espionner Cercei en m'inflitrent au Château.
J'avais eu cette idée et je pensais que Jon allait être d'accord et aller peut-être même me dire que c'était une très bonne idée. Mais c'est tout le contraire qui s'est passé, il m'a traité d'inconscience et m'a interdit d'y aller en prétextent que c'était trop dangereux.
Heureusement ce n'est pas tout, quand je lui est bien fait comprendre qu'il n'était pas mon roi et que je n'avais pas à lui obéir, il m'a embrassé en me supplient presque de ne pas y aller, qu'il ne supporterait pas de me savoir en dangereux avec lui aussi impuissant et loin de moi .

.....

Demain avec Jon on part au mur, aujourd'hui un corbeau est arrivé et nous a informés qu'une jeune fille et un jeune garçon était à Châteaunoir. Le garçon dit s'appeler Bran Stark et chercher son frère Jon Snow, il a aussi dit qu'il fallait à tout prix qu'il parle à Jon.

Jon ne veut pas que je l'accompagne mais je ne lui ai pas laissé le choix. En plus comme je lui ai fait remarquer, à vol de dragon on sera à Châteaunoir en pas longtemps et comme *Viserion ne se laissera monter que par moi il est obligé de m'emmener.

Je suis dans la chambre qu'on m'a  donné ( celle de Jon avant, quand il était pas Roi du Nord ), assise en tailleur sur le lit, les cheveux mouillés, habillé pas comme un homme, pas comme d'habitude depuis que je suis ici où il fait si froid. Mais de ma plus belle tenue, une des seuls donc je me suis jamais séparé.
Pourquoi? Tout simplement parce qu'elle m'a était donné par mon père adoptive et que je l'ai porté pour le mariage de Nerys.

* tenue mais pas mouillé *

En caressent la fourrure beige de mon lit je réfléchis au danger qu'il y a au delà du mur, il y a une chance que meurs là-bas, elle est petite, mais là.
J'aime Jon et je ne veux pas mourir sans mettre donné à lui, avant ça ne m'aurait pas dérangé de mourir vierge mais maintenant que je connais l'amour...
Je me lève du lit décidé et sors de la chambre en laissent mon manteau donné par Sansa, mon arc avec mes flèches, mes couteaux et mon fouet, là où je vais j'aurai de quoi me réchauffer et mes armes sont inutiles.

Pieds nus, d'un pas décidé, je traverse les couloirs pour arriver à la porte de Jon où je frappe avec conviction et sans aucune hésitation.

Quelques secondes après Jon m'ouvre habillé d'une simple chemise et d'un pantalon .

Jon me regarde surpris :
- Lilia? Qu'est-ce que tu fais là? Tu devrais...

Je le coupe en enroulant mes bras autour de son cou et l'embrassant avec désir, Jon recul de quelques pas en me prenant par la taille par réflexe. Il ne répond pas tout de suite au baiser, sûrement étonné de mon initiative si direct, mais ça a vite changé quand il a senti ma langue essayer de ce forcer un passage dans sa bouche. Pendant qu'on s'embrasse langoureusement avec passion je fermes la porte avec mon pied, Jon mit colle assez violemment, coupant notre baiser endiablés.
Un petit gémissement de douleur sort de ma bouche sous le choc inattendu. Jon essaie de reculer en bredouillent des excuses mais je lui en empêche en resserrant mes bras autour de son cou. Jon enfouit sa tête dans mon cou me faisant sentir sa respiration aussi saccadé que la mienne.

Je chuchote sensuellement à l'oreille de mon bien-aimé :
- Jon, prends-moi.

Jon lève la tête d'un coup sec me faisant presque sursauter, ses yeux sont grand ouverts et il sort difficilement son :
- Quoi?

Je colles mon front chaude au siens brûlent et en le regardant bien dans les yeux je lui dis doucement :
- Je t'aime Jon, je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne et je veux être tienne. Je ne sais pas ce qu'il va nous arriver au mur, peut-être rien, peut être...

Jon me coupe :
- Ne dis pas ça!

- Il le faut bien Jon, tu sais mieux que personne que le mur n'est pas sans danger.

Jon frôle mes lèvres des siennes en disant d'une voix rauque :
- Je te protégerai, quoi qu'il arrive.

On s'embrasse tendrement avant de se séparer et qu'il continue :
- Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime Jon... Et je veux être tienne.

- Tu es déjà miennes.

Il m'embrasse et rajoute :
- Et je suis tiens.

- Alors prouve-le moi.

Je rapproches ma bouche de son oreille et lui susurre :
- Fais-moi totalement tienne, ce soir.

À peine ma phrase fini, Jon tourne sa tête pour m'embrasser comme jamais il m'avait embrassé auparavant. Ce baiser est remplie d'amour,de passion, de désir et en même temps de tendresse.
Ses mains descendent sur mes fesses qu'il caresse, pendant que moi je passe mes mains dans ses cheveux en faisant pression et ouvrant légèrement la bouche pour approfondir le baiser. Jon n'a pas besoin de plus pour rentrer sa langue dans ma bouche pour que nos langues jouent ensemble.
Le baiser est si intense que j'en perd pieds au point où mes jambes en deviennent inutilisables. Sentant que mes jambes me lâche, Jon me soulève sans cesser de m'embrasser. Pour l'aider j'enroule mes jambes autour de sa taille pendant qu'on détache nos lèvres pour remplir nos poumons d'air.

J'ai déjà la tête qui tourne mais quand Jon pose ses lèvres sur non pas à nouveau les miennes mais sur mon cou, je vois carrément flou. Je fermes les yeux sous le plaisir et penches ma tête en arrière, jusqu'à la cogner à la porte dans mon dos, pour laisser un meilleure accès à mon cou à Jon.
Jon embrasse, mordit et suce la peau délicate de mon cou pendant que moi je lui tire légèrement les cheveux, lui arrachant de temps en temps un grognement de plaisir.

Jon me suce longtemps et fortement à un endroit bien voyant du cou, une fois son "travail" fini il me dit fièrement avant de recommencer à attaquer mon cou :
- Maintenant tu es à moi.

- Mais je suis déjà à toi.

Je n'ai pas besoin d'être un génie pour savoir qu'il vient de me faire un bon gros suçon bien voyant et que là il sourit.

Entre deux baisers suçoté Jon me souffle :
- Oui mais maintenant les autres le voit.

Je rigoles légèrement avant lui demander :
- Mon loup serait-il possessif?

Jon me dit entre deux baisers mouillés qu'il descend dans mon décolleté :
- Avec toi, oui.

Je gémis en me cambrant quand il m'embrasse/suce la naissance de ma poitrine et me remercie mentalement de ne pas avoir mis des habits nordique.

À mon plus grand désespoir Jon cesse son baiser/suçon pour dire :
- Comment ne pas l'être?

Je remontes la tête de mon loup en glissant mes pommes sur ses joues, encadrant son visage de mes mains.

J'ai dit en frôlant exprès mes lèvres aux siennes à chaque mot :
- Je suis déjà à toi et à toi seul, MON loup, mon loup des neiges.

Je l'embrasse avec amour pendant quelques secondes avant que Jon détache nos lèvres pour me dire :
-Et je suis à toi et à toi seul, MA louve, ma louve du désert.

Il écrase avec amour ses lèvres sur les miennes n'attendant que les siennes, nos lèvres dansent ensemble en harmonie.
Notre baiser est plutôt doux au début mais il devient bien vite plus passionné, plus animal.
Sans m'en être rendu compte j'avais descendu mes mains sur le torse musclé de mon loup, jusqu'à les faire glisser sur ses abdominaux.

Jon me mordit ma lèvre inférieure pour que j'ouvre mes barrières charnu pour laisser passer sa langue mais je n'en fais rien, ce qui lui arrache un grognement de frustration. Je souris, j'ai envie de le faire languir pour que son désir et sa frustration soit à son comble quand nos langues se rencontreront. Pour l'émoustiller encore plus, je passes mes mains sous sa chemise, dessine ses abdos avec mes doigts fins avant de remonter très lentement vers son torse que je caresses. Pour finir j'ondules mon bassin comme coup de grâce avant de lui ouvrir mes barrières que son mes lèvres. À peine mes lèvres entrouverte, que la langue de mon loup rentre affamé dans ma bouche pour se jeter avidement sur ma langue. Nos langues se battent quelques secondes pour avoir le dessus mais rapidement celle de mon loup prend le dessus avec bestialité. Le plaisir est si grand que je gémis fortement en griffent inconsciemment le torse de Jon avec mes ongles longs et acérés. Un gémissement grognement sort de la bouche de Jon qui a retiré sa langue de ma bouche pour juste poser ses lèvres sur les miennes.

Jon détache ses lèvres appétissantes des miennes pour qu'on reprenne tous les deux notre souffle.
À peine l'air sorti de ma bouche qui se mélange avec celui de Jon tellement nous sommes proche.

Avec sa voix grave et rauque Jon me dit entre deux respirations saccadée :
- Tu me rends fou.

- Et toi tu me donnes chaud.

- Laisse-moi arranger ça.

Jon me décolle légèrement de la porte et m'enlève ma veste qu'il jète plus loin par terre.

Je noie son cou de baisers humide et lui dit entres deux baisers :
- J'ai encore chaud.

Il caresse brièvement la peau de mon ventre que mon haut ne cache avant de remonter à ma poitrine où il enlève les boutons de mon habille un par un. Il semble hésiter sur le dernier bouton, alors je me détache un peu de lui pour enlever moi-même la dernière barrière de ma poitrine. Et me débarrasse de mon haut avec empressement, d'un seul geste j'enlève ma dernière manche et la lance au bout de la pièce.

Jon louche grandement sur ma poitrine et se rend à peine compte quand je lui dis avec un sourire malicieuse :
- À ton tour maintenant.

Je prends le bas de la chemise de Jon et la tire vers le haut, ce qui cache la vue à Jon qui s'empresse de se débarrasser de ce tissu encombrant. Sa chemise vient tout juste de toucher le sol quand je fais glisser ma main sur son torse pour la passer dans son pantalon, surprenant Jon.

Je souris malicieusement et dis après avoir commencé à faire des va-et-vient dans son pantalon :
- Elle est déjà bien gonflé dis-moi, je te fais autant d'effet que ça?

Comme seul réponse, Jon grogne en mettant sa tête dans le creux de mon cou. Son souffle chaud me fait frissonner et ça fait sourire Jon qui me lèches le cou en me caressant les cuisses.

Arrivé à mon oreille Jon me chuchote de sa voix au combien sexy :
- Je pourrais te demander la même chose.

Il me soulève de façon à ce que ma main ne puisse plus attendre sa grosseur et que mes tétons qui pointent soit à l'hauteur de ses lèvres qui en embrasse un.
Ses baisers sont brûlants et je gémis à chaque fois qu'il touche ma peau.
Jon me lèche le téton avant de l'abandonner pour embrasser chaque parcelle de peau tout autour de lui.
Mes mains on rapidement fait leur chemin vers le torse de Jon que je caresse et griffe même de temps en temps.

Mon loup passe ses merveilleux baisers à mon autre poitrine jalouse qui n'attend que les lèvres de mon bien-aimé.
Pendant que Jon me fait un suçon sur la haut de la poitrine, une de mes mains vient s'agripper au cheveux de mon loup pendant que l'autre passe dans son dos.

Je gémis soudainement le prénom de Jon quand il me suce violemment le téton mais il ne s'arrête pas là et me le mordit inlassablement. Comme pour me venger je tires sur ses cheveux et griffes son dos comme une sauvage.

Jon détache sa bouche de moi et me dit avec un sourire carnassier en me redescendant à sa hauteur :
- Il est temps de te débarrasser de ton habits encombrants.

Le temps que je percutes avec mon esprit embrumé qu'il parle de m'enlever mon pantalon, je suis déjà sur le lit avec un loup affamé qui me dévore du regard au dessus de moi. Je profites de ce moment d'admiration pour moi aussi le dévorer du regard, je me mord la lèvre inférieur quand mes yeux glisse sur son torse puis sur ses abdos .

La voix de mon loup me réveille :
- Arrête de faire ça, tu me rends fou!

- Quoi?

Je regarde mon bien aimé ,qui a l'aire de se battre contre lui-même, avec incompréhension. Arrêter de faire quoi?

Je ne vois pas de quoi il parle mais ça m'a l'air amusant, je souris de façon charmeuse et prend une voix de séductrice pour dire :
- Je ne sais pas du tout de quoi tu parles mais si je te rends fou, tant mieux.

- Je t'aurais prévenu.

Mon loup m'embrasse férocement en faisant glisser ses mains sur mon corps jusqu'à arriver à ma taille, là où il m'enlève ma ceinture et fait glisser mon pantalon jusqu'à mes genoux.
Jon arrête d'embrasser mes lèvres pour embrasser mon corps. Ses baisers passent de mon cou jusqu'à mon intimité où il s'attarde avant de continuer son chemin jusqu'à mes cuisses. Il fait descendre mon pantalon en même temps que ses baisers jusqu'à arriver au moment ou je ne portes plus rien du tout.
Jon embrasse mon coup de pied une dernière fois avant de remonter son visage en face du mien.

Il caresse mes cheveux mouillit et sourit en me disant :
- Je sais que c'est pas le moment mais depuis que tu es arrivé je me demandes pourquoi tu as les cheveux mouillés.

Je rigoles doucement et inverses nos positions avant de lui répondre :
- Je me suis lavé, j'ai pris un bain, chaud, pour toi.

Jon sourit, apparemment satisfait de ma réponse.
Moi au dessus de lui avec ses mains sur mes hanches, je commences à onduler lentement le bassin, frôlant ,voir frottant mon entre jambe contre la grosse bosse qui dépasse de son pantalon.
Nos respirations se font plus rapide, j'accélère, nos gémissements se font entendre à l'unisson, je ralentis.

J'arrêtes progressivement mes ondulations sur mon bien aimé, me penche en faisant glisser mes mains sur son torse et dit avec envie, amour, passion et désir :
- Je te veux Jon, je veux te sentir en moi.

Une lueur d'envie, d'amour, de passion et de désir incontrôlé est passé dans les yeux mon loup quand il m'a retourné pour se retrouver au dessus de moi.
Mon sang est en ébullition et c'est avec des gestes vive et précis que je défait les lacets du pantalon de mon loup.
Et c'est au moment où je descends son pantalon avec l'aide de mes jambes que la seule bougie de la pièce s'éteint, nous laissant dans le noir. Mais cela ne m'arrêtes et je fais glisser le pantalon de mon bien aimé jusqu'à ses chevilles, là où Jon s'en débarrasse facilement.
À ce moment-là je réalise que nous sommes nu, sur un lit, dans une chambre, plongé dans le noir et que je vais le faire, qu'on va le faire. Bizarrement la peur ne m'envahit pas, contrairement au bien-être, là tout de suite je me sens bien et confiante.
Doucement avec mes jambes je pousses le bassin de Jon vers le mien, l'incitant à le faire.

Je sens le sexe de Jon se stopper à l'entrée de mon intimé et dans le silence la voix de mon loup se fait entendre :
- Tu peux encore reculer si tu veux, je t'attendrai aussi longtemps qu...

- Non, je veux le faire ce soir, maintenant.

J'ai coupé mon bien-aimé sûr de moi et ça semble lui suffire vu que ce soir nous ne faisons plus qu'un.

.....

Je me réveille complètement nue dans la lit et les bras de Jon, un sourire étire mes lèvres et je soupire d'aise en respirant l'odeur de mon amant.

Pendant que j'allais me rendormir après avoir bien recalé ma tête sur le torce de mon loup, la voix de ce dernier m'en empêcha :
- Tu sais qu'il faut qu'on se lève, ma louve ?

Je soupire avant de dire :
- Oui, je sais, mais j'avais espéré pourvoir rester encore endormi comme ça un moment.

- Je suis désolé mais ...

- Je sais mais je tiens quand même à dire que tu casses l'ambiance romantique.

- Dé...

- Et arrête de t'excuser et laisse-moi profiter de toi pleinement 10 secondes de plus.

Je conclus ma phrase par un doux baiser sur les lèvres de mon amant.

.....

Je cherche du regard mon haut et le trouve en boule dans un coin de la pièce , je me dirige vers lui à grand pas et le ramasse pour l'enfiler avec empressement.

Je tremble de froid, il fait froid ce matin et en plus je suis habillé avec des habilles qui ne convienne pas aux temps.

Je me frotte les bras et aller me retourner pour chercher ma veste, que j'ai aperçu prêt de la porte, quand je reconnais son tissu se poser sur mes épaules. Je me retourne pour y voir mon loup me sourire, portant juste un pantalon donc torse nu.

Je mets mes bras dans les manches de ma vestes bien trop léger puis m'entour de mes bras dans l'espoir de me réchauffer pendant que Jon me demande:
- Tu as froid ?

- J'ai un peu honte de te dire oui pendant que tu es torse nu et moi habillé mais oui, je suis gelé.

Je fini ma phrase sur un claquement de dent, qui ne me fait pas hésité pour plonger sur le torse chaud de mon loup quand il mît invite de ses bras ouvert.
La joue posé sur son épaule et les mains contre son torse, je ferme les yeux pendant que mon loup referme ses bras sur moi . Je me sent tellement bien, en sécurité et aimé que j'aimerai restais comme ça le plus longtemps possible.

Mais comme tout les bonnes choses on une fin, mais avant ça:
- Je t'aime Jon.

Jon semble surpris de ma phrase mais ce reprend vite et me sert encore plus contre lui en enfoncent sa tête dans mes cheveux.

Mon loup respire mon odeur avant de me souffler à l'oreille avec tellement d'honnêté et sincérité que j'en rate un battement de cœur :
- Moi aussi je t'aime, tu peux pas savoir à quel point.

Avec une harmonie parfaite nous redressons nos têtes pour se regarder amoureusement et avec de la même façon au même moments :
- Je t'aime tellement.

Sur ces mots on s'embrasse et je sais que ce baiser et comme une promesse, une promesse silencieuse que seul nous comprenons et respecterons.

.....

Une fois dans ma chambre je m'habille comme un homme du Nord avec quelque couche en plus.
Je fini par mes grosses bottes fourré dans lequelles je glisse un couteau de lancer en *Verredragons et un poignard en *acier Valérien dans chaqu'une d'elle.
Je me lève et accroche mon fouet Dothrakis à la ceinture, il repose sur ma cuisse gauche à l'inverse de mes deux couteaux de lancer en *acier Valérien, qui sont accrochés à ma cuisse droite.
Pour finir je prends mon manteau cape en fourrure de couleur fauve, que Sansa ma magnifiquement fait et le loup ainsi que le dragon qu'elle a brodé dessus sont à couper le souffle.

Je vérifie que je peux bien attraper mes deux poignards en *Verredragons , qui sont caché dans mes protège avant-bras en acier Valérien. Avant de prendre mon carquois de flèches et l'arc recouvert *d'acier Valérien avec les côtés tranchent qui va avec.
Je regarde ce qui à étais ma chambre ici avant de sortir en attrapent mon sac au passage.
Je traverse les couloirs pour sortir dehors en espèrent que je reviendrai et avec Jon, en vie.

J'arrive dehors où le froid m'agresse de plein fouet mais voir Sansa, Théon, Jon, Fantôme et *Viserion me réchauffe le cœur.
J'avance vers eux en me disent qu'il faudra que je remercie Jon d'avoir garder le jour de notre départ secret comme je lui avait demandé. Je préfère faire mes potentiels adieu sans avoir des gardes curieux ou qui ne me fait toujours pas confiance autour de nous.

.....

Dire au revoir à quelqu'un à des personnes que tu aimes beaucoup avec la sombre pensé que peut être c'est un adieu est dur. Beaucoup plus que ce que je pensais, je ne l'ai connais pas depuis si longtemps mais l'idée de ne pas pourvoir les revoirs me rend malade et me donne envit de pleurer, ce que je doutes de savoir encore faire pourtant. Mais je me demande bien pour qui ça était le plus dur, pour Sansa et Théon quand je les ai pris dans mes bras ou moi quand ils m'ont rendu mon étreinte. Sûrement eux, après tout ils sont presque en sécurité ici mais moi j'ai de grande chance de ne pas l'être du tout au mur. Qu'est-ce que ça fait de prendre des gens que tu aimes, qui va à la mort, dans ses bras? À mon avis ça doit faire mal au cœur à en juger par les larmes de Sansa prête à couler et le visage sombre de Théon. Mais Jon sourit, est ce qu'il sourirai si il était à la place de Sansa, je ne sais pas. Ce qui est sur par contre c'est que moi je sourirais pas mais de tout façon ça ne risque pas de m'arriver, j'espère.

Je me relève après avoir enlacé Fantôme qui me touche autant que Sansa et ses larmes. Fantôme et loin d'être un idiot, il ne sait peut être pas ce qui se passe précisément mais il sent bien que ça ne va pas et ça ne m'étonnerai pas qu'il sache qu'on parte.

Jon prend ma place et caresse Fantôme en lui disant :
- Prends bien soins de Sansa, ok?

Je montes sur *Viserion et rajoute:
- Et ne mange pas Théon! Il est pas comestible, tu risquerai d'être malade.

Tout le monde rigole et Jon se redresse et prend la main que je lui tend pour se hisser sur *Viserion et bien sur derrière moi.
Jon enroule c'est bras autour de ma taille en se collent à moi, une de ses mains remonte vers ma poitrine mais je lui frappe.
Jon descend rapidement sa main ayant très bien compris le message et sans plus attendre on s'envole vers l'hiver.

Fin