Chapter 39 | #BADBOY
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PRIAM | Pour appuyer ses propos, ma belle brune aux iris scintillants commence à relever le tee-shirt et découvre son nombril. Je dépose mes lèvres dessus et embrasse cet endroit si sensible. Sa respiration se coupe quand ma langue s'insinue dans ce creux, qui l'a reliée à la vie pendant neuf mois. Ses doigts glissent dans mes cheveux et s'agrippent à mes mèches. Je remonte sur ses abdominaux tout en traçant un chemin sinueux sur son ventre menant d'un côté à l'autre de ses côtes.
Ses muscles se contractent à plusieurs reprises.
— Tu es toujours aussi chatouilleuse, je constate en soufflant sur sa peau de pêche.
Ses iris brillants me répondent, alors que sa main gauche délaisse ma tignasse pour relever un peu plus le tissu noir. Je me recule, un brin surpris par son audace.
— Tu n'es pas obligée d'aller...
— ... J'en ai envie, Priam, elle murmure en me fixant intensément. Tu es bien torse nu, toi, elle ajoute en plongeant son regard appréciateur sur mes pectoraux.
— Oui, mais...
Les mots restent bloqués dans ma bouche quand le tee-shirt ne recouvre plus sa poitrine.
— On ne peut pas, Luciole, tes pères peuvent entrer à tout moment, je tente de la raisonner.
— J'ai fermé la porte à clé.
Mes yeux ne savent plus où se poser. Sur ses lèvres rougies par la torture de ses dents ? Ou bien sur ses iris vairons qui pétillent d'envie ? Ou encore sur sa poitrine offerte, qui se soulève et se baisse irrégulièrement en se calquant sur le rythme de sa respiration erratique ?
— Tu es magnifique, Luciole.
Elle coquelicote et j'adore voir ses pommettes se colorer. Je les embrasse puis je descends sur cette bouche bien trop tentante. Notre baiser s'enflamme, tout comme mon érection. Je ne sais pas combien de temps je peux tenir à ce rythme. Je passe ce qui reste de tissu au-dessus de sa tête pour le lui retirer. Je l'admire, la vénère de mon regard incandescent avant de déposer un bisou entre ses deux seins. Sa peau se recouvre de milliers de petits points merveilleux tandis qu'elle laisse échapper un gémissement. Ses jambes se resserrent et je sais ce qu'elle ressent sans avoir à descendre plus bas.
— Ton boum-boum joue une belle mélodie.
Son sourire — un peu gêné — est pourtant rayonnant de malice quand sa main droite se trouvant toujours dans mes cheveux pousse mon crâne pour m'indiquer la direction à prendre. Je l'interroge du regard pour être certain de ne pas me fourvoyer sur son intention. Sa tête hoche son assentiment en étirant ses lèvres jusqu'à ses fossettes.
Ma respiration se coupe quand ma paume s'enroule autour de son sein. Le bout de mes doigts en redessine le contour avant d'effleurer son aréole. J'effectue un rond en le frôlant puis je dépose un baiser doux sur le dessus. Mon regard se relève vers ma Princesse pour être le témoin privilégié de la moindre de ses réactions. Sa bouche ouverte cherche à capter le plus d'air possible, ses yeux sont brillants de plaisir et la joie que reflète son visage m'encourage à continuer.
Mes lèvres aspirent ce petit bout de chair à plusieurs reprises, ce qui pousse Mac à serrer ses poings sur le drap. Ma langue prend le relais, elle tourne autour de son mamelon pour le cajoler avant de le sucer. Ma Princesse se cambre et retient un gémissement plus sonore en plaçant la paume devant sa bouche. Je la regarde se débattre avec ce qu'elle ressent dans son corps toujours aussi tendu. Je recommence ma caresse buccale et affirme ma capture sur son autre sein pour le câliner à son tour. Ils sont parfaits pour moi. Ils ne sont ni trop petits, ni trop gros, et se dressent fièrement. Je les découvre bien fermes, même sans être soutenus par son soutien-gorge.
Ses doigts n'en finissent pas de fourrager mes cheveux, de les tirer, reflétant le maelstrom de sensations qui la traverse. Je sens une de ses mains quitter ma tignasse pour descendre le long de ma nuque, puis dévaler mes vertèbres une à une comme si elle passait un palier sur chacune d'entre elles. Ses ongles griffent de plus en plus mon épiderme, déclenchant au passage de délicieux frissons. Ces vibrations sont intenses et amplifiées quand elle arrive à ma chute de reins, où je pense qu'elle va s'arrêter.
Mais mon aventurière s'avère bien plus téméraire que je ne l'aurais imaginé. Sa paume vient de recouvrir ma fesse. Cette caresse est douce et enveloppante. La peau de sa main est juste séparée de la mienne par mon caleçon. Autant dire que ça. Ou rien. C'est pareil.
Enfin, c'est ce que je croyais, car, quand ses doigts s'infiltrent sous le tissu de ce dernier, je déchante. C'est tellement plus...
Je ne peux éviter de ressentir des contractions involontaires. Je ferme les yeux pour contrôler toutes les sensations qui traversent mon corps et alimentent mon érection. Je dois être à la hauteur et lui montrer que je maîtrise ce que cette belle brune me pousse à éprouver.
— Tu ne veux pas que je te caresse ?
— Si... Au contraire.
— Pourtant tu t'es crispé ? Elle me fait remarquer.
— Je tente de contenir tout ce que je ressens.
— C'est pour ça que tu as arrêté de sucer mon sein ?
Sa façon de nommer son anatomie est aussi libre que l'éducation que lui ont inculquée ses papas. Pas de tabou chez les Mayer-Carlson, surtout du côté de Connor. Et même si mes mamans sont ouvertes d'esprit, je n'avais jamais rencontré une nana qui s'exprime si franchement.
— Je te choque ? Elle s'alarme.
— Non, Luciole. C'est juste que je ne suis pas...
— ... À l'aise pour parler de sexe ? Ça m'étonne, nous avons déjà discuté plus crûment que ça.
— Ça n'a rien à voir, je ne savais pas trop comment me situer. Tu m'as avoué que tu n'étais jamais allée au-delà des bisous et de quelques caresses avec les autres mecs, alors...
— ... C'est pour ça que je préfère te dire ce que je ressens ou ce que je désire. Comme ça, il n'y a pas de gêne ou de malaise entre nous, elle m'annonce sérieusement avant de redevenir légère. Donc, revenons à tes fesses ?
— Tu peux les câliner autant que tu le souhaites, ma Princesse...
Mon sourire lumineux entre en résonance avec le sien. Et c'est avec le regard pétillant que sa paume se replace sur cette partie charnue et musclée de mon corps, qui a l'air de bien lui plaire. Elle la malaxe entre ses doigts et alterne avec des caresses douces. Je profite à fond de cet instant nouveau pour moi aussi. Je n'aurais pas imaginé que j'apprécierais autant de recevoir de l'attention à cet endroit de mon anatomie.
Je jette mon dévolu sur son autre sein et le combo est gagnant. Ma tentatrice serre aussitôt ma fesse en me témoignant ce qu'elle ressent alors que ma langue s'amuse avec son téton dressé.
— Encore...
J'accède à sa demande en l'aspirant avec un plaisir non dissimulé. Instantanément, ma Luciole se cambre et laisse sa tête partir en arrière pour s'enfoncer dans l'oreiller. Son corps arc-bouté propulse son intimité contre mon érection. Le contact est immédiat. Loin de la gêner ou de la voir coquelicoter, elle ondule son bassin en gémissant. Petits bruits excitants que je recouvre de ma bouche.
Pas question que les papas ou les jumeaux débarquent.
— Luciole... Je tiens à honorer ma promesse envers ton père.
— Et ?
Je lis la déception qui est en train de se peindre sur son si beau visage. Je ne veux pas qu'elle soit triste ou contrariée, même si je sais qu'elle le sera tout autant que moi.
— On ne peut pas aller plus loin, ce ne serait pas correct par rapport à la confiance que m'ont témoignée James et Connor.
Elle me frappe de ses poings sur mon torse tout en évacuant un cri étouffé qui contient toute la frustration qu'elle ressent.
— Tu es décidément trop sérieux, Priam Sanders.
— Mais c'est aussi ce que tu apprécies chez moi. Tu sais que je ne prends pas cette relation à la légère. Je tiens à toi, Luciole. Je veux être à la hauteur et faire les choses bien.
— Comment te le reprocher ? J'ai tout de même droit à un bisou ?
— Autant que tu en as envie... Le buffet est à volonté, je la taquine.
— C'est dommage qu'il n'y ait plus de saucisse a déguster...
— T'es vraiment une chipie.
— Connor m'a appris que lorsqu'on désire quelque chose dans la vie, on doit se battre pour l'obtenir.
— Conseil qu'il a appliqué avec James.
Je me cale sur mon flanc à côté de ma Princesse, car c'est trop bizarre d'évoquer la vie de ses pères en étant couché entre ses jambes. Mackenzie est allongée sur le dos et regarde son plafond étoilé réalisé par Théo. Je balade la pulpe de mon index sur sa peau de pêche et je la bade.
— Heureusement que Connor a insisté, sinon mon papa serait sans doute resté hétéro et j'aurais eu une belle-mère avec laquelle je ne me serais peut-être pas entendu. Les jumeaux n'existeraient pas, quoique par moments, ils s'avèrent à un tel point chiant que franchement...
— ... Tu es dure avec eux. Souviens-toi comment on était à leur âge.
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➥ Priam part à la découverte du corps de Mac comme cette dernière le lui a demandé. Le jeu est dangereux en sachant que les papas ou les jumeaux pourraient les déranger, non ?
➥ Mackenzie se montre audacieuse et exprime ce qu'elle veut. Pensez-vous que cela vient de l'éducation libre qu'elle a reçue de la part de Connor et James ?
➥ Priam se rend compte que l'attention de Mackenzie sur ses fesses lui plaît. C'est une première pour lui malgré qu'il ait déjà couché avec des nanas. Sa belle brune, même si elle est vierge, a l'air de savoir ce qui pourrait enflammer son cavalier, non ?
➥ Priam, malgré l'excitation, retrouve un soupçon de sagesse et indique à Mackenzie qu'ils doivent arrêter pour qu'il tienne sa promesse envers les papas. Mac trouve que c'est un mec trop sérieux. A-t-elle raison ?
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✨ Demain matin à 11 h 00, on retrouvera le nouveau chapitre de PRIAM.
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🥰 Bonne journée, mes Infinity Love, gros bisous 😘
🖤 Kty.Romance 🩷
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