II,1
Céliass regarde par la fenêtre et jure.
Céliass : Et merde, jle savais.
Lwiz : Kesskisspass ?
Céliass : Il se passe qu'un train vient de s'arrêter à côté du nôtre.
Lwiz : Et alors ?
Céliass : Alors deux choses : d'une tu es une maîtresse (en tout bien tout honneur) particulièrement stupide, de deux, vu que tous les trains étaient arrêtés, le seul à rouler devait être celui de la terroriste.
Lwiz : Ah.
Céliass : Tu ne vois pas le problème ?
Lwiz : Non, mais je me demande si je ne suis pas aveugle. Ça expliquerait pourquoi je ne sais pas lire.
Céliass : ÇA VEUT DIRE QUE LA TERRORISTE VIENT POUR TE TUER, GOURDASSE !
Lwiz : C'est vraiment pas gentil de sa part ! Je parie que c'est parce qu'elle est jalouse du succès de ma fanfiction.
Céliass : Ta fanfic est nulle, donc je pense pas. Non, c'est un agent du démon, cherchant à se repaître de ton âme !
Lwiz : En parlant de se repaître, j'ai faim. Elle farfouille dans son sac et en sort un sandwich.
Céliass : C'est pas le moment ! Elle semble avoir une idée. Quoique que... Donne-moi ton sandwich !
Lwiz : Ah non c'est mon mien !
Céliass : Donne où je répète à tout le monde que tu as envoyé deux personnes à l'asile à force de dire des conneries.
Lwiz : Bon d'accord, mais lui fais pas de mal !
Céliass : Mais oui, mais oui. Elle l'ouvre en deux, cri d'horreur de Lwiz, et jette une tranche de jambon sur le sol.
Lwiz : GOURGANDINE ! COMMENT OSES-TU MALTRAITER MA NOURRITURE ?
Céliass : C'est un piège, connasse. En entrant, la terroriste va glisser sur le jambon, se vautrer comme un sac à patates, et je pourrai l'achever vite fait bien fait.
Lwiz : Hmmm des patates... Elle bave un peu.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top