« Maintenant vous n'êtes plus que 5, même si il n'y a eu que deux épreuves. Mais bon, passons.

Dans la prochaine épreuve, vous aurez chacun 3 portes, vous aurez juste à choisir laquelle voulez vous traverser. Attention, 1 porte sur 3 est mortel, choisissez bien.» Finit-il de dire avec un rire sarcastique.

C'était le hasard, ou la chance, pas le talent. Trois portes qui mènent sur des long couloirs, 2 qui vont à la salle suivante, et 1 qui ne mène nul part mais qui empoisonne chaque personne qui ose y mettre les pieds.

Même si la probabilité de se retrouver dans le mauvais couloir est de 25%, nous ne sommes pas sûr.

Marie avait perdue sa moitié, elle voulait mourir mais après tout, ce n'est que de la chance. Elle n'avait plus que sa sœur, Mathilde.

Elles avaient été séparées au divorce des parents, mais elles étaient souvent convoquées avec leur parent devant le juge et avaient donc créé une sorte de langue qui permet de se parler sans éveiller les soupçons.

Elles pouvaient se regarder, sans faire aucun son, mais en communiquant à leur façon durant des heures entières.

Lors de jeux d'équipes, cela pouvait être extrêmement pratique.

Mais à ce moment précis, ce n'était pas un jeux d'équipe mais seulement un jeux : « que le meilleur gagne »

Cela ne plaisait à aucun de nous, mais on ne pouvait faire autrement.

Soit on continuait, soit on mourait.

On choisit tous un couloir et 2 furent éliminés, sur 5.

Marie ne put entendre la voix de Mathilde une dernière fois, elle s'évanouit en quelques secondes et s'éteint devant Marie qui n'en pouvait plus, après avoir perdu son petit ami, elle perdit à la suite, sa sœur avec qui elle avait grandit.

Puis, elle se leva et regarda les jumeaux, ils avaient survécus eux, ce n'était pas le cas de tout le monde.

Aspon n'était pas sorti de son couloir.

Il n'en restait alors plus que trois.

Marie et les jumeaux.