Il était une fois
Il était une fois, une forêt enchanté où vivait tous les personnages de contes. Nous les connaissons bien dû moins nous le croyons. Un jour, ils se trouvèrent piégé dans un monde où les fins heureuses n'existaient plus. Notre monde, voici comment tout à commencer.
Monde enchanté ➡ Passé
Monde réel ➡ Présent
Monde enchanté.
PDV Matteo :
Je suis sur mon cheval pour retrouver Luna avant qu'il ne soit trop tard. J'arrive dans une forêt, et je vois Luna dans un cerceuil de verre avec les 7 nains autour.
Grincheux : Vous arrivez trop tard.
- Non !! Ouvrez-le.
Grincheux : Je suis désolé, elle est morte.
- Je veux lui dire en revoir.
Il ouvre le cerceuil, et je caresse ses cheveux et je dépose un baisers sur ses douces lèvres, depuis notre baisers une magie puissante se déchainèrent dans tout le royaume comme une sorte d'avalanche. Cette magie a une nom : l'Amour. L'Amour est la plus puissante des magies qu'il y a qui permets de rompre tout les sortilège. Soudain, je la sent bouger, je me lève doucement et la vois se réveiller.
Luna : C'est toi, tu m'as trouvé.
- Comment as-tu pensé que je n'arriverais pas ?
Luna : Sincèrement, le cerceuil ma apeufé de beauté.
- Là-dessus, tu n'as pas à t'en faire. Je te retrouverais toujours.
Luna : Tu me la jurais.
Et je la prends dans mes bras, je suis le plus heureux des hommes.
***
PDV Luna ;
Nous sommes en train de se marier !! Je suis hyper heureuse d'être sa femme et personne nous nous séparera !
Matteo : Oui, je le jure.
Prêtre : Et vous Luna, cet homme que vous prenez pour votre époux, jurez-vous de l'aimé et de le chérir pour l'éternité ?
- Oui, je le jure.
Prêtre : J'ai donc la joie et l'honneur de vous déclarer mari et femme.
J'allais l'embrasser quand soudain la porte s'ouvre violemment.
Daniela : Excusez-moi, je suis en retards.
Atchoum : C'est la reine, vous devez fuir !
Je prends l'épée de mon mari et le pointe sur elle.
- Non, elle n'est plus reine ! Ce n'est plus qu'une méchante sorcière !
Matteo prend mon l'épée que j'avais dans la main, il me regarde dans les yeux tout en caressant mes joues.
Matteo : Non, non, ne te laisse pas emporter, elle n'en vaut pas la peine. Vous vous fatiguez pour rien , vous avez déjà perdue ! Et vous ne gâcherez pas ce mariage !
Daniela : Oh, je ne viens pas pour gâcher la fête, c'est tout le contraire mon cher. Je suis venue vous offrir un présent.
- On ne veux rien recevoir de vous !
Daniela : Vous l'aurez quand même parce que le présent que je vous offre, c'est ce dernier jour de bonheur et de fête. Demain, j'entreprendrais mon oeuvre inévitable. Vous venez d'échangez vos serments, à moi de faire le mien. Bientôt, tout ce que vous aimez, absolument tout ce que vous aimez vous tous ici présent. Vous sera enlevé pour toujours et de votre malheure, je tiendrais ma plus grande victoire. Je jure de réduire à néant votre bonheurs ! Je jure de le faire quoi qu'il en coûte.
Matteo : Et !!!!
Il lança son épée sur Daniela mais elle se sauve dans une fumée. Je me réfugie dans les bras de Matteo.
Monde réel :
?? : Il est bien ton livre ?
Bernie : Ouais et c'est pas n'importe quel livre.
Bernie se dirige dans un taxi.
Bernie : Vous prenez les cartes de crédit ?
Chauffeur : Tu veux aller où p'tit ?
PDV Sol :
Je suis dans un restaurant en train de chercher ma table car j'ai un rendez-vous.
Ryan : Sol ?
- Ryan ? Tu as l'air soulagé ?
Ryan : Euh ouais, c'est-ce qui est gênant avec internet, c'est les photos qui sont parfois...
- Trafiqué ? Ancienne ? Ou récupérer d'un catalogue de lingerie ? Bon alors...
Ryan : Alors, si tu me parlais un peu de toi Sol ?
- Euh, c'est partie. Aujourd'hui, c'est mon anniversaire.
Ryan : Ah bon ? Et tu le passes avec moi pas avec tes amies ?
- Je suis plutôt solitaire.
Ryan : Et t'aime pas être en famille ?
- J'ai personne à aller voir.
Ryan : Sa m'étonne, tout le monde a une famille.
- Techniquement oui mais tout le monde connaît pas ses parents. Sayez, t'a envie de fuir ?
Ryan : Oh non absolument pas, tu sais...tu es de très loin la plus sexy des orphelines que je connaisse.
- Très bien, à ton tour, non attends laisse moi deviner. Alors, je dirais que tu es beau, charmant...
Ryan : Continue.
- Ouais, tu es aussi le genre de mec et dit le moi si je me trompe. Qui pique le fric de son patron, se fait arrêter et se barre de la ville avant qu'on est eu le temps de le foutre en toll.
Ryan : Quoi ?
- Il y a plus à plaindre dans l'histoire, c'est ta femme. Ta femme qui t'aime tellement, qu'elle a payé ta caution et comment tu récompenses sa loyauté, tu dragues sur internet.
Ryan : Qui es-tu ?
- La nana qui a payé l'autre moitié pour que tu sortes.
Ryan : C'est toi la garante de caution ?
- Ta garante de caution.
Il se lève brusquement, renverse la table sur moi et se barre en courant.
- Oh super.
Je marche le plus vite que je peux, j'ai pas besoin de courir, je sais que je vais l'avoir. Je le vois dans sa voiture, je me dirige vers sa voiture et ouvre la porte là où il est assis.
Ryan : Si tu veux, on peut s'arranger. Je peux te payer, j'ai de l'argent.
- Non, t'en a pas et si tu en avais, tu devrais le donner à ta femme pour servir ta famille.
Ryan : Tu connais quoi à la famille ?
Je le cogne contre son volant, et je m'éloigne peu à peu de sa voiture.
- Rien du tout.
Je rentre chez moi et prends un cup-cake, je mets une bougie sur le cup-cake. Avec l'ironie que j'ai en moi, je dis :
- Encore une belle année qui s'annonce.
Je ferme les yeux et souffle la bougie. Soudain, la porte se mets à sonner. J'ouvre la porte et je vois un garçon de 10 ans.
- Euh... Qu'est-ce que tu veux ?
Bernie : C'est toi Sol Benson ?
- Ouais et t'es qui toi ?
Bernie : Je m'appelle Bernie, je suis ton fils.
Quoi mais c'est pas possible !!! Il rentre dans la maison au calme.
- Petit, attends, attends ! J'ai pas d'enfants. Où sont tes parents ?
Bernie : Il y a 10 ans, tu as bien eu un bébé que tu as fait adopter ? Ben, c'était moi.
Emma : Je reviens dans 1 minute.
Je me dirige dans la salle de bain, pour encaisser ce que je viens d'entendre. C'est vrai que j'ai eu un bébé il y a 10 ans...
Bernie : Et ! Ta pas un jus de fruit ? C'est bon, je l'ai trouvé.
Je sors de la salle de bain.
Bernie : Maintenant, je pense qu'on devrait y aller.
- Aller où ?
Bernie : Je veux que tu viennes à la maison avec moi.
- Ah d'accords, c'est bon j'appelle les flics.
Bernie : Je leur dirait que tu m'as enlevé.
- Et ils te croiront parce que je suis ta mère biologique ?
Bernie : Exactement.
- T'oserais pas faire ça.
Bernie : Vas-y essaye.
- Tu te débrouilles bien, tu sais je suis pas bonne en grand chose dans cette vie mais j'ai au moins un don, une sorte de super-pouvoir. Quand les gens mentent, je le sais tout de suite. Et toi petit, tu mens. J'appelle les flics.
- Attends, n'appelle pas les flics, s'il te plaît, s'il te plaît. Rentre à la maison avec moi.
- Et c'est où ça ?
Bernie : A Storybrooke dans le Maine.
- StoryBrooke ? Sa existe ?
Il hocha la tête.
- Alors d'accords, je vais te ramener à Storybrooke.
Monde enchanté : ( 3 mois après le mariage )
PDV Luna :
J'ai peur du futur, j'ai peur qu'il détruise ce que j'avais construis. Matteo s'approche de moi.
Matteo : Qu'il y a-t-il ?
- Rien.
Matteo : Tu es encore en train de penser à ce que la reine a dit ? Je t'en supplie Luna, on en a déjà parlé des dizaines de fois, il faut que tu sortes ces idées de la tête. On est sur le point d'avoir un bébé.
- Je n'ai pas réusie à dormir une nuit entière depuis le mariage.
Matteo : C'était exactement ce qu'elle voulait, tu es morte d'angoisse mais ce sont que des mots. Elle n'a aucun moyen de nous atteindre.
- Elle a voulue m'empoisonner pour une simple question de jalousie, tu ne sais pas de quoi elle est capable.
Matteo : Dis-moi ce que tu veux que je fasse.
- Laisse moi le voir, je veux lui parler.
Matteo : Tu penses à... Tu veux lui parler ?
- Oui.
Matteo : Non, non, non, non, c'est trop dangereux.
- Il peut voir l'avenir.
Matteo : Il est enfermé et il y a une bonne raison.
- Est-ce que... Est-ce que tu peux me promettre que notre enfant sera vraiment en sécurité ? Parce que lui, il peut le dire, il le sera.
Matteo : D'accords. Pour notre enfant.
Monde Réel :
Je conduis Bernie à Storybrooke.
Bernie : J'ai faim, on pourra s'arrêter ?
- On n'est pas parti en balada alors pas d'arrêt au stand.
Bernie : Pourquoi ?
- Te plains pas petit, j'aurais pu te mettre dans un bus et je peux encore.
Bernie : J'ai un nom tu sais, je m'appelle Bernie.
- Qu'est-ce que sais ?
Bernie : Je crois pas que tu sois prête.
- Prête à entendre des contes de fées ?
Bernie : Se ne sont pas des contes de fées, se sont des histoires vraies, tous qui est raconté, c'est réellement passer.
Il est complètement dingue.
- C'est une évidence.
Bernie : Sert toi de ton super-pouvoir, tu verras si je mens.
- Écoute, c'est pas parce que tu crois à une chose que forcément elle existe.
Bernie : Si elle existe, justement parce qu'on y croit ! Tu devrais être bien placé pour savoir !
- Pourquoi ça ?
Bernie : Parce que tu es dans le livre.
- D'accords, tu as des problèmes petit.
Bernie : Ouais, je sais bien mais c'est toi qui va les régler.
Monde Enchanté :
PDV Luna :
On se dirige au sous sol du tableau.
Garde : Quand on sera devant son cachot, restez dans l'ombre, et quoi que vous lui disiez, ne lui dîtes surtout pas votre noms. Si il connaît votre noms, il aura une emprise sur vous. Bennecio ! Bennecio ! J'ai une question à te poser.
Bennecio : Non, toi tu n'as rien à me demander, mais eux oui. Luna et le prince charmant. Quel insulte vous me faîtes. S'il vous plaît, avancez dans la lumière et enlevez ces capuchons ridicules. C'est mieux comme ça.
Matteo : Nous sommes venues te demander...
Bennecio : OUI, OUI, OUI, OUI ! JE SAIS POURQUOU VOUS ÊTES LÀ !! Vous voulez me parler de la menace de la reine.
- Dis nous ce que tu sais !
Bennecio : Mais qu'ils sont angoissé. Cesser de trembler car je peux calmer vos peurs ! Cependant en échange, vous devrez me donner quelque chose.
Matteo : Non ! Viens, nous avons perdue assez de temps...
Luna : Vas-y ! Dis nous ce que tu veux.
Bennecio : Je veux seulement le nom de votre futur enfant.
Matteo : Il n'en est pas question !
Luna : Accordé ! Qu'est-ce que tu sais ?
Bennecio : La reine a crée une malédiction puissante et elle ne veut pas tarder à s'abattre. Vous serez tous bientôt en prison comme je le suis moi mais ça sera pire encore. Car voyez-vous, le temps sera votre prison, ça sera notre prison. Le temps s'arrêtera et nous serons tous pris au piège. Pris au piège dans un endroit terrible où tout ce qui nous ai chère, tout ce que nous aimons sera arraché et nous souffrirons pour l'éternité. Et la reine aura sa victoire enfin victorieuse ! Terminer les fins heureuses.
- Qu'est-ce qu'on peut faire ?
Bennecio : Nous ? Rien du tour.
- Qui alors ?
Bennecio : Cette petite chose qui pousse dans ton ventre.
Il posa sa main sur mon ventre mais Matteo enlève sa main en utilisant son épée.
Matteo : La prochaine fois, je la trancherai.
Bennecio : Ce nourrisson est notre seul espoir, veille à ce que cet enfant soit en sécurité. Fais en sorte qu'il vive, et lorsque il atteindra sa 28ème années, l'enfant reviendra,l'enfant te retrouvera et la bataille finale commencera.
Matteo : On en a assez entendu. Viens.
On commence à partir et je suis encore plus angoissé que je l'étais.
Bennecio : ET ! NON ! ON AVAIT FAIT UN MARCHÉ ! DIS MOI LE NOM DE TA FILLE ! ON AVAIT FAIT UN MARCHÉ ! DIS MOI QUEL NOM ELLE AURA ! DIS MOI SON NOM !!!
Matteo : Elle ? C'est un garçon.
Bennecio : Non, Luna, tu sais que j'ai raison. Dis le moi. Son nom dis le.
Luna : Sol, elle s'appellera Sol.
Bennecio : Sol.
Monde réel :
PDV Sol :
Je vais demander au petit de me donner son adresse.
- Bon si tu me donnais ton adresse maintenant ?
Bernie : 44 rue, je te dirais pas le nom.
C'est trop ! Je m'arrête par la colère et nous descendons de la voiture.
- La soirée a été longue et il est déjà presque...
Je remarque soudain que l'horloge de l'église indique 20:15 alors qu'il devrait être 01:00 !
- 20:15 ?
Bernie : J'ai jamais vu cette horloge fonctionner. Ici le temps s'est arrêté.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
Bernie : C'est la méchante reine qui a jeté un sort, tout ce qui vivait dans la forêt enchanté ce sont retrouvés ici.
Bon, je vais jouer le jeu pour pas lui faire de la peine.
- Attends, une méchante reine a expédié ici les personnages de contes ?
Bernie : Ouais, et ils sont piégés là maintenant.
- Alors ils sont figés dans le temps et coincé à StoryBrooke ? Sa à un beau début d'histoire.
Bernie : C'est la vérité !
- Mais ils pourraient essayer de s'en aller ?
Bernie : Non, ils peuvent pas si ils partent, ils leurs arrivent malheur.
Rey : Henry. Qu'est-ce que tu fais là ? Il y a un problème ?
Bernie : Ça va Rey.
Rey : Qui êtes vous ?
- Je le raccompagne chez lui.
Bernie : Oui, c'est ma maman en faîtes.
Rey : Je vois...
- Vous savez où il habite ?
Rey : Euh oui, c'est de ce côté là dans la Milstricte, le plus haut. La maison du maire est la plus grande.
- Ah, tu es le fils du maire ?
Bernie : Sa se peut.
Rey : Qu'est-ce qu'il s'est passé aujourd'hui ? Tu as loupé ta séance.
Bernie : Oh, j'avais oublié de vous le dire, j'avais une sortie scolaire prévue.
Rey : Bernie, qu'est-ce que je t'es dit sur le mensonge hein ? Quand on écoute ses mauvais démonts, on accomplis jamais rien.
- Oh d'accords, excusez-moi mais il faut vraiment que je le raccompagne.
Rey : Oui bien sûr, je vous souhaite une bonne soirée. Et pas de bêtise Bernie.
- Alors c'est ton psy ?
Bernie : Oui mais je suis pas cinglé.
- J'ai pas dit ça seulement il avait l'air très normal ce monsieur, il veut t'aider apparemment.
Bernie : C'est lui qui a besoin d'aide mais il ne s'en rend pas compte.
- Qu'il sort d'un conte de fée ?
Bernie : Et il y en a aucun qui se rappelle. Ils ont tous oublié qui ils étaient.
- Ah, c'est pratique, d'accords alors je veux bien jouer. Il est censé être qui ?
Bernie : Jiminy Criquet.
- Oh bien sûr, d'où sa phrase sur le mensonge, je crois que c'est bon.
Bernie : Je ne suis pas Christian !
- C'est une évidence parce que ça serait vraiment ridicule.
Monde enchanté :
PDV Luna :
Matteo et moi assiste à une réunion pour avoir un plan contre la méchante reine. On est assis à une table ronde avec nos amies.
Matteo : Je dis qu'il faut se battre !
Jiminy : Ce n'est pas une bonne idée. Quand on écoute ses mauvais démonts, on accomplie jamais rien.
Matteo : Personne n'a jamais gagné sans en tâcher sa conscience, nous devons éliminer la reine avant qu'elle est lancé la malédiction.
Simplet : Pouvons-nous au moins faire confiance à Bennecio ?
Matteo : J'ai envoyé des hommes dans la forêt, les animaux ne parlent plus que de la reine et de son projets. Si nous faisions rien maintenant, elle ira jusqu'au bout.
- Ça ne changera rien, l'avenir est déjà écrit.
Matteo : Non, je refuse de penser ça. Le bien doit l'emporter sur le mal.
- Pas cette fois.
Il s'agenouille devant moi en posant ma main sur mon ventre.
Matteo : Non, non, pas tant que nous sommes unies. Si tu la crus à propos de la malédiction, tu dois aussi croire à propos de notre enfant. C'est lui qui sera notre sauveur.
Soudain, la porte s'ouvre et on voit un arbre transporté sur un chariot guidé par la fée bleu.
Matteo : Qu'est-ce que c'est ?
Fée bleu : Notre unique espoir de veiller sur l'enfant.
Grincheux : Un arbre ? C'est un vielle abre qui dépends de notre destin ? Je préfère encore faire la guerre.
Fée bleu : Cet arbre est magique, tailler pour qu'on puisse se cacher là-dedans et il nous protègera de tous les sortilèges. Alfredo, tu penses pouvoir le faire ?
Alfredo : Moi et mon petit garçon allons arranger ça.
Fée bleu : Sa va marcher mais toute fois, il y a une prescription. Il est vrai que l'enchantement est puissant mais tout pouvoir à ses limites et cet arbre ne peut protèger qu'une personne.
Je regarde soudain Matteo, je suis inquiète. On va devoir être séparer ?
Monde réel :
PDV Sol :
Sayez, on est arrivé. Enfin !
Bernie : Je t'en pris, ne m'oblige pas à y retourner.
- Mais, j'ai pas le choix, je suis sûr que tes parents sont très inquièt pour toi.
Bernie : En faîtes, je n'ai pas de parents. J'ai que ma mère et elle est maléfique.
Pourquoi il dit que sa mère est maléfique ?
- Comment ça maléfique ? C'est pas un peu éxagérer ?
Bernie : Non, c'est vrai le truc... C'est qu'elle ne m'aime pas. Elle fait semblant, elle fait comme-ci...
Je me mets à sa hauteur.
- Bernie, je suis sûr que c'est pas vrai.
La porte s'ouvre et sa mère court vers lui.
Daniela : Bernie ? Bernie ! Tu n'as rien ? Où est-ce que t'étais parti ? Qu'est-ce qui s'est passé ?
Bernie : J'ai retrouvé ma vrai mère !
Bernie court jusqu'à chez lui.
Daniela : Vous êtes la mère biologique d'Henry ?
- Salut.
Graham : Euh, je rentre voir Bernie, je vais voir comment il va.
Daniela : Sa vous direz un verre du meilleure cide que vous avez jamais goûté ?
- Vous auriez pas plus fort ?
***
- Comment il m'a trouvé ?
Daniela : Je n'en ai aucune idée. Il avait 3 semaines quand je l'avais adopté. Et son dossier reflète l'ananymat. Je savais juste que sa mère ne voulait avoir aucun contact.
- C'était l'essentiel.
Daniela : Et le père.
- Il n'en a un.
Daniela : Est-ce qu'il risque de poser des problèmes ?
- Non, il n'est pas au courant.
Daniela : Er vous, comptez-vous de poser des problèmes ?
- Absolument pas.
Graham : Madame le maire, il y a plus à s'inquièter. Bernie est pas mal fatigué de cette journée mais il va bien.
Daniela : Merci Shérif. Je suis désolé qu'il est débarqué dans votre vie comme ça. Je ne sais pas ce qu'il lui a pris.
- C'est pas toujours facile pour les enfants, faut pas s'étonner.
Daniela : Vous devez savoit comment sont les choses. Depuis que j'ai prie la fonction mère à novice sont compliquer à gérer. Vous travaillez, je suppose ?
- Ouais, je m'occupe. Je bosse, ouais.
Daniela : Alors imaginez ce que c'est avec un deuxième emplois celui de mère célibataire. Je suis la reine de l'organisation. Est-ce que je suis si stricte ? Je suppose, oui. Mais je le suis pour son bien, je veux que Bernie réussis sa vie. Sa fait de moi quelqu'un de maléfique, vous croyez ?
- Il doit dire ça à cause de son histoire avec les contes de fées.
Daniela : De quoi vous parlez ? Quel histoire ?
- Vous savez son bouquin, il est persuadé que tout le monde est un personnage de conte. Son psy, c'est Jiminy Criquet par exemple.
Daniela : Vraiment ? Excusez-moi, je ne vois vraiment pas de quoi vous parlez.
- Sa fait rien, c'est pas mes affaires, c'est votre fils. Il est temps que je reparte chez moi.
Daniela : Bien sûr.
***
Je suis dans ma voiture en train de rentrer chez moi à Bonston quand mon regards se fixe sur le livre de Bernie.
- Le petit malin.
Soudain, je vois un loup blanc sur la route, je l'esquive et je fonce dans un arbre puis trous noir...
Monde enchanté :
PDV Guepitto :
Avec mon fils, on construit une armoire dans l'arbre magique.
- Ramasse-le. Merci.
PDV Matteo :
Je ne veux pas être séparer de l'amour de ma vie mais on a a pas le choix.
Luna : Je ne veux pas, je refuse.
- Sa ne peut être que toi.
Elle posa ses mains sur mes joues et colla son front contre le miens et commence à verser des larmes.
Luna : Je ne veux pas te quitter.
- C'est la seule solution, tu te mettras dedans et tu seras protègé de la malédiction.
Luna : Il a dit que je ne te verrais pas avant le jour de ses 28 ans !
- C'est quoi 28 ans quand on a l'amour éternel ? Je vois en toi, tu me sauveras comme je t'ai sauvé.
Elle m'embrasse tout en versant des larmes, elle mets ses mains autour de mon cou et moi je pose mes main sur ses hanches quand au bout de 1 minute elle arrête le baiser.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
Luna : Le bébé... Il va arrivé...
PDV Grincheux :
Je vois un brouillard noir s'approchait du château.
- Réveille-toi ! Réveille-toi ! Regarde.
Je fais sonner la cloche.
- Alerte, la malédiction ! Alerte !
Monde réel :
PDV Sol :
Je me réveille avec un mal de tête dans une prison. Qu'est-ce que je fais en prison ? J'ai rien fait !
Leroy : Qu'est-ce que tu mâtes ma petite ?
Pierre : Leroy, les bonnes manières. C'est une invité. Alors comme ça, vous êtes la mère d'Henry ? C'est bien pour lui que vous vous en occupiez un peu.
- En réalité, j'ai fait que de le raccompagner chez lui.
Leroy : Moi, je te comprends. Le sale morveux, qui en voudrais ?
Pierre : J'aurais tout donné pour en avoir un. Ma femme et moi, on a essayé pendant des années mais malheureusement, ça devait être écrit qu'on en aurais pas.
Leroy : Arrête, tu vas me faire pleurer.
Graham : Leroy, je te laisse partir mais t'a intêrèt à bien te conduire. Sourie un peu et surtout évite les ennuies.
- Qu'est-ce que je fais là ?
Graham : Les coktails de Regina sont vraiment des traîtres.
- Je n'étais pas soûl, il y avait un loup planté au milieu de la route.
Graham : Un loup ? Mais bien sûr.
Daniela : Graham, Bernie s'est encore sauvé, il faut... Qu'est-ce qu'elle fait ici ? Vous savez où il est ?
- Chère madame, je ne les pas vue depuis que je l'ai déposé chez vous. Et j'ai une bonne ouie.
Daniela : Il n'était pas dans sa chambre ce matin.
- Vous avez appelé ces amis ?
Daniela : Il est plutôt solitaire, il n'a pas vraiment de copain.
- Tous les enfants ont des amis et dans son ordinateurs, si il est proche de quelqu'un, on peut voir les mails.
Daniela : Qu'est-ce que vous en savez ?
- Retrouver les gens, c'est mon boulot. J'ai une idée, vous me faîtes sortir de cette cage et moi je vous aide à le retrouver. Il est malin, il a vidé sa messagerie. Je vais me débrouillé, j'ai le logiciel qu'il faut pour récupérer les données.
Graham : J'ai des méthodes plus classiques, faire du porte à porte, fouiller les rues, de ce genre la.
- Vous savez, je suis payé à la livraison. J'ai pas franchement le temps de fouiller les rues. Tiens, un reçu pour un site web. Qui est ta maman.org ? C'est cher, il a une carte de crédit ?
Daniela : Il a 10 ans.
- Il n'en a utiliser une, on a le récapitulatif de transaction. Karoll Sevilla. Qui est Karoll Sevilla ?
Daniela : L'institutrice de Bernie.
PDV Karol :
Je suis en train de faire cours à mes élèves.
- Vous êtes en train de construire un nichoir alors n'oubliez pas que c'est comme une maison et surtout pas une cage. Les oiseaux sont libres et ils font ce qu'ils veulent, on le fais pour eux pas pour nous. C'est loyal un oiseau, si vous les aimez et qu'ils vous aiment aussi, ils vous retrouveront toujours.
La sonnerie sonne, le cours est terminé.
- On reprendra après la pause, sortez sans courir.
Je range mes affaires, et je vois la mère de Bernie rentré furieuse dans ma classe.
- Madame Mills, qu'est-ce que vous voulez ?
Daniela : Où est mon fils ?!
- Il n'est pas avec vous ? Je croyais qu'il était malade.
Daniela : Si s'était le cas, pourquoi penserez-vous que je serais là ? C'est vous qui lui a donné votre carte de crédit pour l'aider à la retrouver ?
Derrière elle, il y avait une femme brune que je n'avais encore jamais vue.
- Oh, excusez-moi, qui êtes-vous ?
Sol : Je suis sa... Je suis...
Daniela : La femme qui l'a mis au monde et l'a abandonné.
Sol : Vous n'êtes au courant de rien n'est-ce pas ?
- Non malheureusement non.
Je regarde alors dans mon porte-feuille et il y avait pas ma carte de crédit.
- Le petit malin. Je n'aurais pas vraiment dû lui donner ce livre.
Daniela : C'est quoi se livre dont je n'arrête pas d'entendre parler ?
- C'est un vieux receuil d'histoire que je lui ai offert comme vous le savez parfaitement Henry est un garçon spécial, il est très intelligent, très imaginatifs et...comme vous avez dû le remarquer aussi, il est solitaire. Je me suis dit que ça l'aiderait.
PDV Sol :
Elle était vraiment furieuse, et surtout ce qui m'intrigue, j'ai l'impression de connaître l'institutrice de Bernie. Elle m'est familié.
Daniela : Ce qui l'aiderait, c'est de vivre dans la réalité. Tout ça lui fait perdre son temps.
En passant devant une table remplie de chose, elle les faisa tomber. En s'approchant de moi, elle me dit :
Daniela : Enrevoir, bon retour à Bonston !
Puis, elle s'en alla. Je décide alors d'aider Karol à tout ranger.
- Désolé.
Karol : Non, c'est rien, c'est rien, je crois que c'est une partie de ma faute.
- En quoi ce bouquin peut l'aider ?
Karol : Les histoires sert à quoi d'après vous ? Enfin ce genre d'histoire, les contes, si vous les connaissez tous il y a une raison. Il nous aide à appréhender notre monde. Un monde qu'on a parfois du mal à saisir. Vous savez pour Bernie, c'est pas toujours facile.
- Ouais, sa mère est loin d'être cool.
Karol : Non, c'est pas seulement à cause d'elle, il dise que les enfants adopté vivent tous. Il se débat avec la question que se pose chacun entre eux un jour ou l'autre. Pourquoi on a pas voulu de moi ? Pourquoi on m'a abandonner ? Oh...pardon, je suis désolé, c'est pas un jugement, c'est pas une critique envers vous
- C'est rien.
Karol : En faîtes, j'ai offert le livre à Bernie pour qu'il est cette chose si important qu'on a tous besoin d'avoir dans la vie : de l'espoir. Ne croire que serait-ce à la possibilité d'une fin heureuse permets déjà tellement d'avancer.
- Je suis sûr que vous savez où il est.
Karol : Je pense que vous le trouvez à ce château.
Monde enchanté :
PDV Luna :
J'ai de fort contraction, Matteo est à mon côté en train de me soutenir, je verse des larmes, la malédiction approche.
- Je ne peux pas avoir mon bébé maintenant.
Matteo : Faîtes quelque chose Prof.
- Non.
Mattep : Sa va aller, Guepitto a presque finie. Sayez, tu dois tenir. Ne t'inquiète pas, ça va bien se passer. Sa va aller mon amour.
Guepitto : Sayez, l'armoire est finie !
Matteo : Oh merci, tu entends ?
Matteo allait me soulever pour que je puisse aller à l'amoire pour pas que la malédiction m'atteint.
Prof : Il est trop tard, on ne peux plus la déplacer.
Soudain, j'entends des pleurs, c'est mon bébé qui pleurs ! On donne mon bébé dans une belle couverture en laine, Matteo et moi on la caline mais...
- Mais l'armoire, elle est...elle n'est faîte que pour un.
Matteo : Alors notre plan a échoué. Au moins, on est ensemble.
- Non, tu vas la cacher, tu vas la mettre dans l'armoire.
Matteo : Tu as perdue l'esprit ?
- Non, c'est la seule solution, c'est elle...
Matteo : Non, non, non, non...
- Qui doit partir.
Matteo : Tu sais pas ce que tu dit.
- On n'a pas le choix, il faut qu'on est confiance qu'elle reviendra un jour pour nous ! Il faut le faire pour elle, qu'elle est au moins toute ses chances. Enrevoir Emma.
Je donne un bisous sur le front de mon bébé et Matteo fais de même. Puis on s'embrasse et il s'en va avec le bébé. Je me mets à pleurer en sanglot, seule dans mon lit. Je voulais pas que ça se passe comme ça. Pourquoi moi ? Tout se que je voulais c'est avoir une famille, et aujourd'hui ma famille n'a même encore commencer qu'elle est finie. Je voulais être heureuse avec Matteo, c'était ma fin heureuse !
PDV Matteo :
Je sors de la chambre à contre coeur et je cours dans les couloirs du château avec ma fille dans les bras. Au loin, je vois 2 personnes de l'armée de la méchante reine en train de tuer 1 homme de mon armée. Je sors mon épée et les attaque, j'esquive tout leurs coups surtout que une épée allait toucher Sol mais heureusement que j'ai esquivé. Soudain, je reçois un coup dans l'épaule mais c'est pas ça qui va m'arrêter ! Je les tue et je rentre dans la salle où contient l'armoire magique. Je pose Sol dans l'armoire et lui fait un tendre bisous sur le front.
- Tu devras nous retrouvé.
Je ferme l'armoire à clé et je vois encore 2 hommes qui viennent m'attaquer. Je me bats avec difficulté à cause de la douleur de mon épaule. Je sens une épée se transpercer dans mon ventre. Je tombe par terre et la douleur m'envahit. Il tente d'ouvrir l'armoire en donnant des coups d'épée. Je les regarde faire, je suis allongé à terre. Mon sang coule sur ma chemise blanche. Ils ont réussis à ouvrir l'armoire mais Sol n'était plus là, elle avait disparue. Elle est sauvé ! Je sens petit à petit mes yeux se refermaient tout lentement.
Monde réel :
PDV Sol :
Je vois Bernie sur une cabane en forme de château sur la plage. Je m'approche de lui et lui donne son livre.
- Je l'avais laissé dans la voiture, tiens.
Bernie : Je pensais que si je t'avais ramené ici avec moi, les choses se mettraient à changer. La bataille finale a commencé.
- Les batailles, c'est pas mon style.
Bernie : Si ! Tu vas te battre, tu es la parce que c'est ton destin. Et c'est toi qui va rétablir les fins heureuses !
- Arrête avec tes histoires à dormir debout.
Bernie : Et toi arrête de jouer la dure. Je sais que tu m'aimes bien, je le vois. Tu me repousses parce que à cause de moi, tu te sens coupable mais ta pas à t'en faire. Je sais pourquoi tu m'as abandonné. Tu voulais que moi au moins que j'ai toute mes chances.
J'essaie de retenir mes larmes.
- Comment tu le sais ?
Bernie : Parce que Luna t'a abandonné exactement pour la même raison.
- Ecoute, je suis pas un personnage de conte, je suis une vrai personne et je joue pas les sauveurs. Mais tu as raison sur un point, oui je voulais que tu ais toute tes chances et tu les auras pas étant avec moi. Maintenant, on y va.
Bernie : S'il te plaît, me ramène pas là-bas ! Allez, reste avec moi une semaine, c'est tout ce que je demande ! Une semaine et tu verras que je suis pas fou !
- Non, je dois te ramener à ta maman.
Bernie : Tu sais pas ce que c'est de vivre avec elle ! C'est l'horreur ! Sa craint !
- Tu veux que je te dise ce que sait l'horreur ? Et bien, c'est d'être abandonné au bord d'une autoroute ! Mes parents n'ont pas pris la peine de me déposer à un hôpital ! J'étais receuillie et j'étais mise dans une famille jusqu'à 3 ans. Et quand ils ont eu leur propre enfant, ils n'ont pas voulue de moi. Henry, ta mère fait vraiment de son mieux, je sais que c'est durs et je sais parfois que tu as l'impression qu'elle ne t'aime pas. Mais au moins, il faut que tu sois avec elle.
Bernie : Tes parents ne t'ont pas abandonné au bord de l'autoroute, il se trouve que tu as réapparue à cette endroit.
- Quoi ?
Bernie : Tu sais l'armoire, ils t'ont caché dedans et tu es arrivé sur cette route au hasards. Tes parents essayé de te protéger de la malédiction.
Je vais faire semblant d'y croire pour pas le blesser.
- Ouais, j'en suis sûr, oui. Allez faut rentrer.
Monde enchanté :
PDV Luna :
Je me dirige dans la salle où il y a l'armoire quand je vois Matteo à terre en sang.
- Non. Non. Non. Non !!!!!!!
Je vérifie ses blessures et je me mis à pleurer.
- Non. Je t'en pris aller, non, non, je t'en pris, je t'en pris, reviens, reviens !
Je l'embrasse pour tenter de le réveiller. Sa marche pas ! Je réessaye mais ça marche pas !!!
Daniela : Oh, ne vous inquiètez pas ma chère. D'ici peu, vous vous souviendrez plus l'avoir connue ni à quel point vous l'aimiez.
- Pourquoi vous faîtes ça ?
Daniela : Parce que c'est la fin heureuse de mon histoire ! Et l'enfant ?
Garde : Disparue. Il était dans l'armoire et puis plus rien. Il est introuvable.
Daniela : Où l'avez-vous caché ?!
Luna : Elle a eu le temps de disparaître. C'est vous qui perdrez à la fin maintenant j'en suis sûr, le bien l'emporte toujours.
Daniela : Vous risquez fort d'être très déçue.
Soudain, une forte fumée noir arrive dans la pièce où tout les carreaux explosent.
Luna : Où vous nous emmenez ?
Daniela : Dans un endroit horrible, merveilleusement horrible. Un monde où moi, je choisirai comment " tout est bien qui finis bien ".
Monde réel :
PDV Sol :
Sayez, j'ai emmené Bernie chez sa mère maintenant je suis seule avec elle.
Daniela : Je vous remercie.
- Il n'y a pas de quoi.
Daniela : On dirait qu'entre lui et vous avez eu un coup de foudre.
- Vous savez ce qui est hallucinant ? Hier, s'était mon anniversaire et quand j'ai soufflé la bougie sur le gâteau, le p'tit gâteau que je m'étais acheté, je suis allé jusqu'à faire un voeu celui de ne pas être seule pour mon anniversaire. C'est là que Bernie a débarqué...
Daniela : Je ne veux pas qu'il y est de malentendu entre nous.
- Comment ça ?
Daniela : Ne prenez pas ça pour une invitation à revenir dans sa vie.
- Oh euh...
Daniela : Mademoiselle Swan, vous avez prie une décison il y a 10 ans. Et au court de ces décenies pendant que vous faisiez... D'ailleurs qui c'est exactement ce que vous faisiez, je suis celle qui a changé ses couches, veillez sur lui quand il avait la fièvre, supporter ces grosses colères et ses p'tites crises. Vous l'avez peut-être mis au monde mais c'est MON fils !
- Je suis pas là pour...
Daniela : Non, vous n'avez pas droit à la parole ! Vous ne pouvez absolument rien faire, vous avez renoncé à tout vos droits en l'abandonnant. Vous savez ce qu'est l'adoption planière ? C'est-ce que vous avez demandé, légalement vous ne pouvez plus rien pour Henry et vous devez vous contenir à ça. Je vous conseille donc de remonter en voiture et de quitter au plus vite cette ville parce que si jamais vous restez. Je vous jure que je réglerais votre compte et ça quoi qu'il m'en coûte ! En revoir, Mademoiselle Benson.
Elle allait partir mais je lui dit :
- Est-ce que vous l'aimez ?
Daniela : Je vous demande pardon !
- Votre fils, Bernie, vous l'aimez ?
Daniela : Evidemment que je l'aime.
PDV Daniela :
Je prends le livre de Bernie " Il était une fois "
Sa ne va pas se passer comme ça. !
PDV Karol :
Je suis à l'hôpital et comme tous les soirs, je donnes des fleurs au patient pendant qu'ils dorment surtout à lui. C'est quelqu'un qui est dans le coma depuis 10 ans.
PDV Bernie :
Je suis en train de regarder l'horloge de la ville en pensant à ma mère biologique.
PDV Sol :
Je ne vais pas partir !!! Je me dirige à un mini-hôtel pour demander une chambre.
Anna : Tu es déjà sortie hier soir et tu vas encore sortir ce soir !
Carolina : J'aurais dû partir à Bonston !
Anna : Excuse-moi d'avoir eu une crise cardiaque. Je vais pas t'empêcher de t'enfuir avec ton soi-disant amoureux.
- Excusez-moi, je voudrais une chambre.
Anna : Vous êtes sûr ? Oh d'accords, vous voulez une chambre avec vue sur la forêt ou vue sur la plage normalement il y a un supplément avec la vue sur la plage. Mais si vous me le réglez tout de suite, je ne vous le compte pas.
- Sa me convient.
Anna : Bien, alors votre nom s'il vous plaît ?
- Benson, Sol Benson.
Soudain, un monsieur qui venait d'arriver dans l'hôtel me dit :
Benne : Sol, quel jolie prénom.
- Merci.
Anna : Tout y est.
Benne : Oh oui, c'est vrai merci. Je vous souhaite un bon séjour, Sol.
- C'est qui lui ?
Carolina : Monsieur Benne, c'est le propriétaire.
- De l'hôtel ?
Anna : Non, de la ville entière. Alors, vous resterez combien de temps ?
- 1 semaine, juste 1 semaine.
Anna : Parfait. Bienvenue à Storybrooke.
PDV Bernie :
Soudain, l'aiguille de l'horloge de l'église se mets à avancer. Le temps a repris son cour !!
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Luna dans la peau de Blanche-neige
Matteo dans la peau du Prince Charmant
Daniela dans la peau de la méchante reine
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