Acte III - Scène 5: Le sceau de l'esclavage
— Alors, c'est toi ! Le traitre !
— Oui, Titus Mennenius ! cracha-t-elle. C'est moi qui ai volé ton esclave pour que tous puissent voir le fou furieux qui les dirigeait ! Avez-vous vu ce qu'il vous a fait subir ? Vos muscles blessés, votre peau en sang ! Et tout ça pour quoi ? Pour un vulgaire objet ? Que se passera-t-il quand on s'en prendra à son enfant ?
Les légionnaires médusés se lancèrent des regards circonspects. Les deux centurions se faisaient face, la haine dans les yeux et l'écume au bord des lèvres.
— Imbécile ! Alors, tu ne te rends pas compte que tout cela est de ta faute ? Ils n'ont souffert que de ton orgueil ! Quel besoin avais-tu d'enlever mon esclave ? C'est ma place que tu veux prendre ?
— Evidemment ! Qu'est-ce que tu t'imagines ? Tout le monde veut prendre ta place ! Dans quel monde crois-tu vivre ? Ils ont trop peur de toi pour l'assumer, mais tous rêveraient d'occuper ton poste ! — Gaïus Numerius darda sur le centurion un regard obscène, rempli de défiance. — C'est moi qui en ai été le plus proche quand ton esclave m'a appelé « Maître ».
Les yeux de Titus lancèrent des éclairs.
— Comment as-tu pu... ?
— Je comprends pourquoi il t'obsède autant. Ce n'est pas à tous les coins de rues qu'on trouve un cul pareil.
— Je vais te tuer ! hurla Titus, hors de lui.
— Regardez-le, dit-elle, prenant les soldats à parti. C'est ça, votre chef ? C'est en lui que vous avez confiance ? Sa folie est si grande qu'il pourrait faire souffrir mille soldats pour un esclave ! Rendez-vous compte ! Vous êtes dirigés par un malade avili par les sentiments ! Son comportement n'est pas digne d'un homme !
Des murmures indistincts s'élevèrent parmi les légionnaires attroupés.
— Et toi, tu n'es pas digne d'être mon soldat ! Encore moins mon centurion ! Tu veux me remplacer, c'est ça ? Ton châtiment sera à la hauteur de ton crime, Gaïus Numerius. Enfermez-le !
§
Sextus ne tenait plus en place. Son retour s'était soldé par une quantité incalculable de tâches à accomplir, le tout accompagné des boules en argent logées entre ses fesses. Massant l'intérieur de ses muqueuses à chaque pas, Sextus se sentait depuis plus d'une heure au bord de la défaillance. Trop grosses pour être ignorées, trop petites pour le conduire à l'orgasme, il attendait respectueusement, sans savoir pourquoi, le retour de son maître.
S'il s'était soulagé, comment Titus aurait-il pu le savoir ? Sextus avait longuement hésité, agenouillé devant la porte une fois son travail accompli, et s'était finalement résolu à ne prendre aucun risque. Cette inclinaison fut la plus confortable qu'il avait pu trouver. Allongé, les boules se nichaient tout contre sa prostate, rendant son supplice intolérable. Debout, ses muscles pulsaient contre le jouet pour le chasser. La souffrance ayant eu raison de lui, il opta finalement pour cette position dégradante de servitude.
Les heures défilaient et inhibaient son esprit sous les couches d'un désir atroce. Longtemps, il s'était inquiété pour Flava, et de ce que Titus aurait à lui annoncer en passant la porte. L'envie eut tôt fait de reléguer ses peurs au second plan. Bientôt, il ne fut plus capable que de songer au membre de son maître le soulageant de son tourment.
— Sextus ? Qu'est-ce que tu fais là ?
La surprise passée, un sourire étira les lèvres du légionnaire. Le jeune homme se tenait là, à l'entrée du vestibule, assis dans une posture des plus désirable. La mine grave qu'il avait travaillé tout au long du trajet pour annoncer le combat à son esclave ne servit à rien. Ses doutes, sa peur de tuer ou de mourir le lendemain se dissipèrent dans ses joues brûlantes et son regard suppliant. Incapable de lutter, il le repoussa du pied quand Sextus tenta de se redresser.
— Reste au sol, dit-il doucement. Alors, tu m'attendais ?
— Oui, maître.
— Tu te comportes exactement comme un chien. C'est adorable, souffla-t-il d'un ton attendri, à son tour à genoux face à lui.
Il caressait sa peau enflammée du bout des doigts, le regard oscillant entre ses yeux océans et ses lèvres pulpeuses. Le cœur de Sextus battit à tout rompre lorsque son maître posa finalement sa main sur lui. Il ne releva même pas l'injure.
— Qu'est-ce que tu veux, Sextus ?
— Je...
— Non. La prise de Titus se raffermit sur sa nuque. Il s'approcha tout contre lui et huma son parfum. Les chiens ne parlent pas, murmura-t-il. Ils aboient.
— Mais, je...
— Un ouaf veut dire oui. Deux veulent dire non.
— Mais...
— Proteste encore et je te laisse ces boules une semaine entre les fesses. Tu as compris ?
L'humiliation était cuisante. Titus avait finalement trouvé un moyen de le punir. Sextus aurait aimé prendre son reste de fierté et envoyer paître le légionnaire, mais son excitation atteignait les limites du tolérable.
— ... Ouaf.
— C'est bien. Il flatta l'arrière de sa nuque, ce qui plut étonnamment à Sextus. Veux-tu que je retire ces vilaines boules ?
— Ouaf.
— Seras-tu content, si après, je te laisse tranquille ?
— Ouaf ouaf !
— Alors qu'est-ce que tu veux ?
Il l'avait coincé. C'était à croire que Titus tenait à prolonger son calvaire. Sextus n'était pas convaincu de survivre à un tel traitement. Sans se démonter, il déposa résolument sa main entre les jambes de son maître, qui se mordit les lèvres pour ne pas sourire.
— Si c'est ce que tu veux, il va falloir le mériter.
— Ouaf.
Le légionnaire se redressa, dégrafa la tunique de cuir qui lui couvrait les jambes, laissant apparaître un phallus à demi-dressé, que Sextus contempla sans pudeur.
— Lèche.
L'ordre avait fusé, clair et net. Sextus engloutit le membre sans hésiter. Ses gestes étaient encore maladroits, timides, mais Titus sembla comblé. La bouche baveuse d'envie, Sextus le happait entièrement. La tête renversée, les yeux révulsés, le bassin de Titus entama une baise laborieuse de sa cavité humide.
Sextus se laissa faire, à demi étouffé par le sexe qui lui ouvrait la gorge. Voir le visage de son maître se tordre du plaisir qu'il lui procurait le rendait fou. Le sentir l'utiliser comme un vulgaire orifice éveillait toute sa perversion. Titus le dégradait. Il adorait ça. Ils le comprirent tous deux au même moment.
— Tu aimes ça, n'est-ce pas ? Tes yeux brillent si fort que tu as l'air en chaleur.
Sextus poussa un gémissement indistinct, incapable d'articuler. La voix et les mots crus de Titus Mennenius lui envoyaient des décharges nerveuses au creux de l'estomac.
Impérieux, il empoigna ses cheveux, enfonçant sa gorge contre son sexe durcit. Sextus manqua de s'étouffer et cracha un jet de salive sur les hanches de son maître en toussant. Titus grogna de satisfaction. Le ventre embrasé de l'esclave pulsait du désir d'être rempli. Le regard implorant qu'il lui lança alors manqua de faire jouir Titus, qui s'arracha à sa langue, non sans frustration.
— Sais-tu ce que Gaïus Numerius m'a dit aujourd'hui ?
Sextus, ivre d'envie, n'écoutait que d'une oreille distraite les questions de son maître. Sans se demander pourquoi Titus la mentionnait encore sous ce nom, il se rassura d'entendre parler de son amie, du bon augure présagé pour sa vie, et laissa son esprit se rendormir.
— Ouaf ouaf.
— Il m'a dit qu'on ne trouvait pas un cul comme le tien à tous les coins de rue. Je n'ai pas du tout aimé.
Du bout du pied, il repoussa les épaules de Sextus. La joue de son esclave épousa le sol marbré. Ses fesses offertes se redressèrent, dévoilées par sa tunique, remontée le long de son dos.
— Et puis je me suis dit qu'il n'avait peut-être pas tort, qu'il faudrait vérifier. On dirait que l'occasion est toute trouvée. Tu ne crois pas ?
— Ouaf.
Agenouillé dans son dos, les fesses écartées de son esclave offrirent à Titus une vision imprenable de son rectum dilaté. Ses muscles convulsaient, laissant parfois les boules perdues dans l'orifice refléter la lumière du soleil. A peine y avait-il glissé un doigt que Sextus gémit et se cabra, plus sensible que jamais.
— Chut... Ne bouge pas, souffla-t-il en le caressant doucement pour l'habituer à sa présence.
Sextus gigota encore quelques instants, puis parvint à se calmer. Les yeux clos, il savoura chaque parcelle de la peau rugueuse de Titus glissée dans son intimité. Ses chairs écartées faisaient coulisser les boules plus profondément encore, et Sextus sentait déjà les prémices de la jouissance lui chatouiller les entrailles.
Titus accompagna le premier doigt d'un deuxième. Sextus, docile, gémit mais ne bougea pas. Ses muscles n'opposèrent aucune résistance et s'ouvrirent d'eux-mêmes pour dévoiler les cloches d'argent. Il les effleura du bout des doigts, puis les appuya lentement contre les muqueuses de Sextus, qui alterna couinements plaintifs et halètements. N'y tenant plus, il agrippa la chainette et tira le jouet hors du corps de son esclave.
Il était convaincu de souhaiter enlever les boules, mais une fois hors de lui, Sextus se sentit vide. Son rectum offert au monde battait les rythmes de son cœur. Il se tortilla dans l'espoir de faire disparaître l'inconfort et se prit pour toute réponse une violente claque sur les fesses.
— J'ai dit : « Pas bouger ».
— Ouaf.
— Les chiens mal éduqués n'ont pas de récompense, ajouta-t-il, sans contenir son amusement. Veux-tu la tienne ?
— Ouaf !
— Bien. Alors obéis.
Sextus offrait à son maître une vision sublime. La peau éclatante de son dos scintillait à l'éclat du soleil rasant. Sa colonne vertébrale s'insinuait entre ses omoplates et se perdait dans les gorges du bas de ses reins. Ses poils dressés par la chair de poule, résultat subtil du mélange de son corps avili contre le carrelage et de son excitation, auréolaient son épiderme d'une aura de sainteté. Ses lèvres entrouvertes effleuraient le sol, embuant le marbre du souffle brûlant qui en réchappait. Ses paupières mi-closes protégeaient des pupilles qui jetaient à Titus un regard impatient. Le tableau s'achevait sur ses deux sphères charnelles dressées face à l'astre de lumière, ouvertes et étirées, affamées de lui et prêtes à le recevoir.
Sextus sentit la pression du gland du légionnaire contre son ouverture, qui l'aspira aussitôt. Son corps entier réclamait sa présence tout au fond de lui. Ses parois lubrifiées par l'huile dont avaient été enduites les cloches changeaient la pénétration en délicieux tourment. Titus écartait ses chairs avides et déjà ouvertes, râlant de plaisir à chaque centimètre parcouru. Electrisé, le rectum de Sextus pulsait contre son membre à mesure qu'il s'y enfonçait, et déchargeait son plaisir, de ses nerfs jusqu'au bout de ses doigts.
Titus, finalement plongé dans l'antre de son esclave, embrassa son dos de la peau de son torse et entama une série de lents va et vient. Son corps embrasé contrait la froideur du marbre. Son poids le pressait toujours plus fort contre le sol. Son bassin martelait le fond de ses reins, soulageant Sextus d'une puissante montée de jouissance.
La tête nichée contre son cou pâle, Titus se grisait de l'odeur truffée d'indécence de son esclave. Sextus dégageait son obscénité contenue par tous les pores de sa peau. Son corps l'aspirait, l'appelait à se coller plus fort contre lui, à le posséder plus profondément encore.
Il accéléra ses mouvements et poussa un rugissement rauque. Son esclave transpirait, lubrifiant le canal de son plaisir. Titus devint fou sous le parfum de sa sueur. Il ne parvenait plus à se détacher de lui. L'extase se profilait, grondant au loin comme une avalanche. Les fesses de Sextus claquaient contre ses reins. Il hurlait sans retenue, le visage déformé, la mâchoire à la limite du décrochage, rudement frottée contre la pierre. Les violents coups de reins dont le gratifia alors Titus entrainèrent une jouissance nouvelle, encore jamais ressentie. Le plaisir palpitant grimpa le long de son échine. Son regard se voila. La tête bourdonnante, il sentit son sexe tressauter en réponse à l'orgasme.
L'avalanche se déclencha à cet instant précis. Mue par une force surhumaine, son corps se souleva en spasmes incontrôlables, rapidement maîtrisés par les mains de Titus autour de ses hanches. Il ne sentait plus l'éjaculation s'expulser hors de lui, mais répandre dans son corps un souffle brûlant, dévastateur, qui l'enflammait et soulevait son cœur. Il jouit longtemps, ses contractions musculaires prolongeant l'orgasme à l'infini, fragrance de son esprit propulsé dans les étoiles. Titus était venu avec lui, renversé par sa beauté, ému de la fragilité qu'il lui avait laissé entrevoir, aspirant le dernier soupir divin de Sextus entre ses lèvres, lorsqu'il lui donna un baiser.
— Flava..., articula finalement l'esclave, après qu'il eut repris ses esprits.
Les deux hommes étaient allongés à même le sol et contemplaient le plafond de l'atrium.
— Nous allons nous battre.
— Quoi ?
Sextus se redressa d'un bond.
— C'est ce que j'ai trouvé de plus juste. Nous allons nous battre à mort... Tout a été mis en place. Nous avons monté une petite mise en scène pour justifier le combat auprès des soldats. Elle a été envoyée en prison en attendant demain.
— Demain ? Et moi, je reste là à... Pourquoi ne m'as-tu rien dit ?
— A quoi bon ?
— J'ai besoin de savoir ce qui arrive à mon amie, Titus !
— J'en conviens. Mais aurais-tu seulement écouté ?
— Je...
Il y eut un temps de silence. Sextus ne s'était jamais autant haï.
— Peut-elle gagner contre toi ?
— Elle a de bonnes chances de me vaincre, répondit simplement le légionnaire.
La réflexion ne rassura pas Sextus. Aucune des deux issus n'était envisageable pour lui.
— Il faut que je la voie ! décida Sextus.
Il se leva d'un bond pour ramasser sa tunique. Titus l'agrippa par le poignet.
— Tu ne pourras pas, rétorqua-t-il. La prison est surveillée par des gardes, et vu les termes dans lesquelles nous sommes supposés nous être quittés, je ne peux pas aller la voir non plus.
Une rage incommensurable gagna Sextus. Il se dégagea vivement de l'emprise de son maître. Voir Flava était devenu capital. Sous quel prétexte imaginait-il pouvoir l'en empêcher ?
— Je vais la voir, Titus ! Je refuse de ne pas lui parler ! Je dois la voir ! Je veux rester avec elle ! Elle doit paniquer, seule. Les espaces clos... Elle... Elle n'a jamais aimé ça. Il faut que je la rassure, d'accord ?
Il voulut entamer une autre phrase, mais éclata en sanglots avant d'en avoir eu le temps. Que s'était-il passé ? Comment son esprit avait-il pu s'endormir dans une situation pareille ? Sa seule amie, sa véritable famille enfermée derrière les barreaux ne l'avait pas empêché de s'amuser. Très tôt dans l'après-midi, il avait cessé de penser à elle. Il n'avait même pas lutté. Était-il un monstre si abject d'égoïsme ?
— Sextus, souffla Titus en s'approchant doucement, calme-toi, je t'en prie.
Le concerné le repoussa.
— Dégage ! Tu savais ce qui allait se passer ! Tu as tout calculé pour m'endormir et la mettre à mort sans m'avoir dans les pattes ! Comment as-tu pu ?
— Mais qu'est-ce que tu t'imaginais ? Je lui ai laissé le choix de partir, Sextus ! Elle a choisi d'elle-même notre combat ! Ça lui donne une chance de survivre !
— Et si elle survit alors c'est toi qui meurs ! Et moi, je meurs aussi. Ce ne sera peut-être pas plus mal. Elle mérite mieux qu'une horreur comme moi dans sa vie.
— Ne dis pas ça.
— Elle croupit en prison et je ne pense qu'à me faire sauter, Titus. Comment appelles-tu ça ?
— C'est de ma faute... Si je n'avais pas joué avec toi, je...
— J'avais l'esprit assez clair pour me soucier d'elle. J'ai choisi de ne pas le faire. Laisse-moi la voir une dernière fois, avant que...
— Tu ne comprends rien. Elle est largement en mesure de me tuer. Nous nous sommes entraînés ensemble. Son niveau égale le mien.
— Je ne suis pas plus rassuré, répondit Sextus.
— Moi, si. Je préférerais mourir qu'avoir à faire face à ta haine.
— Je t'interdis de te faire tuer, si tu crois que ça me fera plaisir. Je te haïrai plus encore si tu meurs. Tu n'en as aucun droit, Titus Mennenius. Pas après ce que tu m'as fait.
— Si c'est pour le collier, tu pourras effacer l'inscription...
— Ce n'est pas pour ça.
— C'est pour quoi, alors ?
— C'est parce que je t'aime.
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Helloooooooo ^^ Je vous fait un petit coucou après une très très très longue absence (ma plus longue depuis que j'ai commencé à écrire sur Wattpad). Je ne pense pas reposter sur cette plateforme, ça ne m'intéresse plus, disons. Néanmoins, j'ai vu que vous avez été assez nombreux à lire cette histoire au cours des derniers mois, donc je vais vous poster toute la fin.
Sinon, tout va bien de mon côté, mes études se passent on ne peut mieux, et je commence à me professionnaliser tranquillement. J'ai assez peu de temps pour écrire, donc je profite des vacances pour m'y replonger. J'ai terminé la correction du premier tome d'Egrégore, et je l'ai envoyé à des maisons d'éditions qui me plaisent. C'est pas super évident, parce qu'une bonne partie des maisons qui m'intéressaient ont fermé leurs souscriptions, mais je ne suis pas pressée, j'envoie tranquillement mon manuscrit à celles qui m'intéressent le plus.
Pour l'instant, j'ai donc envoyé mon manuscrit à Bragelonne, Au Diable Vauvert, Fleuve Editions, Robert Laffont et Mix Editions. J'ai mis de très grosses maisons parce que je voulais pas avoir le regret de pas avoir essayé plus tard, même si je sais que mes chances d'être éditée là-bas sont quasi nulles (c'est une série et personne ne me connaît, donc je ne vois pas trop par quel miracle ils accepteraient de m'éditer), et j'ai mis d'autres maisons, moyennes et plus petites dont la ligne éditoriale me plaît. Si je n'ai aucune réponse positive d'ici 2022, ce n'est pas très grave, puisqu'il y a d'autres maisons qui m'intéressent beaucoup, et dont les souscriptions sont fermées jusqu'à l'année prochaine. J'ai le temps d'avancer dans le récit, et au pire des cas, je finirai tout et je proposerai un seul très long roman, dans quelques années, du coup.
Bref, je vous tiens au courant de mon avancée, je vous fait des bisous, et je vous souhaite une bonne fin de lecture :)
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