Imagine.
Heyy, avant de commencer votre lecture je vous invite à lire la description de l'histoire, si ce n'est déjà fait.
J'espère que ce One Shot vous plaira et bonne lecture!
TW: mots vulgaires, menaces, énonciation de viol, violences et d'armes.
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4:56pm.
On était dans le bus, pour rentrer chez nous. J'étais avec mon amie, Sophie, on habitait à côté alors, on prenait le même bus.
Bien-sûr, après notre arrêt, il y avait l'arrêt de Victor, le mec qui en pince pour moi, mais ne le cache même pas. Il est pathétique et gênant.
-Alors Y/n, tu veux m'accompagner chez moi, aujourd'hui? Mes parents sont encore en voyage d'affaires, tu sais. M'a dit le fameux Victor, un sourire pervers aux lèvres.
-Pour l'énième...Commençais-je.
-Victor, ferme ta gueule, putain! Ça fait deux ans que tu la suis comme un petit toutou, lâche là, tu répugne. Me coupe Sasha.
Lui, c'est mon ami, voir mon meilleur ami, on passe pas mal de temps ensemble. C'est le copain gay, alors, on est souvent ensemble, mais il est proche de H/n.
H/n c'est mon rival, le garçon que je déteste le plus dans l'établissement, il veut pas être sympa et me laisser la première place, non, la galanterie, il ne connaît pas.
-Est-ce qu'on t'as sonné le gay? Réplique Victor.
-T'as un problème avec sa sexualité? Tu arrives pas à assumer la tienne peut-être?
Ça, c'était du H/n tout craché, il a beau sembler intello, mais il reste le plus populaire du lycée, toutes les filles lui courent après. Mais ça ne l'intéresse pas, apparemment.
H/n est le parfait cliché du populaire dans les films américains, riche, beau, intelligent, bonne répartie, tout le monde a peur de lui ou le respect.
Tandis que moi...Je suis plutôt une nerd, belle, mais intello. C'est ce qu'on me dit, mais je ne saurais me qualifier de toutes ces qualités.
L'histoire avec H/n, c'est que ses parents ont eu des affaires avec les miens quand on était plus jeunes, alors, on a passé la plupart du temps ensemble.
Contrairement à l'image qu'on lui donne, c'est un vrai couillon! Non mais, c'est vrai! Il peut être un vrai connard quand il le veut et il sait être gentil, mais il reste un connard!
Il ne m'apprécie pas, et je ne l'apprécie pas, c'est carrément mieux comme ça.
-Bah alors Victor, on a perdu sa langue? Rigole Sophie.
Sophie, aime beaucoup trop chercher la bagarre, elle n'est pas bagarreuse mais, elle aime les disputes. Contrairement à moi, elle n'est pas très scolaire.
Donc Sophie, la plupart du temps, me défend et me raconte les dramas et moi je l'aide! C'est équitable, je pense et puis si ça peut lui permettre de dépasser un jour H/n, ça m'arrangera.
D'ailleurs, comme je l'ai dit, H/n est riche, étant donné les affaires que nos parents tiennent, on est à peu près sur le même niveau de fortune.
Mais cela m'importe peu, je veux réussir par moi-même et pas hériter de leur société. H/n à les mêmes ambitions, alors, c'est une des raisons de pourquoi nous sommes en compétition, le meilleur obtient le meilleur rôle.
Et au vu de nôtre école privé de richous, finir premier pourra nous ouvrir plus de portes que ce que nous avons déjà. Comprenez donc l'urgence que cela demande.
Aller, j'arrête de vous baratiner tout mon discours sur "le meilleur élève".
Le bus vient de s'arrêter à notre arrêt, alors, Sophie, H/n, Sasha, l'ami du blondinet qu'est H/n et moi, descendons du bus.
On habite dans un quartier modeste, entre nous, on est des gosses de riches. Et nous sommes dans un lycée privé d'élites.
Les gens normaux pensent que tous les enfants d'adultes riches ne pensent qu'à la richesse et l'héritage qu'on recevra plus grand. C'est ce que nous explique certains de nos profs issues de classes moyenne.
Alors, quelques-uns d'entre nous se sont donné pour objectif de commencer avec rien, travailler dans des restaurants, cinémas, supermarchés et tout construire seuls grâce à nos études.
C'est en particularité notre prof d'histoire qui nous a lancé ce défit. Cette femme ayant grandit dans une famille de classe moyenne inférieur est aujourd'hui une professeur d'histoire dans un lycée d'élites.
Tout ça, grâce aux études, nous on veut aller plus loin que de simples professeurs.
Et si on se foire? Personnellement je deviendrais sûrement streapteuse, dangereux mais paye bien et c'est intéressant.
M'enfin, là, il faut que je fasse mes devoirs et que j'apprennes mes leçons, c'est pas du gâteau. En plus, demain, on va avoir un contrôle de niveau nationale, enfin, le test.
Comme le bac blanc, mais en plus facile et ça permet de voir si notre niveau est encore bon, sinon, on sera viré.
Si on se foire au test, on a peu de chances de passer le vrai, rater, c'est tout perdre.
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Lycée d'élites, veut dire des notes hautes, mais le look est apparemment tout aussi important.
Alors, c'est actuellement à vingt-et-une heures quarante-deux, que je suis en train de me lisser le cheveux, un masque hydratant sur le visage.
Si on a pas un bon look, on est rejeté, pas du lycée, mais des groupes d'amis, on restera avec les nerds. Dans ce lycée, les nerds sont ceux avec de mauvais notes, un humour incroyablement nul et un look pas possible.
Dans les lycées normaux, je pense que les nerds sont plus qualifié d'intello, pas ici.
Personnellement, je ne suis pas populaire, ni vraiment une nerd, je suis au juste milieu, je reste avec Sophie et souvent Nadia.
Qui est Nadia? C'est une étudiante française qui a gagné un concours dans son pays avant de venir en Amérique, elle a eu une bourse. Elle est adorable! Elle est plutôt populaire parcontre, c'est la seule à avoir pu gagner une bourse.
Elle est très intelligente, personne ne doute de ses capacités et...c'est la seule qui a vraiment l'obligation de réussir à moins de mal finir. Elle n'a aucun héritage à récupérer contrairement à nous.
Elle est très jolie, elle a des cheveux noirs couleur corbeau et les yeux bleus clairs.
Sophie elle, a les yeux marron mais châtains et les cheveux de la même couleur.
Moi aussi, je me trouve assez jolie, ma peau (c/p) va parfaitement avec mes cheveux (c/c) et mes yeux (c/y). Je tiens mes yeux de mon père et mes cheveux de ma mère. Je leur ressemble assez bien!
J'ai un petit frère, il s'appelle Ethan, je sais que certain peuvent ne pas aimer leurs frères et sœurs. Mais le mien, je l'aime énormément, il a dix ans mais, il est déjà très intelligent.
Quand j'en ai le temps, je joue avec lui, ça m'intéresse, il fait des constructions Lego de vaisseaux spatiaux.
C'est ça qu'il veut faire plus-tard, construire des vaisseaux ou avions si vous préférez, et étant donné que j'ai renoncé à l'héritage, c'est lui qui l'aura. Si il réussit à comprendre comment construire ces choses, il aurait l'héritage pour financer son projet.
Honnêtement, il le mérite, c'est un garçon très gentil, à la maison ou en dehors. Je pense que c'est le préféré de la maison, il a des tendances drôle également mais, c'est l'ami de H/n.
Un jour, H/n était venu à la maison avec ses parents donc Ethan a décidé de lui montrer sa collection de vaisseaux spatiaux en Lego. De là, il a commencé à dire qu'il deviendrait Maître d'œuvre d'une entreprise aéronautique.
Ce qu'il ne sait pas, c'est que l'aéronautique c'est des avions de transport, lui il préfère les fusées. Laissons lui quelques années penser ça, il est encore jeune pour réfléchir à devenir le futur Elon Musk.
Bon, il est temps pour moi d'aller me coucher, il est déjà tard, je ne veux pas, non-plus, ressembler à un zombie.
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-Dit moi, Y/n, tu me trouve pas incroyablement beau, aujourd'hui? S'exclame Victor.
-Non. Dis-je ennuyé.
-Tu dis ça pour ne pas avouer que tu as des...
-Oh ta gueule Victor, il est sept-heures du matin, tu pues de la gueule en plus d'être devant moi. Je ne t'aime pas et je ne t'aimerai jamais, ferme la et ouvre les yeux sur les vrais filles qui t'aiment parce qu'il y en a. Incroyable mais vrai, elles existent.
Je me suis pincé l'arrêt du nez en soufflant. J'ai également entendu quelques rires derrière moi et Sophie qui rigolait devant Victor sans se gêner.
-Tu sais quoi? T'es rien qu'une petite pute Y/n!
-Hm...comme ta mère.
Il a retroussé ses manches en se levant d'un coup. Mais il n'est pas le seul à s'être levé.
-Rassied toi Victor, et n'ose pas toucher un seul de ses cheveux, ce serait regrettable. Le menace H/n.
Lui et Sasha se sont levé, et ils ont eu raison. Victor a une poigne exceptionnelle, quand il te tire les cheveux pour te dominer, il le fait pas pour rigoler. Je le dis par expérience, c'est un tyran.
Il est vraiment con! Il a également deux avertissements, j'aurai aimé qu'il lève la main sur moi, que les garçons agissent et qu'il se fasse renvoyer. Ça paraît être un plan sans scrupule, mais quand vous connaissez Victor vous n'avez aucune compassion.
Il ne respecte personne, il harcèle également, sachez qu'on ne laisse pas ça passer. On fait de notre possible, mais on ressort pas toujours gagnant.
Bref, j'ai pris mon sac avant de me lever.
-Viens Sophie, on reste pas en face de ce pervers.
J'ai commencé à marcher en direction de l'arrière du bus, j'allais m'asseoir en face de Sasha, qui était assis à côté de H/n.
Sophie m'a suivi sans broncher et heureusement.
Déjà que je tiens pas debout dans la vie de tous les jours, le bus bougeait trop à mon goût.
J'ai fais du mieux que je pouvais pour ne pas tomber en traversant le "couloir" du bus. Mais en passant devant H/n pour m'asseoir en face de Sasha, le véhicule a subitement freiné.
Je me suis d'abord cogné la tête contre quelque chose qui semblait plus dur qu'un mur. Puis, je suis tombé en arrière sur le siège très violemment et un corps semble être tombé sur moi étant donné le fait qu'on me tienne la jambe.
Quand j'ai rouvert les yeux, parce qu'ils étaient fermé. Je suis tombé nez à nez avec H/n, et c'était le cas de le dire, nos visages étaient beaucoup trop près l'un de l'autre. Il était en train d'analyser notre position, qui était vraiment...
Il tenait fermement ma jambe gauche de son bras droit et sa main gauche était sur ma droite, à l'extrémité de ma tête. Il avait sa jambe droite entre les miennes, elle était sur ma jupe. Au moins, on ne peut pas voir mon sous-vêtement, c'est déjà ça...
Quand j'ai fini, à mon tour d'analyser la situation, je suis remonté sur son visage. Je l'ai regardé dans les yeux mais, je l'ai surpris à fixer mes lèvres habillé d'une simple couche de gloss.
Puis ses yeux sont remontés à mes yeux et on s'est fixé sans vouloir se relâcher.
On pourrait croire que ce moment avait duré une éternité mais, la vérité c'est qu'il n'a duré que quelques secondes.
-Hm, hm, on vous dérange peut-être? Nous interrompt Sasha.
Il m'a relâché avant de se jeter sur son siège et je me suis détendu sur celui sur lequel j'étais.
-Orh mon front! Geignis-je.
-Excusez-moi les enfants! Tout va bien? S'écria le chauffeur.
-J'espère pour toi que t'as pas fait exprès Geoffrey! Lui criais-je.
-Mais non! Pas du tout, un chat traversait la route!
-Je te crois pas!
Geoffrey, c'est le conducteur, tous les résidents ayant des enfants le connaisse car c'est lui qui conduit le bus du quartier. Il y habite également, dans le quartier, pas le bus.
Il m'a toujours vu en couple avec H/n, je ne comprends pas pourquoi?! Dans ces moments là, il m'insupporte!
-Y/n, ça va? Me demande Sophie.
-J'ai l'air d'aller sérieusement?!
-Et toi H/n, ça va? Demande à son tour Sasha.
-Je respire la bonne humeur, enculé?!
On avait nos mains sur nos fronts et on plissait les yeux pour arrêter la douleur.
-Vous voulez qu'on vous laisse l'arrière du bus de libre? Pour faire vos affaires, vous savez...
Je ne comprends pas, ce qu'il veut dire.
-Vous savez, on aurait dit que vous alliez vous sauter dessus tous les deux, on peut toujours vous lai...
-Ferme la, pour une fois, ferme la. S'énerve H/n.
J'ai entendu Sasha et Sophie rigoler, sympa.
Le reste du trajet, ça a été comme ça, Sasha discutait avec Sophie et l'idiot en face de moi. Mais je préférais fermer les yeux, mon mal de tête s'est intensifier au lieu de se calmer.
-Y/n? Tu viens? On est arrivé. Me réveil Sasha.
Je me suis levé en sursaut, m'étais-je vraiment endormi? Hm...bizarre.
On a commencé la journée avec des mathématiques...à huit-heures, ils n'ont littéralement aucune pitié pour nous, c'est sur.
Ensuite, on a eu deux heures d'anglais, c'était trop long et la prof était horrible. Personne ne l'aime.
Puis on a eu une heure de français, c'est une option, pas tout le monde assistait à ce cours, donc nous n'étions pas nombreux.
Pour finir, est venu l'heure de la cantine, cet heure que tout le monde attendait plus ou moins. Je ne mangeais déjà pas énormément mais je venais d'avoir mes règles et l'envie de manger ne passait même pas.
Alors, j'ai séché l'heure et là, je suis dans les chiottes à prendre un médicament. Parce que comme si c'était pas déjà assez, l'infirmière à part me donner un sucre, ne m'aidera pas!
Prendre des médicaments dans l'enceinte du lycée c'est également interdit, on les prend en cachette.
Du coup, je viens d'en avaler un, pour faire passer les douleurs, normalement.
Le truc de bizarre, c'est que la porte des toilettes est en train de s'ouvrir alors que personne n'est sensé être là?!
Et elle s'est ouverte sur Victor.
-Qu'est-ce que...C'est les toilettes des filles! Sort d'ici!
Il a fermé la porte derrière lui, et j'ai entendu un claquement, il a fermé à clé où je rêve?!
J'ai commencé à doucement reculer à chaque pas qu'il faisait vers moi.
-Qu'est-ce que tu veux?!
Il ne répondait pas, il ne le voulait pas, maintenant, j'étais coincé. Je venais d'atteindre la limite, le mur. Son corps répugnant s'est approché du mien.
-N'ose même pas me toucher sinon tu le regrettera!
Et il a attrapé mon menton en coupe, avant d'appuyer son corps contre le mien.
-Sinon quoi? Tu vas appeler H/n? Vous vous aimez pas, c'est bien connu, tu agirais pour moi, toi?
Mes larmes ont commencé à couler en silence face à la force qu'il empoignait sur mon visage.
-Laghche moua!
-Pas maintenant ma jolie.
Il a pris mes cheveux avant de me les tirer et de me faire tomber au sol.
-Tu vas voir!
Et il m'a traîner au sol en me tirant par les cheveux. Évidemment, j'en criais et pleurais mais, il s'en foutait.
Il m'a achever avec un coup de grâce, il m'a claqué la tête contre le sol, il y a mis une puissance que j'eût cru en perdre connaissance, mais non.
Il s'est finalement accroupi avant de reprendre mon menton en coupe.
-Écoute moi bien petit salope! Parle de ça à quelqu'un et je te baise jusqu'à en perdre connaissance! C'est compris?!
J'ai vivement hoché la tête désespérément.
Et il a re-balancer ma tête au sol, cette fois-ci, j'en ai perdu connaissance.
Ce n'est que quelques heures plus-tard que je me suis réveillé.
Mon père était en furie, il voulait le nom du responsable mais...je semblais avoir oublié les deux derniers jours étant passé...
Heureusement pour moi, j'avais passé le test de l'évaluation national la matinée d'avant l'incident, d'après ma mère.
Depuis le moment où j'avais quitté l'hôpital, je suis resté alité à mon lit. De ce que m'ont dit les docteurs, si le coup avait été donné plus fort, j'aurai eu un traumatisme crânien, mais je l'ai frôlé.
Certains camarades sont venu me rendre visite, Sasha, Sophie, Nadia...
À cet instant précis, les parents de H/n et lui même venait d'arriver.
Sa mère s'est assise sur mon lit avant de poser sa main sous mon menton et son pouce sur ma joue avant de me caresser le visage doucement.
-Ma pauvre Y/n, tu vas mieux?
-Je pense que je pourrais dire oui, malgré mes maux de têtes persistants.
J'ai vu mon père s'éclipser de la pièce avec le père à H/n.
-Que diable faisais-tu pendant que cette pauvre Y/n se faisait maltraiter? Dit-elle en s'adressant à son fils.
-Ne vous en faites pas! Si H/n n'était pas dans les parages, ce n'était pas de sa faute! Il ne peut pas tout le temps être là.
Elle ne sait pas qu'entre moi et son fils c'est...électrique, c'est mieux, je pense.
-Tes parents ont hésité à nous le dire mais il se pourrait que tu ais perdu la mémoire, est-ce vrai?
J'ai tourné la tête vers H/n qui était étonné, très étonné.
-C'est vrai...Je ne me souviens pas des deux derniers jours.
-Quand on trouvera le coupable on s'occupera de lui, ne t'en fait pas ma chérie.
Derrière ses airs gentils, Ginny, la mère d'H/n est impitoyable. Quand ils disent qu'ils s'occuperont du coupable, c'est qu'ils le traineront, lui et sa famille en justice, puis ils perdront petit à petit tout ce qu'ils ont.
C'est ce qu'il se passe quand on s'en prends aux familles les plus fortes du pays. Ils ne pourront jamais laisser ça passer. Je suis contente d'être née dans cette famille mais leurs méthodes...je suis contre.
Quelques jours sont passé avant que je ne retourne en cours, nos parents on tenu un accord. Je resterai en permanence avec H/n et au moindre problème, je dois appeler quelqu'un.
Ils ont enquêter, mais ça n'a pas aboutit, la personne m'ayant attaqué a supprimé les engistrements du moment où il est entré, il a laissé les passages où on m'entend crier puis il a coupé sa sorti. C'est vraiment un enfoiré.
M'enfin, je suis actuellement dans le bus, à côté de H/n et sur les genoux de Sasha? Pourquoi sur Sasha? J'en sais rien honnêtement, mais je me sens bien.
-Dis Y/n, tu te souvent vraiment pas? Commence Sasha.
-Non, pourquoi? Demandais-je.
-Ça veut dire que tu te souviens pas du moment où...
On a entendu H/n claquet sa langue contre son palais.
-Du moment où...
-Sasha, continue ta phrase et je t'étripe.
-On en reparlera plus-tard, dans ce cas, H/n.
La situation actuel, c'est qu'il y avait
H/n à sa place habituelle, en face sur le siège face à la fenêtre, il y avait Sasha. Moi, j'avais ma tête dos à la fenêtre, assise sur le genou gauche de mon meilleur ami et mes jambes dépassaient pour se poser sur le siège en face de l'abruti.
La tête contre son épaule, sa main gauche caressant délicatement mes cheveux et sa main droite posé sur ma taille pour m'éviter de tomber.
Le bus s'est arrêté pour récupérer d'autres personnes et une voix m'a glacé le sang.
-Salut Y/n, enfin de retour parmis nous? S'exclame Victor.
Mon être s'est crispé rien qu'à l'attente de sa voix, ces mots qu'il eût prononcé.
-Putain mais tu sembles pas comprendre toi! S'énerve de nouveau H/n.
Je ne l'ai jamais vu s'énerver aussi vite, il a un tempérament calme malgré ses airs pas content. Il sait se gérer.
-Quoi? Je suis content qu'elle revienne c'est tout, quel rabat-joie! Continu t-il.
Ma jambe a commencé à trembler nerveusement.
"...et je te baise jusqu'à en perdre connaissance!"
Cette phrase commençait à résonner en moi comme l'écho d'une montagne. Je n'avais aucune image en tête, juste cette phrase.
Ma jambe tremblait de plus en plus et ma poitrine se serrait au fur et à mesure que cette voix se répétait.
-Y/n? Qu'est-ce qu'il t'arrive? Me demande mon ami sur lequel, je suis assise.
Ma respiration commençait à devenir irrégulière petit à petit alors que j'essayais de calmer tout ça.
-Y/n?
Mon ouïe s'est développé alors que je voulais juste m'enfermer dans une salle silencieuse. Alors mes mains se sont posé sur mes oreilles et mes yeux se sont fermé.
Mes jambes ont commencé à se replier sur elles mêmes et je commençais à être essouflé. Le cœur battant à mille à l'heure, je pensais qu'il finirai par quitter ma cage thoracique.
J'ai senti mon corps se soulever pour se poser sur un siège mais mes yeux daignaient fermé.
Je percevais à peine les sons extérieurs.
"Parle de ça à quelqu'un..."
Et sa voix me démangeait de l'intérieur.
-Geoffrey, arrête moi ce putain de bus!
-Y/n, calme toi...tout va bien, respire, expire, inspire doucement et expire doucement.
-Geoffrey merde!
Je ne savais plus quoi faire, qui suivre? Qui devais-je écouter?
-Arrête de crier, putain!
J'ai senti le bus s'arrêter avant qu'ils ne me prennent les bras pour les poser sur leur épaules et me faire sortir de là.
Ils étaient trois, je voyais pas très bien, donc je ne les distinguais pas. Un a tenu mes cheveux, un autre a baissé ma tête en avant, il me tenait encore le bras également, et le dernier m'a arrosé d'eau sur le visage.
Il faisait froid et l'eau était glacé, rendez-vous compte de la chose, qu'est de se recevoir de l'eau froide en plein face en hiver.
Mais au moins, ça m'a calmé, j'étais encore essouflé mais cette voix avait disparu. Mon rythme cardiaque se calmait doucement et mon angoisse partait petit à petit, mais mes membres tremblaient encore.
J'ai vu Sasha à mes côtés me retenir de tomber, H/n relâcher mes cheveux et Geoffrey m'offrir des mouchoirs. En voulant en prendre un, la main tremblante, le blond l'a pris pour moi, avant d'essuyer tout doucement mon visage.
-Ça va mieux? Me chuchote t-il devant mon visage.
J'ai légèrement hoché la tête.
-C'est à cause de Victor? Tu te souviens? Continu t-il.
-Non...Répondis-je alors que ma voix s'est cassé.
-Y/n, on doit savoir la vérité avant de monter dans ce putain de bus et avant que je lui casse sa putain de gueule!
Je n'ai pas su retenir mes larmes.
Et Sasha a suivi.
-Y/n, si il y a quelque chose à nous dire, c'est maintenant.
-Y/n, mes parents te considèrent comme leur fille. N'ose pas me dire que tu ne veux pas me faire confiance.
Je n'ai pas réfléchis à ce que j'allais faire, mais je l'ai prise dans mes bras, je me suis effondré. Ma tête sur son épaule il n'a pas voulu me rendre cette étreinte pendant quelques temps, puis il l'a fait.
-De quoi, tu te souviens Y/n? N'ai pas peur de nous le dire.
Sa voix sonnait douce et réconfortante.
-Il, il a...Sanglotais-je. Il va me violer si je vous le dis! Il a dit qu'il...
-Qui est "Il"?
J'avais senti ses mains se crisper dans mon dos.
-Y/n. Qui est "Il"?! Se répète H/n.
Il m'a lâché avant de me repousser, de poser ses mains sur mes épaules pour me regarder dans les yeux.
-Dit moi, qui est "Il"?!
-Non! Il va me faire du mal!
Et là, son tempérament calme a disparu pour laisser place à de la colère et je l'ai vu dans ses yeux.
-Y/n, si tu as peur que je me batte, ne t'en fais pas, ce sera pas pour maintenant, mais crache ce putain de morceau et dit moi qui est "Il"!
J'ai reculé d'un pas en le voyant. Et j'ai regardé dans le bus, j'ai fixé Victor et il a compris.
-J'en étais sûr.
-Geoffrey, reprends la route, on reste ici tous les trois. Lui ordonne Sasha.
Il a riposté, mais les garçons l'ont forcé.
Par la suite, j'ai appelé mon père, il est venu nous chercher et les garçons lui ont expliqué...Alors, il a dit qu'il allait les déposés en cours et nous on ira voir la principal.
On est donc sur la route pour y aller.
-Y/n, tu reprendras les affaires familiales.
Pardon?
-Non?! Comment ça?!
-Tu passes ton bac et ensuite je te formerai, je pense même qu'il serait mieux de te former dès à présent.
J'étais devant et les garçons derrière.
-Tu as bien dit qu'on ne prendrais les affaires qu'après avoir réussi notre vie!
-Eh bien, j'ai changé d'avis et baisse d'un ton quand tu me parles jeune fille!
-Tu veux m'empêcher de suivre la voix que je veux! Pourquoi?!
-Tu veux faire quoi hein?! Diriger des entreprises? Businesswomen? Tu crois que tu vas tenir? Hein?! Qu'attends-tu? Réussir? Tu es faible, Y/n!
-Mais, je...
-Non! Tu te tais quand je te parle! Tu es faible Y/n! Les faibles se taisent et se soumettent! N'est-ce donc pas ce que tu as fait?! Tu t'es tut et t'es soumise à ce Victor! Et si Mickael et moi nous allons agir, ne crois pas que c'est pour toi! Loin de là! On fait ça pour l'honneur de nos familles! On est respecté! On agit avec fierté! Je me demande même si je ne dois pas te marier à un fortuné pour que tu ais un vrai avenir! Tu crois pouvoir tenir les affaires familiales?! Heureusement qu'il y a Ethan!
Il avait crier tout ça et je ne devais plus broncher, plus parler, ni réagir, juste baisser la tête et avouer. Mais les larmes me sont vites montés et je me tuais de les exécuter en silence.
Je ne pouvais pas risquer de faire un seul bruit, parce qu'il pourrait causer ma perte.
Alors, quand on est arrivé sur le parking du lycée, il a invité les garçons à partir mais, quand les portes se sont fermé, j'ai vu son air désolée.
-Je me suis emporté, excuse-moi Y/n, tu arriverais à pardonner ton vieux père?
J'ai longuement essayer de retenir mes larmes avant de répondre, la gorge noué.
-Oui.
Il n'a pas attendu une réponse plus longue avant de reprendre.
-Tu veux venir avec moi? Dans le bureau de la principal?
Et cette fois-ci, je n'ai pas eu la force de répondre une deuxième fois, alors j'ai simplement secoué la tête de gauche en droite.
-Bien, je te laisse les clefs sur le contact, au cas où tu voudrais me rejoindre ou bien, ouvrir les fenêtres pour t'aérer.
Il a ouvert sa portière, avant de sortir et de fermer les portes à l'aide de son double.
J'ai relever la tête pour voir où il en était et quand j'ai vu qu'il avait pénétré l'établissement, je me suis lâchée.
Les larmes que je gardais enfouis sont sorties et mes sanglots m'ont détruis.
Je respirais bruyamment et tremblais des mains et des jambes, les paroles de mon père m'avaient détruites.
"Tu es faible Y/n! Les faibles se taisent et se soumettent!"
Comment pouvait-il avancer de tels atrocités?
Cet homme que je pensais connaître du plus profond de son être, s'avérait-il que je me trompais?
Peut-être que mon jugement était faussé et que depuis le début je me trompais.
Peut-être que j'étais remplis d'illusion et qu'il avait crié tout ça sur le coup de la colère. Mais l'information concernant Mickael, le père d'H/n, ne semblait pas être un mensonge.
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Cette fois, c'était fini, Victor et sa famille avaient tout perdu.
Un mois que le procès avait débuté et maintenant, c'est fini, ils ont perdu, ils vont payer une amende, perdre leurs logements, leurs biens, leurs voitures, tout.
Parce que Victor s'en ai pris à moi mais, cette fois-ci, j'ai pu m'exprimer pourtant je viens de gâcher la vie d'une personne. Mais...c'est un sentiment indescriptible que je ressens, j'étais...satisfaite.
Je voulais voir Victor tout perdre pour ce qu'il m'a fait et maintenant, ça me satisfait.
Tout le monde est content, plus de bénéfices et de biens pour nos familles et la perte d'un ennemi pour le lycée.
D'ailleurs, en ce moment qu'est-ce que je fais? Nous sommes dans le bus, Sophie, H/n, Sasha et moi, chose délirante, j'ai commencé à bien m'entendre avec H/n. Je n'y croyais pas au début, mais on a fini par bien s'entendre.
Le fait d'être constamment au tribunal y a joué un rôle.
Bref, on est dans le bus là et on a la vrai évaluation nationale à passer, donc on révise ensemble.
On passera l'évaluation en anglais et aujourd'hui, l'anglais est en première heure. Stress assuré pour notre classe, c'est certain.
On s'en sortira j'en suis quasiment sûr!
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-J'me suis foiré. Paniquais-je.
-Mais non! Ne t'en fait pas, je suis sûr que tu réussiras! Me rassure Sophie.
-Ou tu échoueras. Ajoute sacarstiquement H/n.
-Non mais, je n'ai probablement pas réussi le verso!
-Parce qu'il y a avait un verso? Remarque Sasha.
On a éclaté de rire, il était vraiment perdu, qu'est-ce qu'on a bien rit. Après un moment d'angoisse, ça remonte le moral.
Mais bon, la journée fut vite passé et ennuyante. On était sur notre dernière heure de cours, heure de français et j'avais beaucoup trop mal à la tête pour rester, alors je me suis manifesté.
-Madame? Excusez-moi, je me sens pas très bien, je pourrais aller chez l'infirmière, s'il-vous-plaît?
-Y/n, c'est la dernière heure, ne te sens-tu pas capable de tenir quelques temps?
-J'ai vraiment mal...
-Très bien, tu peux y aller.
Je me suis levé, un léger sourire aux lèvres avant de commencer à marcher en direction de la sortie de la salle. Les mains se frottant l'une contre l'autre, j'avais froid.
Mais en passant devant H/n, il m'a appelé.
-Psst, Y/n.
Je me suis arrêté devant lui.
-Tiens mon pull, tu sembles avoir froid.
-Non merci, H/n, c'est gentil.
-Prends et casse toi.
J'avais oublié qu'il était devenu violent...J'ai finalement pris son pull avant de sortir puis l'enrouler autour de ma taille.
J'ai traversé les couloirs qui me semblaient vides mais simplement calmes et j'ai descendu les deux escaliers présent.
L'infirmerie est juste en bas des premiers escaliers, ceux que je viens de descendre, ça m'arrange fortement.
Je vous donne un aperçu de notre lycée, nous avons un portail, puis un hall qui va relier les bureaux et le cdi, la salle des professeurs, l'infirmerie et les escaliers.
Je suis donc actuellement dans le hall et il fait plus frais qu'en haut.
Arrivé à la porte, j'ai toqué avant de pousser la poignet qui est resté bloqué. La porte est fermé, c'est une blague?! Cet infirmière de malheur n'est donc jamais là?
Entendant des pas, je me tourné vers l'espace ouvert du hall, le milieu et j'ai vite regretter mon action en voyant des hommes, habillé de noir et cagoulé, ils portaient des armes.
Quand ils m'ont vu, ils ont hésité à tirer, mais l'un d'eux à dégainer son arme avant de me viser. J'ai réussi à esquiver avant de commencer à courir en direction des escaliers en criant.
-On a dit qu'on tirait pas putain! Entendis-je plus loin.
On va mourir.
Ils viennent nous prendre en otage.
C'est sûrement ça.
On va être des otages.
Chaque étages que je montais, je devais m'arrêter pour pousser les portes et passer. Tandis que l'alarme intrusion retentissait.
Les portes sont collés aux murs magnétiquement, ce sont des portes coupes feux, à la moindre alarme, elles se décollent pour se fermer.
Alors, je devais courir, m'arrêter, pousser, mais les assaillants ne semblaient pas me suivre, ce n'est pas pour autant que je prenait mon temps.
Je me suis simplement arrêté pour enfiler le pull à H/n, je commençais à vraiment avoir froid. Quel bordel.
Je suis finalement arrivé au deuxième étage, puis devant la porte de ma salle de cours, elle était fermé à clé. Alors je me suis mise à toquer frénétiquement.
-C'est Y/n. C'est Y/n. C'est Y/n. C'est Y/n. C'est Y/n. Répétais-je follement.
Puis d'un coup, la porte s'est rapidement ouverte, mon corps a été tiré à l'intérieur puis refermer.
Sasha m'a attrapé et H/n a ouvert puis fermé.
J'étais dans la classe, la prof et mes camarades sous leurs tables.
Et des coups en rafale se sont fait entendre.
-Je suis venu pour tuer! Pas pour rigoler!
Il avait crier ça en passant dans le couloir.
-Y/n, tout va bien? Me chuchote Sasha.
-Je crois être malade, mais cela n'importe peu.
On s'est légèrement éloigné de la porte avant de s'asseoir au sol contre le mur. J'avais mal au ventre mais ça piquait seulement.
-On a tenté d'appeler les secours, ça ne marche pas. S'exclame H/n toujours en chuchotant.
-On est donc destiné à attendre...
-Apparemment.
Une trentaine de minutes est passé alors que les portes commençaient à vouloir être forcer mais toujours rien. Heureusement pour nous, les secours se sont fait entendre.
Tandis qu'à moi, une douleur stridente s'est manifesté au ventre, c'était beaucoup trop horrible.
-H/n?
-Quoi?
-T'as une bouteille d'eau?
-Pourquoi faire?
-Danser.
Il m'a regardé d'un air désespéré, sérieusement, il pense que je vais faire quoi avec une bouteille d'eau?
Il s'est levé puis est allé la chercher dans son sac en faisant le moins de bruit possible.
-Tiens.
Il me l'a donné, je l'ai ouverte, posé au sol et sortis quelque chose de ma poche. Des médicaments, autant souffrir vaut mieux essayer de guérir.
Mais alors que j'allais prendre la bouteille d'eau pour commencer à boire, ma main l'a lâché et un long gémissement de douleur s'est échappé.
Sasha avait plaqué sa main contre ma bouche.
-Qu'est-ce que tu fais bordel?!
Je me sentais perdre contrôle de mon corps, je ne sais pas, je pleurais.
-Y/n?
Je commençais à voir trouble alors que Sasha retirait sa main.
-Hého?
Avant de tomber en avant.
-Y/n?!
J'ai senti un liquide couler le long de mon ventre.
-Merde, merde, merde, merde, merde!
Je ne distinguais plus tellement les voix.
-Retire lui le pull et sa chemise.
Je me suis retrouvé en soutiens-gorge, un trou dans le ventre.
-Laissez moi faire! Ma mère est chirurgienne!
Cette fille, me semblait-il, a accouru vers moi, a pris ce qui semblait être ma chemise et a appuyé sur mon ventre alors que Sasha m'empêchait de crier.
Puis H/n a placé ses jambes sous ma tête pour me surélever.
-Y/n?!
Il a tapé sur ma joue.
-Je t'interdit de mourir! Tu restes avec nous!
Mon corps me semblait si léger et mon sang se vidait.
-Y/n?! Tu peux pas me faire ça! On a passé un mois de fou ensemble! Je pensais pas que je pouvais t'apprécier autant!
Il avait presque la voix brisé.
-Y/n! Tu peux pas me laisser.
J'ai tendu ma main pour qu'on me la serre et j'ai reconnu la sienne.
-Y/n, je pensais pas t'apprécier! Loin de là! Reste avec moi! Reste avec moi! Tu peux pas me faire ça!
Mes yeux commençaient à se fermer petit à petit.
-Non! Garde les yeux ouvert! Y/n! Ne meurt pas! Je t'en supplie! Je t'aime!
Je fus surprise par ses paroles, il l'a dit, il a avoué.
-Y/n! C'est Sasha, je t'en supplie reste avec nous.
-Y/n! C'est Sophie, je t'en supplie ne t'en va pas, tiens le coup.
Je les entendais pleurer.
-Tu les entend Y/n? Tu peux pas nous laisser! Je te l'ai dit Y/n, je t'aime! Alors moi aussi, tu peux pas me laisser! Je t'aime depuis tellement longtemps!
J'essayais de lui serrer la main davantage.
-Je...
La respiration saccadé.
-T'aime...
Les yeux se fermant tout doucement.
-Aussi...
Et le souffle court.
-Je t'aime H/n!
J'ai senti des larmes couler sur mon visage, ce n'étaient pas les miennes.
-Reste avec moi Y/n!...
-Je suis là...
Mes sens se perdaient, je voyais flou, je n'entendais plus très bien, je ne sentais plus rien. Mes muscles ne bougeaient même pas. La respiration difficile.
-Y/n!?
Je l'ai entendu faiblement avant que mes yeux ne se ferment définitivement.
La mort ne préviens pas.
Jamais, elle ne prévient qui que ce soit.
Elle arrivera et chamboulera tout ce qui passera.
_____________
6136mots.
Yo
PTDRRRR PARDON ça m'a fait rire, Y/n elle meurt et je débarque en mode "Yo", pardon, reprenons.
Hello
Comment allez-vous?
Moi ça va, merci.
Pour les certain(e)s qui lisent mes histoires, je pense que vous commencez à vous habituer aux sads ends hein...c'est triste...
J'espère que ça vous a plu!
Je voulais pas poster de base, je me suis dit que c'était bâclé, vous trouvez?
J'espère qu'il n'y avait pas trop de fautes, 30min pour tout vérifier et faire ça 6 fois c'est beaucoup quand même 🥲
(6×3= 180min, donc 3h)
Bon, j'arrête de vous embêtez, si ce type d'histoire vous plaisent, dites le moi, ça m'encouragera à continuer et si non, beh dites le gentilement 💀
Mercii et bisouss
Byeee
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